[Librairie E. Droz] - FAVRE DE VAUGELAS, Claude ; (STREICHER, Jeanne)
Reference : 66227
(1934)
Publié sous le patronage de la Société des Textes Français Modernes, Introduction, Bibliographie, Index par Jeanne Streicher, 1 vol. in-8 reliure demi-chagrin mauve, dos à 5 nerfs, couverture conservée, Librairie E. Droz, Paris, 1934, LII pp., 28 ff., 623 pp. avec planches dépliantes
Bel exemplaire très bien relié, en parfait état.
Paris, Librairie E. Doz, 1924. 14 x 23, 624 pp., 1 planche dépliante, broché, très bon état.
Introduction, bibliographie, index par Jeanne Streicher.
Paris, Imprimerie Nationale, Editions du Raisin, 1945, 1945, in-8, 3 Vol. in-8 sous emboitage, 648, 355 & 49pp, En feuilles, couvertures rempliées, emboitage, Très bel exemplaire de l'édition numérotée sur papier Papier Vergé Blanc a la Forme des Moulins de Richard de Bas. Tirage total a 155 exemplaires. Couverture dessinée par jeanne-Marie Maudot. 3 Vol. in-8 sous emboitage,
(FAVRE de VAUGELAS Claude) / LA MOTHE LE VAYER, SCIPION DUPLEIX, MENAGE, BOUHOURS, CONRAT, CHAPELAIN, PATRU, CORNEILLE Thomas, CASSAGNE, ANDRY de BOISREGARD et l'Académie française
Reference : GRAMMAIRE64640222
(1936)
Paris, Librairie E. Droz, 1936, 14,5 x 22,5, 1100 pages cousues sous couverture imprimée. Avec VII planches - hors textes - noir & blanc. Introduction de Jeanne Streicher. Quelques illustrations noir & blanc.
Dos plissés. Cachets de bibliothèque (discrets) aux pages de titre.
Paris, Librairie E. Droz, 1934, 14,5 x 22,5, LII-700 pages cousues sous couverture imprimée. Fac similé de l'édition originale Introduction, bibliographie, index par Jeanne Streicher. Quelques illustrations noir & blanc.
Dos plissé.
Versailles, Cerf et fils éditeurs / Paris, Librairie de J. Baudry, 1880, 14 x 23, LXII-971 pages sous reliures demi-toile et papier marbré, - pièce de titre au dos, gardes blanches, couvertures conservées. Nouvelle édition par A. Chassang, avec le texte de l'édition originale, des remarques inédites, une clef inédite de Conrart, tous les commentaires du XVIIe siècle, des notes nouvelles, une introduction de l'éditeur et une table analytique des matières.
Toiles un peu salies ; coins émoussés, une petite tache à la première de couverture.
Par Claude Favre de Vaugelas (1585-1650). Il est l'un des premiers membres de l'académie française.Paris, chez Louis Billaine, - 1663 - 68 pp + 474 pp + 24 pp. 1 frontispice avec la marge du haut coupée.Reliure plein maroquin du XVIIIème. Dos lisse orné de fleurons dorés. Mors fendus sans remise en cause de la solidité. Filets dorés encadrant les plats. Dentelle doré sur les contreplats. Tranches dorées. Rares rousseurs. Assez bon état. Format in-16°(15x9).
[ Chez Augustin Courbé] - ANONYME ; [ VAUGELAS, Claude FAVRE DE ]
Reference : 60163
(1659)
Quatrième édition, revueuë & corrigée, 1 vol. in-12 reliure de l'époque pleine basane marron, dos à 5 nerfs ornés, Imprimées à Rouen & Se vendent à Paris, Chez Augustin Courbé, Paris, 1659, frontispice, 35 ff. (Epistre et préface), 473 pp. et 12 ff. n. ch. (table et privilège)
Ouvrage fondamental dans l'histoire de la grammaire française, les "Remarques sur la langue française" de l'académicien Claude Favre de Vaugelas (1585-1650) parurent de son vivant en 1647. La seconde édition parut en 1655, la troisième en 1657. À partir de cette quatrième édition, le titre de la table porte : "Table beaucoup plus ample qu'aux précédentes impressions". L'ouvrage se présente sous la forme d'une succession de remarques sur l'usage ou la graphie de divers mots ou expressions.Par exemple : "Innumerable, innombrable", "Mesmement", "De déçà, de delà", "Filleul, fillol", "Potraict, Pourtraict", "le pronom relatif le devant deux verbes qui le régissent", etc... Bon état (reliure un peu frottée avec manques en coiffes).
[Chez Thomas Jolly & Simon Benard] - VAUGELAS, Mr. ; [ VAUGELAS, Claude Favre Seigneur de ]
Reference : 64754
(1670)
Nouvelle édition, reveüe & corrigée, 1 vol. in-12 reliure de l'époque pleine basane marron, dos à 5 nerfs orné, Chez Thomas Jolly & Simon Benard, Paris, 1670, 36 ff. (dont frontispice), 474 pp. et 13 ff. n. ch.
Cette petite édition datée de 1670 suit la troisième édition publiée en 1665 des célèbres "Remarques sur la Langue Française de Vaugelas" dans lesquelles il se propose, dans la lignée de Malherbe, de codifier le bon usage du français en s'inspirant de la langue parlée à la Cour. Etat très satisfaisant (reliure lég. frottée avec coiffes arasées, coins lég. frottés, bon état par ailleurs). Tchemerzine, X, 449 (pour l'édition de 1665)
[Chez Jean de Ravestein] - VAUGELAS, Mr. ; [ VAUGELAS, Claude Favre Seigneur de ]
Reference : 64571
(1665)
Dernière édition, corrigée de nouveau, 1 vol. in-12 reliure de l'époque pleine basane marron, dos à 5 nerfs orné, Chez Jean de Ravestein, Amesterdam, 1665, 26 ff., 368 pp. et 11 ff. n. ch.
Cette petite édition elzévirienne est la troisième édition des célèbres "Remarques sur la Langue Française de Vaugelas" dans lesquelles il se propose, dans la lignée de Malherbe, de codifier le bon usage du français en s'inspirant de la langue parlée à la Cour. Cette édition a été imprimée à Amsterdam par J. de Jonge, et porte à la fin le monogramme de cet imprimeur. Le frontispice gravé est copié sur l'édition imprimée à Rouen par Laurens Maurry en 1659. Etat très satisfaisant (reliure lég. frottée, très petites piq. de vers, 2 très petites piq. de vers marginales n'affectant pas le texte, titre-frontispice très lég. frotté, signet postérieur, bon état par ailleurs). Tchemerzine, X, 449 ; Willems 1747
Paris, Editions du Raisin, Imprimerie Nationale, 1945 ; 3 volumes petit in-4° carrés reliés en 2 volumes. Réédition du texte de 1647 paru à Paris chez la Veuve Camusat et Pierre le Petit. Couvertures illustrées et lithographiées par Jeanne-Marie Maudot. Typographie de Maurice Darantière. Tirage limité à 150 exemplaires sur vergé blanc à la forme des moulins de Richard de Bas. Belle édition, la seule faite à l'époque moderne.UNE RELIURE HISTORIQUE DE PIERRE-LUCIEN MATIN.Maroquin noir, les plats divisés en quatre rectangles égaux entièrement réglés de bandes verticales ou horizontales alternativement en creux et en relief, créant ainsi un effet de perspective et de brillance selon l'inclinaison donnée au livre.En surimpression, sur chacun de ces quatre rectangles décorés, grand cercle au filet or adorné de deux cercles plus petits mosaïqués de maroquin noir poncé brillant, symbolisant la pureté de la langue française (et son rayonnement) que les travaux de Vaugelas ont permis d'atteindre en la dégageant de la langue des barbarismes, tournures argotiques et autres mauvais usages.Le dos sans nerfs, qui porte en petites capitales dorées prénom et nom d'auteur, titre et tomaison (selon le même cercle symbolique), est entièrement réglé de la même manière que les plats ; le décor se poursuit sur les coupes. Large bordure intérieure de maroquin noir ornée d'un décor de filets à froid dans l'esprit des plats, doublures et gardes de soie rouge unie, tête et tranches dorées sur témoins, etui double.Reliure signée P.L. Martin sur le premier contreplat, Mercher doreur sur le second.
Rappelons que P.L. Martin, né en 1913, formé à l'école Estienne entre 1928 et 1931, a commencé sa carrière dans la reliure industrielle où il a contribué à mettre au point le fameux procédé JOTAU, ce qui a sans doute favorisé son approche de la reliure objet d'art moderne. Après un passage chez le relieur Alphonse-Jules Gonon, il installa son atelier personnel en 1940 et allia désormais recherche artistique et technique raffinée. Claude Blaizot, sans doute le meilleur connaisseur de son oeuvre (secrétaire de la société de la reliure originale, il organisa la rétrospective P.L. Martin à la Wittokiana à Bruxelles et fut l'expert de la vente de la bibliothèque personnelle de Martin, sans compter les ventes de ses plus fidèles clients : J.P. Guillaume, Henri Paricaud, Lucien Vendel, etc...), nous apprend que ce n'est qu'à partir de 1945 qu'il se lança dans la reliure à grand décor.En 1948, la société de la reliure originale, fondée par six relieurs (Rose Adler, Paul Bonet, Robert Bonfils, Georges Cretté, Henri Creuzevault et Jacques Anthoine-Legrain) lui décerna son prix et l'admit parmi ses membres. A partir de 1950, P.L. Martin avait constitué son équipe de spécialistes de la reliure et de la dorure avec lesquels il collabora jusqu'à sa mort (ou la leur). Nous avons toutes les raisons de penser que notre reliure, qui n'est pas datée, a dû être réalisée entre 1948 et 1950, période pendant laquelle P.L. Martin s'est adressé, pour la dorure, à Henri Mercher, né en 1912 et formé comme lui à l'Ecole Estienne, qui commença sa carrière par cette discipline ardue dans laquelle il excella, comme le démontre notre pièce.Pourquoi cette reliure est-elle historique ? D'abord parce que c'est une des premières réalisations importantes de P.L. Martin, et surtout parce que, parmi celles-ci, c'est très certainement la première de ce type de reliures monochromes à grand décor, particulièrement représentatives de son art et qu'il a été le seul à réaliser. Nous avons consulté avant d'arriver à cette conclusion.Très tôt dans l'oeuvre de P.L. Martin, cette pièce permet de voir quel niveau de perfection artistique et technique il atteignait déjà. Pour étayer notre jugement, citons Roger Devauchelle (La Reliure en France. Tome 3) : "Dès les premiers travaux, il est aisé de constater que ses recherches l'amènent à puiser aux sources mêmes de la géométrie. Et nous pensons que malgré le caractère essentiellement moderne de son graphisme et des thèmes de son inspiration, il trouve ses "exemples" dans la reliure de la Renaissance dont il admire la rigueur constructive et la richesse architecturale". Et Claude Blaizot, dans sa préface à la vente de la bibliothèque de P.L. Martin, Paris, 20 mai 1987 : "Poète de la géométrie, P.L. Martin affectionnait particulièrement les constructions qu'une lumière rasante réveille merveilleusement". Que dire qui s'applique mieux à cette reliure ?Et ce jugement de François Chapon : "P.L. Martin a atteint par les seuls moyens de son art à une intuition pure de l'espace et à la naissance du concept. La reliure n'est plus la frontière imposée au lieu même de la signification, elle en désigne l'expansion sans fin". En conclusion, cette reliure, d'une construction savante et raffinée, d'une grande distinction, est un magnifique hommage à la langue française. Nous la considérons comme un chef-d'oeuvre. (avec la collaboration de M.A.J.)
Phone number : 06 60 22 21 35
A Paris, chez Augustin Courbé, 1659. Un fort vol. au format in-4 (243 x 188 mm) de 1 frontispice gravé n.fol., 19 ff. n.fol., 777 pp. [foliotées par erreur 773] et 23 ff. n.fol. Reliure de l'époque de plein veau marbré havane, plats jansénistes, dos à nerfs orné de filets gras à froid, caissons d'encadrement gras et maigres dorés, filets en pointillés dorés, larges fleurons dorés, semis de pointillés dorés, titre doré, palette dorée en queue, tranches mouchetées.
Edition - au format in-4 - publiée par les soins de Du Ryer dans l'estimée traduction de Vaugelas. L'exemplaire s'ouvre sur un joli frontispice gravé (non signé), recèle en outre un bandeau allégorique gravé ainsi qu'une jolie lettrine gravée et une carte dépliante gravée. ''Cette traduction mérite de rester comme un ouvrage qui a marqué dans l'histoire des progrès de la langue française''. (in Brunet). ''Vaugelas avait voulu faire de sa traduction de l’Alexandre le Grand de Quinte-Curce un exemple à l’appui de ses Remarques, pour y tracer le modèle après avoir donné les préceptes, ce qui explique le temps énorme - plus de trente ans - qu’il y avait consacré et l’importance qu’on y attacha.'' ''Edition meilleure que les précédentes, et qui est depuis lors considérée depuis comme l’édition définitive''. La notoriété d’Alexandre s’explique principalement par sa volonté de conquête de l'ensemble du monde connu. Cette aspiration, à la fois illusoire et pourtant presque réalisée, avant qu’il ne meure subitement à l’âge de trente-deux ans, a pour conséquence — durant un temps très court — une unité politique jamais retrouvée ensuite entre l’Occident et l’Orient. Il est aussi à ce jour considéré comme l'un des meilleurs stratèges de l'histoire. L’héritage d’Alexandre, marqué par une tentative de fusion des cultures grecque et orientale, est partagé entre ses généraux pour former les différents royaumes et dynasties de la période hellénistique. Quinte-Curce se propose ici de rendre compte de la vie d'Alexandre en une succession d'épisodes et de tableaux héroïques. Et s'il a fait preuve d'esprit critique, il a surtout gardé le sens du pittoresque et de l'exotisme en introduisant des descriptions vivantes et colorées . Graesse II, Trésor de livres rares et précieux, p. 313 - Brunet II, Manuel du libraire et de l'amateur de livres, 451. Plats légèrement desquamés présentant en outre quelques altérations superficielles ainsi qu'une bande d'adhésif en marge. Coiffe de tête accidentée. Dos présentant un éclat altéré. Claires rousseurs et cernes angulaires ou marginales dans le corps d'ouvrage. Plissure au frontispice. Du reste, bonne condition. Peu courant.
VAUGELAS (Claude Favre de) / REGNIER-DESMARETS (Abbé François-Séraphin)
Reference : 18103
Paris, Jean-Baptiste Coignard, 1704. 1 vol. in-4°, veau fauve glacé, dos à nerfs orné de caissons dorés avec en leur centre un monogramme doré formé des lettres R.N. acompagnées de deux petites fleurs de lys, pièce de titre en maroquin rouge, encadrement d'un double filet à froid sur les plats, armes dorées au centre, roulette dorée sur les coupes, tranches rouges. Reliure du temps, petite fente à un mors en queue, accroc avec manque d'une partie de la coiffe sup., coins râpés. Bon exemplaire. (26) ff., 617 pp., (1) p. Mouillure à qq. ff., qq. rousseurs.
Edition originale. Les Remarques de Vaugelas sur la langue française avaient paru pour la première fois en 1647 et furent le modèle incontesté du beau langage au XVIIe siècle. Dans cette nouvelle édition, figurent pour la première fois les observations de l'Académie Française sur ces Remarques. Elles sont imprimées à la suite de chaque remarque et sont attribuées à Régnier-Desmarets, alors secrétaire perpétuel de l'Académie. Exemplaire relié aux armes du Cardinal Fleury. Jean-André Hercule de Fleury (1653-1743) fut nommé cardinal en 1726, date à laquelle il fit office de ministre d'Etat de Louis XV jusqu'à son décès. Membre de l'Académie Française depuis 1717, ce prélat fin lettré fut le protecteur des lettres et des sciences et enrichit considérablement la bibliothèque du roi. Tchemerzine-Scheler V, 950; Quérard X, 75; O.H.R., 2284, fer n°6.
Phone number : 02 47 97 01 40
Paris Au Palais, Par la Société 1678
In-12 illustré d'un titre gravé et d'une large vignette au titre, 36f. (titre gravé, titre, Epistre, Preface, et 1 f. de " commentaires " en italique), 474p. et 14f. (Table, privilège, et 1f. blanc). :: Nouvelle édition, par la Société des Libraires du Palais, la première édition en 1647. Les associés dans cette édition seraient Louis Billaine et Thomas Jolly qui ont le privilège depuis 1665, auquel se joint Simon Benard en 1670. :: Vaugelas est l'un des premiers membres de l'Académie française. :: Reliure de l'époque, veau, dos orné, 5 nerfs. Coins écrasés, coiffe de tête limée, un mors ouvert et un autre fendu. :: Ex-libris manuscrit ancien au titre et un autre sur la garde, René de Royer, 1918.
Phone number : 1 514 820 2324
Paris Guillaume Desprez, 1690, in-12 (10x16,5cm), pleine basane du temps, dos à nerfs, caissons ornés, 44ff, 540p., 12ff Bel exemplaire. Table des titres, des remarques. Tables des matières détaillées.
Liege (Lyon), 1724. 8vo. Two cont. uniform full calf over wooden boards. Raised bands on back, backs richly gilt. Tome one w. a few wormholes on front board. One engr. plate. (22), 566, (10), 491 pp.
Stamp from ""Hvedholm Bibliotek"" on fly-leaf of volume one.
Droz 1934 in8. 1934. relié.
Bon état reliure en bon état couverture d'origine conservée intérieur propre
Paris, Éditions Du Raisin, Imprimerie Nationale, 1945. Trois volumes in-8 carré de 49, 65 à 355, 369 à 648 pp, . Exemplaires n° VII sur papier Vergé blanc à la forme de M. Blanchot. Intérieur très frais. En feuilles, couverture rempliée et étui imprimés d'un motif floral par Jeanne Marie Maudot, très bon état.
Bel exemplaire. Réédition du texte de 1647 paru chez la Vve Camusat et Pierre le Petit.