L’exemplaire Robert Hoe imprimé sur grand-papier. Paris, Imprimé par l’Auteur, & se vend chez Barbou, 1764-1766 [1768]. 2 tomes en 2 volumes in-8 de : I/ (2) ff.bl., 1 frontispice gravé, 1 portrait de l’auteur, xxxii pp. d’avertissement, 323 pp., (5) pp., 16 planches sur double-page ; II/ 1 frontispice, 1 titre gravé, xliv pp. d’avertissement, (2), 306 pp., 16 planches sur double-page. Reliés en plein maroquin havane janséniste du XIXe siècle, dos à nerfs ornés de filets à froid, double filet doré sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées. Reliure signée A. Motte. 174 x 110 mm.
Edition originale de l’ouvrage le plus célèbre consacré à l’art typographique. Brunet, II, 1359 ; Cohen, Manuel de l’amateur de livres à gravures du XVIIIe siècle, 410 ; Rahir, La Bibliothèque de l’amateur, 431 ; Bulletin Morgand et Fatout, 10316 et 6118 ; Catalogue Destailleur, 937 ; Bigmore & Wyman, I, p. 228 ; Sander 728 ; « Le premier volume de cet ouvrage intéressant traite de la gravure et de la fonderie des caractères d’imprimerie ; le second (qui n’a paru qu’en 1768) contient les épreuves des différentes sortes de caractères. Ces deux volumes devaient être suivis de deux autres, dont l’un aurait traité de l’art de l’imprimerie, et l’autre de l’histoire des typographes célèbres ; mais la mort de l’auteur nous a privés de cette suite. » (Brunet). « Le plus grand ouvrage de Fournier, celui qui lui a coûté le plus de travail, est son Manuel typographique, utile aux gens de lettres ; ouvrage immense dont il n’a pu donner que deux volumes, et pour lequel il a laissé une quantité de matériaux, entr’autres sur la vie des typographes, matière intéressante, que Fournier pouvait traiter lui seul, puisque lui seul réunissait les connaissances nécessaires pour juger du talent de ceux qui l’avaient précédé. Le premier volume du Manuel typographique contient la description des deux premières parties ; savoir, la gravure ou taille des caractères, qui n’avait jamais été décrite, et la fonte des mêmes caractères qui n’avait été connue jusqu’alors que par le détail abrégé donné par Fournier lui-même dans l’Encyclopédie. On y trouve aussi l’histoire et le détail des nouveaux caractères pour la musique, inventés par Fournier, exécutés par lui, approuvés par l’académie royale des sciences, et honorés du suffrage du célèbre Rameau. Le second volume est divisé en six articles. Le premier contient un exemple des caractères tant romains qu’italiques, dont on se sert ordinairement dans l’imprimerie, avec les différentes nuances de grosseur qui les font distinguer. Le second contient ce qui regarde les ornemens de l’impression. Le troisième présente les modèles de divers caractères propres à quelques pays, d’un usage particulier ou ancien. Le quatrième renferme les exemples des différents caractères orientaux, hébreux, rabiniques, samaritains, cophtes, arméniens, éthiopiens et grecs. Le cinquième comprend les notes de musique et de plain-chant. Le sixième offre les signes que l’esprit humain a inventés pour exprimer ses idées, en nous présentant une suite des alphabets de chaque langue, d’après les différens monumens imprimés ou manuscrits qu’on a pu consulter sur cette partie. Une explication très curieuse de ces différens alphabets, termine le volume, où se trouvent encore des détails intéressans sur les principales fonderies établies en Europe […]. Voilà ce que nous avons du grand ouvrage de Fournier. Il devait y joindre deux volumes ; l’un sur le mécanisme de l’imprimerie, et l’autre sur l’histoire des meilleurs typographes. Sa mort prévint l’exécution entière d’un si beau plan. » (Les Siècles littéraires de la France, pp. 133-138). Le second volume comporte 250 pages de spécimens de caractères français et étrangers, dont 101 alphabets des langues modernes et anciennes et 5 planches dépliantes de musique dont une gravée en rouge et noir. Ces spécimens représentent le fonds de Fournier qui influencera l’imprimerie européenne jusqu’à la fin du XVIIIe siècle. « Le ‘Manuel typographique’ de Fournier contient de nombreuses vignettes, qui décèlent un goût parfait. Ce manuel est, du reste, un petit chef-d’œuvre typographique. L’école de Fournier pour l’ornement des livres dura près d’un demi-siècle. » (Dupont, Histoire de l’imprimerie, p. 372). L’illustration se compose de deux frontispices gravés par Fessard d’après Gravelot et De Sève, d’un portrait de l’auteur gravé par Gaucher d’après Bichu, et de 16 planches sur double page à la fin du premier volume qui montrent les différents instruments propres à l’art typographique. Le présent exemplaire comporte en outre une suite supplémentaire des 16 planches techniques, reliée à la fin du second volume. Précieux exemplaire, tres grand de marges car imprime sur grand papier (hauteur : 174 mm contre 165 mm pour un exemplaire ordinaire), provenant de la collection Robert Hoe, l’un des grands bibliophiles américains. Cette association est particulièrement intéressante car Robert Hoe (1839-1909), fabricant de presses à imprimer et inventeur de nouveaux procédés d’impression, est une personnalité qui a marqué l’histoire de l’imprimerie au XIXe siècle.
Les Marches André Fournier , La Fontaine De Siloé 1991 In Quarto , Oblong Préface de Roger Frison-Roche . Photographies en couleurs sur deux pages dépliantes avec le nom des sommets accompagnés d'un texte sur le verso . - Très beau livre à offrir pour les passionnés de la Montagne . Alpinisme . - non paginé , 550 gr.
Couverture souple Très bon 1ère Édition
Paris, Chez P. Jannet, 1855. 1 vol. in-8 de [XLVII] 300 pages, reliure d’éditeur pleine percaline rouge, dos lisse orné. Gardes tachées avec étiqutte, petit manque de percaline au dos.
Bibliothèque Elzevirienne. Catalogue de la Bibliothèque Elzevirienne et des autres ouvrages du fonds de P. Jannet, 1855, 32 p.
Paris, Chez P. Jannet, 1858. 1 vol. in-8 de [CXII] 256 pages, reliure d’éditeur pleine percaline rouge, dos lisse orné.
Bibliothèque Elzevirienne.
A Paris, Chez Emile-Paul frères, 1930. 1 vol. br. in-4 de XXX-[2]-90-[4] pages. Couv. blanche à rabat. Nom de possesseur sur garde, marque des rabats sur gardes.
Paris, Édition de Cluny, 1932. In-8 de 316-[4] pages, plein maroquin beige, dos à dix nerfs regroupés au milieu, large bandes intérieures de même maroquin, gardes de papier décoré, couvertures et dos conservés, tête dorée.
Illustré d'un portait photographique de l'auteur au frontispice, hors texte. Jolie édition imprimée sur papier vergé du Marais, numérotée (539).
Paris, P. Jannet / Pagnerre, 1855-1863. 10 volumes in-12 reliés en demi-chagrin rouge, dos à nerfs ornés de fleurons dorés.
Avec d'indispensables table méthodique et table alphabétique des 272 pièces formant les 10 volumes. Passionnante réunion de publications anciennes. Quelques petits chocs aux reliures, intérieur sans défaut. Imprimé sur joli papier vergé. Nom de possesseur sur pages de titre.
Londres ULAN Press 0 In Quarto Fac similé de l'édition de 1841 . Philosophie . - 484 p. , 1 kg 300 gr.
Couverture souple Comme neuf
Paris Gallimard 1990 In 8 Collection " 1000 soleils " . Superbe roman que l'on peut lire et relire à tout âge . Illustré d'un cahier de photographies en noir et blanc , ce récit de notre enfance où Meaulnes et François représentent deux alternatives qui s'offrent à un individu , courir après ce que l'on n'a pas sans voir ce que l'on possède ou prendre ses responsabilités . Bien d'autres lectures sont possibles . A chacun de choisir son personnage . - 268 p. , 500 gr.
Couverture rigide Comme neuf Comme neuf
Paris Stock 2003 In 12 Auteur entre autre de la - grammaire française et impertinente - et de - je vais t'apprendre la politesse p'tit con - . - 166 p. , 250 gr.
Couverture souple Parfait État . 1° édition
Paris Stock 2001 In 12 Auteur entre autre de la - grammaire française et impertinente - et de - je vais t'apprendre la politesse p'tit con - et du - petit Meaulnes - . - 154 p. , 250 gr.
Couverture souple Parfait État . 1° édition
Paris Editions Médicales Merck Sharp & Dohme 1975 In Quarto Tableaux , Bibliographie . - 238 p. , 1 kg 100 gr.
Couverture rigide Parfait État . Perfect State . Jaquette Idem 1° édition
LACROIX Paul; SERÉ Ferdinand; FOURNIER Édouard; BÉGIN Émile;:
Reference : 6071
(1850)
Paris, Librairie historique, archéologique et scientifique de Seré, [et] Adolphe Delahays, 1850. In-4, de [8]-216-[6]p. et [2]-160p. et [4]-31p., demi-chagrin marron, dos à nerfs (passé et un soupçon épidermé). Très bel exemplaire totalement exempt de la moindre rousseur.
Les trois titres sont illustrés comme ainsi: l'orfèvrerie: frontispice, 13 planches hors-texte dont 3 en couleurs, ainsi que 6 pl. de d'armoiries dont 1 en couleurs, plus 3 planches pleines page ainsi que de très nombreuses gravures in-texte; l'imprimerie: 19 planches hors-texte dont 4 en couleurs et une dépliantes, et 9 pl. pleines page plus une abondante iconographie in-texte; la charpenterie: 12 pl. dont 2 dépliantes. Le relieur a gentiment interverti quelques feuillets pour l'histoire de l'imprimerie, mais il n'y a pas de manque.
Paris, Laplace, Sanchez et Cie, 1875. 1 vol. grand in-8 de LXXXIII-560-[4] pages. Demi-maroquin rouge, dos à nerfs orné de fleurons dorés. Non rogné et, mises à part quelques minuscules épidermures, à l'état de neuf. Superbe édition imprimée sur papier vergé.
Illustré de 20 portrait en pieds, tous en double état, (un état en noir tiré sur chine, et un état colorié à l'aquarelle) par MM. Emile Bayard et Maurice Sand, et de 2 fac-simile dépliants de l’écriture de l’auteur. Ex-libris de Louis François de Marval.
Paris, Les Editions de Minuit, 2002. In-12 broché de 59-[5] pages, couverture imprimée en deux tons. En belle condition.
Edition originale de la traduction au tirage limité à 106 exemplaires sur vergé de Vizille, celui-ci un des 99 numérotés en arabe.
Genève, Les éditions du Mont-Blanc, 1942. In-4 de [2]-280-[2] pages, demi-vélin blanc à coins, titre, filets et roulettes dorés au dos, filets rouge ornant les plats.
Illustré d'un frontispice couleurs (Jean Calvin jeune) et de nombreux hors-texte en noir, en couleurs ou en deux tons. Figures in-texte en noir. Edition originale au tirage limité à 1440 exemplaires, celui-ci un de 1200 numérotés en arabe (268) [Geisendorf 331]. Tampon de possesseur en début de volume, tout petits manques de papier en bord du premier plat.
Paris, Carrier, 1845. 1 vol. in-8 de III-406-[2] pages, pleine percaline bleue d’éditeur, dos lisse richement orné, plats ornés de fleurons et d’un médaillon doré au centre, tranches dorées. Rousseurs.
Illustré d’un titre gravé, de vignettes et de gravures hors-texte par Victor Adam.
Paris, B. Renault, 1846. In-8 de [4]-236 pages, demi-toile verte décorée à froid, tite et fleurons dorés au dos. Mors inférieurs fendus, coiffes et coins frottés, rares rousseurs.
Illustré de 46 planches hors-texte dont 13 dépliantes. Certaines planches dépassent des cahiers et de ce fait ont les bors pliés et un tout petit peu déchirés. Manque en coin inférieur à 2 planches, l'une avec petite atteinte à l'image.
07/01/1910 Fournier prévient Jean-Gustave Tronche (administrateur des éditions de la NRF) de sa visite pour le lendemain : ...Si vous ne deviez pas être chez vous dimanche matin entre 10 h 1/2 et 11 h 1/2, ou si cela vous dérangeait que je passe chez vous à cette heure - avec un ami qui désire voir La Grappe, voulez-vous être assez aimable pour mavertir dun mot... Fils dinstituteurs, élève de la classe de son père, Henri-Alban Fournier vit une enfance berrichonne à La Chapelle dAngillon. En 1910, on le retrouve chroniqueur littéraire à Paris-Journal. Il commence à publier quelques poèmes, essais, ou contes, qui connaissent quelque succès. Mais surtout il élabore lentement l'?uvre qui le rendra célèbre : Le Grand Meaulnes, paru en novembre 1913 chez Émile-Paul. Ce roman manque de peu le prix Goncourt, mais est salué presque unanimement par la critique de l'époque. Mobilisé en tant que lieutenant de réserve, Fournier fut tué dès les premiers combats. Le tableau La Grappe, ou autour de la chanteuse, est une toile dAndré Lhote, datée de 1908, qui appartenait à Jean-Gustave Tronche dont la s?ur, Lucie, était une amie de jeunesse du peintre. Cest à Bordeaux en 1906 que Jacques Rivière fait la connaissance dAndré Lhote. Commence alors une importante correspondance à laquelle s'associera dès 1909, Henri Alain-Fournier, ami et beau-frère de Jacques Rivière. La correspondance des trois jeunes artistes Lhote, Fournier et Rivière donne un aperçu de la mutation artistique de lépoque.
1897 Paris ,Rueff, 1897 ,In-8 , 558 p., 12 pl. en couleur hors texte : (chromolithographies)
petits manques au dos ,couvertures leg. défraichies
Tapuscrit original inédit, en feuilles, (21 x 30 cm) sous chemise à rabats. 6 parties présentées chacune sous chemise de papier bleu avec le titre manuscrit : 1f.-3pp. - 30pp. - 2ff.-20pp. - 1f.-91pp. - 1f.100pp. - 1f.-15pp. Tâche angulaire sur les 4 premiers feuillets. Quelques corrections manuscrites. Bel état.
Jacques Bereilh -Liégaux (Castre 1895 - Paris 1977) était membre de l'Institut français de Bucarest, c'est sans doute là-bas qu'il rencontra la peintre Stéfania Manuoliu, élève et amie du peintre Nicolae Tonitza, qui deviendra son épouse. Il s'adonna lui-même, avec réussite, à la peinture. Son étude approfondie sur Alain-Fournier et Le Grand Meaulne a sans doute été établie dans les années 1940 (il cite abondamment Isabelle Rivière "Images d'Alain-Fournier", (1938) et Fernand Desonay "Le grand Meaulne d'Alain Fourbier", (1941) ; ainsi que la correspondance Alain-Fournier - Henri Rivière (1926). Il s'intéresse d'abord à "Alain-Fournier et les siens", puis au "Grand Meaulne" et aux personnages du roman, et s'attache ensuite à dresser un portrait psychologique de l'écrivain, et ses rapports amoureux.
( ALAIN FOURNIER) - ASSOCIATION DES AMIS DE JACQUES RIVIÈRE ET D'ALAIN-FOURNIER.
Reference : 8341
(1979)
1979 Virofaly, 1979 ; in-8°, broché, couverture verte illustrée et imprimée en noir , dos muet; 96pp. Illustrations dans le texte;
Fascicule 15/16 de la 5ème année ( 2e et 3e trimestre 1979) : Portrait d'Alain-Fournier par lui-même, Lettre inédite d'Alain-Fournier à Jacques Rivière, Photographies de tableaux préraphaélites, Alain-Fournier et Thomas Hardy par Robert Giannoni, Ecrire des romans comme on les conçoit en Angleterre par Adeine Lesot... ( CH1)
Viroflay, Association des Amis de Jacques Rivière et Alain-Fournier, 1979. In-12 broché, photos d'Alain-Fournier et de ses proches. Alain-Fournier et son pays.
Jean Chesneau (1884-1909), condisciple d'Alain-Fournier au lycée Lakanal, chartiste.
Reference : 015421
Jean Chesneau (1884-1909), condisciple d'Alain-Fournier au lycée Lakanal, chartiste. 20 L.A.S. (+ quelques enveloppes), 24 août 1907 au 30 juin 1909 (une sd), 45p in-8 & in-12. [on joint une L.A.S de Camille Martin à Chesneau & 2 L.A.S. de Gabriel Chesneau, oncle de Jean, à Camille Martin après la mort de Jean] Importante correspondance amicale et littéraire de Chesneau à Camille Martin, condisciple d'Alain-Fournier et Chesneau au lycée Lakanal. Jean Chesneau, « épris de poésie » fut un ami important d'Alain-Fournier. C'est, par exemple, par son entremise que le futur auteur du Grand Meaulnes rencontra Jean Moréas, Adolphe Retté et Paul Fort. Quand Chesneau est malade pendant l'hiver 1906, Fournier vient lui réciter ses poèmes. Ils avaient un excellent ami commun, Jacques Rivière, bordelais comme Chesneau. Chesneau fait partie des convives du banquet Gauguin organisé par Charles Morice en 1906. De ses années à Lakanal, il a gardé plusieurs amis : Camille Martin, Georges Le Cardonnel, Jean Giraudoux et Martial Piéchaud. Il devient ensuite le précepteur du jeune Jean de Vogüé (1898-1972), suivant la famille. Chesneau souffrit beaucoup. Son père, avocat, André Chesneau meurt en 1888 à 33 ans. Sa mère le rendra orphelin en 1906. Après plusieurs périodes de maladie, notamment l'hiver 1906, il meurt à l'hôpital le 10 juillet 1909. Martin avec prévenu Giraudoux, ce dernier avait prévu de rendre visite à Chesneau le dimanche, 11 juillet. Il arriva donc trop tard. L'essentiel de nos informations sont tirées du livre de Jean Loize, Alain-Fournier, sa vie et Le Grand Meaules (Paris, Hachette, 1968. P.100, 149, 203, 204). Loize était alors propriétaire des lettres de Chesneau à Martin. Il les vendit au collectionneur auprès de qui nous avons pu les acquérir. Dans une très longue lettre (12p), écrite entre le 24 et le 28 août 1907, il parle de sa rencontre au Luxembourg avec « le verdâtre Cottard, solitaire et bien gentil » qui était accompagné du poète Albert de Bersaucourt (1883-1937). Il retrouve ce dernier au café d'Harcourt où les rejoint l'écrivain José de Bérys (1883-1957) « qui ne s'appelle hébraïquement que Joseph Bloch », « poète [.] de quelque talent ». Il copie ensuite plusieurs poèmes de Bérys. Ses deux comparses veulent créer et reprendre des revues. Il a vu Jean Moréas qui a demandé des nouvelles de Martin, etc. Le 22 octobre 1907, il lui fait part d'une invitation chez le poète Maurice de Noisay (1886-1942). La plupart des lettres ont un ton plus amical, mentionnent quelques amis (comme Le Cardonnel). La dernière lettre dit simplement : « Mon vieux, Suis à l'Hôpital Cochin. Crise d'albuminurie aiguë. Amitiés. Jean ». Il s'agit certainement de sa dernière lettre. Plusieurs autres lettres parlaient déjà de ses problèmes de santé. Après sa mort, son oncle gère les affaires de son neveu, livres et sommes prêtées, comme le montre les deux lettres qu'il écrit à Camille Martin. Bel ensemble. [353-2]