Gauthier-Villars, à Paris Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1896 Book condition, Etat : Bon relié, demi-basane bleu-nuit, dos lisse, titre doré, filets dorés grand In-8 1 vol. - 347 pages
1ere édition, 1896 Contents, Chapitres : Préface, xi, Texte, 336 pages - 1. Analyse : L'espace et le temps - L'infini - Continuité et divisibilité à l'infini - Infiniments petits - Limites - De la méthode infinitésimale - Du calcul infinitésimal - L'analyse infinitésimale et la matière - 2. Mécanique : La force et la masse - Capacités dynamiques, la pesanteur - Du problème dynamique - Les lois générales du mouvement - Quantité de mouvement, force vive, énergie - Conservation du mouvement et de l'énergie dans la nature - Causes possibles de déperdition de l'énergie - De la constance des lois de la nature - 2. Notes : Sur la réalité de l'espace et du temps - Sur l'infinité de l'Univers - Sur un argument du déterminisme - Charles de Freycinet, né à Foix (Ariège) le 14 novembre 1828 et mort à Paris le 14 mai 1923, est un homme d'État et ingénieur français. - Il est ministre des Travaux publics (18771879) dans le gouvernement présidé par Jules Dufaure, où son nom est attaché à la multiplication de lignes de chemin de fer comme projet d'aménagement du territoire (chaque préfecture et sous-préfecture doivent être reliées), souvent de rentabilité médiocre (plan Freycinet), dans le but de désenclaver les régions mal desservies. Il contribue également à la modernisation des voies fluviales, notamment, à l'imitation de Louis Becquey près de 60 ans auparavant, par l'établissement d'une norme pour la taille des écluses, connue depuis sous le nom de gabarit Freycinet. En 1878, Charles de Freycinet, ministre des travaux publics, déposa à la Chambre des députés un projet de loi relatif à la reconstruction du pavillon central des Tuileries, à l'affectation de ce bâtiment à un musée de l'art moderne et à l'établissement d'un jardin dans la cour du Carrousel. (source : Wikipedia) bel exemplaire, légères épidermures sur le haut du mors du plat supérieur et les bords du dos, le dos reste propre, à peine frotté par endroits, coins à peine émoussés, intérieur sinon très propre, papier à peine jauni, cela reste un bel exemplaire
P., Michel Lèvy frères, 1872 in-12, iii-(iv)-485 pp, 9e édition revue et augmentée, 2 grandes cartes dépliantes hors texte in fine (campagne de Paris et campagne de l'Est), reliure demi-veau glacé fauve, dos à 5 nerfs filetés et caissons fleuronnés dorés, pièce de titre chagrin noir (rel. de l'époque), qqs rares rousseurs, bon état. Exemplaire très joliment relié
Préface. Période du 2 septembre au 10 octobre 1870. Réorganisation des services. Mesures administratives. Campagne de Paris. Retraite sur Le Mans. Engagements divers. Campagne de l'Est. Bataille du Mans. Campagne du Nord. L'armistice. Causes de nos désastres. Conclusion. — "Technicien, homme d'ordre et excellent fonctionnaire, [Freycinet] n'avait jamais témoigné d'hostilité au gouvernement impérial, qu'il avait bien servi et qui lui en avait tenu compte ; après sa chute, il offrit au Gouvernement de la Défense nationale ses services, son activité et son expérience des affaires. Gambetta lui donna d'abord le poste de préfet du Tarn-et-Garonne ; Freycinet partit pour Montauban le 6 sept. 1870, mais n'y demeura pas longtemps ; le 7 octobre, il rejoignait à Tours Gambetta qui, trois jours plus tard, le chargea, avec le titre de délégué au département de la Guerre, de régler les questions relatives à la défense nationale dans les provinces. Il réalisa une oeuvre gigantesque grâce à son esprit méthodique, à son opiniâtreté et sa remarquable puissance de travail. Le mérite en fut, plus tard, attribué au seul Gambetta." (Dictionnaire de biographie française, 14, 1260). “La Guerre en province” est une source essentielle sur l'oeuvre réalisée par la délégation de Tours du 10 octobre 1870 au 9 février 1871. — “Jusqu’alors, Freycinet était peu porté sur les activités politiques, se contentant d’un mandat de Conseiller général. En septembre 1870, il se rendit auprès de Gambetta pour lui exposer ses idées et lui proposer ses services. Une grande carrière politique s’ouvrait devant lui...” (Jean Tulard)
FREYCINET (Louis-Claude Desaulses de) & DUPERREY (Louis-Isidore).
Reference : LBW-4987
(1826)
[Paris, 1826]. 766 x 507 mm.
Rare et grande carte figurant l'archipel américain des îles Mariannes, dans le Pacifique. Au sud figure l'île de Guam, la plus importante et la plus grande de l'archipel, tandis que les îles Mariannes du Nord comprennent notamment l'île Guguan. La carte, levée et dressée par l'officier de Marine Louis-Isidore Duperrey en 1819, est issue de la relation de l'un des plus importants voyages de circumnavigation, le Voyage autour du monde sur les corvettes de S.M. l'Uranie et la Physicienne, pendant les années 1817, 1818, 1819 et 1820 de Louis de Freycinet. Elle figure la route de la corvette l'Uranie en juin 1819. Accompagné d'une équipe de scientifiques composée de l'enseigne Duperrey, des chirurgiens Quoy et Gaimard, du pharmacien Gaudichaud et du dessinateur Jacques Arago, Louis de Freycinet, commandant de l'Uranie, quitta Toulon le 17 septembre 1817. L'expédition fit escale à Gibraltar, Rio de Janeiro, au Cap, à l'île Maurice et arriva en septembre 1818 sur les côtes ouest de l'Australie. Ils visitèrent ensuite Timor, les Moluques, Guam, Sydney et prirent la route du retour par le cap Horn qu'ils franchirent le 7 février 1820. Arrivé dans le détroit de Lemaire, l'Uranie subit une violente tempête et s'échoua dans la Baie Française. Après avoir sauvé l'essentiel des collections scientifiques, Freycinet et son équipage revinrent en France sur une corvette américaine achetée à cet effet, qu'il rebaptisa la Physicienne. Il arriva au Havre le 13 novembre 1820, après trois ans de navigation, rapportant de nombreuses et précieuses collections de mammifères, d'oiseaux, d'insectes, de poissons et de plantes. Acquitté par le Conseil de guerre, il fut promu capitaine de vaisseau et aussitôt affecté au Dépôt des Cartes. La description qu'elle contient de l'Australie, ainsi que les renseignements sur le Brésil, en font l'une des relations de voyages les plus importantes au XIXe siècle. Bel exemplaire.
FREYCINET (Louis-Claude Desaulses de) & DUPERREY (Louis-Isidore).
Reference : LBW-4989
(1826)
[Paris, 1826]. 494 x 331 mm.
Estampe figurant quatre plans d'îles de l'archipel des Mariannes, dans le Pacifique : rade de l'île Tinian, île de Guguan, île de Farallon Medinilla et île de Farallon de Tores. Levés et dressés par l'officier de Marine Louis-Isidore Duperrey en avril et juin 1819, ces plans sont issus de la relation de l'un des plus importants voyages de circumnavigation, le Voyage autour du monde sur les corvettes de S.M. l'Uranie et la Physicienne, pendant les années 1817, 1818, 1819 et 1820 de Louis de Freycinet. Accompagné d'une équipe de scientifiques composée de l'enseigne Duperrey, des chirurgiens Quoy et Gaimard, du pharmacien Gaudichaud et du dessinateur Jacques Arago, Louis de Freycinet, commandant de l'Uranie, quitta Toulon le 17 septembre 1817. L'expédition fit escale à Gibraltar, Rio de Janeiro, au Cap, à l'île Maurice et arriva en septembre 1818 sur les côtes ouest de l'Australie. Ils visitèrent ensuite Timor, les Moluques, Guam, Sydney et prirent la route du retour par le cap Horn qu'ils franchirent le 7 février 1820. Arrivé dans le détroit de Lemaire, l'Uranie subit une violente tempête et s'échoua dans la Baie Française. Après avoir sauvé l'essentiel des collections scientifiques, Freycinet et son équipage revinrent en France sur une corvette américaine achetée à cet effet, qu'il rebaptisa la Physicienne. Il arriva au Havre le 13 novembre 1820, après trois ans de navigation, rapportant de nombreuses et précieuses collections de mammifères, d'oiseaux, d'insectes, de poissons et de plantes. Acquitté par le Conseil de guerre, il fut promu capitaine de vaisseau et aussitôt affecté au Dépôt des Cartes. La description qu'elle contient de l'Australie, ainsi que les renseignements sur le Brésil, en font l'une des relations de voyages les plus importantes au XIXe siècle. Bel exemplaire.
FREYCINET (Louis-Claude Desaulses de) & DUPERREY (Louis-Isidore).
Reference : LBW-5047
(1826)
[Paris, 1826]. En deux feuilles de 509 x 768 mm chacune.
Rare et grande carte en deux feuilles de l'île de Guam, faisant partie de l'archipel des îles Mariannes, dans le Pacifique. Les côtes sont très détaillées, tandis qu'à l'intérieur de l'île figure seulement le mont Santa Rosa. En carton, plan de l'île Rota, située au nord de Guam. La carte, levée et dressée par l'officier de Marine Louis-Isidore Duperrey en mars et juin 1819, est issue de la relation de l'un des plus importants voyages de circumnavigation, le Voyage autour du monde sur les corvettes de S.M. l'Uranie et la Physicienne, pendant les années 1817, 1818, 1819 et 1820 de Louis de Freycinet. La route de la corvette l'Uranie en mars et juin 1819 est tracée. Accompagné d'une équipe de scientifiques composée de l'enseigne Duperrey, des chirurgiens Quoy et Gaimard, du pharmacien Gaudichaud et du dessinateur Jacques Arago, Louis de Freycinet, commandant de l'Uranie, quitta Toulon le 17 septembre 1817. L'expédition fit escale à Gibraltar, Rio de Janeiro, au Cap, à l'île Maurice et arriva en septembre 1818 sur les côtes ouest de l'Australie. Ils visitèrent ensuite Timor, les Moluques, Guam, Sydney et prirent la route du retour par le cap Horn qu'ils franchirent le 7 février 1820. Arrivé dans le détroit de Lemaire, l'Uranie subit une violente tempête et s'échoua dans la Baie Française. Après avoir sauvé l'essentiel des collections scientifiques, Freycinet et son équipage revinrent en France sur une corvette américaine achetée à cet effet, qu'il rebaptisa la Physicienne. Il arriva au Havre le 13 novembre 1820, après trois ans de navigation, rapportant de nombreuses et précieuses collections de mammifères, d'oiseaux, d'insectes, de poissons et de plantes. Acquitté par le Conseil de guerre, il fut promu capitaine de vaisseau et aussitôt affecté au Dépôt des Cartes. La description qu'elle contient de l'Australie, ainsi que les renseignements sur le Brésil, en font l'une des relations de voyages les plus importantes au XIXe siècle. Bel exemplaire.
FREYCINET (Louis-Claude Desaulses de) & DUPERREY (Louis-Isidore).
Reference : LBW-4990
(1826)
[Paris, 1826]. 502 x 764 mm.
Rare plan détaillé figurant l'entrée du port de San Luis de Apra, sur la côte ouest de l'île de Guam, archipel des îles Mariannes, dans le Pacifique. Levé et dressé par l'officier de Marine Louis-Isidore Duperrey en mars et avril 1819, ce plan est issu de la relation de l'un des plus importants voyages de circumnavigation, le Voyage autour du monde sur les corvettes de S.M. l'Uranie et la Physicienne, pendant les années 1817, 1818, 1819 et 1820 de Louis de Freycinet. Accompagné d'une équipe de scientifiques composée de l'enseigne Duperrey, des chirurgiens Quoy et Gaimard, du pharmacien Gaudichaud et du dessinateur Jacques Arago, Louis de Freycinet, commandant de l'Uranie, quitta Toulon le 17 septembre 1817. L'expédition fit escale à Gibraltar, Rio de Janeiro, au Cap, à l'île Maurice et arriva en septembre 1818 sur les côtes ouest de l'Australie. Ils visitèrent ensuite Timor, les Moluques, Guam, Sydney et prirent la route du retour par le cap Horn qu'ils franchirent le 7 février 1820. Arrivé dans le détroit de Lemaire, l'Uranie subit une violente tempête et s'échoua dans la Baie Française. Après avoir sauvé l'essentiel des collections scientifiques, Freycinet et son équipage revinrent en France sur une corvette américaine achetée à cet effet, qu'il rebaptisa la Physicienne. Il arriva au Havre le 13 novembre 1820, après trois ans de navigation, rapportant de nombreuses et précieuses collections de mammifères, d'oiseaux, d'insectes, de poissons et de plantes. Acquitté par le Conseil de guerre, il fut promu capitaine de vaisseau et aussitôt affecté au Dépôt des Cartes. La description qu'elle contient de l'Australie, ainsi que les renseignements sur le Brésil, en font l'une des relations de voyages les plus importantes au XIXe siècle. Bel exemplaire.
FREYCINET (Louis-Claude Desaulses de) & DUPERREY (Louis-Isidore).
Reference : LBW-4971
(1826)
[Paris, 1826]. 503 x 763 mm.
Grande carte figurant la partie nord-est de l'île de Timor en Indonésie, et les îles voisines de Wetar, Kisar, Atauro, Pulau-Alor et Pantar. En carton figurent une esquisse de la ville de Kupang située à l'extrémité ouest de l'île, et une carte du détroit situé entre les îles de Buru, Seram et Ambon, toutes deux dressées par l'officier de Marine Duperrey. La route de la corvette l'Uranie en octobre et novembre 1818 est indiquée par une ligne en pointillés. La carte, levée par les officiers de Marine Labiche et Bérard, est issue de la relation de l'un des plus importants voyages de circumnavigation, le Voyage autour du monde sur les corvettes de S.M. l'Uranie et la Physicienne, pendant les années 1817, 1818, 1819 et 1820 de Louis de Freycinet. Accompagné d'une équipe de scientifiques composée de l'enseigne Duperrey, des chirurgiens Quoy et Gaimard, du pharmacien Gaudichaud et du dessinateur Jacques Arago, Louis de Freycinet, commandant de l'Uranie, quitta Toulon le 17 septembre 1817. L'expédition fit escale à Gibraltar, Rio de Janeiro, au Cap, à l'île Maurice et arriva en septembre 1818 sur les côtes ouest de l'Australie. Ils visitèrent ensuite Timor, les Moluques, Guam, Sydney et prirent la route du retour par le cap Horn qu'ils franchirent le 7 février 1820. Arrivé dans le détroit de Lemaire, l'Uranie subit une violente tempête et s'échoua dans la Baie Française. Après avoir sauvé l'essentiel des collections scientifiques, Freycinet et son équipage revinrent en France sur une corvette américaine achetée à cet effet, qu'il rebaptisa la Physicienne. Il arriva au Havre le 13 novembre 1820, après trois ans de navigation, rapportant de nombreuses et précieuses collections de mammifères, d'oiseaux, d'insectes, de poissons et de plantes. Acquitté par le Conseil de guerre, il fut promu capitaine de vaisseau et aussitôt affecté au Dépôt des Cartes. La description qu'elle contient de l'Australie, ainsi que les renseignements sur le Brésil, en font l'une des relations de voyages les plus importantes au XIXe siècle. Bel exemplaire.
[1824]. 294 x 466 mm.
Belle et rare carte de l'Australie, issue de la seconde édition du Voyage de découverte aux Terres Australes. En 1800, le capitaine Baudin fut chargé par le gouvernement français d'aller compléter la reconnaissance des côtes de l'Australie. Il quitta Le Havre avec les deux corvettes le Géographe et le Naturaliste, et une goélette, le Casuarina, avec, à leur bord, de nombreux savants tels que Péron, Bory de Saint-Vincent, Freycinet ou encore Lesueur. L'expédition reconnut la plus grande partie des côtes nord-ouest et sud-ouest de la Nouvelle-Hollande, la baie des Chiens Marins et les terres voisines de la Nouvelle-Galles Méridionale. Ce voyage fut également un incontestable succès au niveau scientifique et plus précisément dans le domaine de l'histoire naturelle. Péron, avec l'aide du peintre Lesueur, forma une collection de plus de 100 000 spécimens d'animaux, dont 2500 espèces nouvelles vinrent enrichir les collections du Muséum. En 1803, le capitaine Baudin mourut à l'Île de France. La relation de ce voyage fut donc commencée par Péron et achevée par Freycinet. Bel exemplaire.
FREYCINET (Louis-Claude Desaulses de) & DUPERREY (Louis-Isidore).
Reference : LBW-2288
(1826)
Paris, 1826. 510 x 770 mm.
Rare et grande carte détaillée figurant la Baie Française ou Berkeley Sound, située à la pointe nord de l'île orientale des Falklands ou Malouines, dans l'Atlantique Sud, au large de l'Argentine. Levée et dressée par l'officier de Marine Louis-Isidore Duperrey en 1820, cette carte est issue de la relation de l'un des plus importants voyages de circumnavigation, le "Voyage autour du monde sur les corvettes de S.M. l'Uranie et la Physicienne, pendant les années 1817, 1818, 1819 et 1820" de Louis de Freycinet. En carton figure le plan de la baie, issue du voyage de Dom Pernety, aumônier et naturaliste qui explora les îles Malouines en compagnie de Bougainville entre 1762 et 1763. Accompagné d'une équipe de scientifiques composée de l'enseigne Duperrey, des chirurgiens Quoy et Gaimard, du pharmacien Gaudichaud et du dessinateur Jacques Arago, Louis de Freycinet, commandant de l'Uranie, quitta Toulon le 17 septembre 1817. L'expédition fit escale à Gibraltar, Rio de Janeiro, au Cap, à l'île Maurice et arriva en septembre 1818 sur les côtes ouest de l'Australie. Ils visitèrent ensuite Timor, les Moluques, Guam, Sydney et prirent la route du retour par le cap Horn qu'ils franchirent le 7 février 1820. Arrivé dans le détroit de Lemaire, l'Uranie subit une violente tempête et s'échoua dans la Baie Française. Après avoir sauvé l'essentiel des collections scientifiques, Freycinet et son équipage revinrent en France sur une corvette américaine achetée à cet effet, qu'il rebaptisa la Physicienne. Il arriva au Havre le 13 novembre 1820, après trois ans de navigation, rapportant de nombreuses et précieuses collections de mammifères, d'oiseaux, d'insectes, de poissons et de plantes. Acquitté par le Conseil de guerre, il fut promu capitaine de vaisseau et aussitôt affecté au Dépôt des Cartes. La description qu'elle contient de l'Australie, ainsi que les renseignements sur le Brésil, en font l'une des relations de voyages les plus importantes au XIXe siècle. Légères traces d'humidité au niveau de la pliure centrale, quelques rousseurs dans les marges.
[1812]. 763 x 500 mm.
Très rare carte des côtes orientales de la Tasmanie, appelée Terre de Van Diemen jusqu'en 1856, dressée en février 1802 par l'ingénieur-hydrographe Charles-Pierre Boullanger d'après ses observations et celles de l'ingénieur-géographe Pierre Faure et de Louis et Henri de Freycinet, lors du voyage aux Terres Australes. Elle est issue du très rare grand atlas de navigation et hydrographie, qui est nettement plus rare que le petit atlas historique qui accompagne également la relation du voyage. Au nord de l'île, à l'emplacement de l'actuelle ville de George Town située à l'embouchure de la rivière Tamar, figure Port Dalrymple. Ce fut l'un des premiers lieux à être colonisés en Tasmanie, lorsque les Britanniques arrivèrent en 1804. En carton figurent 2 cartes du tracé de la côte par Abel Tasman en 1642 et Furneaux en 1773, et le plan d'une partie de la rivière Tamar appelée rivière du Nord, par Henri de Freycinet en 1802. En 1800, le capitaine Baudin fut chargé par le gouvernement français d'aller compléter la reconnaissance des côtes de l'Australie. Il quitta Le Havre avec les deux corvettes le Géographe et le Naturaliste, avec, à son bord, de nombreux savants tels que Péron, Bory de Saint-Vincent, Freycinet ou encore Lesueur. L'expédition reconnut la plus grande partie des côtes nord-ouest et sud-ouest de la Nouvelle-Hollande, la baie des Chiens Marins et les terres voisines de la Nouvelle-Galles Méridionale. Ce voyage fut également un incontestable succès au niveau scientifique et plus précisément dans le domaine de l'histoire naturelle. Péron, avec l'aide du peintre Lesueur, forma une collection de plus de 100 000 spécimens d'animaux, dont 2500 espèces nouvelles vinrent enrichir les collections du Muséum. En 1803, le capitaine Baudin mourut à l'Île de France. La relation de ce voyage fut donc commencée par Péron et achevée par Freycinet. Bel exemplaire. MCC, Tooley n°66, Printed Maps of Australia, n°626.
[1812]. 375 x 482 mm.
Très rare plan figurant le détroit de King George ou King George Sound, et de Frenchman Bay, au large de la ville d'Albany, au sud-ouest de l'Australie. Il a été levé en février 1803 par Louis de Freycinet, Pierre Faure et Joseph Ransonnet, lors du voyage aux Terres Australes de Péron et Freycinet. Il est issu du très rare grand atlas de navigation et hydrographie, qui est nettement plus rare que le petit atlas historique qui accompagne également la relation du voyage. Le plan montre également Michaelmas Island, Breaksea Island, Eclipse Island, le havre de la Princesse Royale, renommé Shoal Bay, le havre aux huîtres, et la rivière des Français. la baie de Western Port, avec l'île des Français ou French Island, et l'île des Anglais, aujourd'hui renommée Phillip Island. En haut à gauche, en carton, figurent deux plans de la même baie, levés en 1799 et 1804. En 1800, le capitaine Baudin fut chargé par le gouvernement français d'aller compléter la reconnaissance des côtes de l'Australie. Il quitta Le Havre avec les deux corvettes le Géographe et le Naturaliste, avec, à son bord, de nombreux savants tels que Péron, Bory de Saint-Vincent, Freycinet ou encore Lesueur. L'expédition reconnut la plus grande partie des côtes nord-ouest et sud-ouest de la Nouvelle-Hollande, la baie des Chiens Marins et les terres voisines de la Nouvelle-Galles Méridionale. Ce voyage fut également un incontestable succès au niveau scientifique et plus précisément dans le domaine de l'histoire naturelle. Péron, avec l'aide du peintre Lesueur, forma une collection de plus de 100 000 spécimens d'animaux, dont 2500 espèces nouvelles vinrent enrichir les collections du Muséum. En 1803, le capitaine Baudin mourut à l'Île de France. La relation de ce voyage fut donc commencée par Péron et achevée par Freycinet. Très légères rousseurs marginales. Bel exemplaire. MCC, Tooley n°66, Printed Maps of Australia, n°642.
[1812]. 754 x 495 mm.
Très rare carte d'une partie des côtes orientales de la Tasmanie, appelée Terre de Van Diemen jusqu'en 1856, dressée en février 1802 par Louis de Freycinet d'après ses observations et celles de l'ingénieur-géographe Pierre Faure et de l'ingénieur-hydrographe Charles-Pierre Boullanger, lors du voyage aux Terres Australes. Elle est issue du très rare grand atlas de navigation et hydrographie, qui est nettement plus rare que le petit atlas historique qui accompagne également la relation du voyage. La carte s'étend du Cap Tourville au Cap Bernier, avec l'île Maria. Y figurent la péninsule Freycinet, l'île Schouten, la Baie Fleurieu ou Baie des Huîtres, ainsi que les routes des vaisseaux. A l'emplacement de la ville d'Orford sur Prosser Bay figure le nom de Port Montbazin. La carte est ornée d'un profil côtier et d'un plan de la Baie des Huîtres par le capitaine Cox en 1789. En 1800, le capitaine Baudin fut chargé par le gouvernement français d'aller compléter la reconnaissance des côtes de l'Australie. Il quitta Le Havre avec les deux corvettes le Géographe et le Naturaliste, avec, à son bord, de nombreux savants tels que Péron, Bory de Saint-Vincent, Freycinet ou encore Lesueur. L'expédition reconnut la plus grande partie des côtes nord-ouest et sud-ouest de la Nouvelle-Hollande, la baie des Chiens Marins et les terres voisines de la Nouvelle-Galles Méridionale. Ce voyage fut également un incontestable succès au niveau scientifique et plus précisément dans le domaine de l'histoire naturelle. Péron, avec l'aide du peintre Lesueur, forma une collection de plus de 100 000 spécimens d'animaux, dont 2500 espèces nouvelles vinrent enrichir les collections du Muséum. En 1803, le capitaine Baudin mourut à l'Île de France. La relation de ce voyage fut donc commencée par Péron et achevée par Freycinet. Bel exemplaire. MCC, Tooley n°66, Printed Maps of Australia, n°628.
[1812]. 763 x 503 mm.
Très rare carte d'une partie des côtes de la Terre de Witt, nom que donnaient les Français sous l'Empire aux terres au nord-ouest de l'Australie comprises entre le cap Murat, dans la région du Pilbara, et le cap Leoben, dans la région du Kimberley, sur la mer de Timor. La carte a été dressée entre 1801 et 1803 par Louis de Freycinet et l'ingénieur-hydrographe Charles-Pierre Boullanger d'après leurs observations et celles de l'enseigne de vaisseau François-Michel Ronsard, lors du voyage aux Terres Australes. Elle est issue du très rare grand atlas de navigation et hydrographie, qui est nettement plus rare que le petit atlas historique qui accompagne également la relation du voyage. En carton figurent un plan d'une partie de la Terre de Witt par Freycinet en 1803, et deux esquisses de la baie et de la ville de Coupang ou Kupang sur l'île de Timor, dessinées par François Péron et Charles-Alexandre Lesueur. En 1800, le capitaine Baudin fut chargé par le gouvernement français d'aller compléter la reconnaissance des côtes de l'Australie. Il quitta Le Havre avec les deux corvettes le Géographe et le Naturaliste, avec, à son bord, de nombreux savants tels que Péron, Bory de Saint-Vincent, Freycinet ou encore Lesueur. L'expédition reconnut la plus grande partie des côtes nord-ouest et sud-ouest de la Nouvelle-Hollande, la baie des Chiens Marins et les terres voisines de la Nouvelle-Galles Méridionale. Ce voyage fut également un incontestable succès au niveau scientifique et plus précisément dans le domaine de l'histoire naturelle. Péron, avec l'aide du peintre Lesueur, forma une collection de plus de 100 000 spécimens d'animaux, dont 2500 espèces nouvelles vinrent enrichir les collections du Muséum. En 1803, le capitaine Baudin mourut à l'Île de France. La relation de ce voyage fut donc commencée par Péron et achevée par Freycinet. Bel exemplaire. MCC, Tooley n°66, Printed Maps of Australia, n°649.
Paris, Société d'éditions géographiques, maritimes et coloniales, 1927. In-4, 190 pp. XXV pl., broché, couverture originale illustrée (couverture défraîchie).
Édition originale de ce journal rédigée par Rose de Freycinet lors de son voyage effectué en 1817 et 1820. Elle est illustrée de 25 planches en couleurs. * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
Calmann-Lévy, 1905, in-8°, 451 pp, broché, bon état
Charles de Freycinet (1828-1923) s’était opposé, comme chef du gouvernement, en 1882 à une participation française à une intervention militaire en Égypte aux côtés des Anglais. — Table : L'expédition d'Egypte, la question d'Orient. – Le canal de Suez, le condominium anglo-français. – La crise égyptienne. – L'occupation anglaise. — "Le livre de M. de Freycinet est inspiré par cette idée générale, que la meilleure solution de la question égyptienne est que l'Egypte n'appartienne en propre à aucune des grandes puissances européennes, mais que, demeurant sous la suzeraineté du sultan, son intégrité soit garantie par toute l'Europe, comme celle du reste de l'empire ottoman... (...) Bien qu'il justifie la politique d'un homme qui fut très attaqué, le livre de M. de F. ne donne pas l'impression d'une apologie ou d'une défense personnelles. Le ton est simple, sans aucun effet oratoire. La personnalité de l'auteur, même quand il prend les responsabilités principales, semble s'effacer ; les jugements sur les hommes sont mesurés et courtois, toujours exempts de passion. D'autre part, quoique la thèse se dégage et soit dégagée à certains endroits très nettement, on n'a pas le sentiment en lisant le livre d'une construction artificielle. Cela tient d'abord au grand nombre de faits et de documents qu'il renferme. Cela tient aussi aux qualités de clarté, de sobriété et de précision de l'auteur. Le livre est certainement très remarquable par sa forme. Nous n'avons pu ici que montrer son intérêt quant au fond. Souhaitons que des études de détail permettent de reprendre et de discuter les idées et les théories que l'auteur a présentées avec une habileté consommée." (P. Muret, Revue d’Histoire moderne et contemporaine, 1905)
Calmann-Lévy, 1906, in-8°, 451 pp, bradel demi-toile grise, pièce de titre chagrin noir (bradel vieilli, intérieur frais)
Charles de Freycinet (1828-1923) s’était opposé, comme chef du gouvernement, en 1882 à une participation française à une intervention militaire en Égypte aux côtés des Anglais. — Table : L'expédition d'Egypte, la question d'Orient. – Le canal de Suez, le condominium anglo-français. – La crise égyptienne. – L'occupation anglaise. — "Le livre de M. de Freycinet est inspiré par cette idée générale, que la meilleure solution de la question égyptienne est que l'Egypte n'appartienne en propre à aucune des grandes puissances européennes, mais que, demeurant sous la suzeraineté du sultan, son intégrité soit garantie par toute l'Europe, comme celle du reste de l'empire ottoman. Ceci étant, le recours à l'Europe et la substitution d'une action collective des puissances à un condominium franco-anglais, qui fut en 1882 l'idée directrice de la politique égyptienne de M. de F., se justifie d'elle-même. Parce que M. de F. n'a pas réussi, s'ensuit-il que les principes dont il s'est inspiré fussent mal fondés ou appliqués à contretemps ? Sans doute M. de F. n'a pas rencontré auprès des puissances un concours aussi empressé que celui qu'il escomptait, et il a reçu trop tard de vingt-quatre heures l'adhésion, soit tacite, soit formelle, de l'Europe à une intervention française en Egypte, alors que la Chambre venait de condamner cette intervention par un vote qui entraîna la démission du cabinet. Mais, en somme, cette adhésion, il l'a reçue, et, sans la décision de la Chambre, il aurait été à même de tirer tous les avantages qu'elle comportait. La véritable cause de notre échec égyptien doit être recherchée dans une défaillance au moment décisif de l'opinion publique et du Parlement français. Voilà la thèse. (...) Bien qu'il justifie la politique d'un homme qui fut très attaqué, le livre de M. de F. ne donne pas l'impression d'une apologie ou d'une défense personnelles. Le ton est simple, sans aucun effet oratoire. La personnalité de l'auteur, même quand il prend les responsabilités principales, semble s'effacer ; les jugements sur les hommes sont mesurés et courtois, toujours exempts de passion. D'autre part, quoique la thèse se dégage et soit dégagée à certains endroits très nettement, on n'a pas le sentiment en lisant le livre d'une construction artificielle. Cela tient d'abord au grand nombre de faits et de documents qu'il renferme. Cela tient aussi aux qualités de clarté, de sobriété et de précision de l'auteur. Le livre est certainement très remarquable par sa forme. Nous n'avons pu ici que montrer son intérêt quant au fond. Souhaitons que des études de détail permettent de reprendre et de discuter les idées et les théories que l'auteur a présentées avec une habileté consommée." (P. Muret, Revue d’Histoire moderne et contemporaine, 1905)
Delagrave 1912 402 pages in8. 1912. Relié. 402 pages. Charles Louis de Saulces de Freycinet Sénateur Troisième édition Première édition des souvenirs de Charles de Freycinet (1828-1923) homme politique français qui commença sa carrière sous le patronage politique de Gambetta et fut à plusieurs reprises président du Conseil sous la IIIe République
Bon état Ancien livre de bibliothèque tranche terne pages jaunies intérieur propre
[1824]. 191 x 465 mm.
Beau panorama de la ville de Kupang en Indonésie, au sud-ouest de l'île de Timor, issu de la seconde édition du Voyage de découverte aux Terres Australes. En 1800, le capitaine Baudin fut chargé par le gouvernement français d'aller compléter la reconnaissance des côtes de l'Australie. Il quitta Le Havre avec les deux corvettes le Géographe et le Naturaliste, et une goélette, le Casuarina, avec, à leur bord, de nombreux savants tels que Péron, Bory de Saint-Vincent, Freycinet ou encore Lesueur. L'expédition reconnut la plus grande partie des côtes nord-ouest et sud-ouest de la Nouvelle-Hollande, la baie des Chiens Marins et les terres voisines de la Nouvelle-Galles Méridionale. Ce voyage fut également un incontestable succès au niveau scientifique et plus précisément dans le domaine de l'histoire naturelle. Péron, avec l'aide du peintre Lesueur, forma une collection de plus de 100 000 spécimens d'animaux, dont 2500 espèces nouvelles vinrent enrichir les collections du Muséum. En 1803, le capitaine Baudin mourut à l'Île de France. La relation de ce voyage fut donc commencée par Péron et achevée par Freycinet.
[1824]. 227 x 175 mm.
Belle gravure, issue de la seconde édition du Voyage de découverte aux Terres Australes. En 1800, le capitaine Baudin fut chargé par le gouvernement français d'aller compléter la reconnaissance des côtes de l'Australie. Il quitta Le Havre avec les deux corvettes le Géographe et le Naturaliste, et une goélette, le Casuarina, avec, à leur bord, de nombreux savants tels que Péron, Bory de Saint-Vincent, Freycinet ou encore Lesueur. L'expédition reconnut la plus grande partie des côtes nord-ouest et sud-ouest de la Nouvelle-Hollande, la baie des Chiens Marins et les terres voisines de la Nouvelle-Galles Méridionale. Ce voyage fut également un incontestable succès au niveau scientifique et plus précisément dans le domaine de l'histoire naturelle. Péron, avec l'aide du peintre Lesueur, forma une collection de plus de 100 000 spécimens d'animaux, dont 2500 espèces nouvelles vinrent enrichir les collections du Muséum. En 1803, le capitaine Baudin mourut à l'Île de France. La relation de ce voyage fut donc commencée par Péron et achevée par Freycinet. Bel exemplaire finement aquarellé à l'époque.
[1824]. 234 x 142 mm.
Belle gravure issue de la seconde édition du Voyage de découverte aux Terres Australes. En 1800, le capitaine Baudin fut chargé par le gouvernement français d'aller compléter la reconnaissance des côtes de l'Australie. Il quitta Le Havre avec les deux corvettes le Géographe et le Naturaliste, et une goélette, le Casuarina, avec, à leur bord, de nombreux savants tels que Péron, Bory de Saint-Vincent, Freycinet ou encore Lesueur. L'expédition reconnut la plus grande partie des côtes nord-ouest et sud-ouest de la Nouvelle-Hollande, la baie des Chiens Marins et les terres voisines de la Nouvelle-Galles Méridionale. Ce voyage fut également un incontestable succès au niveau scientifique et plus précisément dans le domaine de l'histoire naturelle. Péron, avec l'aide du peintre Lesueur, forma une collection de plus de 100 000 spécimens d'animaux, dont 2500 espèces nouvelles vinrent enrichir les collections du Muséum. En 1803, le capitaine Baudin mourut à l'Île de France. La relation de ce voyage fut donc commencée par Péron et achevée par Freycinet. Bel exemplaire finement aquarellé à l'époque.
[1824]. 268 x 180 mm.
Beau portrait, issu de la seconde édition du Voyage de découverte aux Terres Australes. En 1800, le capitaine Baudin fut chargé par le gouvernement français d'aller compléter la reconnaissance des côtes de l'Australie. Il quitta Le Havre avec les deux corvettes le Géographe et le Naturaliste, et une goélette, le Casuarina, avec, à leur bord, de nombreux savants tels que Péron, Bory de Saint-Vincent, Freycinet ou encore Lesueur. L'expédition reconnut la plus grande partie des côtes nord-ouest et sud-ouest de la Nouvelle-Hollande, la baie des Chiens Marins et les terres voisines de la Nouvelle-Galles Méridionale. Ce voyage fut également un incontestable succès au niveau scientifique et plus précisément dans le domaine de l'histoire naturelle. Péron, avec l'aide du peintre Lesueur, forma une collection de plus de 100 000 spécimens d'animaux, dont 2500 espèces nouvelles vinrent enrichir les collections du Muséum. En 1803, le capitaine Baudin mourut à l'Île de France. La relation de ce voyage fut donc commencée par Péron et achevée par Freycinet. Bel exemplaire finement aquarellé à l'époque.
[1824]. 234 x 160 mm.
Belle gravure issue de la seconde édition du Voyage de découverte aux Terres Australes. En 1800, le capitaine Baudin fut chargé par le gouvernement français d'aller compléter la reconnaissance des côtes de l'Australie. Il quitta Le Havre avec les deux corvettes le Géographe et le Naturaliste, et une goélette, le Casuarina, avec, à leur bord, de nombreux savants tels que Péron, Bory de Saint-Vincent, Freycinet ou encore Lesueur. L'expédition reconnut la plus grande partie des côtes nord-ouest et sud-ouest de la Nouvelle-Hollande, la baie des Chiens Marins et les terres voisines de la Nouvelle-Galles Méridionale. Ce voyage fut également un incontestable succès au niveau scientifique et plus précisément dans le domaine de l'histoire naturelle. Péron, avec l'aide du peintre Lesueur, forma une collection de plus de 100 000 spécimens d'animaux, dont 2500 espèces nouvelles vinrent enrichir les collections du Muséum. En 1803, le capitaine Baudin mourut à l'Île de France. La relation de ce voyage fut donc commencée par Péron et achevée par Freycinet. Bel exemplaire finement aquarellé à l'époque.
[1824]. 206 x 110 mm.
Beau portrait du roi de l'île Solor en Indonésie, issu de la seconde édition du Voyage de découverte aux Terres Australes. En 1800, le capitaine Baudin fut chargé par le gouvernement français d'aller compléter la reconnaissance des côtes de l'Australie. Il quitta Le Havre avec les deux corvettes le Géographe et le Naturaliste, et une goélette, le Casuarina, avec, à leur bord, de nombreux savants tels que Péron, Bory de Saint-Vincent, Freycinet ou encore Lesueur. L'expédition reconnut la plus grande partie des côtes nord-ouest et sud-ouest de la Nouvelle-Hollande, la baie des Chiens Marins et les terres voisines de la Nouvelle-Galles Méridionale. Ce voyage fut également un incontestable succès au niveau scientifique et plus précisément dans le domaine de l'histoire naturelle. Péron, avec l'aide du peintre Lesueur, forma une collection de plus de 100 000 spécimens d'animaux, dont 2500 espèces nouvelles vinrent enrichir les collections du Muséum. En 1803, le capitaine Baudin mourut à l'Île de France. La relation de ce voyage fut donc commencée par Péron et achevée par Freycinet. Bel exemplaire finement aquarellé à l'époque.
[1824]. 202 x 282 mm.
Belle gravure figurant un cavalier de l'île de Timor en Indonésie, issue de la seconde édition du Voyage de découverte aux Terres Australes. En 1800, le capitaine Baudin fut chargé par le gouvernement français d'aller compléter la reconnaissance des côtes de l'Australie. Il quitta Le Havre avec les deux corvettes le Géographe et le Naturaliste, et une goélette, le Casuarina, avec, à leur bord, de nombreux savants tels que Péron, Bory de Saint-Vincent, Freycinet ou encore Lesueur. L'expédition reconnut la plus grande partie des côtes nord-ouest et sud-ouest de la Nouvelle-Hollande, la baie des Chiens Marins et les terres voisines de la Nouvelle-Galles Méridionale. Ce voyage fut également un incontestable succès au niveau scientifique et plus précisément dans le domaine de l'histoire naturelle. Péron, avec l'aide du peintre Lesueur, forma une collection de plus de 100 000 spécimens d'animaux, dont 2500 espèces nouvelles vinrent enrichir les collections du Muséum. En 1803, le capitaine Baudin mourut à l'Île de France. La relation de ce voyage fut donc commencée par Péron et achevée par Freycinet. Bel exemplaire finement aquarellé à l'époque.
[1824]. 213 x 170 mm.
Carte issue de la seconde édition du Voyage de découverte aux Terres Australes. En 1800, le capitaine Baudin fut chargé par le gouvernement français d'aller compléter la reconnaissance des côtes de l'Australie. Il quitta Le Havre avec les deux corvettes le Géographe et le Naturaliste, et une goélette, le Casuarina, avec, à leur bord, de nombreux savants tels que Péron, Bory de Saint-Vincent, Freycinet ou encore Lesueur. L'expédition reconnut la plus grande partie des côtes nord-ouest et sud-ouest de la Nouvelle-Hollande, la baie des Chiens Marins et les terres voisines de la Nouvelle-Galles Méridionale. Ce voyage fut également un incontestable succès au niveau scientifique et plus précisément dans le domaine de l'histoire naturelle. Péron, avec l'aide du peintre Lesueur, forma une collection de plus de 100 000 spécimens d'animaux, dont 2500 espèces nouvelles vinrent enrichir les collections du Muséum. En 1803, le capitaine Baudin mourut à l'Île de France. La relation de ce voyage fut donc commencée par Péron et achevée par Freycinet. Bel exemplaire.