Tours, Maison Mame, 1948. In-12, rel. de l'ép. demi-basane fauve à bandes, dos à 2 larges nerfs, titre doré en long, gardes moirées, couv. cons., 400 pp., portrait au front., nb. dessins en n/b in texte.
Bel ex. relié. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
P., Lemerre, 1886. 22 planches (sur 40) d'eaux-fortes gravées d'après Fragonard, Lancret, Pater, Le Mesle, Vleughels, Eisen, Boucher, Leclerc et Lorrain, sous chemise demi-toile éditeur à lacets.
Incomplet de 18 planches d'après la mention de l'éditeur au 4e plat. Qq. pâles rousseurs sur la chemise, bonne condition. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Paris, Garnier, s.d. [ca 1880] Très fort grand in-8, relié demi-chagrin à coins, bordeaux, bordé d'un double filet à froid, dos à nerfs plats ornés d'un triple filet doré, bordés d'un filet gras et d'un filet à froid, plats granités, tranches marbrées, gardes peignées, 1f.bl. faux-titre, titre illustré d'une grand vignette, LII-589pp, outre les 180 vignettes, il comprend 40 h-t. par STAAL. ex-libris manuscrit E. Lipart sur la 1ère garde blanche.
Bel ex. l'intérieur très frais. - Frais de port : -France 8,45 € -U.E. 13 € -Monde (z B : 23 €) (z C : 43 €)
Paris, Helleu et Sergent, 1920. In-8 broché, 226 pp., 18 bois originaux. Tirage à 1530 exemplaires numérotés, un des 1100 sur alfa.
Premier volume de la collection Adolphes Bordes "dédiée aux jeunes bibliophiles". Minimes rousseurs au dos et sur les seules tranches. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
P., Au Masque d'Or - Devambez, 1921. In-16 broché, couv. rempliées, XXXII-29 pp., [2] f., frontispice. (Le Florilège français). Edition originale de la préface : exemplaire numéroté sur vélin de Rives.
Trace de colle sur la garde sup., mais bonne condition, à toutes marges. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
P., Delongchamps, 1826. In-8 reliure de l'époque demi-veau fauve, dos à 3 faux nerfs plats, orné d'un grand fleuron central doré, de 2 fleurons à froid, roulettes dorées et à froid, et du titre doré, tranches marbrées, XV-518 pp. à 2 colonnes, vignettes gravées sur bos en têtes de chapitres, portrait de l'auteur en frontispice gravé sur acier par Bertonnier d'après Rigault.
Rousseurs et des ff. fortement brunis, bonne reliure de l'époque au dos décoratif. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Paris, Garnier Freres, 1875 Gr. in-12, demi-chagrin vert sombre, dos à nerfs orné, frontispice gravé sur bois, VIII-419 pp.
Qqs rouss., ex. bien relié. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Edition originale rarissime complète du troisième volume qui présente la célèbre « Élégie pour Monsieur Foucquet » de Jean de La Fontaine. A Paris, chez Pierre Le Petit, Imprimeur et Libr. Ordinaire du Roy, 1671. Avec privilège de sa Majesté. 3 volumes in-12 de : (16) ff., 418 pp. ; (6) ff., 414 pp. ch. 424, (4) ff., correction manuscrite p. 65 ; (4) ff., 368 pp. Frontispice gravé non signé, en tête de chaque volume. Plein maroquin rouge janséniste, armoiries frappées or au centre des plats, dos à nerfs, filets or sur les coupes, roulette intérieure, tranches dorées. Reliure signée Martin Held. 153 x 88 mm.
Edition originale rarissime complète du troisième volume qui présente la célèbre « Élégie pour Monsieur Foucquet » de Jean de La Fontaine. Ce « Recueil est composé avec goût et renferme plusieurs morceaux qu’on chercherait vainement ailleurs ». (Brunet). « Fouquet, dans le moment de sa plus grande fortune, et, à ce qu’il croyait, de sa plus haute faveur, fut arrêté à Nantes le 5 septembre 1661, c’est-à-dire dix-neuf jours après avoir donné à Louis XIV et à toute sa cour une fête splendide dans son superbe château de Vaux. Les rigueurs du roi à son égard firent craindre qu’on eût le dessein de le faire périr. La Fontaine s’adresse dans cette élégie aux nymphes de Vaux ; il leur confie ses douleurs sur le malheur de son ami, et il les supplie de fléchir le roi en faveur de celui qui a embelli leurs demeures avec tant de magnificence. Cette Élégie fut publiée d’abord dans le Recueil de quelques pièces nouvelles et galantes, Cologne, 1667, in-12, t. II, p. 195 avec ce titre : Pour le malheureux Oronte ; ensuite dans les Fables nouvelles et autres poésies de M. de La Fontaine, 1671, in-12, p. 105, avec ce titre : Pour M. F. ; et enfin dans le Recueil de poésies, 1671, t. III, p. 340, avec ce titre : Pour Monsieur Fouquet. « Élégie. Pour M. Fouquet. Remplissez l’air de cris en vos grottes profondes ; Pleurez, Nymphes de Vaux, faites croître vos ondes ; Et que l'Anqueuil enflé ravage les trésors Dont les regards de Flore ont embelli ses bords. On ne blâmera point vos larmes innocentes ; Vous pouvez donner cours à vos douleurs pressantes ; Chacun attend de vous ce devoir généreux : Les Destins sont contents, Oronte (Fouquet) est malheureux. Vous l'avez vû naguère au bord de vos fontaines, Qui, sans craindre du Sort les faveurs incertaines, Plein d'éclat, plein de gloire, adoré des mortels, Recevait des honneurs qu'on ne doit qu'aux autels. Hélas qu'il est déchu de ce bonheur suprême ! Que vous le trouveriez différent de lui-même ! Pour lui les plus beaux jours sont de secondes nuits : Les soucis devorans, les regrets, les ennuis, Hôtes infortunés de sa triste demeure, En des gouffres de maux le plongent à toute heure. Voilà le précipice où l'ont enfin jetté Les attraits enchanteurs de la prospérité ! Dans les palais des Rois cette plainte est commune, On n'y connaît que trop les jeux de la fortune, Ses trompeuses faveurs, ses appâts inconstants ; Mais on ne les connaît que quand il n'est plus temps. Lorsque sur cette mer on vogue à pleines voiles, Qu'on croit avoir pour soi les vents & les étoiles, Il est bien malaisé de régler ses désirs ; Le plus sage s'endort sur la foi des Zéphirs. Jamais un favori ne borne sa carrière ; Il ne regarde point ce qu'il laisse en arrière ; Et tout ce vain amour des grandeurs & du bruit, Ne le saurait quitter qu'après l'avoir détruit. Tant d'exemples fameux que l'histoire en raconte, Ne suffisaient-ils pas, sans la perte d'Oronte (Fouquet) ? » « Ce Recueil de Poésies composé par Loménie de Brienne contient 24 pièces de La Fontaine : l’Épitre au prince de Conty, la Paraphrase du psaume XVII, dans le Tome I : l’Élégie pour Fouquet, une Ode au Roy, quatre fragments de Psyché, et 16 fables dans le tome III. L’achevé d’imprimer est du 20 décembre 1670. On trouve souvent le 3ème volume séparément. » (Tchemerzine). « Cette édition formée par Henri Loménie de Brienne ou Lucile Hélie de Brèves, suivant son pseudonyme, contient 24 pièces de La Fontaine. Au tome I, l’Épitre au prince de Conty et (pp. 413 à 418) la paraphrase du psaume XVII ; au tome II, aucune pièce ; au tome III (pp. 340 à 368), l’Élégie pour Fouquet, une ode au Roy, quatre fragments de Psyché et seize fables. – Le Tome II a le même titre que le tome III, sauf la virgule qui suit rue Saint Jacques et contient, dans les deux derniers feuillets, un privilège portant les dates du premier. Il faut reconnaître que La Fontaine y est le plus favorisé des auteurs par le nombre de ses pièces. M. P. P. Plan, dans un article du Mercure de France : Un texte non cité de La Fontaine (Tiré à part : Paris, Champion, 1903. Pièce in-8), lui attribue même la Préface du tome I. Les bibliographes semblent aussi, en disant que le tome III est rare à trouver avec les deux autres, en faire une édition séparée, ne veulent-ils pas parler plutôt du tome qui seul porte le titre de Poésies chrestiennes ? » (Rochambeau). Précieux exemplaire provenant des bibliothèques de Louis XIV (1638-1715) avec son chiffre entrelacé frappé au pied du feuillet de titre de chacun des trois volumes ; Pierre Michel Marie Double, évêque de Tarbes avec ses armoiries sur les plats ; Léopold Double (1812‑1881) ; baron Lucien Double (1848-1895) avec son ex-libris. Le baron Lucien Double (1848-1895) a été élevé au milieu des livres de la bibliothèque de Louis XIV que son père, Léopold, avait acquise en 1848. Ses deux centres d’intérêt étaient les livres de provenance royale ou princière et les livres d’une haute curiosité bibliographique (incunables, etc.). Sa bibliothèque fut dispersée à Paris en 1897.
Trécis (Troyes), J. Le Febvre, s.d. (1696). In-8 de 80 pp., percaline rose, dos lisse orné d'un fleuron doré répété sur le premier plat, pièce de titre en maroquin brun, non rogné (J. Lemale).
Édition originale de la version latine avec le texte original en regard, d'un choix de fables de Jean de La Fontaine établi par le P. Pierre Tissart et le P. Modeste Vinot qui signent le poème liminaire.Titre de départ : « Fables choisies de M. de La Fontaine, traduites en vers latins et autres pièces de poésies latines et françoises ». Contient : Le Rat et l'Huître ; Le Loup et le Chaval ; Le Berger & son Troupeau ; L'Âne et le petit Chien ; Le Loup et les Bergers ; L'Âne portant des Reliques ; La Chauvesouris et les deux Belettes ; Le Lièvre et la Perdrix ; Le Faucon et la Chapon ; Le Chartier embourbé ; L'Huître et les Voyageurs ; L'Oiseau blessé d'une flèche ; La Femme noyée ; Le Loup et l'Agneau ; Le Rat de ville et le Rat des champs ; Le Lion, le Lou et le Renard ; Le Héron ; La Lionne et l'Ourse ; Le Cochon, la Chèvre et le Mouton ; Le Corbeau et le Renard, La Cigale et la Fourmi ; Le Renard et le Raisin. Suivi de Aliae Fabulae ; Varia Carmina ; Vers de M. Malherbe ; Epistola. Le succès du recueil de Tissart et Vinot entraîna de nombreuses rééditions au XVIIIe siècle. Le Père Jean-Baptiste Giraud publia en 1765 un nouveau choix de fables traduites en latin par ses soins.Rare impression de Jacques II Febvre, (1657-1738) imprimeur-libraire, relieur et fondeur de caractères à Troyes actif de 1680 à 1737. Reçu maître imprimeur à Troyes le 7 août 1682, il possèda une papeterie à Fontaine, près de Bar-sur-Aube, de 1723 à 1736 (probablement non exploitée). Déclaré en faillite, son matériel est vendu à la fin de décembre 1726. Surpris par la police en flagrant délit d'impressions jansénistes ("Parallèle de la doctrine des payens avec celle des Jésuites..."), il fut incarcéré à la Bastille avec son fils Antoine-Joseph Febvre le 6 février 1726 et transféré à la Conciergerie le 3 août suivant puis réembastillé le 14 novembre et à nouveau transféré avec son fils à la Conciergerie le 27 janvier 1727 pour leur procès, à l'issue duquel (arrêt du parlement de Paris du 5 juillet 1727) ses deux fils Denis et Antoine-Joseph furent déclarés déchus. Victime d'un incendie en avril 1731 qui acheva de le ruiner, il se retire chez son fils Jacques III Febvre. Dos insolé.Brunet, III, 756, mentionne la seule édition de 1765 ; Quérard, IV, 411 date 1666 par erreur ; Bohnert Céline. La Fontaine à l’école : l’éclairage des textes officiels. In : Le Fablier. Revue des Amis de Jean de La Fontaine, n°32, 2021. 1995-2020 Un quart de siècle d’études lafontainiennes. pp. 151-164.
[DORAT, Claude Joseph / GRECOURT, Jean-Baptiste Willart de / LA FONTAINE, Jean de, et al.]
Reference : 7643
(1782)
1782 Chez Apollon: au Mont Parnasse [i.e Paris: Cazin?], 1782. Complet en 3 vol. in-18: 9 x 13 cm. I/ 1 front., 143 pp. + 5 pl. grav.; II/ 2 ff., 140 pp. + 5 pl. grav.; III/ 142 pp. + 6 pl. grav. Recueil de pièces légères de Grécourt, Dorat, La Fontaine, Ch. Bordes, Voltaire, Vergier, Gresset, et Sénecé illustré dun frontispice et de 16 charmantes figures hors-texte non signées. (Gay, VI, p. 78). Edition attribuée par Cohen à H.-M. Cazin mais mentionnée parmi les "faux cazins" par J.-P. Fontaine. (Cazin: Léponyme galvaudé, 2012, p. 204). Reliures de lépoque en demi-basane brune à petits coins. Dos à cinq nerfs avec pièce de titre roses, tomaisons en capitales dorées et caissons ornés de fers à motifs floraux. Très charmant ensemble. En très bon état de conservation.
Contenu. I: "L'amour oiseleur" / [Grécourt]. "Les dévirgineurs" / [Dorat]. "Les cerises" / [Grécourt]. "Alphonse" / [Dorat]. "Euphrasie ou Les grâces philosophes". "Le paysan qui avoit offensé son seigneur" / [La Fontaine]II: «Parapilla» [Ch. Bordes]/. «Joconde» / [La Fontaine]. «Rosine» / [Gércourt]. «Les Trois Manières» / [Voltaire]. «Le Mal dAventure» / [Vergier]. III: «Ver-Vert» / [Gresset]. «Camille, ou la Manière de filer le parfait Amour» / [Sénecé]. «Ce qui Plait aux Dames» / [Voltaire]. «La Fiancée du Roi de Garbe. Nouvelle» / [La Fontaine]. «Le petit chien, qui secoue de largent & de pierreries» / [La Fontaine]. «Le Savetier» . [La Fontaine].
à Londres, s.n., s.d.
La FONTAINE Jean de, Contes et nouvelles en vers (2vol), illustré de 87 gravures à Londres, sn, sd. Ensemble de 2 vol in-12 reliés (140x80mm), plein veau brun, dos lisse à caissons ornés, triple liseré doré sur les plats, tranches dorées. Vol1 (41 gravures):1f faux-titre,1f frontispice (portrait de La Fontaine en médaillon), 1f titre, 2ff préface de l'auteur, (xii) Vie de La Fontaine, 212pages, 1f table, 1fbnc; Vol2 (46 gravures):1fbnc,1f frontispice, 1f titre,3ff préface,247pages, 2fbnc. Accompagné de 87 illustrations, signées pour certaines du graveur Martinet. Recueil de près de 70 contes et nouvelles en vers de Jean de la Fontaine (1612-1695), parus initialement en 5 volumes de 1664 à 1685, souvent gais, qui prennent le ton de la causerie. On s'en souvient, Jean de la Fontaine s'était vu supprimer en 1675, par ordre du roi son recueil, sans doute est-ce une des raisons pour lesquelles l'auteur n'était lu et pratiqué que dans les sociétés libertines de son temps. Le critique Émile Faguet a pu dire que ses contes et vers ''n'en restent pas moins un véritable modèle de narration élégante et gracieuse''. '' Quoi ! tu me quittes, disait-elle ! As tu bien l'âme assez cruelle, Pour préférer à ma confiante amour Les faveurs de la Cour ? Tu fais qu'à peine elles durent un jour, qu'on les conserve avec inquiétude, Pour les perdre avec désespoir.'' (Joconde, vol1) Charnières travaillées, reliures correctes.
[Paris, Desaint & Saillant, 1755 à 1759]. Dimensions (à vue) : 348 x 247 mm + cadre en bois doré.
Jolie épreuve gravée par J. [Jean] Ouvrier d'après Jean-Baptiste Oudry. Elle vient illustrer la Fable 152 de La Fontaine et appartient à l'ensemble que composa Jean-Baptiste Oudry pour la composition de ''ce magnifique ouvrage'' [Fables choisies de La Fontaine]. (in Cohen). ''Somptueuse édition dont Cochin dirigea l'exécution artistique''. (in Rahir). ''Oudry, ce La Fontaine de la peinture, avait mis cinq ans à préparer ses esquisses, au nombre de 276. Cochin Fils les retoucha au crayon noir, et, en 1756, parut cet admirable recueil qui suscita alors l'admiration''. (in Rochambeau). Rochambeau, Bibliographie des Oeuvres de La Fontaine, 86 - Cohen I, Manuel de l'amateur de livres à gravures du XVIIIème siècle, 548 et suivantes - Boissais, Le Livre à gravures au XVIIIème siècle, p. 105 - Rahir, La Bibliothèque de l'amateur, p. 488 - Brunet III, Manuel du libraire et de l'amateur de livres, 753 - Bénézit X, Dictionnaire des peintres, p. 60. Rousseurs éparses. Discrète plissure en marge supérieure (avec légère atteinte à la composition). Du reste, belle condition.
Reliure plein maroquin rouge. Dos à nerfs orné de filets dorés. Encadrement de 7 filets dorés sur les plats. Toutes tranches dorées. Reliure signée CHAMBOLLE-DURU.Édition estimée, la première au format in-8, des ?uvres complètes de Jean de La Fontaine. Elle fut imprimée par Crapelet et débute par une Vie inédite de l'auteur par Louis-Simon Auger (1772-1829).
Paris De l?imprimerie Crapelet, Chez Lefèvre 1814 TI: LXXV, 242 pp. TII: 319 pp. TIII: 488 pp. TIV: 547 pp. TV: 334 pp. TVI: 494 pp. In-8. Reliés. Exceptionnel ensemble dans une admirable reliure 6 tomes. Elle est illustrée d'un portrait de Jean de La Fontaine gravé par Jean-François Ribault (1767-1829) d'après la gravure faite par Edelinck du tableau de Hyacinthe Rigaud (1659-1743) et de 25 figures hors-texte en premier tirage, gravées par Antoine Abraham et Étienne Devilliers, Emmanuel-Jean-Népomucène De Ghendt (1738-1815), Jean-Louis Delignon (1755-1804?), Rémi Delvaux (1748?-1823), Philippe Trière (1756-1815 ?), Antoine-Claude-François Villerey (1754-1828), Jean Bosq (17..-18..), Pigeot, Jean Baptiste Blaise Simonet (1742-1817) et Louis François Mariage (17..-18..) d'après les compositions de Jean-Michel Moreau, dit MOREAU LE JEUNE (1741-1814).Très bel exemplaire en papier vélin, contenant la suite composée d'un portrait et de 25 figures par MOREAU Le Jeune en double état, AVANT LA LETTRE ET EAUX-FORTES.
Paris, chez Francis Guillot, (1926). 3 forts vol. in-4 (328 x 258 mm) de 3 ff. n.fol., 1 frontispice gravé n.fol., lix - 262 pp. et 1 f. bl. ; é ff. n.fol., 2 frontispices n.fol. et 359 pp. Reliures uniformes de l'époque de demi-chagrin marine à coins, filets gras dorés portés sur les plats, dos à nerfs ornés de filets gras à froid, doubles caissons d'encadrement dorés, filets en pointillés dorés sur les nerfs, larges fleurons dorés, semis d'étoiles et de pointillés dorés, titre doré, tomaison dorée, palette dorée en queue, têtes dorées, couvertures et dos conservées.
Ensemble complet de ses 2 volumes, sous reliures décoratives du temps. Soigneuse publication, elle recèle 100 compositions de Fragonard ; la plupart gravées et hors-texte. Le fabuliste eclipse ici le conteur... La crispation religieuse de la fin du règne de Louis XIV, et plus tard la pudibonderie du xixesiècle, ont mis dans l’ombre ces contes licencieux dont le défi poétique consiste à jouer de l’implicite pour (ne pas) nommer la sexualité, à «dire sans dire», dans un jeu de dérobade et de provocation reposant sur la complicité du lecteur. La Fontaine a mené simultanément ces deux activités, jusqu’à joindre des contes à l’ultime recueil de fables de 1693: bien plus qu’un laboratoire de la narration enjouée des Fables, les Contes pourraient bien participer d’une même entreprise, celle d’une narration poétique sous le signe d’une gaieté sans illusions. Ces récits paillards, imités pour beaucoup d'entre eux de l'Arioste, Boccace, ou de François Rabelais feront dire à leur auteur dans sa préface : "...et puis ce n'est ni le vrai ni le vraisemblable qui font la beauté et la grâce de ces choses-ci ; c'est seulement la manière de les conter." L’œuvre de La Fontaine offre la figure, exemplaire, d’une sagesse désabusée: elle choisit, comme le Démocrite de la fable Démocrite et les Abdéritains, la retraite méditative plutôt que la vie de la cité d’Abdère soumise aux pensers du vulgaire, et, face à la violence forcenée du réel elle préfère, contre l’Héraclite de l’Histoire, le rire plutôt que les pleurs. Dos légèrement insolés. Quelques frottements affectant angles et nerfs de chacune des reliures. Nonobstant, belle condition.
<meta charset="utf-8"><span data-mce-fragment="1">On ne sait pas toujours que Jean de la Fontaine doit aussi une partie de son inspiration à Ibn al-Muqaffa’, iranien du VIIIème siècle et à ses fables animalières de Kalila et Dimna, elles-mêmes issues du livre indien du Panchatantra. L’Orient utilisait les fables pour rendre évidente cette morale humaine que La Fontaine a portée à son pinacle. Au XIXème siècle, le diplomate français Félix Sébastien Feuillet de Conches rêve d’un projet fou : il envoie à ses correspondants des recueils des Fables de La Fontaine pour les faire illustrer par les artistes locaux. Il reçoit des peintures typiques d’Égypte, de Perse, d’Abyssinie, de Chine, d’Inde, du Japon… Un trésor d’illustrations conservé au musée Jean de la Fontaine à ChâteauThierry et qui n’avait jamais été publié ni révélé au grand public.</span> 2022 Orients éditions 383 p., illustrations couleur, cartonnage éditeur sous jaquette. 16 x 24,5
Neuf
DE LA FONTAINE Jean, FEUILLET DE CONCHES Felix et MIQUEL André.
Reference : 26116
ISBN : 9791093315348
<meta charset="utf-8"><span data-mce-fragment="1">On ne sait pas toujours que Jean de la Fontaine doit aussi une partie de son inspiration à Ibn al-Muqaffa’, iranien du VIIIème siècle et à ses fables animalières de Kalila et Dimna, elles-mêmes issues du livre indien du Panchatantra. L’Orient utilisait les fables pour rendre évidente cette morale humaine que La Fontaine a portée à son pinacle. Au XIXème siècle, le diplomate français Félix Sébastien Feuillet de Conches rêve d’un projet fou : il envoie à ses correspondants des recueils des Fables de La Fontaine pour les faire illustrer par les artistes locaux. Il reçoit des peintures typiques d’Égypte, de Perse, d’Abyssinie, de Chine, d’Inde, du Japon… Un trésor d’illustrations conservé au musée Jean de la Fontaine à ChâteauThierry et qui n’avait jamais été publié ni révélé au grand public.</span> Paris, 2022 Orients éditions 381 p., nombreuses illustrations couleur, cartonné. 16 x 24
Neuf
<meta charset="utf-8"><span data-mce-fragment="1">On ne sait pas toujours que Jean de la Fontaine doit aussi une partie de son inspiration à Ibn al-Muqaffa’, iranien du VIIIème siècle et à ses fables animalières de Kalila et Dimna, elles-mêmes issues du livre indien du Panchatantra. L’Orient utilisait les fables pour rendre évidente cette morale humaine que La Fontaine a portée à son pinacle. Au XIXème siècle, le diplomate français Félix Sébastien Feuillet de Conches rêve d’un projet fou : il envoie à ses correspondants des recueils des Fables de La Fontaine pour les faire illustrer par les artistes locaux. Il reçoit des peintures typiques d’Égypte, de Perse, d’Abyssinie, de Chine, d’Inde, du Japon… Un trésor d’illustrations conservé au musée Jean de la Fontaine à ChâteauThierry et qui n’avait jamais été publié ni révélé au grand public.</span> 2021 Orients éditions 383 p., cartonnage éditeur. 16 x 24,5
Neuf
Paris, Garnier frères, "Chefs-d'oeuvre de la littérature française", 1874 1 volume In-8° (15 x 24cm) Reliure d'époque demi-chagrin rouge; dos à 4 faux nerfs, 3 caissons de filets à froid et 2 fleurons dorés, auteur, titre et tomaisons dorés; plats de percaline rouge granitée; gardes marbrées. 4 feuillets, 1 frontispice, XCIX + 356p. Fentes superficielles aux extrémités des charnières; rousseurs.
1er des 2 volumes de "Contes" des "Oeuvres complètes" de Jean de LA FONTAINE (1621-1695) publiées en 7 volumes (1872-1876): "nouvelle édition très soigneusement revue sur les textes originaux - Avec un travail de critique et d'érudition, aperçus d'histoire littéraire, vie de l'auteur, notes et commentaires, bibliographie, etc. par M. Louis MOLAND": 28 contes avec notes et commentaires, précédés d'une longue étude (99 pages) de l'historien et critique littéraire Louis MOLAND (1824-1899) sur la tradition des contes dans laquelle s'inscrit l'auteur, avec citations de textes médiévaux et du XVIè siècle, et sur la publication des contes de La FONTAINE; tables des contes de LA FONTAINE et des divers auteurs cités dans les commentaires; frontispice en taille-douce d'après G. STAAL.
Librairie De L.Hachette Et Cie -Boulevard Saint Germain -Paris - 1868 -Les douze livres en un -413fables - 864 pages - Illustration noir et blanc en 90 hors texte ,vignettes et culs de lampe dans le texte de Gustave Doré - Portrait de Jean De La Fontaine en frontispice -Collation :Notice sur Jean De La Fontaine ,dédicace à Monseigneur Le Dauphin ,préface ,vie D'Esope LX pages - Fables page 5 à 845 - Tables des grandes gravures page 847 à 851 -Tables des fables page 853 à 864 -Fort volume grand in folio ,cartonnage éditeur pleine percaline rouge ,dos cuir à caissons fleuronnés ,premier plat orné d'une grande composition dorée ,dos titré -Intérieur :rousseurs sporadiques,assez frais cependant - Exemplaire en bon état
Premier édition de l’œuvre de Jean De La Fontaine illustrée par Gustave Doré
Jean Aubanel et Fils Avignon, 1979. Plaquette grand in 8 brochée, 27 pages d'analyse de l'auteur & 26 pages reproduisant en fac simile les 570 vers inédits de jean de la Fontaine découverts, et présentés par Gaston Vidal. Edition originale, l'un des exemplaires numérotés sur Bouffant édita (n° 429). Très bon état. On joint en fac-similé un article des la Nouvelle Revue française de juin 1980 : "Les derniers vers de Jean de la Fontaine" par François Daumas.
Rouen, Lud. Le Boucher & Laurent Dumesnil, 1775. 2 volumes in-8 (192 x 121 mm), XXIV pp., 447 sur 461 pp. ; 2 ff. n. ch., 576 pp., 2 ff. n. ch. Veau porphyre, triple filet doré d'encadrement sur les plats, dos à nerfs orné, pièce de titre et de tomaison en maroquin vert, filet doré sur les coupes, roulette intérieure, tranches marbrées, un mors fendu sur 3 cm, manque l'errata et la table à la fin du tome 1, elle est remplacée par une table manuscrite de la main de Delambre (reliure de l'époque).
Une édition latin/français des Fables de La Fontaine. Cette seconde édition comprend 228 fables, avec le texte français en regard. Elles ont été traduites par Jean-Baptiste Giraud (1701-1776) avec des notes explicatives en bas de page pour les mots et expressions les plus difficiles. La première édition (Rouen, 1765) parut sans nom d'auteur et de traducteur. Le père Giraud consacra une trentaine d'années à la traduction en latin des Fables de La Fontaine. D'après Quérard, il publia dès 1715 (à 14 ans), un premier essai de cette traduction. Une grande partie des fables de La Fontaine ont été traduites en vers latins, et avec quelque succès, par J.-B. Giraud de l'Oratoire (Brunet). L'exemplaire du savant astronome Jean-Baptiste Delambre. Après des premières études dans sa ville natale, Jean-Baptiste Delambre (Amiens, 1749-Paris, 1822) s'installa en 1774 à Paris où il devint le précepteur du fils de M. Dassy, receveur général des Finances. Ce dernier lui facilita ses études en lui permettant de suivre les cours de l'astronome Jérôme Lalande et installa dans les combles de son hôtel un observatoire. En 1781, Delambre publia des tables d'Uranus, planète découverte par William Herschel, ainsi que plusieurs Mémoires. En 1786, il présenta à l'Académie des sciences un compte-rendu d'observation du passage de Mercure devant le Soleil du 4 mai 1786, ce qui marqua le début de sa carrière d'astronome observateur. En 1788, il est élu membre étranger à l'Académie royale des sciences de Suède. En 1792, il devint associé géomètre de l'Académie des sciences, où il est à partir de 1800, secrétaire pour les sciences mathématiques. En 1804, il est nommé directeur de l'observatoire de Paris, poste qu'il occupa jusqu'à son décès. Jean-Baptiste Delambre fut en outre chevalier, puis officier (1821) de la Légion d'honneur, Secrétaire perpétuel de l Académie royale des Sciences pour les Mathématiques, Professeur d'Astronomie au Collège royal de France, Membre du Bureau des Longitudes, des Sociétés royales de Londres, d'Upsal et de Copenhague, des Académies de Saint-Pétersbourg, de Berlin, de Suède et de Philadelphie, etc. Il est inhumé au cimetière du Père-Lachaise. Son nom a été donné à un cratère de la Lune et il est inscrit sur la Tour Eiffel. Georges Cuvier dit de lui que sa probité scientifique n'avait d'égale que sa modestie. Delambre, dont l'ex-libris manuscrit est inscrit au verso de la première garde, composa lui-même à la plume la table des Fables qui manquait à la fin du tome premier de son exemplaire. Très bon exemplaire en veau porphyre de l'époque. Brunet, Manuel des libraires et de l'amateur de livres, III, p. 756 ; Quérard, La France littéraire, IV, p. 411 et II, p. 434.
Très bel exemplaire, d’une grande pureté, conservé dans son vélin ivoire de l’époque. Amsterdam, Henry Desbordes, 1685. 2 tomes reliés en 1 volume petit in-8 de: I/ 1 frontispice, (8) ff., 236 pp., 29 gravures; II/ (4) ff., 216 pp. et 29 gravures. Relié en vélin ivoire rigide de l’époque, dos lisse. Reliure de l’époque. 157 x 100 mm.
Edition originale collective et première illustrée des Contes de La Fontaine. Exemplaire du tout premier tirage, sur les trois existants. Tchemerzine, III, 860. Cette édition contient 58 Contes, soit la totalité de ceux composés par La Fontaine à l’exception des 6 qu’il publia, la même année, dans les Ouvrages de prose et de Poésie en collaboration avec Maucroix, et du conte Le Quiproquo qui ne parut qu’après sa mort. Publiée du vivant de l’auteur, cette édition originale est aussi la première illustrée. Elle contient 1 frontispice et 58 figures à mi-page gravées à l’eau-forte par Romain de Hooghe. Sept ans plus tard, La Fontaine, dangereusement malade, désavoua ses Contes et renonça aux profits de ce livre abominable. L’illustration spirituelle de Romain de Hooghe, l’un des chefs-d’œuvre de l’artiste, est la seule contemporaine du texte; Otto Benesh la désigne comme «one of the greatest illustrations of all times». La présente édition «est ornée de jolies et très expressives eaux-fortes par Romain de Hooghe». (Catalogue du baron de Ruble, n°275). Les Contes réunissent toute l’œuvre licencieuse de Jean de La Fontaine et par ordre du roi, la police fit supprimer le recueil. Au moment où venait de paraitre l’édition des Fermiers généraux de 1762, G. de Bure, dans sa Bibliographie instructive, consacrait plus de deux pages à la description de celle de 1685, la plus belle et la plus recherchée, par rapport aux figures de Romain de Hooghe dont elle est ornée… et dont malgré la nouvelle édition illustrée par Eisen, il faut néanmoins convenir que la plupart des curieux la recherchent, et en font toujours beaucoup de cas. Exemplaire du tout premier tirage. Dans ce tirage de tête, les gravures sont d’une beauté remarquable. Très bel exemplaire, d’une grande pureté, conservé dans son vélin ivoire de l’époque. Les exemplaires de premier tirage de cette édition originale conservés en jolie reliure de l’époque sont devenus introuvables.
Librio 2004 2004. Jean de La Fontaine: Contes libertins/ Librio 2004 . Jean de La Fontaine: Contes libertins/ Librio 2004
Bon état
A Paris, chez Guillaume Deluyne, Libraire Juré au Palais dans la Solla des Merciers, à la Justice, 1696, 1 volume in-12 de 175x100x25 mm environ, 1 f.blanc, 12 ff. (titre, épistre, précade de Monsieur de la Fontaine, extrait de privilège, table), 276 pages, 1f.blanc, pleine basane brune restaurée, dos à nerfs portant titres dorés, orné de caissons à fleurons et motifs dorés, tranches mouchetées de rouge. Des rousseurs et pages brunies, un nom sur la page de titre. Ce Recueil, dû à Madame Ulrich autrice de Théâtre et éditrice française, contient une grand nombre de pièces inédites. Le Conte de quiproquos parait ici pour la première fois (cf La Pléiade).
Jean de La Fontaine, né le 8 juillet 1621 à Château-Thierry et mort le 13 avril 1695 à Paris, est un poète français de grande renommée, principalement pour ses Fables et dans une moindre mesure pour ses contes. On lui doit également des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
A Paris, de l'Imprimerie de Didot l'Aîné, 1787. 6 vol. au format pt in-12 (138 x 83 mm) de 2 ff. n.fol., 1 frontispice gravé n.fol. et 76 pp. ; 2 ff. n.fol. et 76 pp. ; 69 pp. et 1 f. bl. ; 110 pp. et 1 f. bl. ; 1 frontispice gravé n.fol. et 115 pp. ; 1 frontispice gravé n.fol. et 140 pp. Reliures uniformes début XIXème de pleine basane glacée et racinée blonde, filet, filet dentelé et dentelle dorés encadrant les plats, dos lisse ornés d'un double filet d'encadrement doré, doubles filets dorés, filets sinusoïdaux en pointillés dorés, entrelacs de doubles filets en pointillés dorés formant chaînettes, fleurons forés, pièces de titre de maroquin vieux-rouge, pièces de tomaison de maroquin havane, titre doré, tomaison dorée, filet doré sur les coupes, tranches dorées, dentelle intérieure dorée, gardes de pleine moire amande.
Ensemble complet des six volumes le constituant ; revêtus de reliures décoratives. ''Edition ornée de jolies gravures''. (in Brunet). ''Tirée à 500 exemplaires'' (in Cohen) ; sur vélin. ''Belle édition complète des Fables, ornée de 276 figures hors-texte par Vivier, premier peintre de S.A.S. Monseigneur le Duc de Bourbon, et gravées par Simon et Coiny.'' (in Rochambeau). Complet des 276 planches gravées montées sous serpentes ; ici proposées dans leur premier tirage. ''A la veille des bouleversements révolutionnaires, le peintre Vivier va donner une série de figures pour les Fables, gravées avec finesse et soin par Simon Simon et Jacques-Joseph Coiny. Une lumière méditerranéenne […], une rusticité empruntée pour la première fois à la Provence et à l’Italie, une vision précise et «pré-ethnographique» des mœurs et costumes de l’Orient font de cette édition un objet précieux d'une rare originalité''. (in Lesage). Rochambeau, Bibliographie des oeuvres de La Fontaine, 131 - Desprès, Bibliographie des livres de Fables de La Fontaine illustrée, XXIX (pour une collation différente) - Brunet III, Manuel du libraire et de l'amateur de livres, 753 - Boissais, Le Livre à gravures au XVIIIème siècle, p. 106 - Cohen & de Ricci, Guide de l'amateur de livres à gravures du XVIIIème siècle, 553 - Cohen, Guide de l'amateur de livres à vignettes, 235 - Lasage / BnF, Jean de La Fontaine, p. 157 Légères altérations superficielles affectant les reliures. Quelques rousseurs ou petites tâches dans les corps d'ouvrages. Du reste, bonne condition.