François CHARLES-ROUX - [Marseille 1879 - Paris 1861] - Historien et diplomate français
Reference : 33093
1 page œ in4 bon état.
Il dit le plaisir que lui ont procurées les « quelques heures agréables et intéressantes » passées chez lui, à la Croix Bosset - Il est flatté de sa demande d'un ouvrage pour sa collection sur la Cité du Vatican mais, après réflexion, il « recule devant le sujet », trop éloigné de ses préoccupations. Le sujet demande des connaissance en histoire de l'art qu'il ne possède pas « à fond ». Ensuite, il aime que ses « travaux personnels fassent diversion » par rapport à ses fonctions professionnelles. Enfin, il souhaite que ses recherches aient une « orientation méditerranéennes : vieille fidélité à la mer sur les rives de laquelle je suis né ». Pour le moment, ses travaux tournent autour du « rôle civil de Bonaparte en Egypte », de la colonisation de l'Afrique du Nord, etc... et il ne souhaite pas s'en écarter.
Paris Plon Nourrit 1910 In8 - broché - 343 pages - bien complet des 2 cartes dépliantes -couverture défraichie sans gravité
Assez bon
[REVUE] François Charles-Roux, Jean Blottière, P. Chauveau, Christian Murciaux, Jean Rudio, J. Belin-Milleron, Jean-Eugène Bersier, Roger Belluc, Claude Delaunay, Claude Ollier, Louis Mercier, Pierre Grenaud.
Reference : 18345
Revue de la Méditerranée, n° 32, n° 4, tome 7, Paris-Alger, juillet-août 1949. Un fascicule in-8°, agrafé.
[18345]
[REVUE] François Charles-Roux, Jean Blottière, P. Chauveau, Christian Murciaux, Jean Rudio, J. Belin-Milleron, Jean-Eugène Bersier, Roger Belluc, Claude Delaunay, Claude Ollier, Louis Mercier, Pierre Grenaud.
Reference : 18347
Revue de la Méditerranée, n° 32, n° 4, tome 7, Paris-Alger, juillet-août 1949. Un fascicule in-8°, agrafé.
[18347]
[REVUE] François Charles-Roux, Jean Blottière, P. Chauveau, Christian Murciaux, Jean Rudio, J. Belin-Milleron, Jean-Eugène Bersier, Roger Belluc, Claude Delaunay, Claude Ollier, Louis Mercier, Pierre Grenaud.
Reference : 18348
Revue de la Méditerranée, n° 32, n° 4, tome 7, Paris-Alger, juillet-août 1949. Un fascicule in-8°, agrafé.
[18348]
[REVUE] François Charles-Roux, Jean Blottière, P. Chauveau, Christian Murciaux, Jean Rudio, J. Belin-Milleron, Jean-Eugène Bersier, Roger Belluc, Claude Delaunay, Claude Ollier, Louis Mercier, Pierre Grenaud.
Reference : 18349
Revue de la Méditerranée, n° 32, n° 4, tome 7, Paris-Alger, juillet-août 1949. Un fascicule in-8°, agrafé.
[18349]
[REVUE] François Charles-Roux, Jean Blottière, P. Chauveau, Christian Murciaux, Jean Rudio, J. Belin-Milleron, Jean-Eugène Bersier, Roger Belluc, Claude Delaunay, Claude Ollier, Louis Mercier, Pierre Grenaud.
Reference : 18350
Revue de la Méditerranée, n° 32, n° 4, tome 7, Paris-Alger, juillet-août 1949. Un fascicule in-8°, agrafé.
[18350]
[REVUE] François Charles-Roux, Jean Blottière, P. Chauveau, Christian Murciaux, Jean Rudio, J. Belin-Milleron, Jean-Eugène Bersier, Roger Belluc, Claude Delaunay, Claude Ollier, Louis Mercier, Pierre Grenaud.
Reference : 18357
Revue de la Méditerranée, n° 32, n° 4, tome 7, Paris-Alger, juillet-août 1949. Un fascicule in-8°, agrafé.
[18357]
1947, Flammarion. In-8, relié pleine toile dos long en bonne état, 398p. Texte seulement. Le livre est dans un bon état général malgrès des marques d’usages légères. Présence d’une vignette ex-libris.
Nous detenons aussi d'autres ouvrages en lien avec cette collection dans notre catalogue.
Fayard, 1958, in-8°, 377 pp, broché, couv. lég. salie, bon état
"Avant de devenir ambassadeur auprès du Vatican, F. C.-R. exerça pendant la première guerre mondiale les fonctions de secrétaire puis de conseiller à l'Ambassade de France auprès du gouvernement italien. Ses souvenirs fournissent des précisions intéressantes sur les relations franco-italiennes, sur les hommes d'Etat italiens et sur la personnalité de Barrère, alors ambassadeur à Rome, pour lequel l'auteur professe la plus grande admiration. Un chapitre très sévère sur Caillaux à propos de son voyage en Italie en 1916." (Revue française de science politique, 1960) — "... on lira avec l’intérêt le plus vif les chapitres relatifs à la première offensive de paix austro-allemande, préparée entre les deux partenaires par une négociation si réellement secrète que nul, chez les Alliés, ne la soupçonna et qu’elle demeura encore inconnue dix ans plus tard quand M. Charles-Roux en révéla l’existence et le détail. (...) M. Charles-Roux apporte ici le témoignage le plus direct, les informations les plus détaillées et les plus précises, qui se trouvent être assez accablantes, sur le séjour à Rome de Joseph Caillaux, ses relations avec des personnages tarés, sa propagande à rebours, ses conversations officieuses, son audience au Vatican, le dépôt en lieu sûr de ses papiers, dont le fameux dossier « Rubicon », projet de prise du pouvoir, de mise en congé des Chambres, de limogeage de tous les commandants d’armée, le commandement en chef étant donné à Sarrail, et d’ouverture immédiate des pourparlers de paix. Sur cette tragi-comédie se greffe la farce des démêlés de Mme Caillaux avec l’ambassade (que Joseph Caillaux n’honorait pas de sa visite, sinon pour y faire viser son passeport diplomatique établi sous un faux nom !) La farce, il est vrai, serait plus drôle si elle n’avait suscité tant de remous, d’embarras et d’interventions. « Barrère et moi, note M. Charles-Roux, nous fûmes surpris et un peu écœurés que, dans la tragédie alors vécue par la France, un président du conseil français crût devoir insister à ce point auprès d’un ambassadeur, pour apaiser les susceptibilités d’une voyageuse dont, après tout, le seul titre personnel à la notoriété était un assassinat prémédité, ce qui n’était pas fait pour lui ouvrir toutes grandes les portes d’une ambassade française... » L’activité romaine du passeur de Rubicon (qui, à la différence de César, n’envisageait pas de sauter le pas à la suite d’une victoire, mais pour mieux assurer une demi-défaite) eut pour conséquence de grandes alarmes chez les alliés, redoutant que la France fût sur le point de les « lâcher ». Plus tard, à Clemenceau qui exprimait devant lui un certain doute sur ce que Cailloux eût « positivement trahi », et qui lui demandait ce qu’il en pensait, M. Charles-Roux fit cette réponse (concernant le seul épisode italien), qui demeure sa conclusion d’aujourd’hui : « Je pense (qu’il) a été l’instrument d’un agent de l’ennemi, Cavallini, qui avait été chargé par la propagande allemande d’aider au succès de la manœuvre pacifiste de décembre 1916. » Le livre relate ensuite les nouvelles tentatives de paix, les ouvertures de l’empereur Charles par l’intermédiaire de ses beaux-frères, les princes Sixte et Xavier de Bourbon-Parme ; puis Caporetto, le redressement italien vigoureusement appuyé par les alliés ; l’armistice, les griefs et les rancœurs de l’Italie, la tension franco-italienne, et le rôle décisif que joua Barrère tout au long de ces diverses crises. Tout empli qu’il soit par les événements dont n’était que trop riche cette période de l’histoire, le livre fait sa place au pittoresque, à l’observation des mœurs et des hommes, aux croquis et aux portraits." (Yves Florenne, Le Monde diplomatique, 1958)
Plon, 1936, in-8°, 383 pp, 25 gravures et une grande carte dépliante hors texte, broché, pt morceau de scotch en haut du dos, bon état
L'ouvrage n'est pas seulement un ouvrage de référence sur la campagne d'Egypte. En effet l'auteur s'intéresse à l'administration du futur empereur. Pour lui cette période d'apprentissage permit à Bonaparte de développer des idées qu'il devait employer plus tard. — "Excellent sur l'œuvre intérieure." (Jean Tulard, Napoléon) — "Un très remarquable ouvrage." (Georges Spillmann, Revue du Souvenir Napoléonien, 1979) — "M. François Charles-Roux, ancien ministre de France à Prague, nous propose un nouvel ouvrage extrêmement précieux pour les historiens de la colonisation française et aussi pour le grand public qui sera heureux d'y trouver exposé avec une objectivité remarquable, un sens historique aïgu et, ce qui ne nuit point, beaucoup d'agrément, un chapitre peu connu de l'histoire de Napoléon et une étude des principes d'une méthode de colonisation. L'auteur définit tout de suite les caractères de l'expédition d'Egypte, qui ne fut pas seulement décidée pour des motifs politiques d'intérêt immédiat temporaire, mais en considération d'un établissement définitif. A cet égard l'organisation de cette grande mission de 165 savants et spécialistes que le général Bonaparte s'adjoignit (astronomes, géomètres, chimistes, physiciens, ingénieurs, géographes, architectes, zoologistes, botanistes, minéralogistes, artistes, compositeurs, littérateurs, économistes, antiquaires, orientalistes, imprimeurs, chirurgiens, médecins, pharmaciens) est tout à fait probante. Avec adresse, l'auteur évite d'encombrer son récit des péripéties multiples de l'expédition d'Egypte, et ne met en lumière les grandes lignes de l'histoire militaire que dans la mesure où elles ont influé sur la politique colonisatrice de Bonaparte. C'était la première fois que la France colonisatrice prenait contact avec l'Islam africain. Ce fut le mérite de Bonaparte de comprendre tout de suite la puissance de l'Islam et de ménager cette puissance. Ayant dû recourir à la force pour s'emparer d'Alexandrie, puis du Caire, Bonaparte se trouvait devant un problème délicat : ne pas brusquer une population indigène à laquelle il voulut apparaître sous les espèces d'un libérateur. D'où une sorte de politique de protectorat : postes de responsabilité confiés à des indigènes, intérêts matériels de la population ménagés, stricte discipline maintenue dans l'armée d'occupation, etc. L'habileté avec laquelle Bonaparte gouverneur de l'Egypte pratique cette politique fait pressentir Napoléon et, comme le remarque fort justement M. F. Charles-Roux, c'est dès cette époque et non plus tard que « Napoléon perçait sous Bonaparte ». Au risque de ne pas être compris des Français qui l'accompagnaient. Bonaparte témoigna non seulement de la déférence, mais de la sympathie pour l'Islam. Il le fit pour ne pas rendre plus difficile encore sa tâche; d'organisation singulièrement compliquée par les difficultés financières et les hostilités engagées avec l'Angleterre et la Porte Ottomane. Très vite, il apparut que la cohorte de savants qu'il avait amenés avec lui et qui constituèrent l'Institut d'Egypte, fondé le 2 août 1798, pouvait être son plus utile auxiliaire. Les difficultés matérielles du début ne furent point médiocres pour ces intellectuels français peu habitués aux fatigues des camps, mais elles s'atténuèrent ou disparurent quand l'Institut fut royalement installé au Caire dans la palais de Quassim-Bey. L'insurrection du Caire (octobre 1798) due à la duplicité orientale – avec laquelle Bonaparte n'avait pas assez compté – à la propagande anglaise, à celle des Mameluks, anciens maîtres du pays, aux vicissitudes de l'expédition de Syrie, à la guerre avec la Turquie, au « cafard » qui travailla à un moment donné les troupes françaises, tout cela retarda l'organisation méthodique du pays, compromit son succès. Toutefois il est équitable de reconnaître, qu'à aucune époque de l'histoire militaire de la France la guerre n'avait été accompagnée d'un tel effort d'investigation dans le passé du pays, d'un tel effort d'organisation et d'amélioration matérielle du pays occupé. Bonaparte, pour cette œuvre grandiose ne disposa que de 13 mois et 20 jours. Son départ secret et précipité qui toutefois n'amena point l'évacuation immédiate, laissa inachevée l'œuvre qu'il n'avait pu qu'ébaucher, mais dont il est resté quelque chose. Une étude historique à la fois instructive, solide et brillante." (Alfred Fichelle, Revue Française de Prague)
# AUTEUR: Charles-Roux François # ÉDITEUR: SPID # ANNÉE ÉDITION: 1932 # COUVERTURE: Souple - imprimée en couleur # DÉTAILS: In 12° broché 301pp. Envoi autographe de l'auteur à Henry Bordeaux. Cet ouvrage expose les tentatives de paix qui ont été faites d'un bout à l'autre de la guerre de 1914-1918. # PHOTOS visibles sur www.latourinfernal.com
# ÉTAT: 1er plat taché, non coupé
Firmin didot. Non daté. In-4. Broché. Bon état, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 13 pages (recto uniquement ) .Une déchirure sur la première page.. . . . Classification Dewey : 845-Discours
Classification Dewey : 845-Discours
Plon, 1922, in-8°, 382 pp, notes, broché, bon état. Peu courant
"On aurait tort de croire que la rivalité de la France et de l'Angleterre au sujet de l'Egypte date du XIXe siècle. En réalité, les origines, de cet antagonisme sont bien plus anciennes. Dès le début du XVIIIe siècle, les deux, pays eurent leur attention attirée sur l'importance de l'isthme de Suez pour un commerce plus direct et plus rapide avec les Indes, mais ce furent les diplomates français qui virent les premiers le profit que l'on pouvait en retirer. L'occupation de l'Inde par l'Angleterre finit par ouvrir les yeux aux hommes politiques et aux commerçants d'outre-Manche. Diverses tentatives pour faire passer les marchandises par Suez leur occasionnèrent bien des difficultés : opposition du sultan, pillage de caravanes par les indigènes, insuccès diplomatiques à Constantinople, etc. De son côté, la France ne restait pas inactive pour contrecarrer ces projets. Un instant, la Russie compliqua encore la querelle par des vues intéressées sur l'Egypte. Les tribulations subies, par les Français en Egypte et le souci d'abattre la puissance de l'Angleterre amenèrent le Directoire à organiser l'expédition de Bonaparte. Celle-ci ouvrit définitivement les yeux aux Anglais qui dès lors ne songèrent plus qu'à étendre leur domination sur l'isthme de Suez considéré comme la meilleure route des Indes. On sera reconnaissant à M. François Charles-Roux d'avoir étudié avec tant de sagacité les origines de la compétition entre Anglais et Français à propos de l'Egypte." (Raymond Janin, Echos d'Orient)
P., Plon, 1922. In-8, 382 pp. broché.
Peyit format, couverture souple.223 pages. Papier jauni 1928 Plon
P., Plon-Nourrit et Cie, 1922, in-8, br., non rogné, 382 pp. (SS33D)
Marque d'appartenance manuscrite. Ex-libris Fr-Ch. Montet.
In-4 (240 x 190 mm), broché, couverture cartonnée imprimée de l'éditeur, 749, (1) p., nombreuses planches in et hors-texte. Paris, Félix Alcan, 1932.
Edition originale et unique donnée dans le cadre de la "Collection du centenaire de l'Algérie", enrichie d'un envoi autographe signé de l'auteur au Général Weygand.Joint 4 pages de prospectus sur la "Collection du Centenaire de l'Algérie".Bon exemplaire, bien conservé.
Phone number : 33 01 47 07 40 60
Broché - 16.5x25 - 270 pp - 1955 - LAROSE, Paris - 31 planches.
Plon 1949 In-8 relié demi-toile bleue, 404 pp.
Bon état d’occasion
Paris, Plon, 1951 petit in-8, 334 pp., biblio., broché. Déchirures à la couverture.
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Plon, 1922 in-8, 382 pp., demi-chagrin bleu nuit, dos à nerfs, tête dorée, couv. cons. (reliure de l'époque). Infimes frottements au dos.
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Le Caire, (1925). Grand in-8 broché non coupé, couverture illustrée en noir et en couleurs, XXIV-278 pp., 1 carte dépl. en couleurs in fine.
Dos insolé, petit manque en bas du dos, bon ex. non coupé néanmoins. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 11 € -Monde (z B : 18 €) (z C : 31 €)
Couverture souple bleue. Deux cartes dépliantes in-fine.
Paris Librairie Plon, les petits-fils de Plon et Nourrit 1910 350 pp. In-8. Broché. Etat correct. 1 volume. Deuxième édition.
Plon. 1929. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos plié, Papier jauni. XLIII + 223 pages. Tampon et étiquette collée en page de titre. Etiquette collée en coiffe de pied. Tampon sur le 1er plat. Plats très légèrement déchirés.. . . . Classification Dewey : 940-Histoire générale de l'Europe
Préface de M. Jacques Seydoux. Classification Dewey : 940-Histoire générale de l'Europe