Paris. Editions d'Art Lucien Mazenod. 1981. Petit In-Folio. pleine toile avec jaq. ill. et emboitage. Nbrs photographies en couleurs. 591 p. TBE.
Philippe Godard Elisabeth Ferté Vincent Odin
Reference : 16142
(2007)
ISBN : 9782732436081
De La Martinière Jeunesse 2007 203 pages 25x17x2cm. 2007. Broché. 203 pages.
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Editions de la Martinière 2011 66 pages 26x24x1cm. 2011. Broché. 66 pages.
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Hatier 1992 128 pages in8. 1992. Broché. 128 pages.
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De la Martinière jeunesse 2006 1 pages 20x17x0cm. 2006. Broché. 1 pages.
"MERCI DE LIRE L 'ANNONCE JUSQU'A LA FIN" French édition - Le livre présente des marques de stockage et de lecture sur la couverture et les pourtours mais du reste en bon état d'ensemble. Expédition soignée dans un emballage adapté depuis la Fr
LA FERTE-ALAIS 1890 une photographie originale albuminée en noir, format : 17 x 11,8 cm pour la photo, 19,8 x 14,6 cm avec le carton ou la photo est contrecollée, sans date (1890) sans nom de photographe
Superbe Photographie ........en trés bon état (very good condition). en trés bon état
[Le Mans, La Ferté Bernard, Maine, Droit], Mémoire signifié pour messire EtienneCharles de Guibert, chevalier, seigneur de la Chabossière; Mr Me Herisson Devilliers, conseiller à ce siège, & autres héritiers du Sr Orry de Villarceau ; contre Messire Pierre-Guillaume-Louis de la Gouppillière, chevalier, seigneur de Dollon : & la Dame Bordel de Viantais, sa mère. Le Mans, Charles Monnoyer, 1769. In-4, 40p. Intéressant mémoire concernant la succession du sieur Orry de Villarceau dans le Maine, sous la coutume locale de La Ferté-Bernand. Il est question de la terre de Villarceau (actuellement à Saint-Martin-des-Monts) et de la métairie de la Racinière (actuellement à Boëssé-le-Sec). Les deux lieux-dits sont éloignés d'environ 1km et sont près de La Ferté-Bernard. Le tout avait été vendu sous forme de rente en 1751 mais la veuve Orry meurt en avril 1752 puis le fils en juin 1752. Les héritiers veulent donc sortir de l'indivision et le problème est que le seigneur de Dollon et sa mère veulent « introduire dans la province un nouveau droit seigneurial ». Le mémoire est donc contre cette introduction. Brochage d'époque, rousseurs sur la première page.[332]
Editions de l'Oeil, 1958, in-4°, 128 pp, préface de Georges Salles, 81 reproductions avec notices descriptives, biblio, reliure cartonnée de l'éditeur, jaquette illustrée (pt manque au 2e plat), bon état
"La création de la section des Antiquités chrétiennes par M. Georges Salles, alors directeur des Musées de France, est toute récente. Elle est confiée à M. Coche de la Ferté. Cette nouvelle section, enrichie d'apports des départements antiques et du moyen âge, sculptures, ivoires, œuvres d'art, se propose de regrouper les éléments de toute provenance où se rencontre la pensée chrétienne, marquant des œuvres romaines, byzantines, hellénistiques, orientales. C'est le premier âge chrétien, dont on peut suivre le développement du IIIe au Ve siècle ; il présente une certaine unité que rompront les coups des barbares, et ce seront alors, à l'est, l'art byzantin, à l'ouest, les arts wisigothique, irlandais, lombard, saxon, mozarabe, mérovingien, carolingien, ottonien qui se fonderont en un seul grand style, le roman. C'est cet art chrétien primitif qu'expose au Musée du Louvre, dans la grande salle des sept cheminées, M. Coche de la Ferté, et il en donne un luxueux catalogue où chaque objet est analysé jusque dans ses moindres détails en une notice pleine de renseignements techniques et archéologiques, accompagnée d'une bibliographie très détaillée. M. Coche de la Ferté a écrit en tête du catalogue une introduction générale à l'art paléochrétien et à l'art byzantin, celui-ci plus traditionnaliste et plus près des sources antiques, et qui continuait encore une vie magnifique aux Xe et XIe siècles ; celui-là, plus vivant et capable d'engendrer, au contact des barbares et sous l'influence du Proche-Orient, des formes et un art nouveaux. Il montre l'apparition de la marque chrétienne dans l'art païen de l'Antiquité finissante, en Orient comme eu Occident, et la place de ce premier art chrétien dans la formation de l'art et de l'iconographie du moyen âge." (Marcel Aubert, Bulletin Monumental, 1958)
Paris, Vaillant Ferté & Laour, 1870, in-folio, 12 pp. 44 doubles pl, Cartonnage de papier chagriné brun, dos de toile brune, titre doré, Très beau catalogue de serrurerie pour architecture illustré de reproductions en noir sur fond crème et d'une belle page de titre dorée et argentée. Une charnière fendue, quelques petits manques et frottements, petites rousseurs (surtout au dos des planches), pâles mouillures marginales. Couverture rigide
Bon 12 pp. 44 doubles pl.
1897 Fo,tainebleau, A. Puyé, 1897, une plaquette in 12 brochée, 96 pages, petits manques aux coins; bon état general; tres peu courant.
Versailles, 1774. Petit in-4 de 162 pages, manuscrit sur papier réglé, belle calligraphie sans presque aucune rature. Plein maroquin bordeaux, dos lisse orné de filets et fleurons dorés, pièce de titre en maroquin olive, triple filet doré encadrant les plats, fleurs de lys en écoinçons, double filet doré aux coupes, roulette intérieure, tranches dorées.
Exceptionnel document, «Cahier de cours de philosophie» adressé aux princesses Clotilde de France et Elisabeth de France, sœurs des rois Louis XVI, Louis XVIII et Charles X, rédigé par Marie-Thérèse de La Ferté-Imbault.C’est grâce à l’appui de la Gouvernante des enfants royaux, Marie-Louise de Rohan, que Marie-Thérèse de La Ferté-Imbault obtint la charge, à raison d’une journée hebdomadaire à Versailles, de prodiguer des cours de philosophie aux deux petites princesses, alors âgées respectivement de 14 et 9 ans. Marie-Thérèse rédige des abrégés des grands philosophes à leurs intentions. C’est ici Zoroastre en première partie, suivi par Confucius qui occupe la plus grande partie (97 pages). L’avant-propos nous laisse deviner le ton des leçons données aux princesses. Marie-Thérèse évoque la jalousie de Zoroastre et Confucius, suite au bonheur de Cicéron, Sénèque et Plutarque, qui «transportés de joie d’apprendre» que les princesses «avaient prix goût pour leurs ouvrages, […] à leur retour aux Champs Elisées ont montré trop d’orgueil de leur bonne fortune et qu’ils ont pris trop d’avantage sur Zoroastre et Confucius». Et «le quatre octobre, veille de St. Thérèse patronne de la personne qui excitait leur fureur et leur jalousie» voici ce qui arriva. «Ils sont arrivés à la cour de Madame au bruit du tonnerre et du feu des éclairs, précédés des génies malfaisants, ils ont tourmentés cruellement la pauvre Thérèse; et lui ont juré qu’ils ne cesseraient de la persécuter qu’aux conditions suivantes.» S’ensuit la liste, notamment que tant que les princesses ne connaîtront pas autant Zoroastre et Confucius que Cicéron et comparses «ils apparaîtront tout les matins à son réveil et qu’elle [Marie-Thérèse] serait obligée de danser en rond autour d’eux en chemise et de leur baiser le bout du nez»! Rare et émouvant témoignage de l'atmosphère des leçons données aux enfants royaux. Marie-Thérèse fut également leur compagne de jeux, rédigeant parfois des petites comédies qu'elles interprètent ensemble; les trois frères des princesses apprécient les divertissements, d'ailleurs Marie-Thérèse fut conviée au sacre de Louis-Auguste, le frère aîné, devenu Louis XVI cette même année 1774.
[Paul Ollendorff] - PAPILLON DE LA FERTE, Denis Pierre ; ( BOYSSE, Ernest )
Reference : 65792
(1887)
Publié avec une introduction et des Notes par Ernest Boysse, 1 vol. in-8 cartonnage postérieur demi-percaline à coins vert, couverture conservée, Paul Ollendorff, Paris, 1887, 2 ff., 454 pp.
Bon exemplaire
Précieux exemplaire relié à l’époque en maroquin rouge aux armes d’Emmanuel-Céleste-Augustin de Durfort, duc de Duras, maréchal de France. Paris, Ruault, 1776. 2 tomes en 2 volumes in-8 de : I/ (1) f.bl., 1 frontispice gravé à pleine page, viii pp., 512 pp., (1) f.bl.. Saut dans la pagination de la p. 501 à la p.505 sans manque. Pt. trou de vers dans la marge des pp. 505 à 511; II/ (1) f.bl., (2) ff., 1 frontispice gravé à pleine page, 720 pp., (2) ff. d’approbation, (1) f.bl. Qq. légères rousseurs. Maroquin rouge de l’époque, triple filet doré encadrant les plats avec petits fleurons d’angles, armoiries dorées frappées au centre des plats, dos à nerfs ornés de fleurons dorés, pièces de titre et de tomaison de maroquin vert, filet doré sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées. Qq. très discrets trous de vers sur les dos. Reliure de l’époque. 193 x 122 mm.
Édition originale de ce « répertoire portatif » dédié aux peintres et à leurs écoles de peinture. Barbier, Dictionnaire des ouvrages anonymes, II, 399; Cioranescu 48979; Cohen, 782-783; Brunet, VI, 1786; Cicognara, 2265. Plus de 1200 peintres sont réunis dans cette importante étude, classés en fonction de leur écoleou de leur origine: romaine, florentine, vénitienne, lombarde, allemande, flamande, hollandaise, génoise, napolitaine, espagnole, française. On peut ainsi consulter la biographie de François Boucher, Charles Le Brun, des frères Van-Eyck, de Leonard de Vinci, etc. L’auteur souhaite, avec cet ouvrage, «faire connaître les Artistes distingués de la Peinture, indiquer les genres qu’ils ont adoptés, & rendre compte de l’opinion publique sur le rang que leur assigne l’estime universelle» et ce de la manière la plus concise et utile possible. «Papillon de la Ferté, intendant des Menus-plaisirs du roi, acheta cette charge en 1777, et comme tel eut d’abord l’administration de l’école royale de chant fondée par le baron de Breteuil, puis administra l’Opéra pour le compte du roi, quand le bureau de la ville de Paris eut cessé d’avoir l’entreprise de ce spectacle.» (F-J. Fétis, Biographie universelle des musiciens, IV, 97). L’auteur, qui avait des fonctions importantes à la cour, domina la vie administrative et artistique avant d’être guillotiné en 1794. Chacun des volumes est orné d’un très beau frontispice gravé signé Moreau le Jeune, dessinateur des Menus-Plaisirs du roi. Le premier s’intitule «Le Génie de la Peinture, éclairé par la Vérité, écrit l’Histoire de ceux qui se sont distingués dans cet Art» et le second «L’Immortalité des couronnes aux Génies qui ont animé les grands Peintres, dont les bustes sont placés dans son temple». Précieux exemplaire relié en maroquin rouge de l’époque aux armes d’Emmanuel-Céleste-Augustin de Durfort, duc de Duras (1741-1800), Maréchal de France. «Emmanuel-Céleste-Augustin de Durfort, duc de Duras, connu sous le nom de duc de Durfort, […] devint brigadier d’infanterie et pair de France; lors de la Révolution, il fut nommé général en chef des gardes national de Guyenne en 1790, mais il dut bien sûr s’enfuir et alla s’engager dans l’armée de Condé.» (Olivier, pl. 1793) Provenance: cachet «E.S.» sur les ff. de titre non identifié.
« Ces annales sont un des documents historiques les plus précieux que l’on possède. » Montauban, chez Jerosme Legier, et se vend à Paris, chez Claide-Jean-Baptiste Herissant, s.d. [1752]. In-12 de (8) ff., 556 pp., (1) f. Veau brun, filet à froid autour des plats, dos à nerfs orné de fleurons dorés, coupes décorées, tranches mouchetées. Reliure de l’époque. 162 x 91 mm.
Édition originale de ces annales retraçant le récit de la création à Québec du premier hôpital par les Hospitalières de Dieppe sous les auspices de la duchesse d’Aiguillon, nièce du cardinal de Richelieu. Barbier, II, 686. Chassés de la Nouvelle-France après la chute de Québec aux mains des frères Kirke en 1629, les Jésuites y retournent trois ans plus tard après que le Traité de Saint-Germain-en-Laye (1632) ait rendu à la France sa colonie et, pour un temps, « l’Église canadienne sera missionnaire », avec à sa tête le père Paul Le Jeune. C’est lui qui, en 1634, exprime le besoin d’un hôpital pour soigner les autochtones et les quelques colons qui s’y trouvent. C’est en pensant surtout aux autochtones que le père Le Jeune demandait la venue à Québec de religieuses hospitalières. « S’il y avait ici un Hopital il y aurait tous les malades du pays, & tous les vieillards, pour les hommes nous les secourerons, selon nos forces, mais pour les femmes il ne nous est pas bien seant de les recevoir en nos maisons», écrit-il. L’institution souhaitée était en effet moins destinée aux Français qu’aux autochtones, « sujets à de grandes maladies, et qui n’avaient aucun moyen d’adoucir la misère dont ils étaient accablez surtout dans leur extreme vieillesse». « L’élan mystique qui traverse la France dans les premières décennies du XVIIe siècle coïncide avec le mouvement colonisateur » et il n’est pas étonnant que plusieurs religieuses d’ordres et monastères manifestent un vif intérêt pour le projet du jésuite. Toutefois, les conditions matérielles pour l’établissement de religieuses et l’aménagement d’un monastère-hôpital à Québec sont à toutes fins utiles inexistantes. Le père Le Jeune lance alors nouvel appel mais cette fois il s’adresse aux personnes « capables de supporter financièrement l’entreprise ». La réponse est venue de la cour de France. La duchesse d'Aiguillon, mariée à 16 ans au marquis de Combalet, selon la volonté de son oncle, le cardinal de Richelieu, devient veuve à 18 ans ; elle ne se remarie pas et emploie presque toute sa fortune à soulager les pauvres et à fonder des établissements de charité. À 31 ans seulement, elle est déjà très engagée à ces fins. Elle est notamment la principale fondatrice du grand hôpital de Paris, rappelle l’historien Henri-Raymond Casgrain. Sous la conduite spirituelle de saint Vincent de Paul, promoteur et initiateur de nombreuses œuvres de charité et marquée par sa lecture des Relations des Jésuites, notamment celle de 1635 du Père Le Jeune, la duchesse prend conscience de l’importance des missions canadiennes dans l’histoire de l’Église. En 1636 en effet, la duchesse d’Aiguillon « se résolut de fonder à ses dépens un Hôtel-Dieu ». Et, pour réaliser cet ambitieux projet, elle choisit de faire appel aux Religieuses Hospitalières de l’Ordre de Saint-Augustin, dites alors Filles de la Miséricorde, installées au monastère de Dieppe. « Le Cardinal de Richelieu, son oncle, voulut entrer dans la bonne œuvre, & jusqu’à leur mort ils eurent l’un et l’autre une affection singulière pour cette maison, ils donnerent quinze cent livres de revenu au capital de 20000 liv. à prendre sur les coches et carosses de Soissons qui leur appartenoient, le contrat fut passé le 16 août 1637. ». Le Dr Yves Morin décrit la « jonction des quatre facteurs » qui ont amené la duchesse à exécuter son œuvre : « (…) l’esprit de charité de la duchesse, son influence à la cour par le biais de son oncle, le cardinal Richelieu, sa connaissance de la Nouvelle France grâce aux Jésuites et le rôle essentiel de l'Hôtel-Dieu de Dieppe, un des établissements prééminents en France ». En avril 1639, le roi Louis XIII accorde des lettres patentes pour l’établissement de l’hôpital et mentionne explicitement les motifs religieux de la duchesse. Il y aura aussi un second contrat en 1640 où ces mêmes motifs seront énoncés. Dans sa lettre à Marie Guenet de Saint-Ignace, première supérieure de l’Hôtel-Dieu de Québec, la veille du départ pour Québec des trois Augustines, la duchesse d’Aiguillon écrit clairement que l’Hôtel-Dieu devra être « dédié à la mort et au précieux Sang du fils de dieu répandu pour faire miséricorde à tous les hommes et pour lui demander qu'il l’applique sur l’âme de Monseigneur le Cardinal Duc de richelieu, et celle de Madame la Duchesse Daiguillon et pour tout ce pauvre peuple…». La duchesse obtient de la Compagnie des Cent-Associés une concession de sept arpents dans l’enclos où on avait commencé à bâtir Québec et un fief de soixante arpents dans la banlieue, entre Cap-Rouge et le coteau Sainte-Geneviève, ce terrain qu’on avait désigné sous le nom de Sainte-Marie. Les mères Anne Le Cointre de Saint-Bernard (28 ans), Marie Forestier de Saint-Bonaventure-de-Jésus (22 ans) et Marie Guenet de Saint-Ignace (29 ans), qui deviendra la première supérieure de l’Hôtel-Dieu de Québec, quittent familles et amis, et leur monastère de Dieppe, établi depuis 1285, le 4 mai 1639, à destination de Québec. « De 1739 à 1779, Latour publia une imposante somme de sermons, panégyriques, discours dogmatiques, mémoires liturgiques, canoniques et autres. En quittant le Canada, il avait emporté une copie manuscrite des ‘Annales de l’Hôtel-Dieu de Québec’ rédigées par Jeanne-Françoise Juchereau de La Ferté, dite de Saint-Ignace. Il fit paraître ce texte en 1752 à Montauban, sous le titre d’’Histoire de l’Hôtel-Dieu de Québec’ ». « Dans ses notes bibliographiques touchant les sources de sa propre « Histoire de l’Hôtel-Dieu de Québec », Montréal, éd. C. O. Beauchemin & Fils, tome 4, p. 11, l’historien Henri-Raymond Casgrain écrit à propos de l’« Histoire de l'Hotel-Dieu de Québec », par la mère Juchereau de Saint-Ignace : « Cette Histoire a été écrite d'après les renseignements de la mère (Marie Guenet) de Saint-Ignace et rédigée par la mère de Sainte-Hélène. Une copie de ces annales ayant été fournie à M. de La Tour, doyen du chapitre de Québec, qui retourna en France en 1731, il prit sur lui de les faire imprimer à l'insu de la communauté de Québec. Cette impression se fit sans beaucoup de soin, et il s'est glissé dans l’ouvrage un grand nombre de fautes typographiques. Heureusement qu'on possède encore à l'Hôtel-Dieu la copie originale de la main même de la mère (Marie-André Duplessis) de Sainte-Hélène, et signée par la mère (Marie-André Duplessis) de Sainte-Hélène, et signée par la mère Jeanne-Françoise Juchereau de Saint-Ignace. CES ANNALES SONT UN DES DOCUMENTS HISTORIQUES LES PLUS PRECIEUX QUE L’ON POSSEDE. » Le texte de Jeanne-Françoise Jucheron a été réédité à Québec par Dom Albert Jamet en 1939 sous le titre de « Annales de l’Hôtel-Dieu de Québec, 1636-1716 » ». Précieux exemplaire de ce rare canadiana conservé dans sa reliure de l’époque.
Emile Biez (1835-1905), propriétaire à La Ferté-sous-Jouarre, vice-président de la Société d'Agriculture de Meaux.
Reference : 013000
Emile Biez (1835-1905), propriétaire à La Ferté-sous-Jouarre, vice-président de la Société d'Agriculture de Meaux. C.A., sd [1897], 4 lignes. A la femme du chimiste et agronome Georges Ville (1824-1897) qui vient de perdre son époux. Emile Biez « apprend en rentrant de voyage la mort de M. Georges Ville auquel il avait voué une inaltérable reconnaissance. Il prie madame Georges Ville d'agréer l'expression de son plus profond regret et de ses bien vives condoléances ». [92-3]
Feuillets ou billets in-4, An XII à 1918. Cachets.
Familles Jourdan, Coureuil, Plannier, Soutier, Chesnel, Coenon, Gautier, Lequesne, Mercier, Froger, Beaudry, Cornillard, Delatouche, Guilbert, Guillemare, Thibout, Lemercier, Fritel. Convention et contrat de mariage, Quittances, actes d’achat et de vente, adjudications, obligation, partage, etc. Bonne condition d'ensemble. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
1957 Paris, L. Tisné (Impr. la Ruche), 1957. In-4°, pleine toile chinée brune de l'éditeur, titre en noir au 1er plat et dos, étui; 73 pp.44 illustrations dont Frontipice en couleurs, et 43 photographies dans le texte ou à pleine page en noir.
Ouvarge tiré à 300 exemplaires numérotés. On a contrecollé sur le faux-titre une carte de visite du baron Elie de Rothschild et une de Etienne Coche de La ferté.
Ernest Roux, Paris. 1898. In-8. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos fané, Intérieur frais. 86 pages. Envoi manuscrit de l'auteur en page de titre. Papier muet et étiquette de code collés sur le dos. Tampons et annotations de bibliothèque sur le 1er plat et en page de titre.. . . . Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi
Traduit du Khondémir par H. Ferté. Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi
- Une feuille 42 x 56 cm, repliée sous couverture de toile rouge.
Carte géographique. Edition Hachette (Collection : Ministère de l'Intérieur), Tirage de 1884.
CHOUDENS. 1946. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. partiel. décollorée, Agraffes rouillées, Intérieur frais. 39 pages de partitions. Premier plat illustré en couleur. Tampon sur le premier plat. Nouvelle édition revue et doigtée par Armand Ferté. Op.149. Extrait de la biographie de Diabelli Antonio.. . . A l'italienne. Classification Dewey : 780.26-Partitions
A.C. 16815. Classification Dewey : 780.26-Partitions
Lille, Martin-Mamy, plaquette in 8° brochée, 28 pages ; couverture imprimée.
On joint : Extrait du Bulletin des Agriculteurs de la Loire, N° de janvier 1914 : Assemblée générale du 15 déc. 1913 et distribution solennelle des prix du Concours des familles nombreuses rurales, plaquette de 48 pages. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
P., Ollendorff, 1887, in-8, 454pp., avec une introduction et des notes de Ernest Boysse broché, dos abîmé et en parti manquant, coin supérieur droit de la première de couverture déchiré
Geneviève Le Camus (1693-1760), abbesse de l'abbaye Saint-Michel de la Ferté Milon (Aisne).
Reference : 008280
Geneviève Le Camus (1693-1760), abbesse de l'abbaye Saint-Michel de la Ferté Milon (Aisne). L.A.S., 18 juillet 1755, 2p in-4. Lettre à Monsieur de Pronleroy, près Saint-Just (Picardie) donnant des nouvelles notamment d'une demoiselle de Lancry, probablement une fille du destinataire. La famille Lancry était en effet seigneurs de Pronleroy. Elle recommandera le petit fils de M. de Pronleroy au marquis de Longeron. Adresse au verso du second feuillet qui a été doublé sur le recto. [267]
Paris, Mazenod, 1981. Grand in-4, 591 pp. cartonnage de l'éditeur, jaquette couleurs, étui. Avec 1004 illustrations en noir et en couleurs.
"Par l'ampleur et l'originalité de ses textes, les références réunies, l'abondance et la qualité exceptionnelle de ses reproductions en couleurs, le nombre inusité de sa documentation iconographique, par sa présentation la plus rigoureuse et la plus moderne, chaque ouvrage est non seulement une véritable somme mais aussi le plus beau des livres d'art".Exemplaire à l'état de neuf.