Paris Maison Quantin (Collection Calmann-Lévy) 227 pages in-4. Sans date. broché. 227 pages. (fin XIXème). Petit In-4 broché (291x201 mm) 227 pages. Dessins de Mouchot gravés par Méaulle. Couverture en très mauvais état avec le dos manquant. Brochage cassé (Restauration à prévoir) sinon intérieur propre un peu jauni. Poids : 1830 gr
Ensemble de document de et sur Octave Feuillet [ Détail : ] 1 L.A.S. d'Octave Feuillet, 2 pages, datée du 5 juin : "Mon cher Docteur, Le beau temps me décide à hâter mon départ pour Contrexéville" [... ] "Vous seriez aimable de m'accorder quelques instants le soir même de mon arrivée [...] afin que je puisse commencer ma cure sans perdre un seul jour. Mes occupations me forcent et limitent mon séjour à la durée strictement nécessaire" [ ... ] ; [On joint : ] 2 cartes de visite signées d'Octave Feuillet, avec quelques lignes autographes, une enveloppe signée [On joint : ] manuscrit autographe signé d'André Chaumeix d'un article consacré à Octave Feuillet, 11 feuillets paginés de 3 à 12 (avec un 5 bis) ; [ On joint : ] Grand portrait d'Octave Feuillet, Pierre Petit photog. format 27 x 21 cm, sur chine monté, Imp. Lermercier et Cie Paris ; [ On joint : ] Eau-forte : portrait d'Octave Feuillet
Manuscrit autographe, incomplet des deux premiers feuillets, consacré par André Chaumeix (1874-1955) à Octave Feuillet. Une note au stylo sur le premier feuillet tend à indiquer une publication dans la Revue des Deux Mondes.
[A. Quantin, Imprimeur-Editeur] - FEUILLET, Octave ; FEUILLET Valérie
Reference : 59141
(1885)
Onze compositions par S. Rejchan gravées à l'eau-forte par Mme. Louveau-Rouveyre, MM. Daumont et Duvivier, 1 vol. in-8 reliure de l'époque demi-maroquin à coins rouge, dos lisse orné en long, couverture conservée, tête dorée, collection Calmann-Lévy, A. Quantin, Imprimeur-Editeur, Paris, 1885, 311 pp. avec 4 L.A.S. sous 3 enveloppes
Jolie édition très bien reliée du chef-d'oeuvre d'Octave Feuillet, enrichie de 4 très intéressantes lettres autographes signées, dont 3 d'Octave Feuillet (8 pages au total) et une de son épouse Valérie Feuillet (8 pages), toutes adressées à M. Charles Sagnier, 41 rue de l'Observatoire à Paris. La première lettre de 3 pp., datée de Dijon"Hôtel de la Cloche", le 5 juillet 1886 évoque longuement la "vieille passion" d'Octave Feuillet pour Dijon : "Arrivé à Dijon par un ciel enchanté, dont j'avais complètement perdu l'habitude, je me suis cru en paradis, et j'y prolonge mon séjour au-delà de mes intentions premières. D'abord j'ai une vieille passion pour Dijon, et je vous dirai qu'il la mérite de plus en plus. A part ses vieux souvenirs historiques et ses vieilles maisons pittoresques, il a maintenant un quartier neuf, dont l'hôtel de la Cloche est un des plus beaux ornements et qui rappelle, avec son jardin public, les quais de Genève. [... ] J'avais du reste une autre raison que mon goût personnel pour m'arrêter quelques joursà Dijon. [... ] le spleen de Vittel pour ne pas parler d'un gros ennui que j'y ai eu à la veille de mon départ m'avaient beaucoup fatigué ! [ ... ] Il m'eût été difficile, partant par telle chaleur, de continuer dès le lendemain ma route sur Paris. [ ... ] Mais ma maison solitaire de Versailles m'attire peu, et Dijon, en tant que séjour, me plaît hélas ! infiniment davantage. Mon seul regret et de perdre la chance de nous revoir avant votre départ". Octave Feuillet tente de dissuader son correspondant de partir pour Nîmes et l'invite à venir à Dijon. Puis il évoque sa femme "qui n'est pas mécontente de son séjour. La présence concurrente de sa belle-soeur ne l'a nullement incommodée comme elle le craignait. Elle ne l'a même pas aperçu une seule fois". Un second billet autographe signé d'Octave Feuillet daté du 27 janvier 1887 donne rendez-vous à Charles Sagnier Hôtel de Rivoli. Enfin, une lettre non datée (évoquée dans la lettres suivante de Mme Feuillet et que l'on peut dater d'août 1887) de 4 pp., sur papier à en-tête du 38 Avenue de St Cloud, Versailles, commence ainsi : "J'ai donné à Sagnier la peine de copier la lettre que je lui avais écrite de Contrexéville pour qu'il pût juger lui même à tête reposée combien cette lettre pleine de confiance et d'abandon amical justifiait peu la réponse amère et boudeuse qu'il y a faite. En cette circonstance, il a obéi, avant tout, j'en suis sûr, à sa sollicitude pour nos intérêts sur lesquels j'ai été souvent très heureux de prendre ses bons conseils, mais il aurait peut-être dû se souvenir que l'intérêt matériel n'est pas la seule règle des actions d'un homme. Il aurait dû voir que dans ma lettre je lui faisais la confidence affectueuse d'une résolution arrêtée sur laquelle je n'avais à demander de conseils à personne puisque cette résolution m'était impérieusement dictée, comme je le lui disais, par les sentiments d'un homme de coeur et d'un homme d'honneur. Dès ce moment, il ne me devait, comme ami, ni conseils, ni reproches ! Il ne me devait que de l'approbation et du soutien. En supposant, ce qui n'est pas, que notre départ de Versailles fût pour moi personnellement un sacrifice douloureux, était-ce le fait d'un ami de me le rendre plus pénible, en insistant sur les amertumes qu'il pouvait m'offrir ? En supposant encore que ma femme eût à mon insu et en secret cherché des appartements à Paris (au lieu d'en chercher comme elle l'a fait en réalité d'accord avec moi) était ce le rôle d'un ami de me révéler en détail, au risque de m'irriter contre ma femme et de mettre un élément de trouble dans mon ménage ? Je n'insiste par sur le ton et les expressions de cette réponse qui devaient justement froisser un homme de mon âge de la part d'un jeune ami à qui je venais d'écrire avec tant de courtoisie, de confiance et d'expansion. Je ne veux plus toucher qu'un seul point. Sagnier m'avait vu au commencement de l'hiver aussi opposé que personne à l'idée de quitter Versailles. Rien n'était plus naturel que ce premier mouvement de résistance et de révolte pour un projet si soudain, qui engageait gravement mes intérêts. Mais rien de plus naturel non plus que le revirement qui s'est opéré dans mes idées à ce sujet, quand j'ai vu les souffrances de ma femme se prolonger et s'aggraver. C'est alors que la pensée de l'emprisonner dans cette maison funeste, contre l'avis des médecins les plus autorisés, serait devenue criminelle. Sagnier a cru sentir à ce moment quelque refroidissement dans mon amitié. [ ... ] Mais je le répète, nous avons été gravement froissé par sa lettre [ malgré cela, en raison de leur longue amitié, il ne souhaite pas rompre ]. La dernière lettre, de la main de l'épouse d'Octave Feuillet, datée de Versailles, le 17 août (1887) est également adressée à Charles Sagnier. Elle y évoque ses souffrances, et sa tristesse d'avoir vu son correspondant les dédaigner trop longtemps. La cure à Vichy ne le lui fait aucun bien,"j'ai beaucoup maigri et je n'ose plus me regarder dans la glace. La présence de mes enfants m'empêche de trop songer à ce qui pourrait advenir d'un tel changement, mais quand je ne les ai plus autour de moi, j'y songe. Mon mari vous aurait écrit s'il n'était pas repris depuis 4 jours de ses affreuses névralgies de la face. Dieu lui épargne le retour complet des tortures qu'il a subies il y a quelques années. Il me charge de vous remettre les lignes suivantes, que vous pourrez à peine déchiffrezr car elles ont été écrites au milieu de grandes souffrances. Vous voyez que le bonheur ne nous hante pas plus qu'à l'ordinaire. Mais mon mari est comme moi. Il veut aussi oublier. Lui et moi vous embrassons de tout coeur, ne voulant plus nous souvenir que des preuves de dévouement que vous nous avez donnés depuis tant d'années. Nous vous demandons, comme preuve d'amitié, de n'y pas revenir vous-même. Qu'il n'y soit plus fait aucune allusion ni par lettre, ni dans les conversations du retour, enfin ni demain ni jamais. Nous quittons Versailles dans les premiers jours d'octobre. [ Ils vont s'installer à Paris près du Parc Monceau, 6 rue Gounod : ] "nous avons deux appartements superposés communicant par un escalier intérieur. C'est simple mais suffisant". Bon exemplaire (qq. petits frott. et qq. rouss., très bon état par ailleurs).
Paris, Calmann Lévy, 1887. In-12, (2) ff., 388 pp., veau fauve orné d'un décor repoussé, incisé et teinté de feuilles de chêne et glands, sur les deux plats, sur le premier plat, monogramme TD à froid, le second plat orné d'une bande de petites fleurs à froid, dos à nerfs, tête dorée, non rogné (Visinand).Nouvelle édition de ce roman sentimental qui, dans la Bretagne bleue natale d'Octave Feuillet, raconte la triste histoire de Sibylle de Férias, adorable romanesque et fervente croyante. C'est l'un des premiers romans de l'auteur, et l'exemplaire porte sans doute l'un de ses derniers envois, puisqu'il est daté de l'année de sa mort. Après avoir vendu sa maison familiale près de Saint-Lô, Feuillet retourna à Paris, passant aussi du temps à Clarens, en Suisse au bord du lac Léman.Un feuillet de papier fin relié avant le faux-titre, porte en effet cet envoi autographe signé de Feuillet à l'abbé Dubois, curé de Poissy : "Témoignage de vive gratitude et de sympathique souvenir, Clarens 1890". Octave Feuillet (1821-1890) a passé les dernières années de sa vie à Clarens à Suisse, au bord du lac Léman. Il est mort le 28 décembre 1890. L'abbé Théodule Dubois fut curé de Poissy de 1886 à 1912 ; avec son monogramme sur le premier plat.Charmante reliure en veau repoussé et teinté, technique en vogue à la fin du XIXe siècle et rarement pratiquée par Visinand.Dos taché, légers frottements. Quelques rousseurs.
Par Octave Feuillet. Onze compositions par Stanislas Rejchan (1858-1919). Gravées à l'eau-forte par Mme Louveau-Rouveyre, MM. Daumont et Duvivier.Cette édition en grand format a été exécutée seulement à 100 exemplaires numérotés sur papier du Japon avec deux Suites des planches. Exemplaire numéro 26. Enrichi d'un dessin en couleurs.Paris, A. Quantin, Collection Calmann Lévy, Les Chefs-d'oeuvre du Roman Contemporain - 1885 - viii et 314 pages.Belle reliure demi chagrin vert à coins de l'époque. Dos à nerfs orné et doré. Tête dorée sur témoins, non rogné. Couverture et dos conservés. Pas de rousseur. Parfait état. Format in-4°(29x21).Octave Feuillet (1821-1890) est un romancier et dramaturge français, surnommé le « Musset des familles ». Il fut membre de l'Académie française. Monsieur de Camors est publié pour la première fois en 1867.
REJCHAN Stanislas
Pathé Frères, s.d. [années 20] In folio. Journal de 6 pages publié à l'occasion de la sortie du film Le roman d'un jeune homme pauvre d'Octave Feuillet, produit par les Frères Pathé. Découpage, photos etc. Pliures, fentes. E.O.
P., Education et Récréation J. Hetzel et Cie, s.d. (1878), pt in-8°, 112 pp, un frontispice, une petite gravure sur la page de titre et 86 gravures de Bertall dans le texte, reliure toile grise à motifs noirs et blancs, dos lisse, pièce d'auteur basane carmin et pièce de titre basane bleue, tête dorée, couv. illustrée conservée (rel. fin XIXe), pièces d'auteur et de titre et coiffes lég. frottées, bon état
Deuxième titre de la "Petite Bibliothèque Blanche". Dans cette nouvelle collection lancée en 1878, Hetzel rééditera les 18 titres du "Nouveau Magasin des Enfants" et ajoutera de nombreux autres titres (la collection complète en comprendra 82). Octave Feuillet se sert ici d'un personnage populaire pour "composer autour de lui, une fiction nouvelle. Le procédé ne manque pas de saveur, car l'histoire ainsi contée bénéficie de la faveur acquise auparavant par une figure bien connue" (Trigon, Histoire de la Littérature enfantine, p. 64). D'après Laffont-Bompiani, Octave Feuillet obtint par ses aimables comédies un grand succès auprès de la Cour de l'Impératrice Eugénie, ce qui lui valut le surnom de "Musset des Familles".
1 Reliure en demi-maroquin à coins bleu nuit sertis d'un filet doré, dos lisse richement orné avec titre et millésime dorés, tête dorée, non rogné, couv. et dos conservés. Reliure signée Affloter (partiellement gratté mais lisible). Ex-libris J(ose)ph. A. Cattaui Pacha, un second ex-libris gratté. 18,7 x 13,0 cm, [4]-306-[2] p. Paris, Calmann Lévy, 1886. Edition originale
Édition originale publiée par Calmann Lévy dans Les OEuvres Complètes d'Octave Feuillet. Un des 15 ex. de tête réimposés sur Japon (avec rousseurs, ce qui est rare pour un Japon !!), il existe également 50 Hollande. Jolie reliure décorative et intéressante provenance égyptienne. Très bon état
1 Reliure en demi-maroquin à coins bleu nuit sertis d'un filet doré, dos lisse richement orné avec titre et millésime dorés, tête dorée, non rogné, couv. et dos conservés. Reliure signée Affloter. Ex-libris J(ose)ph. A. Cattaui Pacha, un second ex-libris gratté. 18,7 x 13,0 cm, [4]-272-[2] p. Paris, Calmann Lévy, 1889. Edition originale
Édition originale publiée par Calmann Lévy dans Les OEuvres Complètes d'Octave Feuillet. Un des 15 ex. de tête réimposés sur Japon (avec rousseurs, ce qui est rare pour un Japon !!), il existe également 50 Hollande. Jolie reliure décorative et intéressante provenance égyptienne. Très bon état
Paris, Maison Quantin, coll. Calmann Lévy, 1885, 1 volume in-8 de 230x150 mm environ, viii-314 pages, reliure signée, demi-maroquin à coins gris ardoise, titres dorés sur dos lisse, orné de motifs mosaïqués de couleurs, cuir souligné d'une petite frise dorée sur les plats, gardes marbrées, tranche de tête dorée. Avec 11 compositions par S. REJCHAN, gravées à l'eau-forte par Mme de Louveau-Rouveyre, MM. Daumont et Duvivier. Petits frottements sur les mors et les bordures de la couverture, intérieur parfait état.
Octave Feuillet, né à Saint-Lô (France) le 10 août 1821 et mort à Paris le 28 décembre 1890, est un romancier et dramaturge français, surnommé le « Musset des familles ». Il fut membre de l'Académie française. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Paris, Michel Lévy frères, date grattée (1875 ?), 1 volume, in-12, relié, 337 p. 3e édition. Reliure d'époque, demi basane vert foncé, dos lisse avec filets et titre dorés, trous et galerie de vers dans les mors, rousseurs en début et fin de volume. Cachet sur la page de titre (Valéry Giscard, avocat), famille Giscard d'Estaing.
Bon état. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).
1873 Paris, Michel Lévy, Librairie nouvelle, 1873. 18,5 x 12 cm (R), in-12, 352 pp., reliure de l'époque de demi-veau grenat, dos à 5 nerfs orné, tête dorée.
Exemplaire enrichi d'un ENVOI autographe signé d'Octave Feuillet à l'Oeuvre des écoles professionnelles. Dos passé, sinon un très bel exemplaire. ///// ATTENTION : la librairie sera fermée du 17 décembre au 5 janvier. Pendant cette période je ne pourrai que prendre note de vos réservations d'ouvrages. En vous souhaitant à tous et toutes de joyeuses fêtes !
L. Hachette et cie. 1860. In-8. Broché. A relier, Plats abîmés, Dos fané, Papier jauni. 330 pages. Rousseurs. Tranches dorées fanées. Feuillet des quelques pages désolidarisé. Accrocs au dos. Coins frottés. 350 vignettes en noir et blanc+ Frontispice illustré en noir et blanc, sous serpente. Titre, caissons en doré au dos+ 4 faux nerfs.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Illustrations par Meissonnier, Tony Johannot, Gérard Seguin, Bertall et Lorentz. Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Maison Quantin Collection Calmann Lévy, Paris, s.d., in-4 broché, couverture rempliée illustrée en couleurs par Mouchot 1887, 227pp. Tâche brune au dos de la couverture, dos légèrement frotté. Portrait frontispice sous serpente de l'auteur gravé par E. Wallet en deux états. 35 in-texte et 11 hors-texte dessinés par Mouchot et gravés par Méaulle en noir et blanc. Tirage à 100 exemplaires, tous numérotés sur Japon, le notre est le n°3. Intérieur très frais. Bon état.
Paris Calmann Lévy, Editeur. Ancienne Maison Michel Lévy Frères 1888 in 12 (19x12,5) 1 volume reliure demi chagrin vert de l'époque, dos nerfs orné de filets et de fleurons dorés, 254 pages [1], rousseurs. Octave Feuillet, 1821-1890. Bon exemplaire, bien relié ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Reliure
FEUILLET Octave / SAND George / STAHL / BALZAC Honoré de / DUMAS Alexandre
Reference : 31668
Paris Le Club Français du Livre 1957 in 8 (21x13,5) 4 volumes reliures toilées de l'éditeur, vignette contrecollée sur les plats supérieurs, étui cartonné illustré de l'éditeur. 1°/ Aventures de Polichinelle, par Octave Feuillet (vignettes de Bertall), 104 pages [2]. 2°/ La bouillie de la comtesse Berthe, par Alexandre Dumas (vignettes de Bertall), 118 pages [2]. 3°/ Histoire du véritable Gribouille, par George Sand (vignettes de Maurice Sand), 114 pages [2]. 4°/ Aventures de Tom Pouce par Stahl (vignettes de Bertall). suivi de: Tony sans-soin par Balzac (vignettes de Gérard Séguin)., 90 pages [2]. Reproduction en fac-similé des ouvrages parus au XIXe siècle. Ouvrage composé d'aprés les maquettes de Jacques Daniel. Edition hors-commerce. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Couverture rigide Ed. limitée
Boston, S.R. Urbino, New York, Leypoldt and Holt, F. W. Christern, 1870. in-8. 1f. 204pp. (2ff.blancs). Demi-veau, dos à nerfs orné. Petits défauts à la coiffe supérieure. Coins émoussés. Bon exemplaire l'intérieure. Roman de l'auteur dramatique normand Octave Feuillet. Rare impression de Boston.
Calmann Lévy Paris Calmann Lévy 1885, reliure à la bradel, en demi-percaline verte, 170 pages.
"Octave Feuillet, né le 10 août 1821 mort le 28 décembre 1890, romancier et dramaturge français, surnommé le « Musset des familles ». Il fut membre de l'Académie française."
Paris Michel Lévy Frères 1855 1 vol. relié in-12, demi-chagrin cerise, dos à nerfs (reliure de l'époque), 72 pp. Edition originale. Très bon état. Exemplaire provenant de la bibliothèque d'Alain Resnais.
Paris Michel Lévy Frères 1867
In-12 (186 x 120 mm), broché. Edition originale. (deux petites déchirures au bas du dos, pliure sur l'angle supérieure de la deuxième de couverture, piqûres sur la couverture, les tranches et quelques pages). // 12o (186 x 120 mm), softcover. First edition. (two small tears on bottom of spine, folding on top corner of second cover, spots on cover, on edges and some pages).
Calmann-Lévy. 1910. In-8. Relié demi-cuir. Etat d'usage, Coins frottés, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 121+103 pages - nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte - texte sur deux colonnes - plats, contre plats et gardes jaspés - déchirures sur les pages 103 et 104 le roman d'un jeune homme pauvre altérant la lecture - auteurs, titres, filets dorés sur le dos - épidermure et petit accroc sur le 1er plat.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Illustrations de Adolphe Gumery. Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Paris, éducation et Récréation J. Hetzel et Cie, coll. « Petite Bibliothèque Blanche, N° 2 » 1893 In-12 19,5 x 13,5 cm. Cartonnage éditeur pleine percaline rouge, signé A. Cartier Rel., plaque polychrome de A. Souze, ornée au centre s’une vignette contrecollée, tranches dorées, 112 pp., frontispice, page de titre orné d’une vignette, 86 gravures de Bertall dans le texte, table. Bon exemplaire.
Bon état d’occasion
1900 Paris, Librairie des Nouveautés Artistiques, sans date (vers 1900), 2 planches réunies sous couverture imprimée.
Tirage sur papier de luxe. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Paris Michel Lévy frères 1867 1 vol. relié in-12, bradel de percaline rouge, dos lisse avec pièce de titre de basane noire, non rogné, couvertures conservées, 377 pp., in fine catalogue Michel Lévy (36 pp.). Édition originale. Ex-libris Maurice Miller. Bel exemplaire.
Paris, 1868 chez G. Paetz. 2 tomes en un volume in-16 relié demi-basane (14,2 x 10,2 cm), titre doré sur pièce de titre rouge, 160 & 135 pages. Complet en deux tomes.- 240g. - Bon état.