Tristan Flora Michaud Stéphane Colloque international Flora Tristan
Reference : CYG23RT
ISBN : B0014MSAQY
In Spanish. Short description: Flora TRISTAN. Peregrinaciones de una Paria, Havana, 1980. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKUZLO000152
François Maspero Broché D'occasion bon état 01/01/1979 377 pages
14 cm X 20,6 cm, 270 pp, couverture souple et illustrée.
Bords frottés, trace de pliure sur les coins. dos et plats un peu insolés. Très bon état par ailleurs. Intérieur frais.
Paris, La Découverte/ Maspero ( "Collection du Centre d'histoire du syndicalisme"), 1983. in-8 (22x13,5), broché, 358 pp., index, bibliographie, broché, couverture illustrée.
Très bel exemplaire. [MI-29]
ERCILLA/LIBRERIA STUDIUM/CLASICOS PERUANOS. 1941. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos plié, Intérieur acceptable. 325 pages. Premier plat illustré en couleurs. Texte en espagnol.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
2014 chez Transhumance. In-8, broché, 433 pages.
Exemplaire en très bon état. Intérieur frais et agréable.
P., La Bibliothèque Française, 1947, in-12, 296 pp, broché, bon état
"Flora Tristan, âpôtre du socialiste et du féminisme, est peu connue du grand public. Le livre que nous présente aujourd'hui Lucien Scheler a été élaboré très soigneusement, et ses lecteurs y trouveront à la suite d'une biographie passionnante, une anthologie de Flora Tristan qui donne une idée très suffisante de cette œuvre peu répandue. Lucien Scheler a choisi fort intelligemment ses morceaux dans les Pérégrinations d'une Paria (1838), dans les Promenades dans Londres (1840) et dans Union ouvrière (1843). Le premier de ces ouvrages est essentiellement autobiographique, mais contient aussi des aperçus pittoresques et instructifs sur la vie au Pérou vers 1830, alors que Flora Tristan y était venue tenter, auprès de l'aristocratique famille de feu son père, une démarche pour récupérer la succession de celui-ci. Les Promenades dans Londres (1840) contiennent d'intelligentes considérations et une grande masse de données sur l'Angleterre politique, économique, sociale, ouvrière, morale, etc... Dès lors la vocation de Flora Tristan s'est affirmée : le spectacle de la misère qu'elle sait observer et méditer lui découvre des vérités premières qu'elle va formuler dans son petit livre Union ouvrière (1843). Déjà les saint-simoniens avaient révélé l'existence des classes sociales, dont la classe ouvrière, la plus nombreuse, la plus utile, est la plus pauvre. Flora Tristan proclame, quatre ans avant Marx, que ces classes sont en lutte et que la classe ouvrière ne s'émancipera que par ses propres efforts. Mais l'apôtre, solidariste, souhaite que les autres classes sociales collaborent à cette émancipation, laquelle ne sera d'ailleurs possible que lorsque les ouvriers seront sortis de l'abjection dans laquelle ils croupissent, la plupart sans s'en douter. Reprenant et révisant les projets des réformateurs du compagnonnage, Flora Tristan entreprend de provoquer dans les milieux ouvrier ce noble désir de progrès laborieusement gagné. Après avoir fréquenté les miteux de l'Atelier et de la Ruche Populaire à Paris, ou telles autres élites ouvrières, elle part à travers la France, suivant l'itinéraire habituel des « Compagnons » ; d'avril à septembre 1844, elle prêche de ville en ville, le « nouvel évangile », signalée, surveillée par la police et parfois même inquiétée. Elle est diversement accueillie, obtenant çà et là des résultats qui l'enthousiasment, notamment à Lyon, à Marseille, à Toulon, à Carcassonne. Chemin faisant, elle cause avec des patrons, avec des bourgeois, avec des curés et des pasteurs ; quatre évêques lui accordent audience. Après quatre mois d'un voyage épuisant, voyage de propagande et aussi voyage d'études, elle vient mourir à Bordeaux en novembre 1844... Lucien Scheler a bien conté cette belle histoire, montrant avec exactitude les influences que notre apôtre avait subies, ou tout au moins les suggestions ; notamment les leçons d'outre-Manche : Robert Owen, les Chartistes, O'Connell. Il a aussi mis en valeur la tendance internationaliste de Flora Tristan. Je ne vois d'ailleurs aucune omission dans ce petit volume qu'il faudrait largement répandre. L'excellente étude donne une idée très exacte de l'apôtre." (Jules-L. Puech, Revue d'Histoire du XIXe siècle - 1848, 1949) — "Curieuse Flora Tristan. Elle meurt en 1844 à 41 ans, après un apostolat social de dix-huit mois qui n'a frappé « l'opinion » – celle qui lisait les journaux – que de façon marginale. Si elle a été l'amie de Victor Considérant, si elle a admiré Robert Owen, elle a brisé, vite, avec le Père Enfantin et le saint-simonisme, et les socialistes de sa génération qui lui survivront l'ignorent ; non seulement Marx, qu'elle aurait pu rencontrer pourtant à Paris, mais Proudhon qui, en elle, méprise d'abord la femme..." (Madeleine Rebérioux, Annales ESC, 1974) — "Ma grand'mère était une drôle de bonne femme. Elle se nommait Flora Tristan." (Paul Gauguin)
Dijon, EUD, 1985, in 8, broché, VI-263 pages
Textes de Daniel Armogathe, Michel Baridon, Henriette Bessis, Peter Byrne, Jean Cassou, Club Flora Tristan de Paris, Denys Cuche, Dominique Desanti, Geneviève Fraisse, Jacques Grandjonc, Marie-Claire Hoock-Demarle, Pierre Lévêque, Stéphane Michaud, Michelle Perrot, Christine Planté, Magda Portal, Fernand Rude, Michèle Riot-Sarcey, Lucien Scheler et Marianne Walle ; suivis de lettres inédites de Flora Tristan. ...................... Photos sur demande ..........................
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Paris Marcel Rivière, Editeur 1925 in 8 (22,5x14) 1 volume broché, portrait de Flora Tristan en frontispice, III et 514 pages [1]. Flora Tristan, Paris 1803 - Bordeaux 1844, femme de lettres, militante socialiste et féministe française. Très bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Broché
BORY DE SAINT-VINCENT, Jean-Baptiste (1778-1846) à TRISTAN, Flora (1803-1844)
Reference : 3019
Une correspondance adressée à la femme de lettre féministe socialiste française, l’une des figures majeure du socialisme utopique du XIXe siècle, Flora Tristan (7 avril 1803 – 14 novembre 1844)Ensemble de 5 lettres adressées à Flora TRISTAN, formant 9 pages in4, in8 et in12, Alger, Paris et s.l, 1838-1842 et s.d.Adresses aux versos des seconds feuillets avec marques postales.Bory de Saint Vincent écrit ces lettres à Flora Tristan alors qu’elle a déjà pris contact avec Charles Fourier et travaille à son maître ouvrage.Elle publie en 1838 « Méphis » en deux volumes et vient de survivre à une tentative d’assassinat en 1839 par son ex-mari. Ses « Promenades dans Londres » en 1840 lui ont fait prendre conscience du prolétariat anglais l’amenant à publier en 1843 l’union ouvrière dans lequel se trouve cet adage célèbre « Prolétaires de tous les pays unissez vous ».La rencontre qu’elle fit avec Prosper Enfantin, qu’évoque Bory de Saint Vincent, eut une influence considérable sur la nature de ses réflexions.Bory de Saint Vincent va le lui présenter lors d’un dîner philosophique. Il évoque leurs « explorations ethnologiques » à Oran et ajoute « Je doute qu’il s’occupe encore de faire du saintsimonisme et des Religions. Il donne dans le positif, anime beaucoup de tables [...] ».
« Très belle paria,que pensez vous de moi, sinon que je puis vous oublier ? »Si vous aviez cependant une petite idée de votre valeur, vous n’auriez pas de ces idées là. Depuis que je vous ai vu, j’ai été non seulement fort occupé, mais un peu indisposé et ne suis presque pas sorti. Je ne voulais pas vous porter une figure blème, une humeur triste, bref tous les symptômes d’un malade. Ce temps là me tue au moral et au physique. Il me faudrait de la chaleur, du soleil, et vos beaux yeux pour me remettre. (…) » (sd, 42 ?). « Très aimable philosophe, (...) ». « Belle gazelle, vous voyez que je suis bien occupé, non seulement pour ne pas avoir été vous voir encore dans votre cherche-midi, mais encore pour demeurer à Paris aujourd’hui, où mes enfants voudraient que pour profiter des vacances, je les conduisisse à la campagne. Je ne puis en vérité de quinze jours encore aller de vos cotés. »BORY DE SAINT-VINCENT, Jean-Baptiste, naturaliste, aventurier, grand voyageur et soldat a eu plusieurs vies, après plusieurs publications savantes, il s’engage dans les armées de la révolutions en 1799, participe a une campagne scientifique en Australie, a la suite de pérégrinations chaotiques on le retrouve dans l’ile de la Réunion où en 1801 il commet la première ascension scientifique du Python de la fournaise. Il est de retour en France en 1802, il s’engage comme capitaine, en tant que dragon de régiment de cavalerie, il suivra la plupart des campagnes napoléoniennes, Austerlitz, Iéna, Friedland.Il continue parallèlement à se livrer à cette révolution scientifique.Il continue parallèlement à se livrer à cette révolution scientifique. Actif pendant les 100 jours, il est balayé par le retour de Louis XVIII.Écarté de tout poste de responsabilité, il se décide en 1822 à rédiger son dictionnaire d’histoire naturelle en 17 volumes.En 1829, il fait partie de l’expédition de Morée, ses descriptions scientifiques d’une extrême importance et d’une qualité inédite jusqu’alors lui valent un retour aux affaires publiques.Il combat sur les barricades du Faubourg St germain et à l’Hôtel de ville.Après les trois glorieuses Bory est enfin après 15 ans réintégré dans l’armée à son grade de colonel. Élu député en 1831, il est finalement élu membre de l’académie des science en 1834.En 1839, il prend la tête d’une commission d’exploration scientifique en Algérie afin d’établir des travaux de même type que ceux en Égypte et en Morée.Bory décède à Paris en 1846.Notons également que Bory fut l’un des concepteurs de la théorise transformiste de Lamarck, défenseur de la génération spontanée, il fut un opposant de premier plan à l’esclavagisme, Victor Schoelcher le site comme l’un de ses soutiens en faveur de l’abolition.
BORY DE SAINT-VINCENT, Jean-Baptiste (1778-1846) à TRISTAN, Flora (1803-1844)
Reference : 3129
Une correspondance adressée à la femme de lettre féministe socialiste française, l’une des figures majeure du socialisme utopique du XIXe siècle, Flora Tristan (7 avril 1803 – 14 novembre 1844)Ensemble de 5 lettres adressées à Flora TRISTAN, formant 9 pages in4, in8 et in12, Alger, Paris et s.l, 1838-1842 et s.d.Adresses aux versos des seconds feuillets avec marques postales.Bory de Saint Vincent écrit ces lettres à Flora Tristan alors qu’elle a déjà pris contact avec Charles Fourier et travaille à son maître ouvrage.Elle publie en 1838 « Méphis » en deux volumes et vient de survivre à une tentative d’assassinat en 1839 par son ex-mari. Ses « Promenades dans Londres » en 1840 lui ont fait prendre conscience du prolétariat anglais l’amenant à publier en 1843 l’union ouvrière dans lequel se trouve cet adage célèbre « Prolétaires de tous les pays unissez vous ».La rencontre qu’elle fit avec Prosper Enfantin, qu’évoque Bory de Saint Vincent, eut une influence considérable sur la nature de ses réflexions.Bory de Saint Vincent va le lui présenter lors d’un dîner philosophique. Il évoque leurs « explorations ethnologiques » à Oran et ajoute « Je doute qu’il s’occupe encore de faire du saintsimonisme et des Religions. Il donne dans le positif, anime beaucoup de tables [...] ».
« Très belle paria,que pensez vous de moi, sinon que je puis vous oublier ? »Si vous aviez cependant une petite idée de votre valeur, vous n’auriez pas de ces idées là. Depuis que je vous ai vu, j’ai été non seulement fort occupé, mais un peu indisposé et ne suis presque pas sorti. Je ne voulais pas vous porter une figure blème, une humeur triste, bref tous les symptômes d’un malade. Ce temps là me tue au moral et au physique. Il me faudrait de la chaleur, du soleil, et vos beaux yeux pour me remettre. (…) » (sd, 42 ?). « Très aimable philosophe, (...) ». « Belle gazelle, vous voyez que je suis bien occupé, non seulement pour ne pas avoir été vous voir encore dans votre cherche-midi, mais encore pour demeurer à Paris aujourd’hui, où mes enfants voudraient que pour profiter des vacances, je les conduisisse à la campagne. Je ne puis en vérité de quinze jours encore aller de vos cotés. »BORY DE SAINT-VINCENT, Jean-Baptiste, naturaliste, aventurier, grand voyageur et soldat a eu plusieurs vies, après plusieurs publications savantes, il s’engage dans les armées de la révolutions en 1799, participe a une campagne scientifique en Australie, a la suite de pérégrinations chaotiques on le retrouve dans l’ile de la Réunion où en 1801 il commet la première ascension scientifique du Python de la fournaise. Il est de retour en France en 1802, il s’engage comme capitaine, en tant que dragon de régiment de cavalerie, il suivra la plupart des campagnes napoléoniennes, Austerlitz, Iéna, Friedland.Il continue parallèlement à se livrer à cette révolution scientifique.Il continue parallèlement à se livrer à cette révolution scientifique. Actif pendant les 100 jours, il est balayé par le retour de Louis XVIII.Écarté de tout poste de responsabilité, il se décide en 1822 à rédiger son dictionnaire d’histoire naturelle en 17 volumes.En 1829, il fait partie de l’expédition de Morée, ses descriptions scientifiques d’une extrême importance et d’une qualité inédite jusqu’alors lui valent un retour aux affaires publiques.Il combat sur les barricades du Faubourg St germain et à l’Hôtel de ville.Après les trois glorieuses Bory est enfin après 15 ans réintégré dans l’armée à son grade de colonel. Élu député en 1831, il est finalement élu membre de l’académie des science en 1834.En 1839, il prend la tête d’une commission d’exploration scientifique en Algérie afin d’établir des travaux de même type que ceux en Égypte et en Morée.Bory décède à Paris en 1846.Notons également que Bory fut l’un des concepteurs de la théorise transformiste de Lamarck, défenseur de la génération spontanée, il fut un opposant de premier plan à l’esclavagisme, Victor Schoelcher le site comme l’un de ses soutiens en faveur de l’abolition.
Dijon, EUD, 1985, in 8° broché, VI-263p pages ; jaquette illustrée en couleurs.
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Petit in-12, cartonnage bordeaux gaufré à la Bradel (rel. moderne signée Goy & Vilaine), xx, 123, (1) p. Paris, Prévot, Rouanet, 1843.
Edition originale, rare, publiée grâce à une souscription et à un porte-à-porte militant auprès de personnalités célèbres comme de simples ouvrières et ouvriers, après que le manuscrit ait été refusé par les principaux éditeurs."Loeuvre maîtresse de Flora Tristan (). Pour faire entendre cet appel à la constitution de la classe ouvrière, elle accomplit un tour de France où son enthousiasme généreux est mis à rude épreuve et au bout duquel, seule et épuisée, elle meurt, à quarante et un ans. 'LUnion ouvrière' est le premier manifeste politique cohérent dune femme qui ne dissocie pas la lutte des femmes de la lutte ouvrière. Cest aux plus démunies, aux plus exploitées dentre elles quelle adresse cette apostrophe qui nous touche encore aujourdhui: 'Mes surs, je vous jure que je vous délivrerai.' Cest aussi, quelques années avant Marx et Engels, lun des premiers appels à lunion internationale de la classe ouvrière" (D. Armogathe et J. Grandjonc, éd. des Femmes).Parmi la liste de 123 souscripteurs cités en tête, on relève les noms de P.-J. de Béranger, V. Considérant, E. Sue, George Sand, V. Schoelcher, Hortense Allart, Agricol Perdiguier, Pauline Roland, Adolphe Blanqui, Frédérick-Lemaitre, Virginie Ancelot, Marceline Desbordes-Valmore, Anaïs Ségalas, Louise Collet, Marie Dorval..., des célébrités de tous bords, mais aussi d'anonymes "blanchisseuses", "domestiques" ou "ouvrières en mode".(Puech, 'Flora Tristan', Bibliographie, p. 489, n°10).Piqûres et rousseurs. Un peu court de marge supérieure sans atteinte.Exemplaire bien établi dans une fine reliure de Goy et Vilaine.
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Coll. "Archives et documents", Paris, éd. Tête de feuilles, 1973, in-8, cartonnage souple à rabats éd., couv. texte en blanc sur fond vert éd., table des matières, index, préface de Michel Collinet, notes de Jules L. Puech, "Flora Tristan était pour la fondation d'une Union ouvrière universelle. Son tour de France, pour la propagande de l'Union ouvrière, commença le 12 avril 1844. Ses déceptions parisiennes l'avaient encouragée à rechercher dans la province des militants plus sérieux, moins phraseurs. Ce journal raconte les péripéties. Partie de Paris, elle se dirige vers Lyon et Saint-Etienne, puis à Marseille ; elle passe par Nîmes, Montpellier, Toulouse, pour s'arrêter à Bordeaux. Epuisée, elle y meurt le 14 novembre 1844 d'une fièvre typhoïde. C'est le texte intégral du journal de ce tour de France qui est publié ici. Testé inédit jusqu'en 1975, il a été édité grâce à Jules-L. Puech, qui a consacré sa vie à l'oeuvre de Flora Tristan". Pas courant Très bon état
Paris, la bibliothèque française, , 1947, 20 x 12,5 cm, 296 pp, Bon état,
.
Paris ; Londres, H.-L. Delloye, éditeur ; W. Jeffs, libraire, 1842. In-8 de LI-(3)-412 pp., demi-basane havane, dos lisse orné de filets dorés (reliure de l'époque).
Très rare deuxième édition des Promenades dans Londres, la première sous le titre La Ville monstre. Épigraphe : Gardez-vous de juger sur le dehors. Lamennais.L'édition originale parut en 1840 et fut remise en vente la même année avec la mention « deuxième édition » ; deux ans plus tard, en 1842, deux nouvelles éditions paraissaient, la première sous le titre La Ville monstre avec la mention de « deuxième édition », la seconde en édition populaire. « Sur les plans littéraires et sociologique, le meilleur livre de Flora Tristan, par sa composition, la rigueur de son étude, la sincérité de son témoignage. Si le ton frôle parfois celui du pamphlet, l'exposé ne cesse jamais d'être exposé sur l'observation des faits. En ce sens, aujourd'hui encore, l'ouvrage constitue un document dont l'intérêt n'a pas faibli. Il offre la peinture d'une société et d'une époque sous un éclairage brutal qui contraste singulièrement avec le charme romanesque des oeuvres de Dickens » (Leprohon p. 237).Pâles rousseurs sur les six derniers feuillets. Très bon exemplaire.Maitron III, 472 ; Albistur-Armogathe, p. 283 ; Gay III, 876 (pour l'originale).
La bibliothèque française Le Pays de la diversité Broché 1947 In-12, (18.5x11.5 cm), broché, 296 pages, précédé de la geste romantique de Flora Tristan contée par Lucien Scheler pour le centenaire de 1848 ; pliures sur le dos, traces sur les plats jaunis, état très correct. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
P., Editions Ouvrières (Collection "Aux Sources du Socialisme"), 1984, in 8° broché, 139 pages ; couverture illustrée.
Exemplaire enrichi d'un envoi autographe signé de Stéphane Michaud sur le faux-titre ; on a contrecollé un timbre à l'effigie de Flora Tristan (Hommage aux femmes). PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................
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Paris Editions de La Tête de Feuilles 1973 in 8 (21x13,5) 1 volume broché, couverture à rabats, 290 pages [1]. Préface de Michel Collinet. Notes de Jules L. Puech. Flora Tristan, Paris 1803 - Bordeaux 1844, femme de lettres, militante socialiste et féministe française. Collection ''archives et documents''. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Broché
Ed des femmes 1986 in12. 1986. broché. 365 pages. Très bon état
P., Maspero, La Découverte n° 4, 1979, in-12, br., 378 pp. (DF29)
En 1833, Flora Tristan a trente ans. Elle décide d'aller revendiquer au Pérou l'héritage de son père, général péruvien.
La tête de feuille, 1973. In-8 br. Coll. " Archives et documents ". Préface de M. Collinet. Notes de J. L. Puech. E.O.
La Decouverte/Maspero/Livre De Poche Broché D'occasion très bon état 26/03/2021 100 pages
Seuil, Paris 1980, 14x20,5cm, broché.
Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grand papier. Bel exemplaire. Envoi autographe signé de Stéphane Michaud à Claude Duchet enrichi d'un bristol sur lequel Stéphane Michaud s'est fendu de cette remarque manuscrite : "Peut-être Romantisme s'ouvrira-t-il un jour à un dossier Flora Tristan que je tiens prêt. Bien à vous." - Photos sur www.Edition-originale.com -
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