François Coppée (1841-1908), poète, écrivain. Lot de 6 L.A.S. et 1 L.S. (écrite par son secrétaire Claude Couturier) + 1 enveloppe, 15 janvier 1906 au 1er février 1908, 9p in-8. Intéressant ensemble à Renée [baronne] de Brimont (1880-1943) - petite nièce de Lamartine - et ses premières poésies. La première lettre était jointe au manuscrit de ses poésies qu'il renvoie avec quelques corrections. « Je suis encore sous le charme de vos gracieux vers ». Il en pointe la facilité mais signale aussi les poèmes plus réussis et lui propose de les envoyer à la Revue des deux-Mondes. Le 19 mars 1907, il est toujours sous le charme. Plus tard en 1907, il se fait l'intermédiaire, entre ses maladies, pour porter les vers à Francis Charmes (1848-1916), alors directeur de la revue et la recommander. Le 13 décembre (L.S. écrite par Couturier), Coppée lui fait suivre une lettre de Charmes qui promet une place. Trois lettres ne concerne que des rendez-vous et des remerciements. Elle fut publiée dans la Revue des deux Mondes le 1er mars 1908 (p.877 à 886) et seul Printemps fait partie des poèmes que Coppée lui avait indiqué en janvier 1906 comme pouvant y être publié. Brimont publiera d'ailleurs sont premier recueil de poésie, Essor, en 1908. Bel ensemble, probablement complet de tous les courriers envoyés par Coppée. [364]
François Coppée (1842-1908), poète, écrivain. L.A.S.+enveloppe, 28 avril 189., 1p in-8. Au poète Ernest Raynaud (1864-1936). « Je connais ce genre d'esclavage, mon cher Poète. J'ai ramé, près de dis ans dans la galère administrative ». Il l'invite le dimanche. [141-2]
François Coppée (1842-1908), poète, écrivain. L.A.S., Cannes, 1er mars 1905, 1p in-8. A l'écrivain Maurice Donnay (1859-1945). Lettre amicale, Coppée a la grippe, le temps est pluvieux comme en Normandie et il espère que la Côte d'Azur porte bien son nom. Il sera heureux de voir Donnay. [141-2]
François Coppée (1842-1908), poète, écrivain. L.A.S., 8 mars 1903, 1p in-8. Au poète Jean Rameau (1858-1942). Il le félicite pour son oeuvre qui consiste à répandre à l'étranger l'oeuvre des poètes contemporains. « En vérité, mon cher Rameau, tous les poètes doivent faire des voeux pour la pleine réussite de votre entreprise et vous en être reconnaissants ». [141-2]
François Coppée (1842-1908), poète, écrivain. L.A.S.,Combes-la-Ville, 4 juillet, 1p 1/2 in-8. A une dame. Très belle lettre sur la place des artistes dramatiques qui « n'exercent qu'un art d'interprétation, un art de second ordre » mais Coppée trouve légitime de récompenser l'acteur : « on lui donne déjà le ruban rouge. Pourquoi pas l'habit vert ». Très belle lettre. [141-2]
François Coppée (1842-1908), poète, écrivain. C.A.S., sd, 6 lignes. « J'ai respiré avec grand plaisir, mon cher Poète, vos poèmes si jeunes et si frais ; et me voici tout fier et charmé que vous m'en ayez dédié quelques-uns. J'aime beaucoup la libre et gracieuse inspiration, les rythmes légers, l'accent d'amour vrai de vos vers. Bravo et merci. F.C. ». [141-2]
François Coppée (1842-1908), poète, écrivain. C.A.S., sd, 5 lignes. « Volontiers, Monsieur, mais il convient, avant, de demander à mon éditeur, M. Alph. Lemerre son autorisation. Veuillez croire, je vs prie, à mes sentiments les plus distingués. Fr.C. ». [141-2]
François Coppée (1842-1908), poète, écrivain. C.A.S., sd, 4 lignes. « Bien volontiers, cher Monsieur. Voulez-vous samedi à 5hs après midi. Veuillez agréer l'expression de mes sentiments de sympathie. F.C. ». [141-2]
François Coppée (1842-1908), poète, écrivain. C.A.S., sd, 5 lignes. « Tous mes regrets, Monsieur, de ne pouvoir vous accueillir. Je suis à la campagne pour qques mois. Veuillez agréer l'expression de mes sentiments distingués. Fr.C. ». [141-2]
François Coppée (1842-1908), poète, écrivain. C.A.S., sd [mercredi], 4 lignes. A l'imprimeur de Lemerre : « Mon cher Vallée, je retrouve cette petite pièce. Intercalez la dans la 1ère partie du volume (vers le milieu). Et n'oubliez pas de porter - sur la table des matières - cette pièce et le sonnet que je vous ai envoyé hier. Bien à vous. F.C. ». [141-2]
François Coppée (1842-1908), poète, écrivain. C.A.S., sd [vendredi], 7 lignes. A Camille Vergniol (1862-1932) : « J'ai lu, mon cher Vergniol, et avec le plus vif intérêt. Vous avez très bien choisi, dans les documents du temps - que je connais assez bien - les traits saisissants,et, sous la forme dialoguée, si vraie, si vivante, vous avez évoqué quelques heures de l'affreux supplice du grand homme. C'est excellement. Mille amitiés. F.C. ». Peut-être pour La Chute de l'Aigle publié en 1906. [141-2]
François Coppée (1842-1908), poète, écrivain. L.A.S., Saint Hilaire, 15 octobre 1888, 1p in-8. Au romancier Paul Bonnetain (1858-1899). Il ne peut participer à son supplément, étant malade, et ne sait quand il pourra rentrer à Paris. « Je suis en retard de beaucoup de bifsteacks ». [141-2]
François Coppée (1842-1908), poète, écrivain. L.A.S., 24 juin, 3p in-8. Très belle lettre, probablement au rédacteur en chef de La Patrie. Il revient d'un voyage en Corse et en Italie - Florence et Venise - et peut reprendre le travail. Toutefois, iil ne peut reprendre immédiatement son feuilleton ayant été loin pendant six semaines.Il mention Paul Bouret, Edouard Drumont, Charles Gille et Hippolyte Fournier. Il félicite son correspondant pour son livre sur Saint Vincent de Paul. [141-2]
François Coppée (1842-1908), poète, écrivain. L.A.S., sd [Dimanche], 2p in-8. Il a peu de temps pour lui, écrivant « 6 à 700 lignes par semaine » pour Le Figaro et La Patrie. Il a confié une pièce à Emile Perrin, espérant être joué à la Comédie-Française, et l'apportera à l'Odéon si elle y est refusée. Déchirure sur le haut anciennement réparée. [141-2]
François Coppée (1842-1908), poète, écrivain. L.A.S., Paris, 11 août 1890, 1p in-8. Il a lu le manuscrit de son correspondant et loue ses vers. Il le remercie de lui avoir dédié « Le Temple ». [141-2]
François Coppée (1842-1908), poète, écrivain. L.A.S., sd, 1p in-8. Remerciements pour une participation pour « les crèches de Montparnasse ». Il a été malade. [141-2]