Le Mans : Société littéraire du Maine, 1970. In-4 (33 cm), 19 pages agrafées, 188 gr., richement illustré de bois d'André Fertré exemplaire n° 55 d'un tirage limité à 100 ex.
Très bel état
Le Mans, Editions Marcel Graffin, sans date ( ca 1930), plaquette format 243x193mm, 30 pages, illustrations par André Fertré et photographies in texte par Dolbeau, cartes couleurs du département, exemplaire en bon état.
Exemplaire destiné à l'enseignement primaire...
Le Mans, Ch. Monnoyer, 1939 in-8, 5 pp. puis paginé 163 à 203, broché.
Extrait du Bulletin de la Société d'Agriculture, Sciences et Arts de la Sarthe, tome LVI, 1938.Illustration sur bois et envoi de l'auteur. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Le Mans, Éditions de la Société Littéraire du Maine, 1966. In folio (25 x 32 x 1 cm), en feuilles sous couverture illustrée sur le premier plat. 40 pages, 14 bois gravés de l’auteur à pleine page, lettrines ornées. // Exemplaire numéroté (N° 57/100). // Lieux : Couture sur Le Loir, manoir de la Possonnière en Vendômoois, l’Isle Verte, Saint Gilles de Montoire sur Le Loir, prieuré de Croixval, Champmarin en Aubigné-Racan, Sarceau manoir de Ronsart, la Cour des Pins à La Flèche, Couture-sur-Loir, Cré, le Loir au Château de Bazouges - Vendômois, Maine, Anjou. // Pages intérieures en très bon état. Couverture en bon état d’usage, légèrement frottée par endroits (voir photos).
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AU MAINE ANGEVIN (image du terroir) Poèmes & dessins d' avec un bel envoi de l'auteur ! volume in-8, 220x155,24 pages,bel exemplaire, illustré 1931 André Fertré Poète et Peintre, ne s’appelait pas André mais Louis, Émile, Céleste Fertré. Alors, pourquoi André ? Sa famille habitait l’ancien prieuré de St André à La Flèche, comme c’était le premier enfant né à St André, en 1886, les amis de son père, sociétaires de la boule de fort St André, ont décidé que l’enfant devait s’appeler André. Il était déjà baptisé Louis Emile Céleste ? Qu’à cela ne tienne, ils ont mis l’enfant sur un billard du jeu de boule et ils l’ont rebaptisé André avec un verre de rhum ! André Fertré n’employait pour ses gravures sur bois que des planches de poirier qu’il creusait en bon fil avec la lame aiguisée d’un simple canif, comme faisaient nos xylographes des XV° et XVI°s