Paris, éd. Calmann Lévy, 1882, vingt-huitième éd., gd. in-12, demi-chagrin brun foncé, plats papier marbré multicolor, 5 fers représentant une fleur, auteur, titre et année dorés sur dos à 5 nerfs, tranche de tête dorée, reliure d'époque, 377 - (1) pp., Très belle reliure en très bon état Très bon état de la reliure; rousseurs éparses,
Paris, éd. Calmann Lévy, 1882, soixante-dix-huitième éd., gd. in-12, demi-chagrin brun foncé, plats papier marbré multicolor, 5 fers représentant une fleur, auteur, titre et année dorés sur dos à 5 nerfs, tranche de tête dorée, reliure d'époque, 352 pp., Très belle reliure en très bon état Très bon état de la reliure; rousseurs éparses,
Club international du livre collection sans date. in8. Sans date. reliure editeur. 322 pages. Bon Etat intérieur propre
Calmann-Lévy Nouvelle collection illustrée Broché In-8 (16,5 x 24 cm), broché, 124 pages, sans date (début XXe s.), illustrations en noir et blanc ; réparation au ruban adhésif au dos, traces sur les plats, pliures et éraflure au quatrième plat, en l'état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Paris, Calmann Lévy, éditeur, ancienne maison Michel Lévy frères Relié 1889 In-12 (12 x 17,8 cm), reliure demi-chagrin, dos à 4 nerfs, gardes couleur, 352 pages ; coupes frottées, quelques petites épidermures sur le cuir, assez bon état? Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Michel Lévy Frères Relié 1873 In-12 (12 x 17,8 cm), reliure demi-chagrin, dos à 4 nerfs, gardes couleur, 437 pages ; coupes frottées, quelques des rousseurs notamment en début et fin de volume, assez bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Calmann levy 1877 in12. 1877. Reliure demi-basane. 339 pages. Etat Correct reliure usagée
Calmann levy 1884 in12. 1884. Reliure demi-basane. 254 pages. Etat Correct exemplaire usagé avec rousseurs
Michel levy 1864 in12. 1864. Reliure demi-basane. 351 pages. envoi suivi pour la France et l'étranger Etat Passable
Calmann-lévy 1884 in12. 1884. Reliure editeur. 254 pages. envois en suivi pour la france et l'etranger Bon Etat intérieur propre sans rousseurs
Lévy Michel frères Relié 1863 In-12 (18x11.5 cm), relié demi-chagrin, dos à 4 nerfs, titre doré, 351 pages ; reliure frottée, trou de ver, rousseurs, état correct. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Paris, éd. Crepin-Leblond, 1960, EDITION ORIGINALE sur papier ordinaire, in-12, br., couv. ill. en noir sur fond rouge éd., 54 pp., 10 pp. de publicités en noir, photos et dessins en noir, cachet de la firme "Humblet" oisellerie à Liège sur la page de titre, quelques petites inscription sur la troisième de couv., Ce livre nous apprend à mieux connaître le colin de Virgine, ses mœurs, son élevage et sa chasse. Pas courant Bon état du papier; la couverture est légèrement défraîchie
Librairie spécialisée en gastronomie , œnologie et tabagie
Michel Lévy Frères Oeuvres complètes Relié 1859 In-12 (10.5x17.5 cm), reliure demi-chagrin violine, plats chagrinés, auteur et titre dorés au dos à quatre nerfs dorés, 327 pages, nouvelle édition ; coiffes et coins à peine frottés, bel état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Paris, Calmann Lévy, éditeur, ancienne maison Michel Lévy frères, 3, rue Auber, 3 Relié 1884 In-8 (11.5x18 cm), relié demi-chagrin, dos à 4 nerfs titré, 254 pages, 54e édition ; rousseurs, bordures frottées, assez bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Ensemble de document de et sur Octave Feuillet [ Détail : ] 1 L.A.S. d'Octave Feuillet, 2 pages, datée du 5 juin : "Mon cher Docteur, Le beau temps me décide à hâter mon départ pour Contrexéville" [... ] "Vous seriez aimable de m'accorder quelques instants le soir même de mon arrivée [...] afin que je puisse commencer ma cure sans perdre un seul jour. Mes occupations me forcent et limitent mon séjour à la durée strictement nécessaire" [ ... ] ; [On joint : ] 2 cartes de visite signées d'Octave Feuillet, avec quelques lignes autographes, une enveloppe signée [On joint : ] manuscrit autographe signé d'André Chaumeix d'un article consacré à Octave Feuillet, 11 feuillets paginés de 3 à 12 (avec un 5 bis) ; [ On joint : ] Grand portrait d'Octave Feuillet, Pierre Petit photog. format 27 x 21 cm, sur chine monté, Imp. Lermercier et Cie Paris ; [ On joint : ] Eau-forte : portrait d'Octave Feuillet
Manuscrit autographe, incomplet des deux premiers feuillets, consacré par André Chaumeix (1874-1955) à Octave Feuillet. Une note au stylo sur le premier feuillet tend à indiquer une publication dans la Revue des Deux Mondes.
[A. Quantin, Imprimeur-Editeur] - FEUILLET, Octave ; FEUILLET Valérie
Reference : 59141
(1885)
Onze compositions par S. Rejchan gravées à l'eau-forte par Mme. Louveau-Rouveyre, MM. Daumont et Duvivier, 1 vol. in-8 reliure de l'époque demi-maroquin à coins rouge, dos lisse orné en long, couverture conservée, tête dorée, collection Calmann-Lévy, A. Quantin, Imprimeur-Editeur, Paris, 1885, 311 pp. avec 4 L.A.S. sous 3 enveloppes
Jolie édition très bien reliée du chef-d'oeuvre d'Octave Feuillet, enrichie de 4 très intéressantes lettres autographes signées, dont 3 d'Octave Feuillet (8 pages au total) et une de son épouse Valérie Feuillet (8 pages), toutes adressées à M. Charles Sagnier, 41 rue de l'Observatoire à Paris. La première lettre de 3 pp., datée de Dijon"Hôtel de la Cloche", le 5 juillet 1886 évoque longuement la "vieille passion" d'Octave Feuillet pour Dijon : "Arrivé à Dijon par un ciel enchanté, dont j'avais complètement perdu l'habitude, je me suis cru en paradis, et j'y prolonge mon séjour au-delà de mes intentions premières. D'abord j'ai une vieille passion pour Dijon, et je vous dirai qu'il la mérite de plus en plus. A part ses vieux souvenirs historiques et ses vieilles maisons pittoresques, il a maintenant un quartier neuf, dont l'hôtel de la Cloche est un des plus beaux ornements et qui rappelle, avec son jardin public, les quais de Genève. [... ] J'avais du reste une autre raison que mon goût personnel pour m'arrêter quelques joursà Dijon. [... ] le spleen de Vittel pour ne pas parler d'un gros ennui que j'y ai eu à la veille de mon départ m'avaient beaucoup fatigué ! [ ... ] Il m'eût été difficile, partant par telle chaleur, de continuer dès le lendemain ma route sur Paris. [ ... ] Mais ma maison solitaire de Versailles m'attire peu, et Dijon, en tant que séjour, me plaît hélas ! infiniment davantage. Mon seul regret et de perdre la chance de nous revoir avant votre départ". Octave Feuillet tente de dissuader son correspondant de partir pour Nîmes et l'invite à venir à Dijon. Puis il évoque sa femme "qui n'est pas mécontente de son séjour. La présence concurrente de sa belle-soeur ne l'a nullement incommodée comme elle le craignait. Elle ne l'a même pas aperçu une seule fois". Un second billet autographe signé d'Octave Feuillet daté du 27 janvier 1887 donne rendez-vous à Charles Sagnier Hôtel de Rivoli. Enfin, une lettre non datée (évoquée dans la lettres suivante de Mme Feuillet et que l'on peut dater d'août 1887) de 4 pp., sur papier à en-tête du 38 Avenue de St Cloud, Versailles, commence ainsi : "J'ai donné à Sagnier la peine de copier la lettre que je lui avais écrite de Contrexéville pour qu'il pût juger lui même à tête reposée combien cette lettre pleine de confiance et d'abandon amical justifiait peu la réponse amère et boudeuse qu'il y a faite. En cette circonstance, il a obéi, avant tout, j'en suis sûr, à sa sollicitude pour nos intérêts sur lesquels j'ai été souvent très heureux de prendre ses bons conseils, mais il aurait peut-être dû se souvenir que l'intérêt matériel n'est pas la seule règle des actions d'un homme. Il aurait dû voir que dans ma lettre je lui faisais la confidence affectueuse d'une résolution arrêtée sur laquelle je n'avais à demander de conseils à personne puisque cette résolution m'était impérieusement dictée, comme je le lui disais, par les sentiments d'un homme de coeur et d'un homme d'honneur. Dès ce moment, il ne me devait, comme ami, ni conseils, ni reproches ! Il ne me devait que de l'approbation et du soutien. En supposant, ce qui n'est pas, que notre départ de Versailles fût pour moi personnellement un sacrifice douloureux, était-ce le fait d'un ami de me le rendre plus pénible, en insistant sur les amertumes qu'il pouvait m'offrir ? En supposant encore que ma femme eût à mon insu et en secret cherché des appartements à Paris (au lieu d'en chercher comme elle l'a fait en réalité d'accord avec moi) était ce le rôle d'un ami de me révéler en détail, au risque de m'irriter contre ma femme et de mettre un élément de trouble dans mon ménage ? Je n'insiste par sur le ton et les expressions de cette réponse qui devaient justement froisser un homme de mon âge de la part d'un jeune ami à qui je venais d'écrire avec tant de courtoisie, de confiance et d'expansion. Je ne veux plus toucher qu'un seul point. Sagnier m'avait vu au commencement de l'hiver aussi opposé que personne à l'idée de quitter Versailles. Rien n'était plus naturel que ce premier mouvement de résistance et de révolte pour un projet si soudain, qui engageait gravement mes intérêts. Mais rien de plus naturel non plus que le revirement qui s'est opéré dans mes idées à ce sujet, quand j'ai vu les souffrances de ma femme se prolonger et s'aggraver. C'est alors que la pensée de l'emprisonner dans cette maison funeste, contre l'avis des médecins les plus autorisés, serait devenue criminelle. Sagnier a cru sentir à ce moment quelque refroidissement dans mon amitié. [ ... ] Mais je le répète, nous avons été gravement froissé par sa lettre [ malgré cela, en raison de leur longue amitié, il ne souhaite pas rompre ]. La dernière lettre, de la main de l'épouse d'Octave Feuillet, datée de Versailles, le 17 août (1887) est également adressée à Charles Sagnier. Elle y évoque ses souffrances, et sa tristesse d'avoir vu son correspondant les dédaigner trop longtemps. La cure à Vichy ne le lui fait aucun bien,"j'ai beaucoup maigri et je n'ose plus me regarder dans la glace. La présence de mes enfants m'empêche de trop songer à ce qui pourrait advenir d'un tel changement, mais quand je ne les ai plus autour de moi, j'y songe. Mon mari vous aurait écrit s'il n'était pas repris depuis 4 jours de ses affreuses névralgies de la face. Dieu lui épargne le retour complet des tortures qu'il a subies il y a quelques années. Il me charge de vous remettre les lignes suivantes, que vous pourrez à peine déchiffrezr car elles ont été écrites au milieu de grandes souffrances. Vous voyez que le bonheur ne nous hante pas plus qu'à l'ordinaire. Mais mon mari est comme moi. Il veut aussi oublier. Lui et moi vous embrassons de tout coeur, ne voulant plus nous souvenir que des preuves de dévouement que vous nous avez donnés depuis tant d'années. Nous vous demandons, comme preuve d'amitié, de n'y pas revenir vous-même. Qu'il n'y soit plus fait aucune allusion ni par lettre, ni dans les conversations du retour, enfin ni demain ni jamais. Nous quittons Versailles dans les premiers jours d'octobre. [ Ils vont s'installer à Paris près du Parc Monceau, 6 rue Gounod : ] "nous avons deux appartements superposés communicant par un escalier intérieur. C'est simple mais suffisant". Bon exemplaire (qq. petits frott. et qq. rouss., très bon état par ailleurs).
Paris, Calmann Lévy, 1887. In-12, (2) ff., 388 pp., veau fauve orné d'un décor repoussé, incisé et teinté de feuilles de chêne et glands, sur les deux plats, sur le premier plat, monogramme TD à froid, le second plat orné d'une bande de petites fleurs à froid, dos à nerfs, tête dorée, non rogné (Visinand).Nouvelle édition de ce roman sentimental qui, dans la Bretagne bleue natale d'Octave Feuillet, raconte la triste histoire de Sibylle de Férias, adorable romanesque et fervente croyante. C'est l'un des premiers romans de l'auteur, et l'exemplaire porte sans doute l'un de ses derniers envois, puisqu'il est daté de l'année de sa mort. Après avoir vendu sa maison familiale près de Saint-Lô, Feuillet retourna à Paris, passant aussi du temps à Clarens, en Suisse au bord du lac Léman.Un feuillet de papier fin relié avant le faux-titre, porte en effet cet envoi autographe signé de Feuillet à l'abbé Dubois, curé de Poissy : "Témoignage de vive gratitude et de sympathique souvenir, Clarens 1890". Octave Feuillet (1821-1890) a passé les dernières années de sa vie à Clarens à Suisse, au bord du lac Léman. Il est mort le 28 décembre 1890. L'abbé Théodule Dubois fut curé de Poissy de 1886 à 1912 ; avec son monogramme sur le premier plat.Charmante reliure en veau repoussé et teinté, technique en vogue à la fin du XIXe siècle et rarement pratiquée par Visinand.Dos taché, légers frottements. Quelques rousseurs.
A Paris, chez Ant. Aug. Renouard, an IX - 1801. 149 pages. (1 feuillet blanc). (19,5x12,5 Cm). Broché. Dérelié. Restes de reliure au dos. Edition Originale de cet ouvrage du bibliothécaire Laurent-François Feuillet, "l'un de nos plus savants bibliographe". Dans ce mémoire qui répond à la question proposée par l'Institut, Feuillet décrit les vertus de l'émulation et commente son influence bénéfique sur l'éducation des enfants, en citant notamment Helvétius et Hobbes ou en discutant les théories de Rousseau dans son Emile. "Ainsi, Egalité, et par suite nécessaire Dépendance Réciproque, Emulation Générale, voilà les conditions auxquelles le bonheur des hommes est invariablement attaché". Mouillures prononcées aux 6 derniers feuillets. Taches et rousseurs éparses.
Calmann-Lévy, 1896, in-8°, 395 pp, reliure demi-chagrin noir, dos à 5 nerfs filetés et soulignés à froid, pièce de titre basane carmin (rel. de l'époque), bon état
Très intéressants souvenirs de la guerre de 1870 et lettres précieuses d'O. Feuillet sur la province pendant la guerre et sur deux visites à Chislehurst en 1871. Valérie Feuillet (1832-1906) avait épousé, en 1851, le romancier et dramaturge Octave Feuillet (1821-1890), qui fut membre de l'Académie française. Il était surnommé le « Musset des familles ».
Vichy, Wallon, 1877. In-8 de XXI-423 pp., index, demi-chagrin noir, dos orné à nerfs, premier plat de couverture conservé (reliure de l'époque).
Édition originale de deuxième tirage corrigé et augmenté, tirée à 100 exemplaires pour distribution privée. Ces mémoires du célèbre collectionneur d'autographes Félix-Sébastien Feuillet de Conches (1798-1887) intéressent Paris à la fin de l'Empire et au début de la Restauration. Élève à l'institution Savouré à Paris, Feuillet de Conches fréquenta l'Ecole de droit, la Sorbonne, l'Ecole de médecine avant d'entrer au ministère des Affaires étrangères sur la recommandation de Talleyrand. Il y resta jusqu'à sa mise à la retraite en 1874. Tirés à très peu d'exemplaires hors commerce, ces souvenirs ne contiennent pratiquement pas de date et sont autant de portraits et de tableaux de moeurs, des personnes et des milieux que Feuillet de Conches a fréquentés.Provenance : Paul Lacroix. Envoi autographe signé de l'auteur : A monsieur Paul Lacroix particulier hommage d'estime de l'auteur. Paul Lacroix (1806-1884) historien et bibliographe, journaliste, romancier et auteur dramatique, occupa les fonctions de conservateur à la Bibliothèque de l'Arsenal. Bel exemplaire.Tulard, 543 ; Bertier de Sauvigny, 404 ; Catalogue des livres composant la bibliothèque du Bibliophile Jacob (1885), n°2313.
Jacques Feuillet La Table Ronde broché Bristol illustré Paris 1966 277 pages en format grand -8 - nombreuses illustrations
Bon État
Par Octave Feuillet. Onze compositions par Stanislas Rejchan (1858-1919). Gravées à l'eau-forte par Mme Louveau-Rouveyre, MM. Daumont et Duvivier.Cette édition en grand format a été exécutée seulement à 100 exemplaires numérotés sur papier du Japon avec deux Suites des planches. Exemplaire numéro 26. Enrichi d'un dessin en couleurs.Paris, A. Quantin, Collection Calmann Lévy, Les Chefs-d'oeuvre du Roman Contemporain - 1885 - viii et 314 pages.Belle reliure demi chagrin vert à coins de l'époque. Dos à nerfs orné et doré. Tête dorée sur témoins, non rogné. Couverture et dos conservés. Pas de rousseur. Parfait état. Format in-4°(29x21).Octave Feuillet (1821-1890) est un romancier et dramaturge français, surnommé le « Musset des familles ». Il fut membre de l'Académie française. Monsieur de Camors est publié pour la première fois en 1867.
REJCHAN Stanislas
Belin frères Broché D'occasion état correct 01/01/1891 64 pages