Lyon Louis Perrin, 1862 In-8, (42) ff., 83 pp., (3) ff., broché, non coupé.
Toujours la perfection typographique de Louis Perrin. Fente au dos.
Bruxelles et Liège, Broncart, 1753. En un volume in-12, basane époque, dos à nerfs orné.
Manque de peau au bas du dos.
Paris, Lecou, 1854. In-12, 362 pp. , demi basane bleue, dos lisse, filets dorés.
Édition originale. Quelques rousseurs. Le dos du volume porte une tomaison [3] cachée par une pièce de basane rouge.
Paris, Michel Lévy, 1858. In-12, (2) ff., 284 pp. , demi basane bleue, dos lisse, filets dorés.
Réimpression, sous ce titre, des Oies de Noël. Quelques rousseurs. Le dos du volume porte une tomaison [4].
Paris, Michel Lévy, 1859. In-12, (2) ff., 320 pp. , demi basane bleue, dos lisse, filets dorés.
Accident réparé au premier feuillet. Rousseurs. Le dos du volume porte une tomaison [ 7].
Lyon, Imprimerie d'Aimé Vingtrinier, 1875, 1 volume in-folio de 315x255 mm environ, contenant 105 eaux-fortes numérotées entièrement montées sur onglet, demi chagrin noir, dos à nerfs portant titres dorés, tranches finement mouchetées. Légers frottements sur le cuir, 2 coins un peu tassés, sinon bon état.
Henry-Fleury-Marie-Esther Forest, dit Forest-Fleury ou Forest de Lemps est un graveur à l'eau-forte français, né le 3 février 1843 à Saint-Marcellin et mort le 1er juillet 1898 à Lyon. Forest-Fleury a aussi utilisé pour signer ses uvres le nom de sa mère : de Lemps. Le Bénézit le présente comme Tony Forest-Fleury ou Forest de Lemps Fleury. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une r0 éférence au sein de notre librairie.
Paris Chez Jean Mariette 1724 1 vol. in-12 ( 16,5 x 9 cm ) ( poids = 250 g ) T. , ( 1 ) f. n. ch. , 364 pp. , ( 6 ) ff. n. ch. . Avec Avis , et in fine , Discours sur Platon , Comparaison d' un philosophe et d' un homme du monde tirée du Théétète de Platon , lettre à Henrico-Ludovico Haberto Montmorio , lettre à Andreae Fabro Ormessonio , Table des chapitres , Privilège du Roi . Au titre , marque typographique Aux colonnes d' Hercule , avec dans un listel la devise " Haec meta laborum " ; bandeaux , lettrines , culs-de-lampe . Plein veau brun de l' époque . Dos à cinq nerfs , p. de titre maroquin rouge . Au verso du titre , mention à l' encre " Hoc scripitionis praemium meritus et consecutus est Josephus Crozade in quinta datum Alesiae die .... " . Petits manques de cuir au plat sup. et au mors inf. .Papier jauni ; qqs rousseurs . P. 131 ch. 311 . ( Collat. complet )
Edition peu courante de ce traité réédité de nombreuses fois depuis 1686 ( E. O. Chez P. Aubouin , P. Emery , Ch. Clousier ) . Fruit de sa longue expérience de précepteur des princes de Conti et du comte de Vermandois , puis de sous-précepteur des ducs de Bourgogne , d' Anjou et de Berry , l' ouvrage de l' abbé Claude FLEURY ( 1640 - 1723 ) est " à la fois une critique très vive des méthodes en usage et un exposé des réformes que l' auteur voulait introduire dans les études . C' est avec une sévérité justifiée qu' il juge le moyen âge et la dialectique verbale alors en honneur ( .... ) Sévère pour le moyen âge , Fleury admire la Renaissance et le beau mouvement littéraire du seizième siècle ; mais il critique avec justesse les excès érudits des lettrés de cette époque . ( ... ) Fleury , qui a l' esprit très porté à la critique , n' est pas content non plus des études de son temps . ( .... ) Fleury se préoccupe d' abord des dispositions de l' enfant . Le grand obstacle à l' étude et au progrès , c' est la mauvaise méthode que l' on suit : on propose à l' enfant des vérités abstraites , des formules générales , à un âge où il peut tout au plus observer et saisir des choses concrètes et particulières . " ( Nouveau dictionnaire de pédagogie et d' instruction primaire publié sous la direction de F. Buisson , 1911 ) . Ce traité est " pour l' histoire de l' enseignement au XVIIe siècle , un document important , curieux et original , indispensable à consulter " pouvant encore rendre service " aux élèves et aux maîtres voire même aux réformateurs de nos programmes actuels " ( G. Dartigue , " Le traité des études de l' abbé Claude Fleury ( 1686 ) Examen historique et critique " ; Paris , Champion , 1921 ) . Les lettres , à la fin du livre , sont adressées à Henri-Louis Habert , seigneur de Montmor ( 1600 - 1679 ), poète , érudit , académicien , conseiller au Parlement , doyen des maîtres de requêtes , à l' origine d' une société savante appelée Académie Montmor ; et à André Le Fèvre d' Ormesson ( 1644 - 1684 ) , avocat du Roi au Châtelet , conseiller au Grand-Conseil , maître des requêtes , intendant de Lyon .
Phone number : 05 53 48 62 96
Charles-Louis-Fleury Panckoucke (1780-1844), écrivain, imprimeur, libraire, dessinateur, artiste.
Reference : 015255
Charles-Louis-Fleury Panckoucke (1780-1844), écrivain, imprimeur, libraire, dessinateur, artiste. Dessin original signé « CFLPanckoucke 1841 », 23*16 cm environ collé sur un papier type arches 33.5*25.5cm. Très beau dessin romantique, lavis sépia, titré « La Sauvagère, La Citerne et l'Echo », vue prise dans la propriété familiale des Panckoucke à Fleury-sous-Meudon, actuel quartier Val Fleury, propriété aujourd'hui détruite. On remarquera le mélange entre un style rustique d'un côté et un style néo-classique (grec) de l'autre. Beau témoignage d'un lieu disparu. [0]
Charles-Louis-Fleury Panckoucke (1780-1844), écrivain, imprimeur, libraire, dessinateur, artiste.
Reference : 015256
Charles-Louis-Fleury Panckoucke (1780-1844), écrivain, imprimeur, libraire, dessinateur, artiste. Dessin original, non signé, 22.5*14 cm environ collé sur un papier type arches 33.5*25.5 cm. Très beau dessin romantique, lavis sépia, titré « Rocher et Belvéder », vue prise dans la propriété familiale des Panckoucke à Fleury-sous-Meudon, actuel quartier Val Fleury, propriété aujourd'hui détruite. On remarquera ce curieux belvédère néo-gothique posé sur un rocher avec une cascade. Beau témoignage d'un lieu disparu. [0]
Charles-Louis-Fleury Panckoucke (1780-1844), écrivain, imprimeur, libraire, dessinateur, artiste.
Reference : 015257
Charles-Louis-Fleury Panckoucke (1780-1844), écrivain, imprimeur, libraire, dessinateur, artiste. Dessin original, non signé, 20*14 cm environ collé sur un papier type arches 33.5*25.5 cm. Très beau dessin romantique, lavis sépia, titré « La Sauvagère », vue prise dans la propriété familiale des Panckoucke à Fleury-sous-Meudon, actuel quartier Val Fleury, propriété aujourd'hui détruite. Il s'agit d'une maison rustique sur les bords de l'eau. Beau témoignage d'un lieu disparu. [0]
Charles-Louis-Fleury Panckoucke (1780-1844), écrivain, imprimeur, libraire, dessinateur, artiste.
Reference : 015258
Charles-Louis-Fleury Panckoucke (1780-1844), écrivain, imprimeur, libraire, dessinateur, artiste. Dessin original, non signé, 14*22.5 cm environ collé sur un papier type arches 25.5*33.5cm. Très beau dessin romantique, lavis sépia, titré « Ovale Chinois. Vue du Calvaire et de St Cloud », vue prise dans la propriété familiale des Panckoucke à Fleury-sous-Meudon, actuel quartier Val Fleury, propriété aujourd'hui détruite. On remarquera cet improbable panneau chinois dont l'ouverture dégageait une vue vers Saint Cloud. Beau témoignage d'un lieu disparu. [0]
Charles-Louis-Fleury Panckoucke (1780-1844), écrivain, imprimeur, libraire, dessinateur, artiste.
Reference : 015259
Charles-Louis-Fleury Panckoucke (1780-1844), écrivain, imprimeur, libraire, dessinateur, artiste. Dessin original, non signé, 13.5*20.5 cm environ collé sur un papier type arches 25.5*33.5cm. Très beau dessin romantique, lavis sépia, titré « Le Chalet », vue prise dans la propriété familiale des Panckoucke à Fleury-sous-Meudon, actuel quartier Val Fleury, propriété aujourd'hui détruite. Reconstitution d'un chalet des montagnes suisses en plein Meudon. Beau témoignage d'un lieu disparu. [0]
Charles-Louis-Fleury Panckoucke (1780-1844), écrivain, imprimeur, libraire, dessinateur, artiste.
Reference : 015260
Charles-Louis-Fleury Panckoucke (1780-1844), écrivain, imprimeur, libraire, dessinateur, artiste. Dessin original signé « CLFPanckoucke 1841 », 16*23 cm environ collé sur un papier type arches 25.5*33.5cm. Très beau dessin romantique, lavis sépia, titré « Le château de Meudon. Le chêne en champignon devant la sauvagère », vue prise dans la propriété familiale des Panckoucke à Fleury-sous-Meudon, actuel quartier Val Fleury, propriété aujourd'hui détruite. Ce Chêne en champignon a vraisemblablement disparu lui aussi. Le château de Meudon est en revanche en partie toujours existant, il a été incendié en 1871. Beau témoignage d'un lieu disparu. [0]
Charles-Louis-Fleury Panckoucke (1780-1844), écrivain, imprimeur, libraire, dessinateur, artiste.
Reference : 015261
Charles-Louis-Fleury Panckoucke (1780-1844), écrivain, imprimeur, libraire, dessinateur, artiste. Dessin original, 23*14 cm environ collé sur un papier type arches 33.5*25.5 cm. Dessin romantique, aquarelle et petits rehauts de gouache, titré « Fontaine entre les deux Serres », vue prise dans la propriété familiale des Panckoucke à Fleury-sous-Meudon, actuel quartier Val Fleury, propriété aujourd'hui détruite. Si ce dessin est clairement moins abouti que les autres de Panckoucke que nous avons en vente, il est amusant de voir qu'il représente le désordre dans la serre : outils non rangés, pot renversé. Beau témoignage d'un lieu disparu. [0]
Berthe, comtesse Fleury (1834-1890), épouse du général Félix Emile Fleury et fille du banquier et député Adrien-Charles Calley Saint-Paul (1808-1873).
Reference : 013008
Berthe, comtesse Fleury (1834-1890), épouse du général Félix Emile Fleury et fille du banquier et député Adrien-Charles Calley Saint-Paul (1808-1873). L.A.S., 7 mai 1873, 1p et demi in-8. Au chimiste et agronome Georges Ville (1824-1897). Lettre de remerciements pour les condoléances présentées par Ville suite à la mort du père de la comtesse Fleury. [92-3]
Angers, Au Masque d'Or, 1963, in-8°, 427 pp, index, broché, couv. lég. salie, bon état, prière d'insérer, envoi a.s. à Alain Decaux
Engagé volontaire en 1914, Fleury est chargé par Clemenceau d'une mission auprès de l'impératrice Eugénie, sa marraine. Fin 1917, il est en Italie, détaché à l'armée américaine. Il part ensuite à Beyrouth, près du haut commissaire Georges Picot, ave qui il ira voir Mustapha Kemal. Le Quai d'Orsay l'envoie en 1925 en Bulgarie, etc., etc. — « Quiconque a beaucoup vu peut avoir beaucoup retenu. » A qui, mieux qu'au comte Serge Fleury, appliquer cet adage ? Son enfance s'écoule paisible, la plus grande partie de l'année en Limousin, dans cette propriété de Salvanet qui le marque profondément et où il apprend à regarder et à connaître gens et choses qui l'entourent. Dès ses études à Stanislas, il noue des amitiés fidèles qu'il retrouvera au long de sa carrière. Son adolescence est dominée par la littérature et les voyages. Dans les salons, de sa mère d'abord, puis surtout de sa grand-mère, la comtesse Fleury, et des amies de celle-ci, il rencontre des écrivains déjà notoires ou qui vont bientôt l'être : Jean-Louis Vaudoyer qui vient de fonder Les Essais, François Mauriac arrivant à Paris récemment découvert par Barrès, Edmond Jaloux, François Le Grix, Georges et Robert Vallery-Radot... Pour son plaisir et sa formation, il va quitter ce « temps de loisirs et de rêves » et, suivant la volonté de sa grand-mère, faire connaissance du monde : en Tunisie, où il entre en contact avec l'agriculture et le monde arabe ; en Angleterre, chez des amies de la comtesse Fleury, puis près de l'impératrice Eugénie, sa marraine, à qui il sert de secrétaire en l'absence de M. Piétri, le secrétaire habituel ; à Florence, à Genève, avec la comtesse Marie Zoubow ; en Toscane, en Ombrie, à Rome où il est reçu en audience par Pie X qui lui dit son grand amour pour la France. Le 2 août 1914, la guerre le surprend en Limousin. Engagé volontaire, il est bientôt détaché comme agent de liaison près de l'armée britannique dans les Flandres, puis dans la Somme. C'est là qu'il rencontre Clemenceau en visite sur le front et que le « Tigre » le charge de mission près de l'impératrice Eugénie pour obtenir qu'elle accepte de remettre au gouvernement français la lettre reçue de Guillaume Ier, roi de Prusse, reconnaissant l'appartenance française de l'Alsace et de la Lorraine (il ne pourra que préparer le terrain : l'impératrice n'y consentira que plus tard). Fin 1917, il est en Italie, détaché à l'armée américaine ; gazé, il restera huit jours aveugle et, à peine remis, il reçoit du ministère de la Guerre ordre ,de se rendre à Beyrouth, près du haut commissaire, M. Georges PICOT, avec qui il fera, entre autres, une visite officieuse au nouveau maître de la Turquie : Mustapha Kemal. De retour à Beyrouth, il est chargé d'organiser le séjour du cardinal Dubois qu'accompagnent Mgr Grente et Mgr de Llobet. Le Quai d'Orsay l'envoie alors en Bulgarie où il sait gagner la confiance et l'amitié du roi Boris. 1925 : il est au ministère des Affaires étrangères et collaborateur du maréchal Foch. 1929 : le gouvernement canadien l'invite à représenter la France au Congrès international de Vancouver. 1930 : il est détaché près du maréchal Lyautey pour l'organisation de l'Exposition coloniale. Lors du séjour en France de Mme Roosevelt, mère du président, il organisera et accompagnera ses visites dans Paris et à la Malmaison, préparant ainsi, sans le savoir, un long périple de conférences à travers les U.S.A. La guerre à nouveau : il est chargé de diverses missions en Hollande, en Belgique, en Russie, et, en 1940, au Canada, où il se trouve au moment de l'armistice. Il essaie alors de s'engager dans l'armée canadienne, puis dans l'OSS. américain, mais en vain. Il obtient enfin, avec quelques camarades, de suivre les cours de l'École militaire de Fort Benning et, après quatre mois d'instruction, peut s'embarquer pour Alger qu'il quittera après un séjour d'un an (1943-1944) pour l'Italie où il assistera, par une rayonnante matinée de juin 1944, à l'entrée des troupes françaises dans Rome, toujours mêlé à la politique et à la diplomatie. Aujourd'hui, dans sa retraite, il se souvient et raconte. Comme en un kaléidoscope passent dans ses Mémoires, avec ses intimes, de grands personnages politiques de l'Ancien et du Nouveau Monde, des papes, des évêques, des missionnaires, des officiers, dont le rôle a plus ou moins marqué notre époque ; mais, sans se laisser éblouir par les titres, les gloires ou les vanités, il sait aussi voir avec bienveillance, avec sympathie, les humbles et les petits, comprend leur dévouement et leurs mérites, s'intéresse à leur façon de vivre et à leurs travaux. De tout cela, le comte Fleury a fait un récit alerte, nuancé, agréable, un livre d'Histoire et d'histoires qu'on lit avec intérêt et plaisir. (Prière d'insérer)
Plon-Nourrit 1900 - vol. in-8 broche,de LXVII-364p.avec frontispice, préface de Clémentine Tiby, fille de Cuvillier-Fleury,
correct,texte frais
0 Une lettre manuscrite de une page signée par Fleury, datée du 1er juin 1817, adressée à M. Paulin, artiste au Théâtre royal de Bruxelles. Feuillet double de format: 205mm x 165mm, papier vergé. On joint un portrait de Fleury, lithographie (180mmx120mm, monté sur papier). Fleury, né Joseph-Abraham Bénard, Chartres 1750 - Orléans, 1822, comédien français
Très bon Pas de couverture Signé par l'auteur
FLEURY (Jacques) / LESAGE (Alain-René) / DORNEVAL [ORNEVAL (Jacques-Philippe, d)]
Reference : 552
(1752)
s. l. s. n. 1752 In-16° (170 x 106 mm), 48 pp., plein veau marbré, dos lisse orné, tranches rouges, filet sur les coupes (reliure de lépoque)
LES 1001 VERSIONS D'UN CONTE DES 1001 NUITSÉdition originale de cette nouvelle adaptation donnée à lOpéra-comique en 1752. Les réadaptations successives de cette pièce à succès, donnée pour la première fois en 1720, fournissent un intéressant témoignage de lévolution des goûts du public du théâtre forain dans la première moitié du XVIIIe siècle. Cette comédie de Lesage et Dorneval, inspirée par un conte des 1001 nuits (Zyn Alasnam et le roi des génies), fut créée sous le titre La Statue merveilleuse en 1720 à la foire Saint-Laurent, où elle fut interprétée par « la troupe de danseurs de corde de sieur Francisque » (Oeuvres choisies de Lesage, vol. 14, p. 291). Pittenec (Le Sage le fils), en réduisit les 3 actes à un seul ; cette nouvelle version de la pièce fut donnée en 1734 sous le titre Le miroir sans fard ou Le miroir véridique. Jacques Fleury, enfin, y apporta de nouvelles modifications pour une représentation à lopéra-comique. Dans cette ultime version, la pièce apparaît « débarrass[ée] dune intrigue qui eût paru peut-être aujourdhui ennuyeuse ou du moins ridicule ».Fleury, en effet, en a considérablement élagué lintrigue : dans la version originale de la pièce, un génie demande au roi de Cachemire de lui offrir, en échange dun fabuleux trésor, une femme dont lhaleine « chaste » ne trouble pas la glace dun miroir magique. Le roi finit par découvrir une femme triomphant de lépreuve du miroir, mais il en tombe amoureux et ne la cède au génie quà regret. Ce-dernier révèle alors que le trésor quil lui avait promis nétait autre que cette épouse vertueuse. Dans la version simplifiée de Fleury, en revanche, il ny a pas de retournement final : le génie fait don au roi du miroir magique pour laider dans sa quête dune épouse. Ces coupes ayant entraîné un remaniement des scènes, les principales modifications apportées par Fleury sont indiquées en marge pas une astérisque. L'ouvrage fut imprimé à nouveau en 1753 et 1755 (dans le recueil publié par Duchesne). La première version de la pièce fut par ailleurs adaptée à lopéra par Ernest Reyer sous la titre La Statue (1861). Bibliographie : Bahier-Porte, Christelle. « Le conte à la scène ». In Féeries, 4. 2007, 11 34 ; Martin, Isabelle. « Usage et esthétique du miroir dans une pièce orientale: «La Statue merveilleuse» de Lesage ». In LEsprit Créateur, Vol. 39, No. 3, Automne 1999. pp. 47-55. Frottements, mors supérieur fendu en pied.
Palais de l'Élysée, mercredi, 185- in-8, 1 pp. sur papier en-tête de la Maison du Président, sevice de l'aide de camp.
Correspondance de Fleury à Morny, déclinant une invitation. "Mon cher Morny, J'ai chargé M. Lehou de m'excuser ou plutôt de me plaindre. Il m'est impossible à mon grand désespoir de dîner avec vous ce soir (…) obligé d'accompagner le général (Lavoishe ?)"Morny et le colonel Fleury comptaient alors parmi les plus proches collaborateurs du Prince Président et seront les acteurs principaux du coup d'état de 1851. A propos de Morny qu'il appréciait beaucoup, Fleury écrivait dans ses Mémoires : Morny que j'avais très peu connu avant d'être au service, se montra très empressé de renouer avec moi des relations que la différence d'âge dans notre jeunesse avait rendues éphémères... il avait un sens politique admirable, et, au bout de peu de temps, il connaissait le Prince aussi bien que moi (...).Biblio. : Fleury, Mémoires..., Paris, 1897, tome 1 pp.114-115. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
[Librairie L. Hachette et Cie, chez tous les Libraires] - FLEURY, M. ; [ FLEURY, Jules-Augustin ]
Reference : 65806
(1858)
Par M. Fleury, Proviseur au Lycée impérial de Douai, 1 vol. grand in-8 demi-chagrin rouge, Fers dorés du Lycée Impérial de Douai au premier plat, Librairie L. Hachette et Cie, A Paris, A Douai chez tous les Libraires, 1858, 132 pp. et 1 f.
Camarade de promotion de Victor Duruy à l'Ecole Normale Supérieure, Jules-Augustin Fleury (1812-1887) fut proviseur du Lycée de Douai de 1849 à 1865 puis recteur de 1865 à 1878). Dans cet ouvrage, il distingue les "sept races" qui se partagent l'Europe : race celtique, finnoise, germanique, ibérique, pélasgique, slave et turque. Bon état (reliure lég. frottée, très bon état par ailleurs).
Paris, Barraud, 1871. In-folio, Album de 12 planches 27x35 cm montées sur onglets avec texte et 23 figures gravés à l'eau-forte. Reliure demi chagrin époque, dos à nerfs orné.
Édition originale. Les Archives du Lot décrivent l'ouvrage comme une brochure (18x27 cm) tirée à 100 exemplaires contenant 21 estampes, l'exemplaire de la bibliothèque de Lyon est présenté comme un album de XIV planche avec texte gravé sans précision sur le format ni le tirage. L'exemplaire présenté ici se compose de 12 planches renfermant 23 estampes avec le texte gravé à l'eau-forte sur des feuillets de fort vélin réimposés format in-folio, sans page de titre proprement dite. Vues pittoresques d'une pérégrination à St-Denis-lès-Martel, Souillac, Sarlat et Vaillac. Exemplaire enrichi d'un feuillet (34x26 cm) comportant 6 vues pittoresques gravées à l'eau-forte signées Forest-Fleury. (rousseurs et une déchirure). Ces 6 vues ne sont pas présentent dans le recueil. Henry-Fleury-Marie-Esther Forest, dit Forest - Fleury ou Forest de Lemps, est né à Saint-Marcellin (Isère) le 3 février 1843. Il est mort à Lyon le 1e juillet 1898. Fils d’un conservateur des hypothèques, Forest – Fleury emprunta souvent , dans ses publications, le nom de sa mère qui appartenait à la famille de Lemps. Il débuta dans l’électricité, et c’est lui qui paraît avoir introduit l’éclairage en Maurienne, du moins avoir perfectionné l’appareillage, la canalisation et la distribution de l’énergie dans ces régions. Venu à Lyon, il y fit de la gravure en amateur. (un mors fendu, manque la coiffe supérieure et 2 cm de la coiffe inférieure).
Paris, Edouard Rouveyre, 1901. 3 vol. au format in-8 (218 x 143 mm) de li pp., 1 f. n.fol., 8 pp., 330 pp., 2 ff. de catalogue éditeur in fine n.fol. et 2 ff. bl. ; 2 ff. bl., 2 ff. n.fol., 334 pp. et 2 ff. bl. + 1 volume à pagination erratique. Reliures uniformes de l'époque de demi-cuir émeraude à l'imitation de maroquin, dos à nerfs ornés de filets à froid, titre doré, tomaison dorée, tranches mouchetées.
Edition en grande partie originale ; complète des trois volumes la constituant. Le dernier - imprimé sur papier vert d'eau - est constitué de la reproduction des ''Notes marginales écrites par Napoléon Ier à Sainte-Hélène sur un exemplaire des Mémoires [...] de Fleury de Chaboulon''. ''Source importante pour le retour de l'île d'Elbe et les Cent Jours, nottamment en ce qui concerne les intrigues de Fouché Les notes de Napoléon sur la première édition de l'ouvrage de Fleury n'ont pas été reproduites dans l'édition officielle de la Correspondance. Elles permettent de rectifier, dans la présente publication, de nombreuses inexactitudes et d'éliminer les ''bruits d'antichambre'' (selon l'expression de Napoléon) rapportés par Fleury''. (in Tulard). Tulard, Bibliographie critique des Mémoires sur le Consulat et l'Empire, p. 63. Angles et coupes légèrement élimés. Infimes altérations superficielles affectant par ailleurs les reliures. Du reste, très belle condition.
P., Ambroise Dupont, 1836-1838, 6 vol. in-8°, 386, 423, 397, 434, 384 et 399 pp, deuxième édition, un portrait gravé de Fleury en frontispice, un fac-similé en dépliant, les 6 tomes reliés en trois volumes demi-basane fauve, dos lisses avec titres, tomaisons, filets, fleurons et palettes dorés (rel. de l'époque), qqs rares rousseurs aux tomes V et VI, manque la table du tome V, coiffes lég. frottées, bon état (Fierro, 118)
Un des plus importants mémoires sur la Comédie française de la fin du XVIIIe siècle. L'introduction, qui occupe les 31 premières pages, est signée de J.-B.-P. Lafitte. Familier des grands seigneurs, admis dans l'entourage de la reine Marie-Antoinette de par ses fonctions de Régisseur des spectacles de Trianon, Fleury interpréta les grands premiers rôles, sans toutefois égaler Molé, de son propre aveu. Fleury fut sociétaire de la Comédie-Française de 1778 à 1818 et Doyen à partir de 1809. Ses mémoires, publiés par J.-B.-P. Lafitte, sont rédigés sur des notes authentiques. On notera tout particulièrement les faits relatant la période révolutionnaire, durant laquelle il fut emprisonné : pages parmi les plus intéressantes et les plus dramatiques de ses souvenirs.
. Chez Dufart, Libraire Paris, 1836, 2 vol. petit in-12 br., IV-324pp. / 438pp.-4pp. De catalogue (les roses peintes par P.J. Redouté). Manque de 1cmx2cm en bas de la page de couverture, de titre et de faux-titre du second volume. Sinon bel exemplaire broché. Bien complet en 2 vol.