Delaunay 1819, In-8 (12x20cm), (12) 460pp., relié.
Seconde édition parue la même année que la première, chez le même éditeur. Grand plan dépliant du Saint Sépulcre in fine. Le grand et fameux atlas, édité à seulement 325 exemplaires et qu'on se procurait à part, est absent. In fine explication des 78 planches lithographiées en couleurs qui composent l'atlas. Reliure en pleine basane brune d'époque porphyre. Dos lisse orné de 4 caisson à la grotesque croisillonnés, d'un fer central. Frise d'encadrement sur les plats. Pièce de titre en maroquin chocolat. Dos uniformément éclairci. Petits manques aux mors en tête. Un léger manque en queue. Mors supérieur fendu étroitement en queue sur 8 cm, et sur 5cm le long du mors inférieur. Trace de mouillure pâle sur le faux titre, la page des titre et les feuillets préliminaires. 3 coins émoussés. Nommé en 1816 Directeur général du musée du Louvre, Forbin obtient de Louis XVIII un congé pour réaliser enfin son rêve de jeunesse, un voyage dans le Levant. Embarquant sur plusieurs navires, il visite tout d'abord Milos, Athène, Constantinople, Ephèse, puis arrive enfin à Saint Jean d'Acre, poursuivant jusqu'à Jerusalem, Gaza, Damiette. Il visite également l'Egypte et ses principaux sites : Le Caire, Louxor, Thèbes, Rosette et Alexandrie. Il acquière de nombreuses antiquités qui enrichiront les collections du Louvre. En dehors de la narration classique et pittoresque du voyage, ce Voyage au Levant se caractérise par sa vision esthétique et artistique ; Forbin est avant tout un homme de l'art, et il oeuvrera beaucoup en France pour les musées, réaménageant les collections du Louvre, créant le musée du Luxembourg et celui de Versailles... Dans le Dictionnaire des orientalistes, Frédéric Hirzel écrit : "Le voyage au Levant du Comte de Forbin reste l'une des plus belles réalisations des Voyages pittoresques du début du XIXe siècle. A la différence de certains de ses précurseurs, comme le Comte de Choiseul-Gouffier, le texte est ici un vrai récit." - Photos sur www.Edition-originale.com -
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De l' Imprimerie Royale, Paris 1823, In-8 (14,5x23cm), (4) xx, 394pp. (1), relié.
Edition originale, rare, de ce voyage en Sicile par le Comte de Forbin. Un frontispice, ruines du théâtre de Taormine, dessiné par le Comte de Forbin, et 2 planches de musique d'une ariette sicilienne, ainsi que 2 figures de monnaie. Reliure en plein maroquin vert d'époque. Dos à nerfs à la cathédrale, orné de fers monastiques dorés et à froid en long. Pièce de titre en maroquin vert. Plats doté d'un riche encadrement à froid avec frises diverses, frappé à froid d'un fer monastique central. Fers sur les coupes et intérieur. Gaufrages du cuir en encadrement. Tranches dorées. Gardes jaunes à damiers. Rousseurs éparses. En queue : R. P. Decle. Très bel exemplaire dans une reliure originale. Voyage réalisé durant l'insurrection sicilienne pour l'indépendance en 1820. Le livre est donc composé de deux parties, l'une est la narration de voyage et l'autre sur la révolte sicilienne, l'auteur tentant de comprendre les raisons de ce soulèvement. Le voyage est suivi, après les notes, de la nouvelle Le radja de Bednoure. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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1817 Paris, Maradan, 1817. In-8 (143 X 212 mm) demi-basane blonde, dos lisse orné cloisonné et fleuronné, pièce de titre maroquin rouge (reliure de l'époque) ; VI pages de faux-titre, titre et avant-propos, frontispice gravé, 206 pages.
TROISIÈME ÉDITION de ce TEXTE ROMANTIQUE RARE, paru pour la première fois en 1810. Complet du beau frontispice gravé par B. Roger «qui annonce bien le romantisme » (Escoffier). Le comte Auguste de FORBIN (1777-1841), peintre, écrivain archéologue et directeur général du Musée du Louvre, s'illustra dans les lettres par cette mélancolique histoire d'amour et de mort qui, par son intrigue et par ses évocations magiques de Naples et de Rome, peut être considérée comme la source incontestable à laquelle Lamartine a puisé pour "Graziella". Le couteau du relieur a malheureusement coupé les trois dernières lettres d'un ENVOI AUTOGRAPHE DE L'AUTEUR en tête du faux-titre: «De la part de l'Aut[eur] ». (Escoffier, 194, pour l'édition originale de 1810 - Pas dans Talvart). BEL EXEMPLAIRE, très pur et d'une grande fraicheur. FINE COPY. PICTURES AND MORE DETAILS ON REQUEST.
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Paris, Imprimerie Royale, 1819. 1 vol. in-8. Demi-basane havane d'époque, dos à faux nerfs orné, titre doré. [6]ff, 460pp,
Éédition originale comprenant in-fine, une grande planche dépliante du plan du Saint-Sépulcre, à Jérusalem. Sans l'atlas, édité à seulement 325 exemplaires et qu'on se procurait à part. On trouve à la fin du volume, l'explication des 78 planches lithographiées en couleurs qui composent l'atlas. Manques de papier sur les plats, principalement en bordure de dos, coins émoussés.
Paris, Imprimerie Royale, Delaunay libraire, 1819, 1 vol.in 8, 460 pp., une planche dépliante, relié demi chagrin, dos lisse orné avec titre, tranches jaunes, ex-libris manuscrit
Nommé en 1816 directeur général des musées royaux, le comte de Forbin (1777-1841) agrandit le musée du Louvre et étoffa les collections en acquérant entre autres, Les Sabines et Léonidas aux Thermopyles de David (1819), la Vénus de Milo (1820) ou bien encore le Radeau de la Méduse (1824). En 1817, poursuivant sa politique d'acquisition d'antiquités pour les musées français, Forbin entreprit un long voyage d'une année dans le Levant à travers l'Asie Mineure, la Palestine et l'Egypte où il remonta le Nil, accompagné des peintres Pierre Prévost et son neveu Léon Matthieu Cochereau ainsi que de l'architecte Jean-Nicolas Huyot : Milos, Athènes, Constantinople, Éphèse, Saint-Jean-d'Acre, Jérusalem, Gaza, Damiette, Le Caire, Louxor, Thèbes, Rosette et Alexandrie. L'expédition, après maintes aventures et accidents s'achèva le 24 avril 1818 au lazaret de Marseille et aura permis d'acquérir (selon les précisions de Forbin dans son récit) pour 28 000 Francs d'antiquités pour le musée Royal. M8-A
Paris, Challamel et Imprimerie Royale, Delaunay libraire,1843 et 1819, 1 vol.in 8*, 298pp. et 460 pp., une planche dépliante in fine, relié demi chagrin vert, dos à nerfs avec auteur et titre.
Nommé en 1816 directeur général des musées royaux, le comte de Forbin (1777-1841) agrandit le musée du Louvre et étoffa les collections en acquérant entre autres, Les Sabines et Léonidas aux Thermopyles de David (1819), la Vénus de Milo (1820) ou bien encore le Radeau de la Méduse (1824). En 1817, poursuivant sa politique d'acquisition d'antiquités pour les musées français, Forbin entreprit un long voyage d'une année dans le Levant à travers l'Asie Mineure, la Palestine et l'Egypte où il remonta le Nil, accompagné des peintres Pierre Prévost et son neveu Léon Matthieu Cochereau ainsi que de l'architecte Jean-Nicolas Huyot : Milos, Athènes, Constantinople, Éphèse, Saint-Jean-d'Acre, Jérusalem, Gaza, Damiette, Le Caire, Louxor, Thèbes, Rosette et Alexandrie. L'expédition, après maintes aventures et accidents s'achèva le 24 avril 1818 au lazaret de Marseille et aura permis d'acquérir (selon les précisions de Forbin dans son récit) pour 28 000 Francs d'antiquités pour le musée Royal.
FORBIN (Louis Nicolas Philippe Auguste de, comte) peintre français d’histoire, de compositions animées, directeur des musées royaux, membre de l’Institut (1777-1841)
Reference : 15C26
Ces deux lettres datées du même jour, 8 mai 1835, concernent l’acquisition de son tableau « la Jeune Convalescente », qui faisait partie de l’exposition de cette année. « Mr l’Intendant Général de la Liste Civile m’a fait connaître que d’après les ordres du Roi, il vous a été commandé un tableau pour la Galerie d’Apollon au Louvre... ».
FORBIN (Louis Nicolas Philippe Auguste de, comte) peintre français d’histoire, de compositions animées, directeur des musées royaux, membre de l’Institut (1777-1841)
Reference : 14C26
a) Lettre signée pré-imprimée à l’en-tête des Musées Royaux et datée du Louvre, le 7 août 1832. 1 p. in-8. « Les Suisses et Gardiens des Musées Royaux du Louvre et du Luxembourg laisseront entrer tous les jours Mr Fabien Pillet et sa Société jusqu’au 1 er janvier 1833 ». b) Lettre autographe signée au journaliste et administrateur français Fabien Pillet (1772-1855) S.l. 1 p. in-8. 22 avril 1822. Il est « charmé de trouver l’occasion de faire une chose qui soit agréable » à son correspondant. c) Lettre autographe signée aux « Bureaux de la Presse ». S.l.n.d. Il informe qu’il reçoit en double le journal de la Presse.
L’ensemble des 3 pièces