A Paris, Chez Treuttel et Würtz, rue du Bourbon, N° 17, A Strasbourg et à Londres, Même Maison de Commerce, 1821, 2 volumes in-8 de 220x135 mm environ, Tome I : xxxii-399 pages - Tome II : 420 pages, demi reliure moderne en basane marbrée brune, dos ornés à nerfs portant titres et tomaisons dorés, gardes marbrées. Galerie de ver dans la marge interne en début de volume (tome I), des tampons sur les 2 volumes, une page avec petite restauration dans un coin (tome I), des rousseurs et pages brunies, sinon bon état.
Charles Ganilh (1758-1836). Avocat au Parlement de Paris. Député du Cantal (1815-). Auteur d'ouvrages d'économie politique Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
éditions Treuttel et Würtz - 1823. seconde édition considérablement revue, corrigée et augmentée 2 volumes de format : 13 x 20,5 cm, tome 1 : 32 + 400 pages , tome 2 : 420 pages. reliures d'époque demi-basane, dos lisses ornés, plats et tranches marbrés. Rousseurs éparses sinon bon état de cet ouvrage rare et recherché Charles Ganilh, économiste français, né le 6 janvier 1758 à Allanche, mort le 4 mai 1836, Député du Cantal de 1815 à 1824 D’abord avocat à Paris, Ganilh entra en politique en 1789 avec la Révolution. Arrêté sous la Terreur, il devait être déporté, mais la chute de Robespierre vint empêcher l’exécution de cette mesure. Plus tard, il prit une part active au coup d'État du 18 brumaire, et fut appelé peu après à faire partie du Tribunat, où il resta de 1799 jusqu’en 1802. Critiquant souvent les mesures financières du premier consul, celui-ci se débarrassa de son incommode opposition dès le premier renouvellement du tribunal en 1802. Ses principaux travaux législatifs se rapportèrent toutefois aux finances, et il combattit toujours les dilapidations et l’idée que la progression des dépenses publiques est une des causes de la prospérité nationale
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éditions Treuttel et Würtz - 1821. seconde édition avec de nombreuses additions relatives aux controverses récentes de MM Malthus, Buchanan, Ricardo, sur les points les plus importants de l'économie politique 2 volumes de format : 13 x 20,5 cm, tome 1 : 32 + 400 pages , tome 2 : 420 pages. reliures d'époque demi-basane, dos lisses ornés, plats et tranches marbrés; Rousseurs éparses sinon bon état de cet ouvrage rare et recherché Charles Ganilh, économiste français, né le 6 janvier 1758 à Allanche, mort le 4 mai 1836, Député du Cantal de 1815 à 1824 D’abord avocat à Paris, Ganilh entra en politique en 1789 avec la Révolution. Arrêté sous la Terreur, il devait être déporté, mais la chute de Robespierre vint empêcher l’exécution de cette mesure. Plus tard, il prit une part active au coup d'État du 18 brumaire, et fut appelé peu après à faire partie du Tribunat, où il resta de 1799 jusqu’en 1802. Critiquant souvent les mesures financières du premier consul, celui-ci se débarrassa de son incommode opposition dès le premier renouvellement du tribunal en 1802. Ses principaux travaux législatifs se rapportèrent toutefois aux finances, et il combattit toujours les dilapidations et l’idée que la progression des dépenses publiques est une des causes de la prospérité nationale
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Paris, Bossange, 1824. In-8 broché de (4)-XXVIII-345 pp., couverture verte imprimée.
Édition originale. « Ganilh a laissé dans la tradition parlementaire les souvenirs les plus honorables d'indépendance et d'intégrité privées et politiques. N'appartenant spécialement ni au parti ministériel ni à celui de l'opposition, il ne voyait dans les projets de loi que l'intérêt général ; c'est pour cela que les ministres avaient souvent en lui un adversaire en ce qui touchait aux questions du budget » (Joseph Garnier). Trace de mouillure sur quelques feuillets.
Paris, Strasbourg, Londres : Treuttel et Würtz, 1821 Deux volumes in-8, XXXII-399-(4)-420 pages. Demi-basane de l'époque, dos lisse orné.
Dos passé. Quelques rousseurs. Cette seconde édition comporte "de nombreuses additions relatives aux controverses récentes de MM. Malthus, Buchanan, Ricardo, sur les points les plus importans de l'économie politique." "Examen des divers systèmes sur les sources de la richesse et sur leurs diverses ramifications, telles que le travail, les capiteaux, le commerce, le revenu et la consommation. G. donne à l'industrie et au commerce la primauté sur l'argriculture. Sa conception d'un accroissement harmonieux de population se rapproche de celle de Smith. Vues sur les machines : G. assure, contrairement à Herrenschwand, qu'elles sont bénéfiques, car elles accroissent l'emploi. Quant à l'esclavage de l'ouvrier, il arrête les progrès du travail, de même que les apprentissages, maîtrises et corporations. Tome I, chapitre sur le salaire et ses rapports avec la population ; tome II, chapitres sur les colonies, moyens d'accroître la population de la métropole ; le monopole colonial n'est d'aucune utilité aux peuples monopoleurs. Chapitre sur le luxe, qui, extrêmement néfaste dans l'antiquité, est beaucoup moins redoutable dans les temps modernes. Le luxe individuel est même avantageux, seul est à craindre le luxe public." (INED, 1954 - pour la première édition, 1809). INED, 1954 (pour la première édition) ; Einaudi, 2365 ; Kress, C.707 ; Goldsmiths, 23107.
1809 Paris, Xrouet, Déterville, Lenormant, Petit palais royal, 1809. 2 vol. format in-8, [4] - XXXII - 381 et [4] - 408 pages . reliure plein cuir Edition originale peu commune de ce traité opposé aux perspectives malthusiennes...ph.a.i