Bailly (Maire De Paris) / Lafayette (Commandant-général Des Gardes françaises)
Reference : 8392
(1789)
30 x 20 Paris 1789 Un détachement de gardes françaises (régiment d'infanterie de l'armée royale) avait participé, aux côtés de miliciens, à la prise de la Bastille le 14 juillet 1789. La Commune de Paris fut créée le soir même et nomma son premier maire, Jean-Sylvain Bailly (1736-1793). Elle décida, par arrêté du premier août d'accorder [notre document) "aux Gardes-Françoises une Médaille en or, en reconnoissance des services signalés, rendus à la Cause Publique". 64 hommes des deux sections du 3ème bataillon du régiment des gardes-françaises bénéficièrent de cette récompense. C'est La Fayette (1757-1834), nommé Commandant-Général de la garde nationale, qui sera désigné pour remettre la médaille à ces gardes-françaises. Balthazard Navière fut un de ceux-là. Document bi-feuillet, vignette de titre aux armes de paris et cachet de cire en très bon état. PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST
[Gardes du Corps du Roi] Charles-Emmanuel-Sigismond de Montmorency-Luxembourg (1774-1861), duc de Luxembourg, capitaine de la 4e compagnie des Gardes du Corps du Roi.
Reference : 014867
[Gardes du Corps du Roi] Charles-Emmanuel-Sigismond de Montmorency-Luxembourg (1774-1861), duc de Luxembourg, capitaine de la 4e compagnie des Gardes du Corps du Roi. L.S. « le duc de Luxembourg », Paris, 23 décembre 1826, 1p in-folio. Entête des Gardes du Corps, compagnie de Luxembourg. Copie conforme signée de la lettre qu'il a reçue du marquis de Clermont-Tonnerre (Gaspard (1779-1865)), concernant Gabriel-François du Breuil de Souvolle (1770-1841), ancien capitaine de Gendarmerie, recommandé par Luxembourg pour un emploi « d'adjudant de place du grade de capitaine ». Souvolle est inscrit sur le tableau des candidats. Souvolle, issu de familles de gardes du corps, a servi lui aussi comme garde du corps sous la restauration, dans la compagnie de Luxembourg. Notre copie conforme provient des papiers de la famille Souvolle. C'est donc une copie que le duc de Luxembourg a fait faire pour l'informer de sa situation. [360]
1756 Paris, P.G.Le Mercier 1756,xxiv+ 495p.relié avec Paris Moreau, Lefebvre, Versailles 1764, 111 pp.en un volume In-18 (124 x 65 mm), plein maroquin rouge, dos lise orné frotté, plats ornés de filets et fleurons en coin dorés , dentelle intérieure, tranches dorées (reliure d'époque). Les quatre Compagnies de Gardes du corps du roi (la Compagnie écossaise, créée par Charles VII, la première et la seconde Compagnies françaises, créées sous Louis XI, et la troisième Compagnie française, créee sous François Ier), ont respectivement pour capitaines en 1756 : le Maréchal Louis de Noailles, le Duc de Villeroy, Paul-François de Béthune duc de Charost et le Duc de Luxembourg. Bel exemplaire (malgré des défauts d'usage, dorure du dos titré en partie effacée, 18o (124 x 65 mm),red morocco, decorative gilt tooling on covers, dentelle inside, (contemporary binding). Exemplaire de Delafournier d’Auberey, seigneur de Champagne,Conseiller du Roi,lieutenant particulier au baillage de Liége etc,indication manuscrite au dernier feuillet blanc.TRES RARE.Les noms mentionnés sont inscrits sur une facture sur un autre feuillet.
Les quatre Compagnies de Gardes du corps du roi (la Compagnie écossaise, créée par Charles VII, la première et la seconde Compagnies françaises, créées sous Louis XI, et la troisième Compagnie française, créee sous François Ier), ont respectivement pour capitaines en 1756 : le Maréchal Louis de Noailles, le Duc de Villeroy, Paul-François de Béthune duc de Charost et le Duc de Luxembourg. The four "Gardes du corps du Roi" life guards companies ("Compagnie écossaise", created by Charles VII, first and second "Compagnies françaises", created under Louis XI, and the third under François Ier), were in 1756 respectively directed by the following "Capitaines" : Maréchal Louis de Noailles, Duc de Villeroy, Paul-François de Béthune duc de Charost, and Duc de Luxembourg.
René Seguin de Levigny (XVIIe), lieutenant des gardes de la Porte.
Reference : 015207
René Seguin de Levigny (XVIIe), lieutenant des gardes de la Porte. P.S., 4 septembre 1645, 1p in-4 sur parchemin. Quittance pour le paiement de ses appointements et ceux de quatre gardes pour août 1645, pour « le service extraordinaire par eux rendu à la garde de la porte du chasteau du Louvre où loge la Reyne de la Grande Bretagne madame sa tante » [la tante du roi Louis XIII]. Il est payé des 400 livres par Nicolas Jeannin de Castille (ca.1600-1691), trésorier de l'épargne. Le document est contresigné par des notaires. En effet, Henriette-Marie de France (1609-1669), fille d'Henri IV et épouse de Charles Ier Stuart est en exil en France depuis juillet 1644. Elle est donc gardée par la Garde de la porte, unité de moins de 60 personnes destinée uniquement à la garde des portes. Rare document concernant les gardes de la porte. [374]
René Seguin de Levigny (XVIIe), lieutenant des gardes de la Porte.
Reference : 015208
René Seguin de Levigny (XVIIe), lieutenant des gardes de la Porte. P.S., 1er octobre 1645, 1p in-4 sur parchemin. Quittance pour le paiement de ses appointements et ceux de quatre gardes pour septembre 1645, pour « le service extraordinaire par eux rendu près la reyne de la Grande Bretagne et à la garde de la porte du chasteau du Louvre ». Il est payé des 400 livres par Nicolas Jeannin de Castille (ca.1600-1691), trésorier de l'épargne. Le document est contresigné par des notaires. En effet, Henriette-Marie de France (1609-1669), fille d'Henri IV et épouse de Charles Ier Stuart est en exil en France depuis juillet 1644. Elle est donc gardée par la Garde de la porte, unité de moins de 60 personnes destinée uniquement à la garde des portes. Rare document concernant les gardes de la porte. [374]
[Toulon, Gardes nationales]. Imprimé, Toulon, 17 septembre 1814, 1p in-4. Lettre circulaire annonçant la visite du « colonel-général des Gardes Nationales du Royaume » et la nécessité d'être en uniforme. [357]
( Bibliographie des Avants-gardes littéraires au XXe siècle ) - Jean Weisgerber - Collectif
Reference : 5247
Budapest - Editions Akadémiai Kiado / Collection " Histoire comparée des littératures de langues européennes, vol. IV et V " de 1984. Deux fort volumes in-8 cartonnages éditeurs de 1216 pages au total. Format 18 x 25,5 cm. Jaquettes avec titres imprimés. Trace de typex et ligne de stylo en page de titre de chaque volume. Petite déchirure et frottis au bas de la page 1183. Petites frottis aux jaquettes. Intérieur frais. Rigoureuse étude en 2 tomes sur les Avants-gardes littéraires au XXe siècle, avec bibliographie et quelques documents in-texte, sous la direction de Jean Weisgerber. Tome 1 : Histoire - Tome 2 : Théorie. Rarissime édition originale, totalement épuisée. Indispensable outil de travail.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Largentière, Revue du Vivarais, 1982, 1983. Broché, sans couverture, 1 cahier libre. in-8 de 14 pages, paginées 247 à 256 et 43 à 46.
Le cite gallo-romain de Sainte-Abeille est situé sur la commune du Roux (Ardèche), prés de la voie romaine qui reliait le pays Helvien au pays Arvernes. Extrait de la Revue du Vivarais.
Phone number : 06 80 15 77 01
Groningue, J. H. Bolt, s.d. (1813) placard grand in-folio (94 x 44 cm), en feuille. Importante mouillure en haut du placard, manques de papier en bas, avec perte de lettres.
Rarissime. Daté du 5 avril 1813, ce décret organise la levée (et détaille l'uniforme) de Gardes d'Honneur dans le département de l'Ems-occidental, créé le 1er janvier 1811, à la suite de l'annexion du Royaume de Hollande, le 9 juillet 1810, et dont la capitale était Groningen (son territoire correspond aux actuelles provinces de Groningen et de Drenthe). Dès le 9 décembre 1813, il devait être abandonné par l'administration française suite à la progression des troupes prussiennes sur le territoire du futur Royaume des Pays-Bas.Aucun exemplaire au CCF. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
[Révolution de 1848, Gardes nationales] Rapport du poste du trésor de la couronne pour la nuit du 25 au 26 février 1848.
Reference : 010802
[Révolution de 1848, Gardes nationales] Rapport du poste du trésor de la couronne pour la nuit du 25 au 26 février 1848. Rapport imprimé rempli probablement par le chef de poste, Achille Denghen, 4p in-folio. Le document indique le nombre de personnes présentes et la liste de ces personnes, notamment 26 citoyens armés (avec leur adresse et leur métier) ainsi que les évènements de la nuit. Cette nuit-là, Amable de Courtais (1790-1877), nommé « général Courtais », sans particule, « s'est présenté en bourgeois ». Il ne fut pas reconnu et l'entrée lui fut donc d'abord refusé. « S'étant fait reconnaître », il fut reçu. Vers 2 heures, il est revenu, en uniforme, passer en revue les personnes sur place. Ce document est très intéressant quand on le replace dans le contexte. La révolution de 1848 vient d'avoir lieu, du 22 au 25 février et la république a été proclamée le 24. C'est donc la première nuit de calme à Paris. [162b]
Gardes ( Gilbert ), ACHARD (Michel), Roger BELLET, Georges BERTHOMIER, Nadine BESSE, Madeleine BONNARD, François BOUCHUT, Hélène BRINGUIER, Sylvie CAUCANAS, Bernard CEYSSON, Claude CHATELARD, Claude CRETIN, Étienne DUCARME, Louis GACHE, Gilbert GARDES, Serge GAUBERT, Jean-Pierre GOURE, Élisabeth HARDOUIN-FUGIER, Geneviève LIOGIER, Claude LONGEON, Monique LUIRARD, Véronique MARTIN-PAYEN, Marguerite MAUREL, François MÉNARD, Jean MERLEY, Anne MONGINOUX, Mireille PACORET, Christian SAINT-SERNIN, Jean TIBI, François TOMAS, Christian TRIOLEYRE, André VANT, François VERRIER, Éliane VIALLARD et Michelle ZANCARINI-FORNEL.
Reference : 17197
Editions Horvath, 1986 - Fort volume, broché, format 165 x 240, 434 pages, très abondante illustration en noir dans le texte, très beau volume de cette somme.
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Carpentras 1 mai 1790,proclamation de 3 p.
une fente sans manques en travers du dernier feuillet
A Macon , Imprimerie de Dejussieu fils, 1818 ; in-4°,broché, sans couverture, tel que paru; 42pp.
Manque de papier angulaire au 1er feuillet sans aucune atteinte au texte. ( cl gr) Absente jusqu'au 16 mars, vos commandes seront enregistrées mais je ne pourrai y répondre qu'à partir du dimanche 17. Merci de votre compréhension.
2007 Monaco, les éditions du Rocher, 2007, 11 x 19.5 , 309 pp état neuf car service de presse
Présence d'un marque page et d'une carte postale.
Couverture souple. Brochure. 18 pages. Papier bruni. Légèrement défraîchi.
Livre. Editions E. Lachaud, Février 1871.
1989 Edition Fédération des Oeuvres Laïques de l'Ardèche. 1989. 1 vol in-8. Broché, couverture illustrée. 210 pages
Bon état
# AUTEUR: Collectif sous la direction de Gilbert Gardes # ÉDITEUR: Horwath - Roanne # ANNÉE ÉDITION: 1984 - 85- 86 # ENVOI, BEAUX PAPIERS: Couché mat # COUVERTURE: Toile grise éditeur avec gravure frappée dans le plat et au dos # DÉTAILS: 5 volumes in 8° reliés Roanne et son arrondissement 517pp. La ville de Saint-Etienne 495pp. Le pays stéphanois -La vallée de l'Ondaine 465pp. Montbrison et sa région 469pp. La vallée du Gier-Le Pilat 434pp. N° 441 des 1000 exemplaires édition ”bibliothèque”. Sans les emboitages # PHOTOS visibles sur www.latourinfernal.com
# ÉTAT: Bon état,
[Paris], Imprimerie Nationale, s.d. (1791) in-8, 16 pp., en feuilles, cousu, sous couverture muette.
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.l. [Paris], s.d. (octobre 1817) in-folio, [3] pp. n. ch., en feuille.
Précédé d'une lettre circulaire adressée aux maires de France, et datée du 15 octobre 1817, le document propose une nouvelle liste de prix pour la coiffure, le grand et le petit équipement des Gardes nationales (qui, rappelons-le, devaient s'habiller à leurs frais), mais aussi pour les uniformes des préfets, sous-préfets, préfets maritimes, maires .Le brodeur Habert proposait déjà ses services sous l'Empire, et on voit souvent ses listes de prix pour 1812. En outre, lui-même maçon, il fournissait les costumes nécessaires aux loges.Beau et rare document.Aucun exemplaire au CCF. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
[Paris], Imprimerie Nationale, s.d. (1791) in-8, 20 pp., dérelié.
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, s.n., 1790 in-8, [4]-127-30 pp., en feuilles, cousu.
Charles-Eugène de Lorraine, duc d'Elbeuf (1751-1825), chef de la branche française de la Maison de Lorraine, était connu à la fin de l'Ancien Régime sous le titre de Prince de Lambesc. C'est lui qui, en tant que commandant d'une brigade de dragons, avait été chargé de rétablir l'ordre lors de la mutinerie des Gardes-Françaises du 12 juillet 1789 : ayant appris l'art de la guerre mais pas celui du maintien de l'ordre, Lambesc, bien qu'il eût 38 ans et plus de 20 ans de service, se montra bien incapable d’accomplir une mission si délicate. Manquant de sang-froid, il décida de diriger ses dragons vers les Tuileries. De la terrasse, la foule leur jeta des bouteilles et des chaises. Des cavaliers tombèrent à terre, les autres perdirent patience et répondirent aux agressions par des coups de plat de sabre. Dans la bousculade, un vieillard fut renversé et blessé par le prince, une jeune femme tenant un enfant par la main tomba mais peut se relever sans mal. Le pont tournant libéré, le prince de Lambesc ramène ses troupes sur la place Louis XV. Son intervention ayant été d'une extrême brutalité,, et suscité l'indignation de l'opinion publique, il fut instruit contre lui par le Châtelet de Paris, cependant qu'il émigrait et allait servir à l'armée des Princes. Le procès aboutit à un acquittement.Martin & Walter, Anonymes, 14447. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, s.n., 1790 in-8, [4]-127-30 pp., broché, couv. papier postérieur.
Charles-Eugène de Lorraine, duc d'Elbeuf (1751-1825), chef de la branche française de la Maison de Lorraine, était connu à la fin de l'Ancien Régime sous le titre de Prince de Lambesc. C'est lui qui, en tant que commandant d'une brigade de dragons, avait été chargé de rétablir l'ordre lors de la mutinerie des Gardes-Françaises du 12 juillet 1789 : ayant appris l'art de la guerre mais pas celui du maintien de l'ordre, Lambesc, bien qu'il eût 38 ans et plus de 20 ans de service, se montra bien incapable d’accomplir une mission si délicate. Manquant de sang-froid, il décida de diriger ses dragons vers les Tuileries. De la terrasse, la foule leur jeta des bouteilles et des chaises. Des cavaliers tombèrent à terre, les autres perdirent patience et répondirent aux agressions par des coups de plat de sabre. Dans la bousculade, un vieillard fut renversé et blessé par le prince, une jeune femme tenant un enfant par la main tomba mais peut se relever sans mal. Le pont tournant libéré, le prince de Lambesc ramène ses troupes sur la place Louis XV. Son intervention ayant été d'une extrême brutalité,, et suscité l'indignation de l'opinion publique, il fut instruit contre lui par le Châtelet de Paris, cependant qu'il émigrait et allait servir à l'armée des Princes. Le procès aboutit à un acquittement.Martin & Walter, Anonymes, 14447. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Uzès, Imprimerie Polyamatype de L. George, 1826. 6 pages non chiffrées + XX + 166 pages + VI (14x22cm). Couverture imprimée. Exemplaire non rogné. Manques de papier au dos. Feuillets légèrement déreliés. Quelques rousseurs. Protestantisme. Rare édition d'Uzès (Gard). Gardes, Pasteur de Nîmes.
Bruxelles, Meline, Cans et compagnie ; J.B. de Mortier, 1850, in-16 de 2 ff.-194 pp. & 126 pp. ; relé demi-cuir de Russie vert à petits coins, titre or sur dos 4 nerfs, filets dorés, roulette en queue, plats gaufrés, gardes marbrées, minimes frottements (jolie petite reliure de l'époque).
Contrefaçons belges de ces mémoires hostiles au préfet de police du gouvernement provisoire, Caussidière, et à son rôle pendant les événements de 1848. La deuxième partie, parue la même année, est moins commune et les deux parties sont rarement reliées ensemble. Le Clère : Bibliographie critique de la police, n° 215 et 216.