<p>L’attirance est pour Blanchot ce qu’est, sans doute, pour Sade le désir, pour Nietzsche la force, pour Artaud la matérialité de la pensée, pour Bataille la transgression : l’expérience pure du dehors et la plus dénudée. Encore faut-il bien comprendre ce qui est désigné par ce mot : l’attirance, telle que l’entend Blanchot, ne prend appui sur aucun charme, ne rompt aucune solitude, ne fonde aucune communication positive.</p><p>Le seul essai essentiel sur Maurice Blanchot.</p> Saint-Clément-de-Rivière, 2018 Fata Morgana 64 p., broché. 12 x 21
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