[Besançon, Besnans Haute-Saône] Arrêt de la chambre des vacations du parlement de Besançon qui condamne Guillaume Goguet aux galères perpétuelles ; Ignace Pepot au fouet, à la marque, & à neuf ans de bannissement ; Etienne Calame à neuf ans de galères ; Etiennette & Françoise Championnet à être enfermées pendant trois ans en la Maison de force, dite du Bon Pasteur, de Besançon ; renvoye deux inconnus à un plus amplement informé indéfini ; Simonne Bayet, femme d'Etienne Calame, à neuf ans ; Vincent Menetrey à cinq ans, & Nicolas Jannin à trois ans de bannissement ; Jeanne-Claude Championnet, veuve Dumont, à être pendue & étranglée ; le nommé Maurice, Hibernois, à trois ans de galères, &c pour vols & autres crimes. Du 7 octobre 1767.
Reference : 015625
[Besançon, Besnans Haute-Saône] Arrêt de la chambre des vacations du parlement de Besançon qui condamne Guillaume Goguet aux galères perpétuelles ; Ignace Pepot au fouet, à la marque, & à neuf ans de bannissement ; Etienne Calame à neuf ans de galères ; Etiennette & Françoise Championnet à être enfermées pendant trois ans en la Maison de force, dite du Bon Pasteur, de Besançon ; renvoye deux inconnus à un plus amplement informé indéfini ; Simonne Bayet, femme d'Etienne Calame, à neuf ans ; Vincent Menetrey à cinq ans, & Nicolas Jannin à trois ans de bannissement ; Jeanne-Claude Championnet, veuve Dumont, à être pendue & étranglée ; le nommé Maurice, Hibernois, à trois ans de galères, &c pour vols & autres crimes. Du 7 octobre 1767. [Besançon], Claude-Joseph Daclin, 1767. In-folio, 8p. Condamnation pour une étonnante affaire de moeurs à Besnans [Bennans dans le document]: Guillaume Goguet, dit le grand Guillaume, et Maurice sont deux contrebandiers et Etiennette, Françoise, Jeanne-Claude (la veuve Dumont) et Jeanne Championnet sont quatre soeurs. Le premier avait mis enceinte Françoise puis Jeanne-Claude et comptait faire pareil avec les deux autres. Le second avait payé les trois soeurs de la veuve pour coucher avec elles et avait été surpris au lit avec deux d'entr'elles. Jeanne-Claude, mis enceinte, accoucha d'une petite fille qu'elle assassina à la naissance et jeta dans la rivière Ognon. Elle sera donc pendue en place de Besnans. Beau document. [90]
1726 1726 Marseille ?Toulon 1726,IN folio ,4 p.,historique et reglement
bon etat,un peu jauni,plis
A Beauvais, Desjardins, 1792 in-4, 2 pp.
Copie certifiée conforme et signée pour le département de l'Oise. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Metz, Imprimerie de Brice Antoine, 1704 petit in-4, 8 pp., en feuilles, dos renforcé à époque ancienne d'une bande de papier.
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
P., De l'Imprimerie Royale, 1781 4 pp in-4 (20 x 25 cm).
Au début de l'année 1781, Pierre-Victor Malouet, est chargé de proposer à la ville de Marseille l’aliénation de l’Arsenal. les terrains et les bâtiments de l’arsenal à la ville de Marseille, à charge pour cette dernière de construire un nouveau quartier sur les terrains rendus disponibles. Cette rare publication rend compte des directives à prendre. Elle est signée La Croix Castries.
(vers 1780) Format 180 x 340 mm, avec marges 220 x 360 mm.
Gravure sur cuivre d'après Rigaud.
Reims : Jeunehomme, 1773 Une affiche, 370 x 530 mm.
Son complice, Antoine Martin, de Saint-Léger en Normandie, a été condamné à mille livres d'amende. La maîtresse de chevaux de Talmas, Geneviève Dufour, injustement accusée, fut mise "hors de cour".Louis Lenfant se fit également marquer l'épaule gauche des lettres G. A. L. au fer chaud.
Cévennes, publications du musée du désert 1944. Bon exemplaire broché, in-8, 486 pages.
DESFONTAINES (abbé Pierre François guyot) critique français, le célèbre ennemi de Voltaire, né à Rouen (1685-1745). Il abandonna en 1715 la carrière ecclésiastique pour se consacrer à la littérature. Dès 1724 collabora au « Journal des savants », surtout connu par ses polémiques avec Voltaire qui l’avait pourtant fait libérer des galères et qu’il attaqua violemment dans « la Voltairomanie », en réponse au pamphlet de Voltaire intitulé « Le Préservatif, ou critique des Observations sur les écrits modernes et pour lequel Desfontaines lui répondit anonymement, réunissant toutes les anecdotes scandaleuses qui couraient alors contre Voltaire. (1738).
Reference : 92C26
UN ENNEMI DE VOLTAIRE. Belle lettre. Il supplie son correspondant, « Sa Grandeur », de mettre « le sceau à la grâce » qui doit le rendre à ses occupations, « après plus de deux mois d’absence et d’inquiétudes ». Il le supplie, « de vouloir bien faire attention à la circonstance des fêtes qui approchent », espérant, « que votre bonté ne me procure le moyen de les passer tranquillement chez moi … ».