Goupil et Cie, Editeurs-Imprimeurs à Paris, Manzi, Joyant et Cie, successeurs , Grandes Editions Illustrées Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1918 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur verte grand In-8 1 vol. - 255 pages
28 planches hors-texte, certaines en couleurs, dont le frontispice, dont un portrait du peintre (complet, très belles planches) édition de 1918 Contents, Chapitres : L'éducation - L'Italie - Le succès - La famille - Le déclin - Appendices : Le voyage d'Italie - Le voyage de Hollande - Le séjour à Grasse - Note bibliographique - Table des noms, table des illustrations - Pierre Girauld de Nolhac, né à Ambert le 15 décembre 1859 et mort à Paris le 31 janvier 1936, est un historien et poète parnassien français. Il fut le conservateur du musée du château de Versailles de 1892 à 1919. Pierre de Nolhac a laissé une uvre abondante consacrée en majeure partie à lhistoire, en particulier à lhumanisme pendant la Renaissance. Lors de son séjour à l'École française de Rome (1882-1885), il avait découvert à la Bibliothèque vaticane des manuscrits inédits de Pétrarque, dont le fameux Canzoniere, ce qui lui permit de faire avancer la connaissance à son sujet. Sa monographie sur Fulvio Orsini fait encore autorité. Il a également consacré de très nombreux ouvrages à la reine Marie-Antoinette et au château de Versailles. Son uvre comme poète fut reconnue en son temps, notamment par son ami le poète italien Gabriele D'Annunzio. (source : Wikipedia) - Jean-Honoré Nicolas Fragonard, né le 5 avril 1732 à Grasse et mort le 22 août 1806 à Paris, est un des principaux peintres rococos français. Peintre d'histoire, de genre et de paysages, il se spécialise assez rapidement dans le genre libertin et les scènes galantes, comme le montre son célèbre tableau Le Verrou. - À l'instar de François Boucher, Fragonard est considéré comme le peintre de la frivolité, du rococo, bien qu'il ait peint dans de nombreux autres registres : grands paysages inspirés de peintres hollandais, peintures religieuses ou mythologiques, ou scène de bonheur familial notamment. D'un trait virtuose, Fragonard savait montrer le tourbillonnement du monde par des gestes expressifs et gracieux ou des drapés pleins de vigueur. Fragonard est le dernier peintre d'une époque sur le déclin, ses scènes de genre seront bientôt rendues obsolètes par la rigueur néo-classique de David, par les évènements de la Révolution et ceux de l'Empire. Les scènes de genre de Fragonard sont volontiers érotiques, comme Les Hasards heureux de l'escarpolette, fantasme d'un commanditaire (M. de Saint-Julien, receveur général des biens du clergé) qui donna à l'artiste des conseils de mise en scène : « Je désirerais que vous peignissiez Madame sur une escarpolette qu'un évêque mettrait en branle. Vous me placerez de façon, moi, que je sois à portée de voir les jambes de cette belle enfant et mieux même, si vous voulez égayer votre tableau. ». Mais même ces scènes effectivement frivoles peuvent être lues à un niveau différent, on peut y voir percer, souvent, une inquiétude, un sentiment de fin de fête parfois (et cela rappelle Antoine Watteau ou encore le roman Point de lendemain de Vivant Denon), ou encore une menace diffuse : les couples dans l'intimité, les belles qui s'épouillent, les endormies, tout ce petit monde de grâce et de sympathie est observé par un peintre qui nous rappelle que la jeunesse ne dure pas et que les moments de tendresse lascive sont fugaces et rares. Fragonard avait travaillé notamment avec Hubert Robert (1733-1808), leur collaboration fit l'objet d'une exposition à Rome à la villa Médicis. (source : Wikipedia) infimes traces de pliures aux coins du plat inférieur, bords de la couverture à peine jaunis sans gravité, la couverture reste en très bon état, intérieur frais et propre, quelques rousseurs discrètes, cela reste un bel exemplaire, bien complet des 28 planches hors-texte dont le frontispice en couleurs
1934 S.l.n.d., [P., Jacomet, 1934-38 (?)], 2 vol in-folio (362 x 255 mm) reliés plein maroquin grenat, dos à 6 nerfs richement ornés, triple filets et dentelle dorés en encadrement sur les plats, tranches dorées, roulette dorée intérieure, doublures et gardes de soie moirée bleue, de (4) ff., (2) ff., 244 pp., (1) f., 57 pl. h. t. (pagination continue). Dos des 2 tomes et bords du plat supérieur du Tome II légèrement insolés, bel exemplaire par ailleurs.
Fragonard, vers 1770, exécute 57 dessins quil rehausse dun lavis sépia, certainement pour un mécène. L'édition des Contes illustrés par Fragonard n'a pas lieu...Seul le premier tome paraît en 1795, chez Didot. Les dessins sont repris par Fragonard pour être gravés par les meilleurs artistes. Au XIXe siècle, on parle beaucoup du manuscrit, et ce n'est qu'en 1934 que l'ouvrage entre dans les collections du Petit Palais.Superbe et impressionnant fac-similé en couleurs, reproduit par le procédé Jacomet, du manuscrit possédé par Eugène Paillet et Henri Béraldi, réalisé à loccasion de lacquisition de lexemplaire par le Musée. Il est illustré des 57 dessins sépia de Fragonard contrecollés. Le texte est encadré d'un liseré vert et les titres courants sont calligraphiés en rose. Le souci de la perfection de la reproduction a été poussé jusquà reproduire lex-libris de Béraldi et les différents commentaires laissés par les divers possesseurs à travers le temps en page de garde, ainsi que les pâles rousseurs de lexemplaire original !Le tirage est de 200 exemplaires, imprimés sur papier vergé. Un double feuillet de présentation de l'ouvrage par Raymond Escholier, portant le numéro de l'exemplaire devait accompagner celui-ci, il est ici absent. Par contre, nous joignons un double feuillet spécimen de louvrage reproduisant le titre du Tome I, la fable "La Servante justifiée" et son illustration, dans lequel ont été insérés 3 courriers adressés à M. R. Arnold, de Palaiseau : - Une lettre autographe signée de Royer (?), datée du 16 mars 1936, lui précisant quil lui envoie un spécimen des "Contes de La Fontaine".- Une lettre dactylographiée signée de Daniel-Weill, trésorier de la publication, datée du 7 février 1938, lui spécifiant quil na pas de nouvelles récentes de la publication et quil transmet à Raymond Escholier.- Une lettre dactylographiée signée de Raymond Escholier, conservateur du Petit-Palais, à lentête du Musée, datée du 9 février 1938 : "Je mexcuse dun retard qui nest dû quau souci de perfection qui anime notre Comité quant aux reproductions des dessins de Fragonard. M. Jacomet, chargé dexécuter ces travaux, visité tout dernièrement par un de mes conservateurs-adjoints, M. Héron de Villefosse, a assuré à ce dernier quil livrerait le Ier livre des Contes à la fin du mois. Avec les délais à prévoir pour la reliure, cela nous remet courant avril".Ces courriers permettent donc de supposer que le projet aurait mis 4 ans avant darriver à son terme.La reliure reproduit celle recouvrant le manuscrit original exécutée par Derôme.
P., A. Le Vasseur, 1884 ; 2 vol. in-4. 3 ff.-XLIII-2 ff.-288 pp. - 5 ff.-418 pp.-1 f. - 92 planches hors-texte dont 57 eaux-fortes gravées par Martial - vignettes in-texte. Demi-chagrin rouge, dos à nerfs ornés, titres et tomaisons dorés. Des rousseurs ponctuelles. Déchirure réparée au feuillet de titre du tome 1.
Réimpression quasi identique à l'édition donnée par Lemonnyeren 1883. Fragonard avait exécuté pour un mécène, vers 1770, 57 dessins rehaussés dun lavis à la sépia. Seul le premier tome des Contes illustrés par Fragonard paraît en 1795, chez Didot. Les dessins furent repris par Fragonard pour être gravés par les meilleurs artistes. La présente édition reprend les gravures d'après Fragonard imprimés par Didot en 1795, augmentée des eaux-fortes réalisées par Martial . Elle a la particularité davoir de nombreuses planches en deux états sur différent papiers : chine, vergé et vélin. Lordre des contes suit celui de lédition de Didot par ordre alphabétique sans respecter l'ordre de lédition originale de 1665. La table des matières fait apparaître les contes seulement attribués à lauteur.
1883 Paris, chez J. Lemonnyer, 1883, 2 forts volumes in-folio de (6)-LXIX-(3)-288 pp. ; (6)-418-(2) pp., rel. d'ép. demi-chagrin rouge, dos à nerfs ornés de pointillés dorés et soulignés de filets à froid, dates en pieds, têtes dorées, bel ex.
Réimpression par l'éditeur Lemonnyer, de l'édition Didot de 1795 illustrée par Jean-Honoré FRAGONARD, augmentée des 58 planches gravées par A.-P. MARTIAL. "Les planches hors-texte de l'édition Lemmonyer sont donc : 1° Les 34 planches de l'édition de 1795 ; 2° les 58 planches gravées par Adolphe MARTIAL POTEMONT, y compris le portrait de Fragonard, publiées avant la lettre par Pierre Rouquette qui les céda à Lemonnyer à la charge par celui-ci d'y faire mettre la lettre." (Vicaire IV, 921). Ces planches gravées à l'eau-forte de A.-P. Martial d'après Fragonard, le rendirent célèbre à l'époque. Ex libris : Armand SIBIEN architecte.
Paris, Gallimard, 1987. In-4, sans faux-titre, 137[dont le titre]-(1) pp.-(3) ff.(dont table des illustrations/dépôt légal], bradel toile gris pâle, dos lisse orné du titre doré, répété, avec initiale dorée, sur le plat supérieur, jaquette illustrée (reliure de l’éditeur ; bel exemplaire). S’agissant de Sollers, le texte ne peut être que sulfureux. Il nous apprend que « Frago » « peindrai(t) avec (s)on cul » (p.22), que, marié à quarante ans, il vécut avec sa femme et sa jeune belle-sœur, « dans une atmosphère d’inceste minutieusement sublimé » (p.34).
De quoi alimenter la prose d’Aude LORRIAUX in « Slate.fr », présentant le livre « Une culture du viol à la française », de Valérie REY-ROBERT, laquelle éreinte « Fragonard, peintre admirable mais propagandiste de la culture du viol ». Et de citer, comme preuve irréfutable, deux des œuvres emblématiques du peintre : LE VERROU [ici, pp.140-141 photo 1], où l’on voit « une femme repousser un homme et essayer d’atteindre la porte, pendant que le violeur ferme la porte à clé » (note*) et LA RÉSISTANCE INUTILE [pp. 103/107-108/109 photo 2] qui « offre encore plus clairement l’image du viol d’une servante par son maître ». (note*) : le tableau montre le violeur « présumé » effleurant un verrou curieusement placé très haut ; la serrure est vierge de tout contact ; c’est peut-être là une allégorie dans laquelle le criminel souhaite mettre sa clef dans la serrure de la demoiselle ? Mais, comment a- t’il pu entrer dans la chambrette de la minette ? Tout simplement parce que la porte n’était, ni fermée à clef, ni verrouillée. Que nous montre la Résistance ? L’offertoire avant la communion : le « détail « (pp.108-109) affiche un calice appelant la célébration, beaucoup plus que le buisson ardent peint par Gustave Courbet… De plus, l’examen des visages ne reflète ni l’angoisse, ni la peur, ni la colère, plutôt l’attente… Donc, cette interprétation partisane, mieux, communautariste, montre ses limites : en droit français, intention de crime, sans commencement d’exécution, ne vaut pas crime. Mais il y a mieux. Examinons de près quelques tableaux dont l’auteur(e) se garde bien de nous entretenir : L’ESCARPOLETTE (p.17/18-19 photo 3), moment délicieux, entre voyeurisme et exhibitionnisme, LA LEÇON DE MUSIQUE (67 photo 4), LA COQUETTE ET LE JOUVENCAU (23/25 photo 5), LE FEU AUX POUDRES (100 photo 6), dans lesquels s’en donnent à cœur joie les aguicheuses et autres allumeuses ; puis, très progressivement, L’ÉDUCATION FAIT TOUT (38 photo 7), ou plutôt « toutou », une jeunette examinant l’anatomie ventrale de deux petits cabots, L’ÉTABLE (112 photo 8), évoquant la célèbre Mireille : « Couchés dans le foin…, etc ; LE SATYRE ET LES TROIS BACCHANTES (107/117/118-119 photo 9) n’est pas mal non plus ; plus excitant, LE COUCHER DES OUVRIÈRES (87 photo 10), ou comment causer entre filles, l’île aux Tribades n’est pas loin, et, enfin, la meilleure de ces petites scènes libertines, LA MAÎTRESSE D’ÉCOLE (35/36 photo 11), qui reluque ostensiblement le « kiki » d’un bambin à demi dénudé ; mais, que tient-elle donc dans sa main droite,… un couteau de cuisine ! Dans son texte, Madame Rey-Robert, en marge de l’exécution en règle de Fragonard, règle leur compte aux Troubadours, dont l’Amour courtois, sous des apparences affables, n’est ni décent, ni honnête. L’apothéose : une féroce citation de Françoise Giroud, « dans l’Obs » - bien entendu, sans référence précise- dans laquelle la violence cède le pas à la courtoisie: « Heureuses, ces religieuses enculées (1), ces adolescentes engrossées, ces vieilles femmes grugées (2), ces matrones délaissées (3), ces catins rétribuées (4), ces amoureuses d’un soir (5) refilées à qui voudra bien les prendre, ces ouvrières tringlées à la chaîne ? (6) ». Laissons ces féministes entre elles, voraces et coriaces, aux propos sous tendus par cette belle devise : « Homme, unique objet de mon ressentiment ! ». (1) C’était un mode de contraception très efficace, encore pratiqué aujourd’hui dans certaines communautés. (2) dupée, la vieille ayant roulé sa bosse, croyant encore au Prince charmant ? (3) matrone : c’est à peu près l’exemple ci-dessus, ou alors « une parfaite épouse, mère et femme d’intérieur » corrompue par un sinistre galant, ou « une femme d’un certain âge, grosse, souvent laide et d’allure vulgaire » corrompant un naïf amant… . à moins, à moins que… ce fût « une entremetteuse, tenancière de maison close » (définitions du CNRTL). (4) Le comble serait de ne pas payer une prostituée : ce ne serait pas du viol, mais du vol. (5) par définition la quêteuse d’un soir, ne repasse pas les mêmes plats le lendemain (6) Le Code du Travail interdit formellement les relations sexuelles sur le lieu de travail. Conclusion : Sollers l’encenseur, censuré, Fragonard, « l’inceste sublimé », au feu ce beau livre, palympseste sublimé, posthume vengeance de la Sublime Porte.Emporté par un élan romantique, j’ai oublié de mentionner le nombre de planches, toutes dans le texte, de très beau recueil : soixante-douze, dont douze à double page. BUR (KS)
Paris, Union Littéraire et Artistique, s.d, ; 2 vol. in-4. 19ff. n. ch.-332pp.-3ff. - 2ff.-353pp.-3ff. 57 vignettes contrecollées. Chagrin bordeuax de l'éditeur, dos à nerfs orné, plats encadrés d'une large dentelle doré, tranches dorées. Etuis bordés. Parfait état.
Edition tirée à 3500 exemplaires sur vélin de Rénage, exemplaire "de luxe" en reliure plein cuir pastiche du XVIIIe siècle illustrée des 57 dessins rehaussés d'un lavis à la sépia que Fragonard réalisa vers 1770 pour un commanditaire inconnu. L'édition des Contes avec les illustrations de Fragonard ne se fit pas et seul 1 volume pu paraître en 1795 chez Didot avec une vingtaine de dessins. Mais le manuscrit passa entre les mains de différents collectionneurs jusqu'à entrer en 1934 dans les collections du Petit-Palais à Paris.
Paris, s.é., 1854. Un vol. au format gd in-12 (188 x 123 mm) de 1 f. bl., 1 frontispice lithographié n.fol., ix - 236 pp. et 1 f. bl. Reliure d'édition de plein cartonnage marine, importante composition figurative dorée portée sur chacun des plats, dos lisse orné de larges fleurons romantiques dorés, titre en relief, tranches dorées.
Exemplaire revêtu d'un joli cartonnage romantique du temps. Il s'agrémente de 16 (et non 15) jolies compositions lithographiées sur fond jaune à l'imitation du papier de Chine. ''Théophile Fragonard, fils d'Alexandre, dont il fut l'élève, et petit-fils de Jean-Honoré Fragonard fut pendant de longues années attaché à la Manufacture royale de Sèvres. Il figura au Salon à partir de 1831 et produisit des dessins pour l'illustration et fit beaucoup de lithographies''. (in Bénézit). Bénézit IV, Dictionnaire des peintres, p. 474 - Osterwalder I, Dictionnaire des illustrateurs, p. 386. Légère perte de coloration en marge du second plat. Quelques rousseurs dans le texte. Petite cerne affectant la partie supérieure des fonds de cahiers. Du reste, belle condition.
1883 P., P. Rouquette, 1883, 2 vol. in-8° (254 x 165 mm), reliure de l'époque 1/2 maroquin marron à coins, dos à 5 nerfs richement ornés, filet doré bordant les plats de papier « il de chat », têtes dorées, couvertures bleues imprimées en noir et rouge conservées (ALLO), de (2) ff. (faux-titre et titre) - LXII pp. - 244 pp. ; (2) ff. (faux-titre et titre) - 330 pp. - (1) f. Dos légèrement assombris, accidents minimes aux coiffes supérieures, papier légèrement bruni par endroits, bel exemplaire bien relié par Allô par ailleurs.
Tome I : Portrait de La Fontaine d'après Rigaud en frontispice, titre gravé d'après Choffart, 27 planches hors-texte, 1 entête et 29 culs-de-lampe Tome II : Portrait de Fragonard d'après Mlle Gérard en frontispice, titre gravé d'après Choffart, 45 planches hors-texte, 1 entête et 43 culs-de-lampeExemplaire numéroté du tirage courant (N°470), après 400 exemplaires sur divers papiers avec double état des illustrations. Réf. biblio. : Vicaire, IV-923.
Paris, Union littéraire et artistique, s.d. 2 volumes in-4° en feuilles, chemise et étui. Avec 57 lavis à pleine page de Fragonard et de nombreux culs-de-lampe par Choffard.
Très joli fac-simile.
1884 Paris, A. Le Vasseur, 1884. 2 vol. gr. in-4: 25,5 x 33 cm. I/ 4 ff., LXIX pp., 1 f., 288 pp.; II/ 4 ff., 419 pp. Réimpression, avec de très-légères modifications de l'édition Lemonnyer de 1883, reprenant elle-même l'édition Didot de 1795. Superbe édition illustrée de 100 gravures et vignettes dont 93 estampes d'après Fragonard. Reliures en demi-maroquin rouge à larges coins. Dos à 5 nerfs avec titre, tomaison et caissons dorés. Plats recouverts de papier moucheté de couleur assortie. Tranches de tête dorées. Traces de frottement, principalement sur les dos et les coins, et petit manque à la coiffe du tome 1, sinon ouvrage en bon état général.
Les planches ont été exécutées d'après les dessins originaux de Fragonard; elles ont paru, en partie, en 1795, dans l'édition Didot, en partie en 1880, dans la suite Rouquette; quelques pièces ont été éditées pour la première fois par Lemonnyer en 1882 seulement. Biblio.: Cohen, 247-253; Rochambeau, Biblio. La Fotnaine, no. 178 & no. 182
Berlin:MARQUART Verlaganstalt [ca. 1910?]Good in wrappers small folio 59,[ 1]pp Text in German; Notable for th e 4-color plate ("The Music-Lesson") and the gravure reproduction (in addit ion to the other illustrations); text possibly a reissue of Kahn's 1907 monograph on the artist (see Freitag #3053); also probable volume in the serie s "Kunst der Gegenwart". a fairly serviceable copy. Illustrated by 1 color & 49 b/w illus. 1st ed thus. Binding is paperback.
bon etat
Paris, Les Editions pittoresques, 1929. Edition définitive illustrée de 60 hors-texte en héliogravure In-4 broché 238 pp.
bon etat
P., Éditions Paris-Musées, 1992, in-4, br., couv. ill. à rabat, 278 pp., biblio. (S4B87f*)
Catalogue de l'exposition au Musée du Petit Palais, 1992/1993. Très nombreuses reproductions en noir et en couleurs de BOUCHER, COCHIN, DAVID, FRAGONARD, GREUZE, HOUEL, HUET, LÉPICIÉ, MOREAU LE JEUNE, PRUD'HON, H. ROBERT, VIEN, VIGÉE-LEBRUN, WATTEAU, etc , etc.
Couverture souple. Broché. 42 pages. 19 planches.
Livre. Exposition au Musée Fragonard de Grasse. Musée Fragonard, 1962.
P., Rothschild, 1889, fort in-4, demi-chagrin bleu outremer à coins, soulignés de filets dorés, dos à nerfs, encadrements fleuronnés aux caissons, tête dorée, couv. illustrée en couleurs cons. (rel. de l'ép.), XII-348 pp. (M48)
La vie du peintre, suivi de Pièces annexes, Catalogues des peintures puis des principaux dessins, Miniatures et index des oeuvres et noms cités. 210 planches et vignettes d'après les peintures, estampes et dessins originaux. Eaux-fortes par LALAUZE, CHAMPOLLION, COURTRY, DE MARE, WALLET, GREUX, VEYRASSAT, BOILVIN, MONZIES, SALMON et JAZINSKI. Un des simili-japon. Les premiers plats roses des couvertures de livraison (muettes) sont conservés. Ex-libris Jh Hasaert parisiensis. Joint un tirage à part de L'Amour et la poésie de Fragonard, Imp. Georges Petit, Paris. Petites épidermures. Piqûres éparses.
Paris Henri Floury 1931 1 vol. relié in-8, demi-chagrin vert sapin, dos à nerfs, couvertures et dos conservés, 236 pp., frontispice en couleurs et 35 planches de reproductions hors-texte. Frottements aux mors, sinon bon exemplaire.
[Tony Johannot, Théophile Fragonard, Jules Bourdet] - Edition originale Franc-Lecomte, Pierre - Johannot, Tony ; Fragonard, Théophile ; Bourdet, Jules (ill.)
Reference : 4079
(1842)
Paris Administration de librairie 1842 grand in-8 broché Paris, Administration de librairie, 1842. 26,5x 17,5 cm, grand in-8, (4) 482 (1) pp. - frontispice et 14 planches gravées hors texte sous serpentes roses légendées, broché sous couverture blanche illustrée sur chaque plat de la même composition que le frontispice, tirée en or.
Edition originale et premier tirage. De la bibliothèque du grand bibliophile Victor Mercier avec, au dernier feuillet blanc, son paraphe et la mention "collationné complet le 19 mars 1906". Ouvrage "tout à fait fantaisiste" selon Tulard, que l'on recherchera surtout pour ses illustrations. Rare broché. Quelques rares rousseurs, un petit manque angulaire à la couverture supérieure. (VICAIRE, III, 819) Bon
Paris, Challamel, 1840 ; petit in-4 (30 x 22,5 cm). 20 planches lithographiées sous serpentes. Titre, initiales, quelques majuscules, rehaussées or et bleu à la main. Cartonnage d'éditeur en papier bleu nuit, plt sup. orné d'une croix dorées contenant le titre et entourée d'une encadrement et d'un semi d'étoiles dorées. Frottements, accidents au cartonnage. Rousseurs marquées. Vignette ex-dono sur le contreplat sup. : "Souvenir du Général Vicomte Foullon de Doué, à Madame Coquille, née Petitier. Nancy, 14 août 1859". (Jean Philippe Foullon, vicomte, baron de Doué (1775-1859), général, maréchal des camps et armées françaises).
Un résumé de la vie de Jésus en 20 épisodes : les textes sont inscrits dans des encadrements ornés inspirés de l'enluminure, en dessous des scènes empruntées aux artistes anciens se développent sur la moitiée de la page ; les titres, lettrines et fins de lignes sont peints en bleu rehaussé d'or. C'est un bel ensemble de dessins recomposés par Théophile Fragonard (le petit-fils d'Honoré), typique du romantisme de la première moitiée du XIXe siècle.
Chez l'auteur. Non daté. In-Plano. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Dépliant de 2 pages comprenant 4 feuillets augmentés de photos de peintures de Fragonard, en couleurs. Feuillets de 27x37 cm.. . . . Classification Dewey : 750-La peinture et les peintres
Le verrou, Les hasards heureux de l'escarpolette, La poursuite, La liseuse. Classification Dewey : 750-La peinture et les peintres
[F. Prin] - BOUCHER, Adolphe ; FRAGONARD, Théophile ; [ BOUCHET, Adolphe ]
Reference : 55497
(1845)
Texte entièrement inédit par Adolphe Boucher, dessins par Théoph. Fragonard, 1 vol. in-8 reliure demi-chagrin vert, F. Prin, Paris, 1845, 180 pp. avec 20 planches hors texte
Rare exemplaire bien complet des 20 planches hors texte illustrées par le peintre (et décorateur à la manufacture de Sèvres) Théophile Fragonard (1806-1876) pour cette suite peu commune au roman d'Eugène Sue. Né à Poitiers, l'auteur Adolphe Boucher (1800-1857), dont le nom s'orthographie plus souvent "Bouchet", mena essentiellement une carrière d'acteur. Débutant en 1828 à la Comédie Française, il passera également par le théâtre de la Renaissance, puis de l'Odéon. Etat très satisfaisant (grignotage marginal aux derniers feuillets n'affectant pas le texte) pour cet ouvrage peu courant et ici bien complet des 20 gravures.
Lith. Engelmann, signé en bas à gauche Fragonard, 1823. Lithographie tirée sur chine et montée sur vélin fort (quelques rousseurs principalement dans les marges).
Lithographie prise de l'arrière de la Cathédrale dans la rue des Bonnetiers, avec l'ancienne flèche qui a brûlé le 15 septembre 1822 et qui a du être dessinée par Fragonard juste avant d'être réduite en cendre. Les travaux pour faire l'actuelle flêche qui devait être la plus haute de France avec ses 152 m, devaient durer une cinquantaine d'années. Vue tirée de l'ouvrage: Voyages pittoresques et romantiques dans l'ancienne France paru de 1820 à 1825.
Paris, Permain, Paris, Permain1851 ; in-12, broché, couverture bleue imprimée à l’adresse de Jules Gay et datée 1861. 188 pp.ÉDITION ORIGINALE. Curiosité rabelaisienne en vers à pieds variables, construite comme un oratorio : récitatifs mêlés de dialogues selon les épisodes de l’œuvre de Rabelais avec ses personnages : Gargantua, Pantagruel, Pichrocole, Panurge, Dindenaut, Grippeminaud, Frère Jean. La farce est dédiée aux “amis de la dive bouteille”.Théophile Fragonard (Paris 1806 - Neuilly 1876), petit-fils du peintre Fragonard, n’était connu que comme illustrateur de livres et de porcelaines de Sèvres. Jules Lamarque était l’auteur d’une histoire de la Révolution et de quelques pièces de vers. Bel exemplaire sous une couverture de remise en vente par Jules Gay.
Paris, chez Francis Guillot, (1926). 3 forts vol. in-4 (328 x 258 mm) de 3 ff. n.fol., 1 frontispice gravé n.fol., lix - 262 pp. et 1 f. bl. ; é ff. n.fol., 2 frontispices n.fol. et 359 pp. Reliures uniformes de l'époque de demi-chagrin marine à coins, filets gras dorés portés sur les plats, dos à nerfs ornés de filets gras à froid, doubles caissons d'encadrement dorés, filets en pointillés dorés sur les nerfs, larges fleurons dorés, semis d'étoiles et de pointillés dorés, titre doré, tomaison dorée, palette dorée en queue, têtes dorées, couvertures et dos conservées.
Ensemble complet de ses 2 volumes, sous reliures décoratives du temps. Soigneuse publication, elle recèle 100 compositions de Fragonard ; la plupart gravées et hors-texte. Le fabuliste eclipse ici le conteur... La crispation religieuse de la fin du règne de Louis XIV, et plus tard la pudibonderie du xixesiècle, ont mis dans l’ombre ces contes licencieux dont le défi poétique consiste à jouer de l’implicite pour (ne pas) nommer la sexualité, à «dire sans dire», dans un jeu de dérobade et de provocation reposant sur la complicité du lecteur. La Fontaine a mené simultanément ces deux activités, jusqu’à joindre des contes à l’ultime recueil de fables de 1693: bien plus qu’un laboratoire de la narration enjouée des Fables, les Contes pourraient bien participer d’une même entreprise, celle d’une narration poétique sous le signe d’une gaieté sans illusions. Ces récits paillards, imités pour beaucoup d'entre eux de l'Arioste, Boccace, ou de François Rabelais feront dire à leur auteur dans sa préface : "...et puis ce n'est ni le vrai ni le vraisemblable qui font la beauté et la grâce de ces choses-ci ; c'est seulement la manière de les conter." L’œuvre de La Fontaine offre la figure, exemplaire, d’une sagesse désabusée: elle choisit, comme le Démocrite de la fable Démocrite et les Abdéritains, la retraite méditative plutôt que la vie de la cité d’Abdère soumise aux pensers du vulgaire, et, face à la violence forcenée du réel elle préfère, contre l’Héraclite de l’Histoire, le rire plutôt que les pleurs. Dos légèrement insolés. Quelques frottements affectant angles et nerfs de chacune des reliures. Nonobstant, belle condition.
Cartonnage de l'éditeur, 22X15 cm, 2000, 339 pages, collection colloques congrès et conférences sur la renaissance n° 17, Honoré Champion éditeur. Dos insolé, sinon très bon état.
Paris, Aux horizons de France, 1939. Deux vols In-8 (260x170mm) reliés en demi-chagrin marine à coins, dos à nerfs oranges, têtes dorées, couv. conservées ; 211 et 250 p. Ill. en noir de Fragonard. Très légers frottements, très bon état général.