1996 1996. ouvrage broché 36 pages (édition du Croisement) Jean François Chevalier Annabelle Bicelli Sandra Bousser Norbert David Christophe Ferry. rare et TRES BON ETAT
Très bon état
Paris, Victor Lecou, 1852. In-12, demi-veau havane, dos lisse orné (reliure de l'époque). IV-351 pp.
Bon exemplaire.
Bernard-François, chevalier de Fonvielle (1760-1839), poète, homme politique, publiciste.
Reference : 007288
Bernard-François, chevalier de Fonvielle (1760-1839), poète, homme politique, publiciste. L.A.S., 23 septembre 1832, 2p in-4. Il est question d'obtenir une somme du roi que son correspondant peut aider à obtenir. Il lui demande de transmettre des papiers en ce sens au comte de Montalivet et au baron Louis. Il mentionne le 5e volume de ses mémoires à paraître (les 4 premiers furent publiés en 1824). L'ouvrage en question est vraisemblablement l'Ecole des ministres qui sera publié en 1836. Il présente alors ses déboires financiers et ses exigences, mentionnant aussi les souscriptions pour ses volumes. Peu commun. [245]
FONVIELLE (Bernard François, chevalier de), [FORTIA DE PILES (Alphonse-Toussaint-Marseille, comte de de)]
Reference : 27885
In-8, demi-maroquin vert bronze ancien à la Bradel, titre doré, daté en pied, viii,, 47 p. Paris, Dentu, Delaunay, Petit, etc., octobre 1812.
Edition originale de ce virulent pamphlet contre la presse et les journalistes, composé par le chevalier de Fonvielle, mais longtemps attribué à Fortia de Piles. Cet exemplaire tranche le débat car il comporte la signature autographe de Fonvielle au bas de l'avant-propos. Le pamphlet est suivi de l'extrait des mémoires de Fonvielle dans lesquels l'auteur explicite les conditions dans lesquelles cet écrit fut composé.Bel exemplaire, relié en maroquin vert.
Phone number : 33 01 47 07 40 60
FOUCHER / CNED. 2009. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 382 pages - nombreuses phrases surlignées au feutre, sans conséquence sur la lecture. . . . Classification Dewey : 350-Administration publique
Classification Dewey : 350-Administration publique
Foucher 2002 372 pages 24x17x2cm. 2002. Broché. 372 pages. Livre du CNED pour préparer les concours de catégorie A et B pour se préparer aux épreuves de droit constitutionnel
French édition - légères marques de lecture et/ou de stockage papier jauni par le temps mais du reste en très bon état d'ensemble. Envoi rapide et soigné dans une enveloppe à bulle depuis France
TROUBLE, Bruno (dirigé et préfacé par) - Textes et plans de François Chevalier
Reference : 105217
(2008)
2008 Ed. de La Martinière - 2008 - In-Folio, cartonnage illsutrée en couleurs - 207 p. - Nombreuses reproductions photographiques en couleurs + plans en couleurs
Bon état - Frottements sur le dos de l'ouvrage avec un léger coup
P., Librairie du Petit Journal, 1866, pt in-8°, 103 pp, cart. bradel papier rouge brique, dos lisse, pièce de titre basane brun-foncé avec titre en long, couv. conservées (rel. de l'époque), dos frotté lég. abîmé, sinon bon état
Recueil de textes intéressants pour les événements de septembre 1792, en particulier le texte de l'édition de Paris, Desenne, 1792 de « Mon agonie de trente-huit heures, ou récit de ce qui m'est arrivé, de ce que j'ai vu et entendu pendant ma détention dans la prison de l'Abbaye Saint-Germain depuis le 22 août jusqu'au 4 septembre ». – "Témoignage d'une grande utilité pour l'histoire des journées de septembre 1792 et des massacres qui eurent alors lieu dans les prisons de Paris, notamment dans celle de l'Abbaye." (Fierro, 744). – "Contient la réimpression de divers opuscules de Jourgniac, avec notice et commentaires signés G. R. [Gabriel Richard ou, plus exactement, Richard Lesclide]." (Tourneux, I, 3482) – La dernière partie (« Ordre du jour ou salmigondis ministériel & bureaucratique pour servir de supplément et de consolation à Mon agonie du 2 septembre 1792, par le vétéran-valide Jourgniac Saint-Méard ». Paris, 1821) nous montre l'attitude de Jourgniac après 1820.
Cythere, s.e., 1750; in-12, 118-85 pp., br.
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COLLECTIF - Général REGNAULT - Lieutenant-Colonel de BUTTET - Capitaine de LANJAMET - Edouard GACHOT - François CHEVALIER - Roger PIERRE - Jean CHARDONNET
Reference : 18008
PARIS, Revue de la Sté des Amis du Musée de l'Armée - n°65 - 1962 - In-4 - Couverture illustrée - Illustrations NB dans le texte et hors texte - Supplément au n° 65 : Assemblée générale de 1961 - 48 pages + publicités - Couverture légèrement défraichie sinon très frais intérieurement
- ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
vol in-4°, 28x20cm, 652 pp, relié demi-chagrin vert, bel état intérieur, gravures sur acier. 1 carte en couleurs de la Bretagne et de la Vendée, planches d'armoiries en chromolithographie dont le frontispice Paris Coquebert 1845/1848
1977 / 548 pages. Broché Editions Presses Universitaires De France. Collection Clio
Couverture d'usage. Trés bon état.
1998 / 276 pages. Broché. Editions Tezontle. Bilingue : Français / Anglais.
Dos trés légérement cassé. Bel état.
[GUERRE D'INDÉPENDANCE AMÉRICAINE - MANUSCRITS / AMERICAN WAR OF INDEPENDENCE - MANUSCRIPTS] MONTEIL (François-Aymar, chevalier de).
Reference : 4472
(1776)
Brest, St Domingue, et à bord de la "Renomée" et du "Conquérant"..., 1776-1779. 1776 30 manuscrits rédigés à lencre brune de : I. [2] pp. in-folio ; II. [8] pp. in-4° ; III. [1] p. in-4° ; IV. [2] pp. in-folio ; V. [2] pp. in-4° ; VI. + VII. [3] pp. in-4°; [8] ff. doubles in-8° et in-4° ; [14] ff. doubles ou simples in-8°, in-4° et in-folio. (taches, traces de plis, défauts d'usage.) Cartonnage à rabats ancien recouvert de papier bleu, fermeture à lacet.
Ensemble de 30 documents manuscrits provenant des archives personnelles de François-Aymar, chevalier de Monteil (1725-1787), lun des plus brillant officier de marine française de la guerre dindépendance des États-Unis, membre fondateur de la société des Cincinnati. François de Monteil entre dans les Gardes de la Marine à Toulon le 15 août 1741. Il sillustre dés le début de sa carrière notamment lors de combats contre les Anglais. En 1746, il est nommé Enseigne de Vaisseau et Lieutenant de Vaisseau en 1756. Il se distingue au cours de la guerre de 7 ans, notamment aux combats de Gondelour (29 avril 1758), de Négapatam (30 août 1758) et de Pondichery (10 septembre 1759). 30 mars 1759 : il est fait Chevalier de lOrdre Royal de St Louis. En 1766, il participe au raid mené contre les établissements anglais de Terre Neuve. Il occupe ensuite différents postes de commandement à terre (Inspecteur des forêts et des ateliers de mature, Commandant des Gardes de la Marine, Major dinfanterie au régiment de Rochefort, Brigadier des Armées Navales), et à la mer : il commande la frégate la Zéphyr pour une mission au Levant. Le 17 février 1776, le roi Louis XVI lui écrit de Versailles « Monsieur le Chevalier de Monteil, vous ayant choisi pour commander ma frégate La Renommée que je fais armer au Port de Brest, je vous fais cette lettre pour vous dire que mon intention est que vous suiviez cette destination. Sur ce, Je prie Dieu qu'il vous ait Monsieur le Chevalier de Monteil, en sa sainte garde ». Le 20 avril, alors quil commande cette frégate, il heurte un récif à la sortie de Brest et subit de graves avaries. Il est acquitté par le Conseil de Guerre le 28 mai. Le 1er juillet 1777 : il est nommé commandant de la compagnie des Gardes de la Marine à Brest. Du 1er avril 1778 au 31 décembre 1779, il assure le commandement du Conquérant dans la flotte de dOrvilliers. Il participe à la bataille dOuessant en juillet 1778, au cours de laquelle il est blessé, et à la campagne de la Manche de larmée navale franco-espagnole de mai à octobre 1779. Il est fait Chevalier de lOrdre de St Lazare et du Mont Carmel. Le 4 mai 1779, il est promu Chef descadre. Du 1er janvier 1780 au 21 juillet 1781, il commande le vaisseau de 74 le Palmier dans lescadre de Guichen et prend part aux trois combats de la Dominique les 17 avril, 15 et 19 mai 1780. Le 9 mai 1781, avec cinq vaisseaux et deux frégates il attaque à la demande des Espagnols, létablissement de Pensacola (Floride) tenu par les Anglais quil contraint à capituler. Le roi a approuvé quil accepte le portrait enrichi de diamants que lui a fait adresser le Roi dEspagne pour le remercier. Du 21 juillet au 14 décembre 1781, il commande à bord du vaisseau de 80 le Languedoc, larrière garde de la flotte de de Grasse à la victoire de la Chesapeake (5 septembre 1781). Le 1er septembre 1781 : il est fait Commandeur de lOrdre Royal de St Louis. Le 8 février 1783, il est promu Lieutenant Général des Armées Navales et sera membre fondateur de la Société des Cincinnati de France le 7 janvier 1784. Les présentes archives provenant de ce célèbre marin sont constituées de : I. Lettre autographe du chevalier de Monteil, à bord de la Renommée le 14 avril [1776] (2 pp. in-fol.), relatant une sortie effectuée au large de Brest avec la "Perle" et le "Moucheron", et évoquant les qualités de la "Renommée" comparable à lancienne "Sylphide", aussi bien pour gouverner que pour porter la voile. Le chevalier est préoccupé par lamélioration des navires français alors que sannonce la guerre contre les Anglais : « Je ne manquerais pas au retour de dresser un devis relatif aux perfections quon pourrait ajouter aux frégates de cette espèce dont lusage est cher à la paix mais qui peuvent être dune très grande utilité à la guerre » II. Lettre autographe, Brest 23 juin 1776, adressée à son frère Charles François Just, marquis de Monteil (8 pp. in-4°). Lettre écrite avant son départ pour Saint-Domingue. Monteil annonce à son frère son prochain départ pour Saint-Domingue. Il regrette que le secret de cette mission ait été mal gardé et sétonne davoir été désigné pour commander une frégate, alors que des officiers plus jeunes que lui dirigent des vaisseaux de 74 canons. Son frère, qui doit rencontrer le ministre, pourrait intervenir en sa faveur : « Je mabstiendrai de rien dire à M. de Sartine, dont il put inférer que je pars mécontent; de votre côté, faites-lui envisager la manière dont il me traite, et que du moins, il doit en toute justice, envoyer le plus tôt possible une des 10 ou 12 frégates quon dispose ici, me relever, pour quen cas darmement je prenne ma place, et quil doit honnêtement me laisser le moins longtemps possible aux ordres, ou de M. Dennery, ou à ceux de M. de Traversais mon cadet, surtout nayant point de division à mon commandement, et me trouvant très déplacé sur la plus belle frégate mais la moins logeable et la plus incommode que corsaire ait jamais monté »... Il ajoute : « Javoue quen ce quil mest permis de voir ici de mes paquets, il est apparent que je ne prendrai point de vivres à St Domingue, quainsi jen repartirai le plus tôt quil se pourra. On me recommande de tenir la mer, de relâcher dans les ports le moins possible. Jamais recommandation ne fut plus superflue, lorsquon doit supposer que je sais que les ports jusque vers la fin de septembre en ces climats, sont les plus malsains quon puisse limaginer, et quand heureusement la mer, en ce temps, est toujours assez saine » ... Il annonce quil va demeurer à bord de son bâtiment, et quil quittera Brest pour Cadix avec trois autres frégates dès que les vents seront favorables. « Vous sentez [...] combien il mimporte dêtre instruit de ce que vous aurait pu dire au ministre quand vous pourrez le voir et lui demander que vu lapparence dun grand armement, il ne me laisse pas en une colonie aux ordres de tout le monde, avec ma frégate où je suis dépourvu de toutes commodité. Que ce serait me faire payer trop cher un malheur, où le conseil de guerre ma jugé innocent : que sans ce malheur, armant de grands navires, il neut pu avoir lidée de men priver, pour me restreindre à une seule frégate désormais le lot de nos lieutenants » ... III. Pièce manuscrite signée « Michel » : description du gréement de la "Renommée", Brest 7 mai 1777 (1 p. in-4°), avec les dimensions, en pieds, des différentes voiles de la frégate (envergure, chute et bordure). IV. « Devis de la frégate du Roy la Renommée au retour de la campagne de 12 mois 25 jours, finie le 29 avril [1777], que cette frégate vient de faire sous le commandement de Mr le Cher de Monteil, faisant partie de lescadre commandée par Mr le Cte Duchaffaut, et ensuite aux côtes de St Domingue » (2 pp. in-folio.) : caractéristiques techniques du bâtiment, embarquement du lest et des munitions au départ de Brest en juin 1776 V. Lettre écrite en son nom, Môle Saint-Nicolas [Saint-Domingue] 7 janvier 1777 (2 pp. in-4°). Il est question de la maladie de Monteil, atteint dune « fièvre continue », de la protection du cabotage libre le long des côtes de Saint-Domingue, et de la guerre dIndépendance américaine : « Les bâtiments américains anglais paraîtront peu à lavenir dans ces parages, si toutefois ce que nous apprîmes hier par un capitaine de bateau français venant de New York est vrai. Il assure que les troupes royalistes nétaient à son départ quà cinq milles de Philadelphie, que le Congrès en était délogé, que chacun fuyait et abandonnait cette ville. Les Hessois et les Ecossais au dire de ce capitaine ont le plus contribué au succès du général Howe ». VI et VII. 2 Lettres autographes signées par F. Hofer, augustin, aumônier du bagne, Brest 24 et 26 mai 1777 (3 pp. in-4°), sur ses dépenses lors de ses campagnes avec le chevalier de Monteil. VIII. Correspondance du Chevalier davril, mai et juin 1779 ( 8 ff doubles in 8° et in 4°) rédigées à Brest et à bord du « Conquérant ». Le Chevalier évoque le prochain départ de lescadre dOrvilliers et le début de sa mission. Depuis 1778, il commande le vaisseau le Conquérant dans lescadre du comte dOrvilliers. il participa à la bataille dOuessant au cours de laquelle il est blessé. En mai 1779, lescadre reprends la mer pour, de conserve avec la flotte espagnole, protéger un débarquement en Angleterre. Après avoir rencontré une escadre anglaise qui esquiva le combat, et éprouvé par une épidémie qui décimait les équipages, dOrvilliers dut annuler le projet et rentra à Brest en septembre. Brest 28 [avril]. « Je moccupe fort de mon vaisseau, il fait des temps affreux ; La Motte Picquet continue à ne trouver pas un seul petit moment, voilà ce qui arrive et ce qui fait souvent regretter lindécision dans les partis. Sur une idée insuffisamment expliquée pour que lescadre et le convoy allât à Rochefort incorporer celuy qui est à lisle dAix, MM. de Guichen et La Motte Picquet ont envoyé un courrier pour scavoir si on persiste dans cette idée, ou on croit dune autre part quil paroit venir à la tête du ministre, dappuyer le tout par les 25 vaisseaux quon espère avoir prêts le 15 may, par la jonction des 4 relâchés à Lorient [...] On attend de sçavoir le sort de lEngageante et du reste du convoy. Tout cela achalande fort les corsaires » ... Brest 12 mai. « Il faudra, au moins quelques jours avant la levée des ancres, prescrire les guidons pour suppléer les pavillons des chefs, or sur cela je suis bien décidé à me refuser darborer rien que ma simple flamme, à laquelle je me suis réduit et où jai été imité, par MM. Hector et Beausset. Il faut que M. de S[artine] soit un homme bien étrange, de nous faire dire par sa lettre du 12 mars, quil a suffisamment de généraux [...] et à présent quil paroit convenir quil na à peu près rien du tout pour suppléer les généraux que sa liste luy a pu fournir, nous bercer et nous faire attendre à la dernière de toutes les extrémités [...] la forme quon a laissé prendre à cette guerre est des plus affligeantes pour ceux qui sy livraient avec ardeur. Linaction des forces de Ponant, le séjour ridicule de nos frégates dans les rades ou ports, celuy aussi des vaisseaux susceptibles comme le mien de marche avantageuse, le désordre de larsenal, le manque de chefs à son détail ; le défaut dautres chefs pour les hôpitaux, les revues, les classes, les envoys à tirer des ports intermédiaires : en général, toute lorganisation dune marine en mouvement, a rendu son mouvement tardif et bien infructueux » ... Brest 19 mai. « La jonction des 3 vaisseaux de Rochefort, des deux de Toulon, surtout lextrême difficulté de compléter larmée, sont des obstacles quil sera peut etre [?] de vaincre avant la fin du mois. [] je regrette les brèches affreuses que les maladies ont fait à mon équipage ainsi quaux autres. On doit à jamais sentir que ceux qui depuis 2 ans crioient pour des casernes et des hôpitaux voyoient bien, on y supplée du mieux possible en élevant des baraques » à bord du Conquérant 3 juin. « Lexemple de tant de marins victimes ici de nos déficits en casernes, hôpitaux, &c., doivent exciter dès notre départ à travailler bien assidûment. M. de Sartine scait tout ce que je luy ai écrit pour quon délogeât les capucins sans se contenter du vain secours de leur cloître pour nos convalescents. Il faut tout prendre, il y a deux ans que cela devroit être fait, on y logera 800 à 1000 convalescents ». 3 copies de lettres de Monteil à Sartine, Brest, à bord du Conquérant, avril-mai 1779, demandant sa promotion au grade de chef descadre (quil obtient en mai 1779) IX. Ensemble de 14 lettres et documents divers, la plupart des courriers adressés au chevalier en1779 (in-8°, in-4° et in-folio) : réponse du vicomte (Marly 5 mai 1779) ; lettre de nomination du chevalier dans lOrdre de Saint-Lazare ; 12 mai 1779, affaire concernant le marquis de Mirepoix, un sous-commissaire de la marine ayant servi en Inde, le départ de la flotte espagnole de Cadix, sa nomination au grade de chef descadre, une livraison de farine à bord du Conquérant, copie dun ordre à Du Couëdic [ Charles Louis du Couëdic (1740-1780), célèbre pour le combat acharné qu'il livre, le 6 octobre 1779, à bord de la frégate La Surveillante contre la frégate anglaise HMS Quebec. Il meurt le 7 janvier 1780 à Brest des suites de ses blessures.]; sur son intention de ne « tenir la mer » que jusquau 8 septembre tout au plus Précieux documents levant le voile sur période cruciale de la vie de ce célèbre marin, de son échouage en 1776 qui faillit briser sa carrière à sa nomination au grade de chef descadre en mai 1779 ; documents permettant une approche intime des préoccupations et des actions de ce célèbre marin, qui fut, par les postes quil occupa à terre et à la mer, à la fois artisan de la modernisation de la flotte française et homme daction au cur de combats majeurs de la guerre dindépendance américaine. Provenance : archives personnelles du chevalier. 30 manuscripts written in brown ink by : I. [2] pp. in-folio; II. [8] pp. 4to ; III. [1] p. 4to ; IV. [2] pp. in-folio ; V. [2] pp. 4to ; VI. + VII. [3] pp. 4to ; [8] double ff. 8vo and 4to ; [14] double or single ff. 8vo, 4to and in-folio. Antique blue paper-covered boards with flaps. Set of 30 handwritten documents from the personal archives of François-Aymar, chevalier de Monteil (1725-1787), one of the most brilliant French naval officers of the American War of Independence and a founding member of the Society of the Cincinnati. François de Monteil joined the Navy Guards in Toulon on August 15, 1741. He distinguished himself from the beginning of his career, notably during battles against the English. In 1746, he was appointed Ensign and Lieutenant in 1756. He distinguished himself during the Seven Years' War, notably in the battles of Gondelour (April 29, 1758), Negapatam (August 30, 1758) and Pondichery (September 10, 1759). March 30, 1759: he was made a Knight of the Royal Order of St Louis. In 1766, he participated in the raid against the English settlements in Newfoundland. He then held various command positions on land (Inspector of Forests and Mature Workshops, Commander of the Marine Guards, Infantry Major in the Rochefort Regiment, Brigadier of the Naval Armies), and at sea: he commanded the frigate the Zephyr for a mission to the Levant. On February 17, 1776, King Louis XVI wrote to him from Versailles: "Mr. Chevalier de Monteil, having chosen you to command my frigate La Renommée that I am having fitted out in the Port of Brest, I am writing you this letter to tell you that it is my intention that you follow this destination. I pray to God that he will have you, Mr. Chevalier de Monteil, in his holy custody. On April 20, while in command of this frigate, he hit a reef as he left Brest and suffered serious damage. He was acquitted by the Council of War on May 28. July 1, 1777: he was appointed commander of the company of the Navy Guards in Brest. From April 1, 1778 to December 31, 1779, he was in command of the Conqueror in the fleet of d'Orvilliers. He took part in the battle of Ouessant in July 1778, during which he was wounded, and in the Channel campaign of the Franco-Spanish naval army from May to October 1779. He was made a Knight of the Order of St Lazarus and Mount Carmel. On May 4, 1779, he was promoted to Chief of Squadron. From January 1, 1780 to July 21, 1781, he commanded the 74th vessel le Palmier in the Guichen squadron and took part in the three battles of the Dominica on April 17, May 15 and 19, 1780. On May 9, 1781, with five ships and two frigates, he attacked, at the request of the Spaniards, the establishment of Pensacola (Florida) held by the English, whom he forced to surrender. The king approved that he accept the portrait enriched with diamonds that the King of Spain had sent him to thank him. From July 21 to December 14, 1781, he commanded the rear guard of Grasse's fleet on board the 80th vessel Languedoc at the Chesapeake victory (September 5, 1781). September 1, 1781: he was made Commander of the Royal Order of St Louis. On February 8, 1783, he was promoted to Lieutenant General of the Naval Armies and became a founding member of the Society of Cincinnati of France on January 7, 1784. The present archives from this famous sailor consist of : I. Autograph letter from the Chevalier de Monteil, on board the Renommée on April 14 [1776] (2 pp. in-fol.), relating an outing off the coast of Brest with the "Perle" and the "Moucheron", and evoking the qualities of the "Renommée" comparable to the old "Sylphide", both for steering and for sailing. The knight is preoccupied by the improvement of French ships while the war against the English is coming: "I would not fail on my return to draw up an estimate relating to the perfections which one could add to the frigates of this kind whose use is expensive in peace but which can be of a very great utility in the war..." II. Autograph letter, Brest June 23, 1776, addressed to his brother Charles François Just, marquis of Monteil (8 pp. in-4°). Letter written before his departure for Saint-Domingue. Monteil announces to his brother his next departure for Saint-Domingue. He regrets that the secret of this mission was badly kept and is astonished to have been designated to command a frigate, whereas younger officers than him direct 74-gun ships. His brother, who was to meet with the minister, could intervene on his behalf: "I will refrain from saying anything to M. de Sartine, from which he could infer that I am leaving unhappy; on your side, make him consider the way he treats me, and that at least, he must in all fairness, send as soon as possible one of the 10 or 12 frigates that are at his disposal here, to relieve me, so that in the event of an armament, I will be able to take my place, and that he must honestly leave me for as little time as possible at the orders of M. Dennery, or to those of Mr. de Traversais my junior, especially not having a division at my command, and finding myself very out of place on the most beautiful frigate but the least lodgable and the most inconvenient privateer ever to have sailed"... He adds: "I admit that from what I am allowed to see here of my packages, it is apparent that I will not take any supplies to St. Domingue, so I will leave as soon as I can. I am advised to stay at sea, to stay in the ports as little as possible. Never was this recommendation more superfluous, when one must suppose that I know that the ports until the end of September in these climates, are the most unhealthy that one can imagine, and when fortunately the sea, in this time, is always quite healthy "... He announces that he will remain on board his ship, and that he will leave Brest for Cadiz with three other frigates as soon as the winds are favorable. "You feel [...] how important it is for me to be informed of what you could have said to the minister when you can see him and ask him that, given the appearance of a large armament, he not leave me in a colony at the orders of everyone, with my frigate where I am deprived of all comfort. That it would be to make me pay too dearly for a misfortune, in which the council of war judged me innocent: that without this misfortune, arming large ships, he could not have had the idea of depriving me of it, to restrict me to only one frigate from now on the lot of our lieutenants "... III. Handwritten document signed "Michel": description of the rigging of the "Renommée", Brest, May 7, 1777 (1 p. in-4°), with the dimensions, in feet, of the various sails of the frigate (span, leech and edge). IV. "Estimate of the royal frigate the Renommée on the return from the campaign of 12 months and 25 days, finished on April 29 [1777], which this frigate has just completed under the command of Mr. le Cher de Monteil, part of the squadron commanded by Mr. le Cte Duchaffaut, and then to the coasts of St. Domingue" (2 pp. in-folio.): technical characteristics of the ship, loading of ballast and ammunition at the time of departure from Brest in June 1776... V. Letter written in his name, Môle Saint-Nicolas [Saint-Domingue] January 7, 1777 (2 pp. in-4°). It is about Monteil's illness, suffering from a "continuous fever", the protection of free shipping along the coast of Saint-Domingue, and the American War of Independence: "The American English ships will appear little in the future in these parts, if however what we learned yesterday from a French ship captain coming from New York is true. He assures us that the Royalist troops were only five miles from Philadelphia when he left, that Congress was dislodged, that everyone was fleeing and abandoning that city. The Hessians and Scots, according to this captain, contributed most to the success of General Howe. VI and VII. 2 autograph letters signed by F. Hofer, Augustinian, chaplain of the prison, Brest May 24 and 26, 1777 (3 pp. in-4°), on his expenses during his campaigns with the knight of Monteil. VIII. Correspondence of the Chevalier of April, May and June 1779 (8 double ff in 8° and in 4°) written in Brest and on board of the " Conquérant ". The Chevalier evokes the next departure of the Orvilliers squadron and the beginning of its mission. Since 1778, he has commanded the ship "Le Conquérant" in the squadron of the Count of Orvilliers. He participated in the battle of Ushant during which he was wounded. In May 1779, the squadron set sail again to protect a landing in England together with the Spanish fleet. After encountering an English squadron that dodged the battle, and tested by an epidemic that decimated the crews, d'Orvilliers had to cancel the project and returned to Brest in September. Brest 28 [April]. "I am very busy with my ship, the weather is terrible; La Motte Picquet continues not to find a single moment, that is what happens and what often makes one regret indecision in parties. On an insufficiently explained idea for the squadron and the convoy to go to Rochefort to incorporate the one that is on the isle of Aix, Messrs. de Guichen and La Motte Picquet have sent a letter to find out if they persist in this idea, or if they believe on the other hand that it seems to come to the head of the minister, to support the whole by the 25 ships that they hope to have ready on May 15, by joining the 4 released at Lorient [...] They are waiting to know the fate of the Engageante and the rest of the convoy. All this is very interesting for the corsairs" ... Brest, May 12. "It will be necessary, at least a few days before the lifting of the anchors, to prescribe the guidons to replace the flags of the chiefs, but on that I am well decided to refuse to display anything but my simple flame, to which I have reduced myself and where I have been imitated by Messrs Hector and Beausset. M. de S[artine] must be a very strange man, to have us say in his letter of March 12, that he has enough generals [...] and now that he seems to agree that he has almost nothing at all to replace the generals that his list was able to provide him with, to lull us into waiting for the last of all extremes [...] the form that this war has been allowed to take is most distressing for those who were engaged in it with ardor. The inactivity of the Ponant forces, the ridiculous stay of our frigates in the roadsteads or ports, that of the vessels susceptible like mine of advantageous marching, the disorder of the arsenal, the lack of chiefs in its detail; the lack of other chiefs for the hospitals, the reviews, the classes, the dispatches to be drawn from the intermediate ports: in general, all the organization of a navy on the move, made its movement late and quite unfruitful " ... Brest May 19. "The junction of the 3 ships of Rochefort, of the two of Toulon, especially the extreme difficulty of completing the army, are obstacles that it will be possible [?] to overcome before the end of the month. [...] I regret the terrible losses that the illnesses have caused to my crew as well as to the others. One must forever feel that those who have been crying out for barracks and hospitals for the past two years are seeing that they are being compensated for as best they can by building barracks." ... on board the Conqueror June 3. "The example of so many sailors who are victims here of our deficits in barracks, hospitals, &c., must excite us as soon as we leave to work very assiduously. M. de Sartine knows all that I wrote to him so that the Capuchins would be dislodged without being satisfied with the vain help of their cloister for our convalescents. It is necessary to take everything, it should have been done two years ago, 800 to 1000 convalescents will be housed there". - 3 copies of letters from Monteil to Sartine, Brest, on board the Conquérant, April-May 1779, requesting his promotion to the rank of squadron leader (which he obtained in May 1779) IX. Set of 14 letters and various documents, most of them addressed to the knight in 1779 (in-8°, in-4° and in-folio): reply of the viscount (Marly 5 May 1779); letter of nomination of the knight in the Order of Saint Lazarus; May 12, 1779, affair concerning the Marquis de Mirepoix, a deputy commissioner of the navy having served in India, the departure of the Spanish fleet from Cadiz, his nomination to the rank of squadron leader, a delivery of flour on board the Conqueror, copy of an order to Du Couëdic [ Charles Louis du Couëdic (1740-1780), famous for the fierce battle he fought on October 6, 1779, on board the frigate La Surveillante against the English frigate HMS Quebec. He died on January 7, 1780 in Brest as a result of his wounds]; on his intention to "hold the sea" only until September 8 at the most... Precious documents revealing the crucial period in the life of this famous sailor, from his grounding in 1776 which nearly ended his career to his appointment to the rank of squadron leader in May 1779; documents allowing an intimate approach to the concerns and actions of this famous sailor, who was, through the positions he held on land and at sea, both a craftsman of the modernization of the French fleet and a man of action at the heart of major battles of the American War of Independence. Provenance: personal archives of the knight.
Phone number : 06 81 35 73 35
Paris, éd. Didier, 1851, EDITION ORIGINALE, demi-chagrin noir, plats percaline chagrinée brun clair avec filet doré entre le dos et les plats, encadrements, auteur, titre et initiales (F. H.) dorés sur dos à 4 nerfs, reliure d'époque, 648 pp., ill. par 12 planches lithographiées coul. dont 1 en frontispice et 20 planches en noir sur carton fort,sous serpente, 1 carte en coul., très nb. gravures en noir in-texte par A. LELEUX, O. PENGUILLY et de T. JOHANNOT, appendice, table des matières, EX-LIBRIS en vert et jaune de l'historien François FURET collé sur la première garde ainsi que son cachet violet sur la première blance, Pierre-Michel-François Chevalier dit « Pitre-Chevalier » est un auteur, historien et journaliste français né le 16 novembre 1812 à Paimbœuf (Loire-Inférieure) et mort à Paris le 15 juin 1863. Il a été rédacteur en chef du Figaro et directeur du Musée des familles. Comme le titre l'indique bien, ce livre est l'histoire de cette partie de la France restée loyaliste et combattant la Révolution et l'Empire. Très bon document avec de très nombreuses références pour bien comprendre cette période dans ces régions de l'Ouest. Ce livre faisait partie de la bibliothèque personnelle de François Furet, avec son ex-libris. François Furet, né le 27 mars 1927 à Paris, mort à Figeac le 12 juillet 1997, est un historien français, spécialiste de la Révolution française et de son héritage idéologique. Il appartenait à une génération d'intellectuels cherchant dans les faits les raisons de la faillite du projet marxiste. Pas courant en Edition Originale. Très bon état de la reliure; comme dans tous les exemplaires présence de rousseurs mais épargnant des planches couleurs.
La Bibliothèque des Arts en 1980.In-4 toilé avec jaquette illustrée en couleurs.203 p.avec Notes et Index.Très nombreuses illustrations en noir et couleurs.Etat neuf.Dédicace.
Paris, Institut d'ethnologie, 1952 grand in-8, XXVII pp., 480 pp., avec 15 planches hors texte "in fine", et une carte dépliante volante et encartée, broché.
Édition originale de cette grande thèse, dont le sujet avait été suggéré par Marc Bloch avant son exécution : comme il fallait s'y attendre pour un sujet latino-américain, et dans l'état d'ignorance béate des milieux historiques français de l'époque sur l'Amérique hispanique, l'ouvrage ne connut qu'un public plutôt limité en France - et c'est un euphémisme - (mais avec quand même une réédition en 2006), tandis qu’il suscita immédiatement l'intérêt des érudits d'outre-Atlantique, traduit par Antonio Alatorre dès 1956 (Formación de los latifundios en México : tierra y sociedad en los siglos XVI y XVII) dans une collection mexicaine essentielle à l’époque : la revue Problemas agrícolas e industriales de Mexico qui accueillait principalement les grands textes nord-américains ou mexicains sur le Mexique contemporain. Ensuite, c’est en 1976, puis 1989 que le Fondo de Cultura económica réédita l’ouvrage, qui connut aussi des éditions anglophones (1963 et 1970). François Chevalier (1914-2012), fils du philosophe Jacques Chevalier, spécialiste de l'Amérique Latine, fut directeur de l'Institut français d'Amérique latine à Mexico de 1949 à 1962, puis directeur de la Casa de Velasquez de 1967 à 1979. Avant lui, en France, aucun historien ne s’était consacré exclusivement à l’Amérique Latine, et il ne fut pas prophète en son pays : les spécialistes français de cet immense domaine sont toujours aussi peu nombreux. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
,Brain-sur-Longuenée, Editions de la Beuvrière 1954, 174 pp., 1 vol. in 8 br. Le Chevalier Jean-François Trouard de Riolle (1739-1806) Seigneur du fief du même nom, Conseiller du Roi, Contrôleur Général des Marbres Chevalier de St-Louis, de St-Michel et du St-Sépulchre de Jérusalem, dernier Maire royal de Pont-à-Mousson . Illustrations hors-texte, fac-similés, quelques rousseurs.
- Copie sur papier timbré de 1842. Une feuille manuscrite 21 x 29 cm.
Vieux papier. Document, 1er messidor an VII. 19 juin 1799.
Collectif – CHEVALIER (Michel), Prosper Duvergier de Hauranne, François Vidal, etc.
Reference : 111504
(1844)
Milan, chez Charles Turati, 1844, in-8°, 578 pp, reliure demi-veau glacé prune, dos lisse, titres et roulettes dorées, tranches mouchetées (rel. de l'époque), dos uniformément passé, plats et coupes frottés, bon état. Rare
L'Isthme de Panama. L'isthme de Suez (Michel Chevalier) ; Du Royaume-Uni et du ministère Peel en 1843 (Duvergier de Hauranne) ; Les économistes de l'Institut : M. Rossi (François Vidal) ; Du projet de loi sur la réforme des prisons (Léon Faucher) ; Naples en 1843 (Paul de Musset) ; Le Japon et les Japonais (A. B. K.) ; L'Inde anglaise en 1843 ; La Chine ancienne et moderne, première partie (A. Jardot) ; Etudes sur les colonisations françaises : Canada, Acadie, Terre-Neuve, Baie d'Hudson, première partie (Emile Souvestre) ; Fra Bartolomeo (Alexandre Dumas) ; Charles Nodier (Sainte-Beuve) ; etc. — François Vidal (1812-1872) devient avocat en 1831. Il se distingue par sa vision critique de l'économie libérale, et collabore à différents périodiques : La démocratie pacifique de Victor Considérant, La Revue indépendante (créée par Pierre Leroux, George Sand et Louis Viardot en 1841), et, en 1849, Le travail affranchi avec Alphonse Toussenel. Secrétaire de la Commission du Luxembourg en 1848, il en rédige le rapport avec Constantin Pecqueur. En contact d'abord avec les saint-simoniens, puis avec les milieux fouriéristes, sa pensée est celle d'un socialiste moderne, curieusement tombé dans l'oubli. — "... La « Bibliothèque choisie des meilleures productions de la littérature française contemporaine », que je te présente au public sera un recueil des meilleurs articles qui paraîtront dans les ouvrages périodiques français les plus estimés tels que les Revues des deux Mondes, de Paris, Britannique, la Bibliothèque Universelle, l'Institut, les Annales des Voyages, etc. Ces journaux, embrassant toute l'échelle des connaissances humaines, rendant compte de tous les travaux, même étrangers, de quelque importance, assurent les moyens de pouvoir faire un choix varié sur toutes sortes de matières et de satisfaire à toutes les exigences, autant sous le rapport de l'instruction que de l'amusement. Je reproduirai même quelques nouveautés littéraires dans leur entier toutes les fois qu'elles se distingueront par un mérite particulier ou par un intérêt d'actualité, et que leur volume permettra de les faire entrer dans le cadre que je me suis proposé..." (L'éditeur)
Velin in-8 oblong (20cm sur 46,5cm) rédigé en langue française d'une belle graphie ancienne avec ses abréviations d'usage, portant une grande signature du Roi François 1er et, sous la mention "pour le Roi", celle du Chevalier Bayard. Traces de pliures anciennes, 4 petits trous en marge, texte bien complet, encre d'une grande fraîcheur. TRES BEL EXEMPLAIRE.
Ce document était destiné au Receveur Général des Finances Jehan La Guette, à qui le Roi ordonne: "nous voulons et mandons (...) payez, bayez et delivrez à nos chers et bien aimés écuyers de notre cuisine de commun Robert Villamoyne et Pierre de Neumant la somme de (...) 202 livres 10 sous tournois (...) en faveur des bons et agréables services qu'ils nous ont cy-devant faicts (...) donné à Saint Trivié le 4e jour d'octobre de l'an de grâce mil cinq cens quarante et ung de notre règne le vingt septieme". D'après nos recherches (Archives de Tours cote AD37/3E8 et Archives Nationales), un Robert Villamoyne était déjà écuyer de cuisine en 1525, un autre serait décédé à Tours en 1610. On trouve un François Villamoyne "saucier en la cuisine des communs" au XVIIIe siècle. Nous n'avons malheureusement pas pu découvrir d'informations au sujet de Pierre de Neumant. Aujourd'hui, deux villages des environs de Bourg-en-Bresse s'appellent Saint-Triviers-de-Courtes et Saint-Triviers-sur-Moignons.
SAVARY Louis François Alexandre de, CHEVALIER DE L'ORDRE MILITAIRE DE SAINT LOUIS, SEIGNEUR MARQUIS DE LANCOSME
Reference : 19933
(1747)
LANCOSME 1747 une lettre (document authentique), manuscrite à l'encre brune sur papier velin ligné filigrané, format : 38,5 centimètres de large x 49 centimètres de haut, cachets rouge aux armes des Lancosme en bas à gauche, signature manuscrite de Louis François Alexandre de SAVARY , CHEVALIER DE L'ORDRE MILITAIRE DE SAINT LOUIS, SEIGNEUR MARQUIS DE LANCOSME, fait au château de Lancosme, le 1er Juillet 1747 ,
Lettre d'Attribution du titre de Greffier ordinaire et civil du marquisat de lancosme, attribué à François BEGENNE procureur au marquisat de Mèzière en Brenne......rare document Berrichon...... en trés bon état (very good condition). trés bon état
Paris 1756 in 12 (17x10) Les 2 parties reliées en 2 volumes reliures plein veau fauve de l'époque, dos lisses ornés, pièces de titre de maroquin rouge, tranches marbrées. Tome 1: XVI et 225 pages. Tome 2: XL et 171 pages. François de Labat, Chevalier de Vivens, 1697-1780. Très bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Couverture rigide
Chevalier Maurice - Freed Fred - François Max,Chevalier Maurice
Reference : 1282
(1957)
Partitions sur Paris Paname Beuscher Paul 1957
Bon état Petit format
CHEVALIER Dominique, CHEVALIER Pierre & BERTRAND Pascal-Francois
Reference : S87596
(1988)
Paris, Solange Thierry/ La bibliothèque des arts 1988 204pp.avec de nombreuses illustrations en couleurs et en n/bl, 30cm., reliure toile d'éditeur, jaquette illustrée, sous étui cart. d'éditeur, bel état, S87596