P.,; Au Sans Pareilo, 1926. In-8 broché, couv. rempliées, 74 pp., [2] ff., 6 planches. Exemplaire numéroté sur vélin Montgolfier d'Annonay.
Dos passé, à toutes marges, bonne condition. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Sans lieu, Pour les Amis du Docteur Lucien-Graux, 1930. In-8, broché, couv. imprimée en noir et vert rempliée, 93 pp. Edition originale limitée à 200 exemplaires, un des 175 sur vélin de Rives, numéroté à la main, n°40 (Coll. "Hors-Commerce", n° 11).
Farce en un acte, illustrée par 6 lithographies dont 5 à pleine page. Couv. à peine défraîchie. Bel ex., en partie non coupé. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
P., NRF, 1925. In-12 broché, 107 pp., [2] ff., portrait en frontispice. Exemplaire numéroté sur vélin simili cuve Navarre.
Dos passé, non coupé, bonne condition. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
P., Mercure de France, 1935. In-12 broché, 290 pages. Dos très lég. frotté, exemplaire non coupé.
Francesco Colonna, la Satire Française aux 16ème et 17ème Siècles, le Sieur de Sigogne, Claude d'Esternod, le Comte de Caylus, la Littérature de Colportage...
In-12 carré, broché, couverture imprimée, (8), 162 p. et table, 7 planches hors-texte dont 4 planches en couleurs sur double page (images d'Epinal). Paris, Firmin Didot, 1929.
Edition originale. "Apprenti serrurier, Fleuret est appelé au service en 1807. Il part pour l'Espagne sur laquelle il donne le point de vue du combattant sans jamais s'élever au dessus de la routine quotidienne. Quelques erreurs sont rectifiées par l'éditeur. Fait prisonnier par les anglais, Fleuret est libéré en 1814. Il reprend du service à Waterloo" (Tulard, 548).
Phone number : 33 01 47 07 40 60
Paris, Firmin-Didot, 1929. In-8 broché de (6)-162 pp., 7 hors-textes dont 2 fac-similés, 1 planche en noir et 4 doubles en couleurs.
Tulard, 548 : « Apprenti serrurier, Fleuret est appelé au service en 1807. Il part pour l’Espagne sur laquelle il donne le point de vue du combattant sans jamais s’élever au dessus de la routine quotidienne. Quelques erreurs sont rectifiées par l’éditeur. Fait prisonnier par les anglais, Fleuret est libéré en 1814. Il reprend du service à Waterloo ».
[DUFY (Raoul)] FLEURET (Fernand). FRIPERIES. Poésies de Fernand Fleuret ornées de vignettes gravées sur bois par Raoul Dufy et coloriées à la main par Jeanne Rosoy et L. Petitbarat. Paris, nrf. 1923. Première édition illustrée de ces charmantes poésies de Fleuret. L’illustration est constituée de certains des premiers bois gravés de Dufy — ils ont été réalisés bien avant cette publication. Envoi autographe signé de l’auteur : "Au poète Pierre Lhoste, bien cordialement, Fernand Fleuret" Agréable exemplaire, sans rousseurs. Petites traces de plis à la couverture.
Paris, Firmin-Didot, 1929 petit in-8, 162 pp., fac-similés h.-t. dont 1 dépl., 4 doubles planches en couleurs, broché.
Tulard, 548."Apprenti serrurier, Fleuret est appelé au service en 1807. Il part pour l'Espagne sur laquelle il donne le point de vue du combattant sans jamais s'élever au dessus de la routine quotidienne. Quelques erreurs sont rectifiées par l'éditeur. Fait prisonnier par les anglais, Fleuret est libéré en 1814. Il reprend du service à Waterloo". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Firmin-Didot, 1929 petit in-8 carré, [6]-162 pp., 2 fac-similés dont un dépliant, 5 pl. dont 4 doubles en couleurs, qqs ill. in-t. dont une à double page, demi-chagrin brun à coins, dos à nerfs orné, couv. et dos cons. (reliure de l'époque). Ex-libris J. Beurnel. Bon exemplaire.
Tulard, 548."Apprenti serrurier, Fleuret est appelé au service en 1807. Il part pour l'Espagne sur laquelle il donne le point de vue du combattant sans jamais s'élever au dessus de la routine quotidienne. Quelques erreurs sont rectifiées par l'éditeur. Fait prisonnier par les anglais, Fleuret est libéré en 1814. Il reprend du service à Waterloo". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Firmin-Didot, 1929 petit in-8, 162 pp., fac-similés h.-t. dont 1 dépl., 4 doubles planches en couleurs, broché. Annotations au crayon.
Tulard, 548."Apprenti serrurier, Fleuret est appelé au service en 1807. Il part pour l'Espagne sur laquelle il donne le point de vue du combattant sans jamais s'élever au dessus de la routine quotidienne. Quelques erreurs sont rectifiées par l'éditeur. Fait prisonnier par les anglais, Fleuret est libéré en 1814. Il reprend du service à Waterloo". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Firmin-Didot, 1929 petit in-8, 162 pp., fac-similés h.-t. dont 1 dépl., 4 doubles planches en couleurs, demi-chagrin vert, dos à nerfs orné, couv. cons. (reliure postérieure). Dos passé.
Tulard, 548."Apprenti serrurier, Fleuret est appelé au service en 1807. Il part pour l'Espagne sur laquelle il donne le point de vue du combattant sans jamais s'élever au dessus de la routine quotidienne. Quelques erreurs sont rectifiées par l'éditeur. Fait prisonnier par les anglais, Fleuret est libéré en 1814. Il reprend du service à Waterloo". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
[Marie Laurencin] - Marie LAURENCIN (illustratrice). Louis CODET, Jean PELLERIN, Roger ALLARD, André BRETON, Francis CARCO, M. CHEVRIER, F. FLEURET, G. GABORY, Max JACOB, Valery LARBAUD et A. SALMON.
Reference : AMO-4511
(1922)
Paris, 1922. Editions de la Nouvelle Revue Française. 1 volume petit in-8 (19,5 x 12 cm) broché de 61-(5) pages, avec 10 pointes sèches originales de Marie Laurencin tirées dans le texte au format carré 8,5 x 7,5 cm environ. Couverture rempliée imprimée en couleurs (bleu et rose) formant un éventail. Excellent état. Quelques décharges et ombres à la couverture sinon parfait exemplaire. Tirage unique à 335 exemplaires. Celui-ci, un des 27 exemplaires hors-commerce tirés sur Hollande vergé Van Gelder Zonen. Il a été tiré 300 exemplaires sur ce même papier et 8 exemplaires sur vergé bleuté du dix-huitième siècle avec une double suite des gravures, sur Japon impérial et sur vergé du dix-huitième siècle. Notre exemplaire contient en plus : - 1 état supplémentaire tiré à part de la couverture en couleurs avec l'éventail (sur vergé). - 1 état de l'éventail en couleurs tiré seul avant la lettre (sur vergé). - 1 suite complète des 10 pointes sèches tirées à part sur papier vergé Ingres. Le chiffre du tirage à part de cette suite n'est pas connu mais elle était sans aucun doute réservée aux exemplaires de tête et aux exemplaires de collaborateurs (soit une trentaine d'exemplaires en tout).
Ce délicieux volume s'ouvre sur un "Petit concert sur l'absence de Marie Laurencin" par Maurice Chevrier (daté de septembre 1920). Viennent ensuite les poèmes de Roger Allard (L'Abbesse d'Aléa), d'André Breton (L'An suave, daté d'avril 1914), de Francis Carco (Le Miroir), de Louis Codet (La Nymphe d'Auteuil), de Fernand Fleuret (Prose pour Pallas Ambigüe, daté de 1911), de Georges Gabory (Qui n'entend qu'une cloche...), de Max Jacob (Olga, petit roman, daté de 1921), de Valery Larbaud (La Rue Soufflot), de Jean Pellerin (Fil de Rêve), enfin d'André Salmon (Elégie Fraternelle, daté de juillet 1921). La page de titre a été composée en calligramme par les élèves de l'Ecole Estienne. Le volume a été achevé d'imprimer le seize janvier 1922, le texte par Coulouma à Argenteuil, les gravures par Vernant et Dollé imprimeurs en taille-douce à Paris. Au début de l'année 1922, Marie Laurencin a 39 ans. Compagne pendant six années du poète Guillaume Apollinaire, Flap, comme la surnomme son premier amant Henri-Pierre Roché, épouse finalement, en 1914, le peintre allemand Otto de Waetjen, un pacifiste qui refuse de prendre les armes contre la France, ce qui lui vaut au déclenchement de la Première Guerre mondiale d'être déchue de sa nationalité, spoliée de tous ses biens et contrainte à l'exil, en Espagne. Divorcée, elle retrouve durant l'Entre-deux-guerres sa position tout en continuant ses amours avec Nicole Groult, relation discrète mais non cachée qui aura duré une quarantaine d'années. Figure internationale, elle portraiture alors les personnages du Tout-Paris. Sous l'Occupation, elle continue cette vie mondaine et renoue avec ses amis allemands tout en aidant Max Jacob, son complice en ésotérisme, sans réussir toutefois à le faire libérer à temps du camp de Drancy. Elle y est internée à son tour à la Libération dans le cadre d'une procédure d'épuration, échappant de peu au sort des tondues?. Dès 1907 elle devenait l'amie du Paris-Artiste. Elle se lie avec Pablo Picasso, André Salmon, Kees Van Dongen, André Derain, Max Jacob, Robert Delaunay, et bien d'autres. "Coco" comme on l'appelle, fréquente tous les artistes du Bateau-Lavoir. Vraie fausse-compagne-muse un moment de Guillaume Apollinaire, elle fait montre d'une grande liberté dans ses moeurs et ses relations homosexuelles sont connues. Marie Laurencin épouse le 21 juin 1914 le baron Otto von Wätjen, dont elle a fait connaissance un an plus tôt dans le milieu artistique de Montparnasse, entre Le Dôme et La Rotonde. Par son mariage, elle devient allemande et baronne, bénéficiaire d'une rente annuelle de 40 000 marks. Le couple est surpris par la déclaration de guerre durant son voyage de noces à Hossegor. Poursuivant en Espagne leur lune de miel contrariée, les époux ne peuvent rentrer à Paris, à cause de leur nationalité. Otto, qui ne veut pas avoir à prendre les armes contre la France, refuse de retourner en Allemagne. Marie Laurencin, comme tout citoyen franco-allemand, est déchue de sa nationalité française.? Au printemps 1915, le couple s'installe à Malaga dans la villa Carmen, avenue de la Rosaleda, puis à la villa Bella Vista, avenue Jorge de Silvela. Marie Laurencin y trouve consolation dans les bras de son amant des vacances 1911, Hanns Heinz Ewers. Au début de mars 1918, le couple répond à l'invitation d'être logé à Madrid en face du Prado dans une maison de Cécile de Madrazo. Marie Laurencin se partage entre cette figure à la fois mondaine et discrète de la haute bourgeoisie anoblie. Fin novembre 1919, au terme d'un mois de voyage de Gènes à Bâle, via Milan et Zurich, au cours duquel elle aura fait la connaissance d'Alexandre Archipenko et Rainer Maria Rilke, Marie Laurencin séjourne à Düsseldorf chez la mère de son mari. Afin de faire avancer le règlement de sa propre situation, elle passe le mois d'avril 1920 à Paris, où elle est hébergée par les Groult. Le 15, Georges Auric l'introduit auprès du jeune diplomate Paul Morand, qui était son voisin à Madrid en 1918, pour entreprendre les démarches qui lui redonneront la nationalité française. Elle peut faire prononcer son divorce le 25 juillet 1921 en renonçant à toute pension. À trente huit ans, financièrement autonome, « Mademoiselle Marie Laurencin » retrouve le 15 avril 1921 définitivement Paris, où en huit ans elle changera trois fois d'adresse. C'est à la fin de l'année 1921 que se prépare l'ouvrage Eventail qui lui rend hommage par la poésie et qu'elle illustre de 10 pointes sèches auto-portraits. Au printemps 1922, Marie Laurencin est hospitalisée pour un cancer de l'estomac. Lors de la chirurgie, elle subit également une hystérectomie. En 1923, convalescente, Marie Laurencin crée des papiers peints pour André Groult, qui vit à l'ombre du succès de la maison de couture de son épouse. À la mi-décembre, accompagnée de Jean Giraudoux et de Gaston Gallimard, elle retrouve Pablo Picasso à l'enterrement de Raymond Radiguet. Portraitiste mondaine du Tout-Paris des Années folles dont elle peint les portraits, Marie Laurencin mène une vie de luxe et de mondanités. Si le portrait est pour elle un expédient lucratif et pour ses modèles un article de mode, elle ne fait pas de cet exercice imposé l'éloge d'une position sociale, masculine ou féminine, qu'il était à l'époque classique. Pendant la deuxième guerre mondiale elle affiche des positions ambigues. Faisant montre en public d'antisémitisme elle aide pourtant son ami Max Jacob. A partir de 1945 et jusqu'à sa mort en 1956 elle mènera une vie retirée et pieuse. Elle aura connu les périodes Dada, cubistes, fauves et tous les autres mouvements modernistes de l'Ecole de Paris qu'elle contribua à façonner par son propre art. Elle laisse une oeuvre immense composée de milliers de peintures, gravures et dessins. « Elle a fait de la peinture au féminin un art majeur. On ne trouve pas de mots pour bien définir la grâce toute française de Mademoiselle Marie Laurencin, sa personnalité vibre d’allégresse. » (Apollinaire) Eventail regroupe, sous ses quelques feuillets et ses jolies estampes, autour de Marie Laurencin, en guise d'hommage à son talent et à sa personne, les noms d'André Breton, Max Jacob, André Salmon, Fernand Fleuret, Valery Larbaud, Francis Carco et quelques autres. La suite des dix pointes sèhes tirées à part sur papier vergé Ingres gris est très rare car tiré à très petit nombre. L'état supplémentaire de la couverture avec la décomposition du motif en couleurs (bleu et rose) ne se rencontre jamais et n'est pas annoncé. Exemplaire de choix très bien conservé de ce petit livre emblématique de son époque.
Phone number : 06 79 90 96 36
Paris, Nouvelle Revue Française, 1926. Réimposé au format in 4° tellière, demi-maroquin framboise à coins, dos à 4 nerfs, filets dorés sur les plats, tête dorée, couvertures conservées (Reliure de Levitsky). 252 pp.-(1)f.
ÉDITION ORIGINALE. 1/100 exemplaires de tête réimposés sur vergé Lafuma, celui-ci nominatif. Ce livre eut 25 éditions jusqu'à la guerre malgré une critique quasi-muette, la « bonne » presse ayant reçu ordre du Vatican d'oublier notre bienheureuse. Le roman se veut en effet une réplique de l'histoire de Marie l'Égyptienne qui parvint à la sainteté par la prostitution. Raton, qui désire prendre l'habit, doit gagner sa dot et se vend à qui veut d'elle, notamment Sade et Restif ! Pascal Pia se désolait, en se le reprochant, de l'oubli dans lequel Fleuret était tombé : « Aucun commerce n'a été plus agréable ni plus fructueux que la fréquentation de Fleuret et de ses livres. J'aurais dû le dire plus tôt et montrer comment, par une rencontre extraordinaire, l'érudition, l'humour et la poésie faisaient de Fleuret un personnage comme il ne s'en trouve que de loin en loin et comme peut-être il n'y en avait pas eu depuis Nerval (Feuilletons I, p. 363).Des bibliothèques Exbrayat et Hayoit avec leurs ex-libris.
Firmin Didot 1929 In-12 broché, 8- 162 pp. et table, 7 planches hors-texte dont 4 planches en couleurs sur double page images d'Epinal. Petit manque en tête.
Edition originale. « Journal d'un grognard ancêtre du célèbre bibliographe Fernand Fleuret qui a rédigé une préface colorée présentant de manière pittoresque la mentalité des soldats de Napoléon » (Tulard, 548). Très bon état d’occasion
[Instruments de musique] [Exposition. Lille. 1990] [FLEURET, Maurice]
Reference : 107673
(1990)
Lille, Musée de l'Hospice Comtesse 1990 In-4 à l’italienne 23 x 27 cm. Broché, couverture illustrée en noir & blanc, plus de 150 illustrations en noir & blanc, bibliographie. Joint Inventaire de la collection d’instruments de musique de Maurice Fleuret, in-4 à l’italienne, agrafé, [4] pp. Exemplaires en bon état.
Contient un choix de textes de M. Fleuret. Bon état d’occasion
Firmin - Didot & Cie reliure Rigide Décorative Paris 1929 "collection "" histoire de France "" - 162 pages en format 13.5 -18.5 cm - gravure en couleurs en double page - gravures hors texte - cachet - reliure rigide en percaline avec titre en dorure - en annexe, fiche de service dépliable - tulard N°547 - TBE"
Très Bon État
A Paris, chez M-P. Trémois, 1928. Un vol. au format gd in-12 (178 x 158 mm) de 118 pp., broché, sous couverture à rabats rempliés.
Tirage de tête : un des 20 premiers exemplaires du tirage numéroté sur Hollande ; sous jolie couverture à motifs floraux. L'ouvrage s'agrémente de larges autant que superbes ornements typographiques. ''Il est formé de pièces licencieuses, impies ou simplement poétiques. L'histoire littéraire ne connaît pas une meilleure supercherie que Le Carquois. Celui-ci fait de Fleuret le plus audacieux des libertins.'' (in L'Enfer de la Bibliothèque nationale). ''C'est, en vers, l'ouvrage le plus scandaleux de l'auteur de L'Histoire de la bienheureuse Raton, fille de joie, celui dont le remords devait le plus hanter sa folie. Salacité parfois un peu poussée et goût du sacrilège à gêner les athées les plus recuits font de cet ouvrage un chef-d'oeuvre''. (in pia). Apollinaire / Fleuret / Perceau, L'Enfer de la Bibliothèque nationale, 825 - Pia, Les Livres de l'Enfer, 176 - Pia, Dictionnaire des oeuvres érotiques, p. 84. Discrètes piqûres affectant la couverture ; très rares dans le corps d'ouvrage.
Couverture souple imprimée rempliée. Belle fraîcheur de papier. Bel exemplaire non entièrement rogné.
Paris Les Amis d' Edouard 1924. 32 pp. In-12. Broché. En bon état. 1 volume. Collection "Les Amis d'Edouard" n°71. TIRAGE LIMITÉ à 200 exemplaires. Celui-ci est un des 196 exemplaires numérotés sur Arches pour "Les Amis d'Edouard".Exemplaire enrichi d' un ENVOI AUTOGRAPHE SIGNÉ de l' auteur Fernand FLEURET à Pierre VARENNE: "à Pierre Varenne,/mon ami/Fernand Fleuret".
Reliure demi-chagrin rouge. Dos passé à quatre nerfs, avec titre doré. Fins frottements sur la reliure. Couverture et dos crèmes bien conservés. Frontispice en noir et blanc. Excellent état du contenu orné de sept planches en noir et blanc hors-texte ainsi que d'un tableau en noir et blanc dépliant hors-texte. Signet multicolore en tissu.
Paris. Firmin-Didot. 1929. 162 pp. In-8 (carré). Relié. Très bon état. 1 tome. Publiés par son petit-fils Fernand Fleuret.
1929 Firmin Didot Hardcover 2nd Edition
Description des passages de Dominique Fleuret Reliure moderne, couverture cartonnage, 200 x 155 mm, 163 pp, avec carte dépliant, quelques pages avec rossures, bon état
Chroniques de l'Art Vivant - Aimé Maeght et Jean Clair - Jean-Marc Poinsot - Gilbert Lascault sur Saul Steinberg - René Micha sur Jean Dubuffet - Irmeline Lebeer et Robert Rauschenberg - Alain Clerval sur Maurice Blanchot - Dominique Noguez sur Peter Kubelka - Richard Foreman - A. Corso Trisha Brown - Kenneth King - Joan Jonas - Simone Fori - Maurice Fleuret
Reference : CAV-43
(1973)
Maeght Editeur - Chroniques de l'Art Vivant Ferce sur Sarthe, France 1973 Book Condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur, illustrée d'un tableau, détail de Saul Steinberg In-4 carré 1 vol. - 44 pages
très nombreuses illustrations en noir et blanc 1ere édition Contents, Chapitres : Biennale 1973 - L'entrée des barbares - Jean-Marc Poinsot : Enquête à la biennale de Paris - Gilbert Lascault : Les tableaux tables de Saul Steinberg - René Micha : Jean Dubuffet ou la logophanie (4 pages illustrées) - Irmeline Lebeer : Entretien avec Robert Rauschenberg (4 pages) - Festival d'automne à Paris (Danse et musique) - Alain Clerval : Le pas au-delà de Maurice Blanchot, compte rendu - Cinéma, L'automne de Marcel Hanoun - Dominique Noguez : Peter Kubelka l'artisan - Entretien avec Richard Foreman (Théatre) - Entretien avec A. Corso sur le Mistero Buffo - Quand la danse rejoint l'art plastique : Trisha Brown - Kenneth King - Joan Jonas - Simone Fori - Musique, interview de Maurice Fleuret sur les SMIP 73 (Semaines musicales internationales de Paris) - Actualités et publicités
[Apollinaire] André Salmon, Céline Arnaud, Paul Dermée, Francis Picabia, Pierre Albert-Birot, Henri Hertz, Ivan Goll, Alberto Savinio, Tristan Tzara , Giuseppe Ungaretti, Fernand Fleuret
Reference : 013100
(1924)
Paris Editions de L'Esprit nouveau - Librairie Jean Budry 1924 In-8 broché, couverture illutrée
Edition originale de ce numéro spécial ouvrant sur le fac-similé du manuscrit de "La Plante", conte inédit d'Apollinaire. Textes de Roch Grey, Céline Arnaud, André Salmon, Paul Dermée, Francis Picabia, Pierre Albert-Birot, Henri Hertz, Ivan Goll, Alberto Savinio, Tristan Tzara , Giuseppe Ungaretti. Poèmes et lettres d'Apollinaire à Picabia, Fernand Fleuret, Fernand Divoire. Nombreux portraits du poètes par Picasso, dont un en couverture avec manque au dos et petites fentes, Hors texte LITHOGRAPHIE en bistre de MARCOUSSIS, portrait cubiste de l'auteur d'Alcools. >>> Il s'agit du tirage sous couverture spéciale du numéro 26 de la revue L'Esprit nouveau, sans les premiers et derniers cahiers de publicités. Bon 0
Paris Firmin Didot 1929. In-8 carré broché 162pp 1 feuillet non chiffré table. Orné de 12 illustrations d'après des documents anciens: 1 frontispice, 3 têtes de chapitres, 1 pleine page, 6 hors texte dont 5 sur double page (4 en couleurs d'après des images d'Epinal), 1 fac simile dépliant en fin d'ouvrage. Bel exemplaire complet. Journal d'un Grognard. Tulard 548.
Ce journal d'un Grognard, présenté dans son style d'origine, est un bon reflet de la mentalité des soldats de Napoléon et de leurs opinions sur les évènements qu'ils vécurent. Fleuret, engagé en 1807, fit la Campagne d'Espagne, prisonnier des Anglais, il combattit ensuite à Waterloo.
Paris, Mercure de France, 1936 Fort in-12 de 314pp., (2)ff., broché sous couvertures imprimées, entièrement non rogné.
"Édition originale. Un des 11 exemplaires de tête numérotés sur pur fil Montgolfier, seul grands papiers; celui-ci n°7. Co-rédacteur avec Guillaume Apollinaire (et Louis Perceau) de L'Enfer de la Bibliothèque nationale (1913), auteur immortel de L'Histoire de la bienheureuse Raton, fille de joie (1926), Fernand Fleuret est de ces auteurs qui ont fait de l'humour un genre littéraire à part entière, nourri d'érudition et d'un zeste de désespoir tranquille. Selon les propres dires de Fleuret, Rémy de Gourmont -rencontré justement au Mercure de France- lui aurait ""communiqué son goût pour les éditions soignées et la recherche d'écrits oubliés""… La présente édition, qui en effet se révèle aussi soignée que les textes dont l'ouvrage se compose sont érudits, est, comme son ""grand classique"" L'Histoire de la bienheureuse Raton, fille de joie (1926), l'une des œuvres que ce mystificateur amateur de pseudonymes a simplement signées de son nom. Très bel exemplaire. Talvard et Place, Bibliographie des auteurs modernes de langue française, VI, 75, 29."
Londres Katie Kings 1912 1 vol. Broché in-12, broché, 100 pp. + 10 ff. non chiffrés. Edition originale de ce pastiche à la manière d'un recueil de poésie libertine du XVIIème siècle. En réalité, l'ouvrage fut imprimé à Paris pour le compte de l'auteur (Dutel, II, 120 - Aron et Espagnon, 1394). Peu courant.