Galilée - Galileo Galilei - Marin Mersenne, traduction - Pierre Costabel et M.-P. Lerner, eds. - Bernard Rochot, préface
Reference : 101198
(1973)
Librairie Philosophique J. Vrin , L'Histoire des Sciences, Textes et Etudes Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1973 Book condition, Etat : Très Bon broché, sous couverture imprimée éditeur blanche, illustrée d'une figure grand In-8 2 vol. - 319 pages
quelques figures dans le texte en noir et blanc et fac-similé des pages de titres originales 1ere édition, 1973 "Contents, Chapitres : Tome 1, 130 pages - Tome 2, pages 131 à 319 - Tome 1. Avrtissement de P. Costabel - Avant-propos de Bernard Rochot : Galilée et Mersenne, 6 pages - 1. Introduction : La genèse des Discorsi - Mersenne et les Discorsi : De l'Harmonie universelle aux Nouvelles Pensées de Galilée - Les Nouvelles Pensées : Description bibliographique et comparaison matérielle avec les Discorsi - La transmission des Discorsi à travers les Nouvelles Pensées, brèves remarques - Note sur l'édition du texte - Les Nouvelles Pensées de Galilée, texte de Mersenne - Table des livres et articles - Tome 2. Note de l'édition - Unités de mesure utilisées par Galilée et par Mersenne - Notes critiques du texte des Nouvelles Pensées - Exemplaire de main des Nouvelles Pensées - Index des noms, index du vocabulaire de Mersenne, index des matières - Marin Mersenne (1588-1648), connu également sous son patronyme latinisé Marinus Mersenius, est un religieux français appartenant à l'ordre des Minimes, érudit, mathématicien et philosophe. On lui doit les premières lois de l'acoustique, qui portèrent longtemps son nom1. Il établit concomitamment avec Galilée la loi de la chute des corps dans le vide. De Waard dit de lui qu'il était le secrétaire de l'Europe savante de son temps. - Il publie, peu après l'abjuration de Galilée, le 22 juillet 1633, les Mechaniques, une uvre d'inspiration manifestement pro-galiléenne ; et en 1639, il traduit les Nouvelles Pensées de l'italien. Pour autant, il se tient dans une position d'attente et refuse de se déterminer en faveur du système copernicien. Pour lui, « il n'y a pas de démonstration naturelle qui contraigne d'embrasser la stabilité ou la mobilité de la Terre. » En 1634 se fixe sa doctrine, avec la création de l'Academia Parisiensis, qui rejoint dans son éclectisme celles de ses deux amis, Thomas Hobbes et Pierre Gassendi. - Les nouvelles pensées de Galilée sont la première traduction française commentée en 1639 des Discours concernant deux sciences nouvelles de Galilée de 1638. En 1636, Louis Elzevier reçoit une ébauche des Discours sur deux sciences nouvelles de la part du maître florentin. C'est le dernier livre qu'écrira Galilée, ouvrage où le scientifique a consigné les découvertes d'où est née la dynamique moderne ; il y établit les fondements de la mécanique en tant que science et marque ainsi la fin de la physique aristotélicienne. Il tente aussi de poser les bases de la résistance des matériaux, avec moins de succès. Il finira ce livre de justesse, car le 4 juillet 1637, il perd l'usage de son il droit. Le 2 janvier 1638, Galilée perd définitivement la vue. Par chance, Dino Peri a reçu l'autorisation de vivre chez Galilée pour l'assister avec le père Ambrogetti qui prendra note de la sixième et dernière partie des Discours. Cette partie ne paraîtra qu'en 1718. L'ouvrage complet paraît en juillet 1638 à Leyde (Pays-Bas) et à Paris. Il est lu par les grands esprits de l'époque. (source : Wikipedia)" bel exemplaire, complet en 2 tomes homogènes de cette édition des Nouvelles Pensées de Galilée, traduit par Marin Mersenne avec un appareil critique très étoffé et une longue introduction de P. Costabel et M.-P. Lerner, édition de référence en français, très frais et propre