Effectué par une Commission Française présidée par le Capitaine de Frégate Doudart De Lagrée. Hachette, Paris, 1885. In-8 gr. (mm. 268x177), legatura editoriale in mz. marocchino rosso, ricca decorazione e titolo oro su dorso a cordoni, tagli dorati, risguardi in seta damascata, pp. (6),XV,662, compreso il ritratto dell'A. all'antiporta. L'opera è illustrata da 211 inc. su legno eseguite sugli schizzi originali di M. Delaporte e con 2 grandi carte a colori f.t., più volte ripieg. - Carte générale de l'Indo-Chine. - . de l'Indo-Chine et de la Chine Centrale. Seconda edizione di questa relation empruntée au Journal Le Tour du Monde', revue et annotée par Leon Garnier.Francis Garnier (1839-1873) was a French naval officer, colonial administrator, and explorer. He accompanied Adm. Léonard Charner to Saigon in 1861 and took part in the Battle of Chi Hoa that marked the end of effective Vietnamese resistance to the French advance into southern Vietnam (Cochinchina). In 1863 Garnier joined the newly formed colonial administration in Cochinchina, while still retaining his naval rank, and was appointed prefect of Cho Lon, the twin city to Saigon. An enthusiastic believer in France's imperial destiny, Garnier vigorously advocated the expansion of French power in Vietnam and the commercial benefits he believed would flow from the exploration of the Mekong River. Largely as the result of his advocacy, a French expedition led by Doudart de Lagrée, with Garnier as second in command, left Saigon to explore the Mekong in June 1866. The mission was a failure in commercial terms, and the river was found to be unnavigable by boats of any size. But the explorers, despite great hardships and frequent sickness that finally took Lagrée's life, accomplished a major task in mapping unknown territory, and they were the first Europeans to enter Yunnan province by a southern route. Garnier, impetuous and headstrong, held a chauvinist vision of France's role in Asia that appealed to many of his contemporaries. He was at the same time a man of wide accomplishments in history, languages, and general science, in addition to his skills as a navigator and cartographer. The account he prepared of the Mekong River expedition, "Voyage d'exploration en Indo-Chine, 186668" (1873), is a most valuable record of the political and economic situation of the countries through which the explorers passed in the 1860s (così Encyclopaedia Britannica online).Alc. fioriture intercalate nel testo, ma complessivamente esemplare ben conservato..
Noëls troyens. Grande(s) Bible(s) Troyes, chez Jean-Antoine Garnier, sans date (circa 1766-1780). Ensemble quatre Noëls petit in-8, sans faux-titres, (64) pp. chacun [ dont le titre illustré] reliés en un volume demi-chagrin tête de nègre, dos à nerfs ornés et encadrés de filets à froid , titre doré [photos 1,2] ( sobre et élégante reliure de la fin du XIX° siècle ; papier vergé de médiocre qualité , avec quelques piqûres ; tache brune en fin de volume ; assez bel exemplaire).
Reference : DR54
Deux de ces textes possèdent une « Permission » datée : 1728 [I] et 1738 [IV, (photo 8)], accordées à Pierre I GARNIER (1662-1738), auquel succéda son fils, Jean II GARNIER (Troyes, 1706-1765). A la mort de ce dernier, Jean-Antoine GARNIER, dit l’Aîné (Troyes, 1742-1780), devint Libraire-Imprimeur (cf. Morin (L.), pp. 14-20). Chaque fascicule est illustré d’une vignette gravée sur bois, représentant l’Adoration des Mages ( I et II, motif et taille différents) et la fuite en Egypte (III), retirage de bois usés. Ces trois volumes se vendaient séparément, tout en appartenant à une même série : en effet, leurs cahiers sont respectivement signés A-D (contenant 16 cantiques), E-H (18) et I-M. (34) ; seul , le premier possède une « Permission » , délivrée à Pierre GARNIER, le 22 juillet 1728, … enregistrée le 28 février 1728 (sic).
Textes « populaires » sur des airs parfois bucoliques comme « les Bourgeois de Châtres » (II, feuillet Eij) déjà rencontrés (n° 53 ) et que l’on retrouvera ci-dessous (IV, Aiv), « Bacchus assis sur un poinçon d’or » (II, G viij) , « Le vin et moi nous sommes bons amis » (II, H iv) ou encore ce surprenant « Répand, charmante nuit, repand sur tous mes sens, de tes pavots la douce violence » (III, I iij). In fine, (IV) : La Grande Bible de Noels tant anciens que nouveaux. Où tous les Mystères (etc.), (64) pp. signées A-D ; sur le titre : « crèche », sur fond criblé. 24 textes, avec « permission » accordée à Pierre GARNIER du 19 mai 1738, enregistrée le 24 septembre suivant . Où l’on retrouve le Noël « bachique » cité ci-dessus. Le bénéficiaire des « Permissions » Pierre GARNIER ( décédé le 19 décembre 1738) fut le chef d’une « race » qui produisit des Noëls en quantité considérable ayant pour points communs les ressemblances dans les titres, la détestable qualité du papier et l’incorrection des textes, différant par les caractères employés et les bois des frontispices, dont quelques-uns semblent remonter au XVI° siècle ( cf. Ribault de Laugardière). Ces quatre Noëls présentent tous quelques différences avec ceux décrits par Morin (A.-F.)… Un petite trentaine d’année après, Jean-Antoine (Troyes, 1742-1780), hérita de son père Jean II Garnier (1706-1765). Remarque : on trouve dans le e-commerce des Noëls, publiés par Jean-Antoine, avec permission, abusivement datés : 1728 ou 1738. Parfois, on rencontre une réunion différente (IV-II-III), néanmoins cohérente, puisque le IV est signé « A-D »… Références bibliographiques : Ribault de Laugardière (Charles) : La Bible des Noëls. Etude bibliographique et littéraire. Paris, Librairie curieuse et historique d’A. Aubry, 1857. Morin (Louis) : Les Garnier, Imprimeurs-Libraires à Troyes. Paris, Henri Leclerc, 1900 (in « archives.org »). Morin (Alfred-Félix) : Catalogue descriptif de la Bibliothèque bleue de Troyes. Genève, Droz, 1974. PROVENANCE : de la Bibliothèque du Marquis de GAILLON, avec son petit ex - libris circulaire, armorié, « à une aiglette en vol » [photo 3] Isidore Charles, vicomte , puis marquis VION de GAILLON (1813 - 1892) , auteur de quelques articles savants sur la littérature du XVII° siècle, parus, entre autres, dans le Bulletin du Bibliophile (circa 1850-1870) était possesseur d’une belle bibliothèque, qui fut complétée par son fils Pierre ( 1865 - 1948 ), marquis de GAILLON en 1892. Réunion peu courante, dans une reliure élégante de la seconde moitié du XIX° siècle, sur un exemplaire conservé dans un assez bon état ; rare dans cette condition. BUR (JDB)
Charles Garnier se met à la disposition de son correspondant ...pour répondre aux questions que vous me ferez sur le théâtre dOrange. Je ne prétends pas avoir raison sur tous les points ; mais je vous donnerai au moins une opinion sincère...Il sera cependant absent de Paris quelques jours et lui indique les jours et les heures où il peut le recevoir avant son départ. Il ajoute ...Sil vous était impossible de venir, il faudrait alors remettre notre entretien vers le milieu de la semaine prochaine...Formé chez larchitecte Hippolyte Le Bas, Charles Garnier entre à lÉcole des Beaux-Arts en 1842. Il obtient le premier grand Prix de Rome darchitecture en 1848. Ses voyages en Italie puis en Grèce lui laisseront un goût pour la polychromie et une parfaite intégration des trois arts : architecture, sculpture et peinture.Lorsquen 1861 il remporte le concours du nouvel opéra de Paris voulu par Napoléon III, il entreprend de visiter toutes les grandes salles dEurope. Le chantier, ouvert en août 1861, connaît de nombreux ralentissements. LOpéra de Paris est inauguré le 5 janvier 1875 par le Président de la République, le Maréchal de Mac-Mahon.Le théâtre dOrange ouvre ses portes le 30 décembre 1885. A son premier architecte, André-Jean Boudoy, ancien collaborateur de Charles Garnier, succède un architecte de Montpellier, Léopold Carlier. Réquisitionné par les autorités allemandes pendant la Seconde Guerre mondiale, puis transformé en salle de réunion, le théâtre dOrange est restructuré en 1981 et reste désormais affecté à diverses manifestations.
1872 1874 Feuille double, 21 X 13 cm, 3 pages, adresse et timbre et tampons sur la 4 page, petite déchirure. Copie : 21 X 27 cm. 4 pages.
Le Père Desgodins (1826-1913) de la Société des missions étrangères de Paris, est un des premiers missionnaires français des Marches tibétaines. Il émet le souhait de rencontrer Francis Garnier, alors en poste au Dépôt des cartes et plan à l’occasion d’un passage à Paris.La lettre recopiée par le frère de Desgodins est une copieuse et passionnante note de lecture, inédite, du Voyage d'exploration en Indochine que Garnier donne par épisode au Tour du Monde, notamment sur la partie chinoise du récit que le missionnaire connaît bien. Il qualifie d’“injuste, méchant et ingrat” les assertions de Garnier sur les pères Proteau et Fenouille dont il est longuement question, et fustige “l’esprit très antireligieux qui préside à la rédaction de ce voyage. Quand à démêlés avec la curiosité et l’insolence des chinois [...] je n’y étais pas [...] mais n’est-ce pas exagéré [...] J’ai eu a subir les mêmes ennuis, seul, sans revolver, sans escorte, je m’en suis bien débarrassé, souvent par une simple plaisanterie...” Il liste certaines erreurs, notamment celle de méconnaître la prédominance du pouvoir civile en Chine. Pour finir il lui souhaite bon vent “ malgré les critiques que je viens de faire, malgré les petites rancunes que j’éprouve pour la manière dont il traite les missionnaires, en attendant mon tour ! Mais M. Garnier n’a pas apprécié tous les obstacles, je l’attends à la frontière du Tibet.” Bon état d’occasion
[De l'Imprimerie Nationale] - GARNIER [ GARNIER dit Garnier de Saintes, Jacques (1755-1815) ]
Reference : 27156
(1792)
Imprimé par ordre de la Convention Nationale du 10 décembre 1792, 1 brochure in-8 en feuilles, De l'Imprimerie Nationale, s.d., 12 pp.
Bon état. Martin & Walter, 14274. Jacques Garnier était un avocat charentais, qui devint maire de Saintes en 1790 et député à la Convention. Il vota la mort de Louis XVI.
Garnier, Jules E. Bernard et Cie 27 x 33 Paris 1897 Fort in-folio, reliure demi-chagrin fauve à coin, dos à cinq nerfs, titre doré, tête dorée, 300 p., 160 illustrations en couleurs, montées sur onglet, avant propos d'Armand Sylvestre. Textes sur deux colonnes de Gargantua et Pantagruel. Illustrations du peintre Jules Garnier (1847-1889) fidèles à l'esprit de provocation de Rabelais, passèrent pour subversives. Belle reliure, coins émoussés, petite trace de vers sur les 10 premières pages sans conséquences, papier un peu jauni. Bon exemplaire.(ApC131) Livre
Garnier Frères, s.d. (1894), in-12, 541-36 pp, 3e édition, table alphabétique et analytique, catalogue Garnier (36 pp) in fine, broché, couv. lég. salie, bon état
Age ; Anaphrodisie sexuelle ; Aspermatisme ; Avantages du célibat ; Bâtards ; Castration ; Causes du célibat ; Célibat ; Célibataires ; Chasteté ; Concubinage ; Continence du célibat forcé ; Dangers ; Dépopulation ; Différences entre les sexes ; Diminution des mariages ; Divorce ; Effets ; Filles ; Folie ; Garçons ; Génie ; Hérédité ; Histoire du célibat ; Hygiène ; Impuissance anticipée. Danger du célibat ; Inconvénients ; Indications du célibat ; Jalousie ; Libertinage ; Maladies du célibat ; Mesures contre le célibat ; Onanisme ; Paresse ; Péril vénérien ; Prostituées ; Prostitution ; Prostitution : clandestine, masculine, officielle ; Pseudo-célibat ; Séparation causée par l'infécondité ; Stérilité ; Suicides ; Syphilis ; Veuvage. — "Dans son ouvrage “Célibat et Célibataires”, le docteur P. Garnier (1819-1901), spécialiste incontesté de la « question génésique », s'attache à montrer que l'artiste est un homme fait d'une autre pâte que le commun des mortels. Classé dans la catégorie des misanthropes, hypocondriaques et autres caractériels, l'artiste célibataire ne se satisfait ni du mariage, ni de la procréation. Fidèle au principe « on ne peut servir deux maîtres », l'artiste ne convole pas ou le fait après avoir d'abord épuisé son suc intellectuel, et Garnier de citer en exemples les noces tardives de La Fontaine et celles de Goethe. « Recommander la continence conjugale aux hommes voués au travail de l'esprit. Une maîtresse pourrait donc leur suffire et c'est ainsi que Sainte-Beuve en usait, dit-on, d'une manière intermittente tous les vendredis », souligne toujours Garnier. Obéissant au principe de la distribution de l'énergie, le docteur constate que « plus le pôle supérieur domine par son activité, plus le pôle inférieur ou génital perd de son énergie »". C'est ainsi que les génies sont de mauvais reproducteurs puisque « tous les efforts de virilité sont concentrés exclusivement dans leurs œuvres » et que « l'élévation de l'esprit en fait d'aussi mauvais générateurs que les idiots »". Le discours médico-philosophique s'ancre dans le code social au point de paraître plein de bon sens. Ainsi se constitue, par sanction implicite, une voix/voie du corps, sorte de fonds commun intériorisé par les individus, où les phénomènes physiques côtoient les observations morales. La version sociale de ces injonctions répercute des certitudes sur la nécessité de ménager sa cervelle, sur l'apparence physique de l'homme d'exception, en clair, toute une physiologie de l'homme de lettres, confortant ainsi l'implantation d'un discours qui n'a plus besoin d'être justifié..." (Françoise Grauby, “Le Corps de l'artiste. Discours médical et représentations littéraires de l'artiste au XIXe siècle”, 2001)
Nuits-Saint-Georges, circa 1902 ; in-8 ; demi-chagrin maroquiné grenat, dos lisse orné de filets, palette et fleurons dorés, titre doré au centre, tranches rouges (reliure de l'époque) ; (1) f., 397 pp., quelques pages blanches, papier quadrillé à petits carreaux.
Manuscrit très différent de l'ouvrage publié par le même auteur (Citeaux, Imprimerie Saint-Joseph, 1896) ; il porte, en frontispice : "Hommage amical de l'auteur à Monsieur Marcel Nicolle, Docteur en Droit. A Dijon, Garnier Philippe-Symphorien". Relié avec : carte de visite de l'abbé Garnier, prêtre en retraite, avec ces mots de sa main "... sanitatem mantis et corporis utrique" ; portrait photographique de l'auteur. On ajoute 3 lettres manuscrites signées de Marcel Nicolle à l'abbé Garnier, datées des 24, 25 et 27 mars 1893, de Blidah en Algérie où M. Nicolle a mené une carrière de Conservateur des Hypothèques ; ces courriers sont émouvants : M. Nicolle est originaire de Nuits-St-Georges où il a connu par le passé l'abbé Garnier, son ami d'enfance (ils sont nés tous les deux en 1824) ; ils n'avaient pas correspondu depuis 1866 !Ce manuscrit, d'une écriture soignée, était probablement la mise au propre d'une future édition de ces Essais, qui n'a jamais été publiée, l'auteur en fait don à son vieil ami d'enfance juste avant sa mort.
Phone number : 06 60 22 21 35
[Faria ] - Garnier - Delormel,Garnier - Delormel,Garnier Léon
Reference : 14214
(1900)
Partitions sur le Militaria Paulus-Delormel 1900 approx.
Bon état Petit format
Préface de M. Paul Gasnault. Illustration d'après les dessins de l'auteur. Gravures de Trichon. Par Édouard Garnier, Officier d'Académie, Ancien Attaché à la conservation du Musée de Sèvres (1871-1879), Secrétaire de la Section de Céramique au Musée des Arts Décoratifs, Attaché à la Direction de Beaux-Arts.9 planches hors-texte, 4 en couleurs dont un frontispice et 5 en noir avec serpentes légendées. Très nombreuses illustrations dans le texte.Deuxième édition revue et augmentée de 4 chromolithographies. Tours, Alfred Mame et fils - 1882 - XV et 568 pages.Reliure demi-chagrin vert de l'époque. Dos à nerfs aux titre, auteur et filets dorés. Petits frottements au dos. Infimes rousseurs. Bon état. Format in-4°(25x17).
GARNIER Edouard
François Abdon GARNIER De l'art du fontenier sondeur et des puits artésiens,. ou Mémoire sur les différentes espèces de terrains dans lesquels on doit rechercher des eaux souterraines, et sur les moyens qu'il faut employer pour ramener une partie de ces eaux à la surface du sol, à l'aide de la sonde du mineur ou du fontenier. 1822, Mme Huzard, Paris. 1 vol. in-4 relié de 143 pages - 19 planches techniques gravées dépliantes. Reliure de l'époque demi basane, dos lisse orné de filets et du titre, frappés à l'or fin. Pièce de titre en basane saumon. ÉDITION ORIGINALE. Frottements d'usage, intérieur frais, quasiment exempt de rousseurs. Le polytechnicien François Abdon Garnier était ingénieur au corps royal des mines. Les planches ont été gravées au trait d'après l'auteur. Assez bon
Seichi Niikuni, Pierre Garnier, Yasuo Fujitomi, Toshihiko Shimizu, Ilse et Pierre Garnier, L.C. Vinholes, Reginald C. Butler, Seiko Kanno, Syoji Yoshizawa, Max Bense.
Reference : 104647
Tokyo, the Association for Study of Arts, juillet 1966, 213x153mm, 44p., agrafé sous couverture imprimée.Participations de Seichi Niikuni, Pierre Garnier, Yasuo Fujitomi, Toshihiko Shimizu, Ilse et Pierre Garnier, L.C. Vinholes, Reginald C. Butler, Seiko Kanno, Syoji Yoshizawa, Max Bense.Destribats 872. Jacques Donguy, Poésies Expérimentales, p.45-47. (104647)
Très bon
Phone number : +33 1 48 01 02 37
22/12/1881 Jules Garnier remercie chaleureusement sa correspondante, mais il lui est …tout à fait impossible daller voir Monsieur votre père demain vendredi… Il lassure cependant quil ira …sans faute lundi prochain…Engagé à Nouméa comme chef du Service des Mines de Nouvelle-Calédonie en 1863, Jules Garnier y découvre un nouveau minerai de nickel, la garniérite, nommée ainsi en son honneur par ses pairs. Il dépose en 1876 un brevet pour l'exploitation du nickel calédonien. Ce sera la reconnaissance mondiale lorsque vers 1890, à Annapolis, sont reconnues les propriétés du ferronickel. Ingénieur-inventeur, Jules Garnier est aussi écrivain et deviendra le secrétaire de la Société de Géographie de Paris.
Jules Garnier invite sa correspondante : …Permettez-moi de vous offrir un billet pour le concert de dimanche prochain dont le programme est le même que celui de dimanche dernier. Jespère quil vous sera possible den profiter…Engagé à Nouméa comme chef du Service des Mines de Nouvelle-Calédonie en 1863, Jules Garnier y découvre un nouveau minerai de nickel, la garniérite, nommée ainsi en son honneur par ses pairs. Il dépose en 1876 un brevet pour l'exploitation du nickel calédonien. Ce sera la reconnaissance mondiale lorsque vers 1890, à Annapolis, sont reconnues les propriétés du ferronickel. Ingénieur-inventeur, Jules Garnier est aussi écrivain et deviendra le secrétaire de la Société de Géographie de Paris.
23/03/1882 Jules Garnier offre à sa correspondante ses 2 places du Conservatoire et espère qu'elle pourra en profiter.Engagé à Nouméa comme chef du Service des Mines de Nouvelle-Calédonie en 1863, Jules Garnier y découvre un nouveau minerai de nickel, la garniérite, nommée ainsi en son honneur par ses pairs. Il dépose en 1876 un brevet pour l'exploitation du nickel calédonien. Ce sera la reconnaissance mondiale lorsque vers 1890, à Annapolis, sont reconnues les propriétés du ferronickel. Ingénieur-inventeur, Jules Garnier est aussi écrivain. Il deviendra le secrétaire de la Société de Géographie de Paris.
LIBRAIRIE GARNIER FRERES 1922 1922. Burnouf: Tacite œuvres complètes Histoires II/ Librairie Garnier Frères 1922 . Burnouf: Tacite œuvres complètes Histoires II/ Librairie Garnier Frères 1922
Bon état
Nancy, Imprimerie A. Crépin-Leblond, 1896, in-8, 110 pp, Broché, couverture imprimée de l'éditeur, Rapport fait par le Dr Paul Garnier (1848-1905) à l'occasion de la septième session du Congrès des médecins aliénistes et neurologistes de France et de pays de langue française, qui s'est tenu à Nancy en 1896. Paul Garnier considérait l'hypothèse du criminel né comme insuffisante, dans la mesure où celle-ci ignorait les facteurs liés au milieu social. Il fut l'un des premiers à préconiser la création d'asiles pour les aliénés criminels déclarés irresponsables, des "asiles de sûreté" où le malade serait incarcéré puis libéré après consultation d'une autorité médicale ; Garnier envisage, par ailleurs, des mesures législatives spéciales à l'égard des délinquants alcooliques récidivistes. Élève de Valentin Magnan à Sainte-Anne et disciple de Legrand du Saulle, Garnier fut médecin-inspecteur des asiles publics d'aliénés, médecin-légiste au parquet de la Seine, puis médecin en chef de l'Infirmerie Spéciale de la Préfecture de Police de 1886 à 1905 ; il mena de nombreuses recherches et fit plusieurs communications sur la médecine mentale et l'anthropologie criminelle. Il donna également des séances publiques d'auscultations psychiatrique, les "présentations du vendredi", à l'Institut médico-légal. Exemplaire en majeure partie non coupé. Tampon du docteur Carrier de Lyon. Dos et deuxième couverture factices. Couverture usée. Semelaigne II, p. 269 et suiv. Couverture rigide
Bon 110 pp.
LIBRAIRIE GARNIER FRERES 1932 1932. Platon: Apologie de Socrate-Criton-Phédon-Gorgias/ Librairie Garnier Frères 1932 . Platon: Apologie de Socrate-Criton-Phédon-Gorgias/ Librairie Garnier Frères 1932
Bon état
1897 Paris, E. Bernard et Cie, 1897, fort grand in 4 de 300 pp., l'ouvrage est entièrement monté sur onglets, rel. d'ép. demi-chagrin vert à coins signée L. MAGNIN à Lyon, dos lisse avec titre doré dans une banderolle de chagrin rouge placée en diagonale sur un décor de feuillage doré, une marotte mosaïquée en pied, également sur fond de feuillage doré, avec date en dessous, deux encadrement de double-filets dorés dans la hauteur, tête dorée, bel ex.
Édition illustrée par Jules GARNIER de 160 compositions en couleurs légendées hors-texte. Le peintre français, Jules-Arsène Garnier, (1847-1889), intègra en 1867 l'atelier de Jean-Léon Gérôme à l'École des beaux-arts de Paris. Il débuta au Salon de 1869, où il exposa jusqu'en 1889. En 1890, Garnier exposa les cent soixante compositions originales illustrant l’œuvre de Rabelais à la Galerie Rabelais de Londres. Elles y furent saisies comme "attentatoires à la morale". Des artistes anglais protestèrent au nom de l'art national contre "la honte du réalisme français".
Magnifique dessin original à l'encre de chine, sur calque signé par Pascal Garnier, dit Garner. au format 29,5 x 21 cm. Pascal Garnier, dit Garner, est un artiste peintre français. Pascal Garnier est né en 1960 et signe ses peintures Garner. Il a débuté sa carrière dans le monde de la bande dessinée. Il a aussi été dessinateur pour la maison de mode Pierre Cardin, tout en réalisant des illustrations pour la publicité, la presse et l’édition. Il enseigne maintenant les arts graphiques. Cette oeuvre fais partie de celles réalisées sur le thème de New Petit manque en haut du calque, sinon superbe état. Rare.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Paris, Ch. Delagrave, 1872. In-12 broché de 203 pages, couverture bleue imprimée (un peu salie). Rares rousseurs.
Très rare édition originale. Marie Joseph François Garnier dit Francis Garnier, né à Saint-Étienne le 25 juillet 1839 et mort au combat à Hanoï, le 21 décembre 1873, est un officier de marine et explorateur français. Il devint célèbre pour avoir passé l’essentiel de sa vie à explorer le Mékong. Sa carrière d’officier et sa fin héroïque en ont fait une des figures de premier plan de l'histoire de la Marine française. Il entre en 1856 à l'École navale, après de bonnes études au lycée de Montpellier. En raison de ses pensées ambitieuses, de son courage et de sa fougue malgré sa petite taille, ses camarades de Navale l'avaient surnommé « Mademoiselle Bonaparte ». Après un court séjour en France, il rejoint la Cochinchine en 1863 pour remplacer Henri Rieunier au sein du service des Affaires indigènes qui était comme lui enseigne de vaisseau à l'état-major de l'amiral Léonard Victor Charner. Il est alors chargé de l'administration de la ville chinoise de Cholon, où ses amis le surnomment « le petit préfet de Cholon ». Il publie, en 1864 et en 1865, deux brochures qui analysent la situation politique, économique et sociale de la Cochinchine française. Sa participation à la Mission d'exploration du Mékong, sous le commandement du capitaine de frégate Ernest Doudart de Lagrée, accompagné, notamment, de l'anthropologue Lucien Joubert, médecin de la Marine de 2e classe, du botaniste Clovis Thorel, médecin de la Marine de 3e classe du photographe Émile Gsell, du dessinateur Louis Delaporte, enseigne de vaisseau et de Louis de Carné (fils) du ministère des Affaires étrangères, le rend illustre. L'expédition part de Saïgon en juin 1866, sous le haut patronage du vice-amiral Pierre-Paul de La Grandière et entreprend de remonter le Mékong. Commandant en second, Garnier est chargé notamment des travaux d'hydrographie, de météorologie ainsi que du tracé de la carte du voyage. À la mort de Doudart de Lagrée, dans le Yunnan, il prend la direction de la mission, gagne la vallée du Yangzi Jiang qu'il descend jusqu'à Shanghai. Il rallie Saïgon deux années après en être parti, en juin 1868. Il rejoint aussitôt la France où il est affecté au Dépôt des cartes et plans de la Marine. Il y achève la rédaction de son rapport de mission. En 1871, il partage avec David Livingstone la Médaille d'Honneur de la Société de géographie dont il était membre depuis son retour. Il sollicite et obtient un congé sans solde pendant lequel il s'installe à Shanghai avec son épouse. Il continue ses travaux de reconnaissance du cours supérieur du Mékong. Il passe plusieurs mois à explorer, seul, le Yunnan et le Tibet, lorsqu'il est rappelé par le contre-amiral Dupré, alors gouverneur de la Cochinchine, pour une opération de pacification. Il parvient à Hanoï en novembre 1873. Il y est touché le 21 décembre, lors d'une attaque des Pavillons noirs. Ses compagnons le découvrent décapité, émasculé et le cœur arraché. L'enseigne de vaisseau, Adrien-Paul Balny d'Avricourt, tombé quelques heures avant lui est aussi décapité. Son corps est ramené en 1875 à Saïgon, où il est inhumé au cimetière de la rue Massiges, aux côtés de celui de Doudart de Lagrée. Ce n'est que dix ans après la mort de Garnier que la France prend la décision de poursuivre la conquête du Viêt Nam, en lançant l'expédition du Tonkin. (pompage éhonté de la notice wikipedia).
RABELAIS / GARNIER ...//... François Rabelais (1483 ou 1494-1553), texte. / Jules Arsène Garnier (1847-1889), illustrateur.
Reference : 9954
(1897)
Paris, E. Bernard et Cie, 1897, 2 volumes, in-folio, reliés, 120/300 p., pagination continue. 160 illustrations couleur hors-texte, liste des planches en fin du tome 2. Reliure d'époque, demi chagrin vert, dos lisse avec décor romantique doré, titres et tomaisons dorés, têtes dorées. Usure aux coins et aux coupes, intérieur parfait.
Contient tout le texte de Rabelais. - Avant-propos d'Armand Silvestre Très bel exemplaire. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).
Paris, Hachette, 1895 ; grand in-8, demi-chagrin rouge et percaline, dos à nerfs très décoré et doré, tranches dorées (Ch. Magnier) ; XV, 657 pp. , 2 cartes dépliantes de l'Indo-Chine et de la Chine et portrait hors-texte de Francis Garnier.
Première édition de l'ensemble des textes et bois gravés envoyés par Francis Garnier au "Tour du Monde" et publiés en avant-première en 1870, 1872 et 1873 dans cette célèbre revue, bien avant le compte-rendu officiel paru en 1873 ; il n'est donc pas un abrégé mais bien le premier texte de Francis Garnier sur cette exploration réalisée en 1866, 1867 et 1868 et considérée comme une des explorations les plus importantes du XIXe siècle. Quelques rousseurs claires éparses et petits renforts aux plis des cartes, bon exemplaire dans l'ensemble.
Phone number : 06 60 22 21 35
1897 reliure demi chagrin in-quarto, 2 volumes, dos long - titre frappé or - tomaison - fers spéciaux -, tête dorée, non-rogné, 160 planches couleur de Jules Garnier, 300 pages, 1897 Paris Bernard et Cie Imprimeurs-Editeur,
- préface armand Silvestre - rare - belle édition dans un très bon état -
Perrin, 1968, in-8°, 526 pp, 16 pl. de gravures hors texte, références, reliure skivertex havane de l'éditeur, bon état
"Il n'y a sans doute pas de famille princière qui ait fait l'objet, depuis un siècle et demi, de plus d'études que celle des Bonaparte. Chacun des princes, chacune des princesses a trouvé un biographe, mais il n'existe peut-être pas de volume qui embrasse l'ensemble de cette famille depuis son arrivée en France jusque au-delà de la fin tragique de celui qui en fut le chef prestigieux. C'est cependant cet ensemble que M. Jean-Paul Garnier a réussi à mettre sur pied une fresque colorée et très moderne par la façon dont elle est présentée. Quoique Napoléon en soit le centre, sa figure est trop connue pour que l'historien en détaille longuement tous les traits, mais il faut bien nous montrer ses rapports avec ses frères et soeurs ; on sait qu'ils ne furent pas toujours faciles. Corse, il a le sens du clan. Quand, dès 1796, la fortune lui sourit, grâce à la façon dont il mène, tambour battant la campagne d'Italie, il veut en faire profiter tout son entourage et celui-ci est nombreux et gourmand : quatre frères, trois soeurs, une mère, même un oncle, arrivés de Corse sans situations ni fortune. Tous cependant ambitieux sauf la « madre » qui est la seule qui trouve grâce devant M. Garnier. Évidemment aucun des frères n'est un génie, tous quatre admirent celui qui, à vingt-cinq ans s'est imposé à l'attention du monde ; mais l'aîné, Joseph, en est presque jaloux, tout ce que le général, le premier consul, l'empereur fera pour lui, lui semble normal, c'est presque un dû. Lucien, plus capable sans doute, s'est hissé très vite, grâce au nom qu'il porte, au Conseil des Cinq Cents dont il est élu président à 24 ans ; incontestablement, il joue un rôle essentiel et bénéfique au 18 Brumaire, mais il le fera sentir un peu trop. Ni Louis, ni Jérôme n'ont le moindre génie militaire, le grand frère les fait cependant monter en grade un peu rapidement; ils trouvent ces promotions très normales. Quant aux soeurs, aucun parti n'est trop beau pour elles ; l'une sera reine de Naples, les deux autres princesses ; aucune ne se fera remarquer pour ses vertus, pas plus que leurs frères d'ailleurs. M. Garnier ne cache rien des moeurs dissolues de ces parvenus. La difficulté d'un film aussi vaste c'est de présenter en même temps ces mêmes personnages évoluant au cours de ces quinze années si extraordinairement remplies. L'évolution est à peu près la même pour tous, sauf pour Lucien qui refusant un divorce qui n'a aucune raison d'être, est rayé de la famille impériale et des avantages qui lui auraient été réservés. Jérôme, plus souple, abandonne E. Paterson à qui il a cependant juré fidélité, et le fils qu'elle lui a donné. Il sera, pour la peine, roi de Westphalie, triste roi aussi incapable que Joseph et que Louis qui tous trois seront pour l'empereur une charge beaucoup plus qu'une aide. Quand au plus connu des beaux-frères, Joachim Murat, on sait que lorsqu'il voit la victoire changer de camp, il abandonne le commandement que Napoléon lui a confié lors de la retraite de la Russie, et court à Naples pour y négocier une paix séparée avec le chancelier d'Autriche qui fut d'ailleurs, touchante rencontre, l'amant de sa femme. Volte-face qui s'appelle une trahison. Aucune de ces évolutions n'est négligée par M. J.-P. Garnier qui nous conduit jusqu'après la « Tornade » en Italie ou madame Mère essaie de regrouper ses enfants disséminés (sans être tombés dans la misère), tandis que l'empereur, le bienfaiteur de tous, se meurt à Sainte-Hélène sans qu'aucun de ces bénéficiaires ne cherche à le rejoindre dans sa prison. Tableau vaste, gigantesque que la foule contemplera toujours avec curiosité mais dont l'envers n'est pas beau." (Revue des Deux Mondes, 1969)