Payot, coll. « Bibliothèque historique » 1980 In-8 broché 22,8 cm sur 14. 284 pages. Couverture légèrement défraîchieÉtat correct d’occasion.
Inscriptions manuscrites en page de garde. Etat correct d’occasion
Desclée de Brouwer. 2002. In-8. Relié toilé. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 132 pages. Illustré de nombreuses photos en couleur dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 940.1-Moyen-Age
(Rare) Préface de Dominique Ponnau. Pages choisies des livres d'Heures des XIVe et XVe siècles. Classification Dewey : 940.1-Moyen-Age
Payot, 1980, in-8 br., 284 p., 1ère édition, coll. "Bibliothèque Historique", préface de Jean-Pierre Peter illustré de 70 gravures, fac-similés, dessins, très bon état.
L'allaitement "mercenaire" s'organise à Paris dès 1350, mais c'est au XIXe siècle qu'il prend une ampleur et une signification nouvelles. Ouvriers, commerçants et artisans envoient des dizaines de milliers de "petits Paris" à la campagne. En sens inverse, les familles de la bourgeoisie, pour allaiter leurs enfants sur place, recrutent les meilleurs seins paysans. Commerce de misère, le marché de la seconde mère" est aussi sordide que florissant. Rabattues par des meneurs peu scrupuleux, les nourrices sont parquées dans des bureaux entrepôts. Baignées, blanchies, superbement vêtues, copieusement nourries et relativement bien payées, elles occupent une place privilégiée dans la domesticité parisienne, mais en contrepartie on leur impose un véritable servage et une vie de recluses. Les campagnes des médecins philanthropes, les cris d'alarme des politiciens soucieux de démographie réduiront peu à peu les excès les plus choquants de l'exploitation , cependant le marché des "remplaçantes" parisiennes survivra aux découvertes pastoriennes et subsistera même, jusqu'à la Première Guerre mondiale, dans les familles les plus fortunées. Voir le sommaire sur photos jointes.
Payot, 1997, in-8 br., 283 p., nouvelle édition, coll. "Histoire", illustré de 70 gravures, fac-similés, dessins, très bon état.
L'allaitement "mercenaire" s'organise à Paris dès 1350, mais c'est au XIXe siècle qu'il prend une ampleur et une signification nouvelles. Ouvriers, commerçants et artisans envoient des dizaines de milliers de "petits Paris" à la campagne. En sens inverse, les familles de la bourgeoisie, pour allaiter leurs enfants sur place, recrutent les meilleurs seins paysans. Commerce de misère, le marché de la seconde mère" est aussi sordide que florissant. Rabattues par des meneurs peu scrupuleux, les nourrices sont parquées dans des bureaux entrepôts. Baignées, blanchies, superbement vêtues, copieusement nourries et relativement bien payées, elles occupent une place privilégiée dans la domesticité parisienne, mais en contrepartie on leur impose un véritable servage et une vie de recluses. Les campagnes des médecins philanthropes, les cris d'alarme des politiciens soucieux de démographie réduiront peu à peu les excès les plus choquants de l'exploitation , cependant le marché des "remplaçantes" parisiennes survivra aux découvertes pastoriennes et subsistera même, jusqu'à la Première Guerre mondiale, dans les familles les plus fortunées. Voir le sommaire sur photos jointes