Société des missions évangéliques 1908 XIII-352 pages Paris. in-8. 1908. broché. XIII-352 pages. D'après son autobiographie son journal intime et sa correspondance / Avec 44 portraits vues et fac-similés dont 16 hors-texte
Mauvais état. A noter le 1er plat de la couverture détaché. Intérieur propre avec papier jauni
Paris Henri Plon 1871 432 pages in-8. 1871. relié. 432 pages. In-8 (228x156 mm) 432 pages. Livre relié Demi-Cuir Dos titré en lettres dorées. Reliure en bon état un peu frottée. Intérieur propre avec peu de rousseurs. Poids : 800 gr
Edition de la Confrérie des Amis de Saint-Vincent 1979 19 pages in8. 1979. Agrafé. 19 pages. Illustrations en noir
Bon Etat malgré quelques annotations au plat arrière
Énco dé Aougusta Virenque 1839 VIII-251+296 pages in12. 1839. Relié. VIII-251+296 pages. Demi-Cuir. En patois languedocien
Etat Passable Reliure fortement frottée avec les charnières fragilisées
Denoël 1946 238 pages collection Mille et un jours. in-8. 1946. broché. 238 pages.
Etat correct. Couverture brunie avec deux coupures aux mors inférieurs et deux manques de papier. Papier jauni
Les guides éditions ouest-france 1991 167 pages collection L'esprit des lieux. in-8. 1991. broché. 167 pages. Illustrations en noir et en couleurs
Bon état
FAVRE J.-B. ( ou FABRE, Abbé Jean-Baptiste Favre de Saint-Castor )
Reference : 055338
Mounpéyé ( Montpellier ) Enco de Auguste Virenque, Librayre-éditou 1839 in 16 (15,5x11) 4 volumes reliures à la bradel pleine percaline claire (des rousseurs), pièces de titre de cuir marron, dos à faux-nerfs à froid, VIII et 251 pages, 296 pages, 280 pages [1], 344 pages, des petites rousseurs éparses. Reliures signées de Pierson. Jean-Baptiste Fabre, ou Favre de Saint-Castor, Sommières 1727 - Celleneuve 1783, ecclésiastique et écrivain français, élève des Jésuites à Montpellier, auteur de plusieurs oeuvres comiques. Texte en patois languedocien. Jean-Baptiste Favre, 1727-1784. Ensemble en bon état
Très bon Couverture rigide
Genève, Imprimerie Atar, 1940. In-8 broché de 40 pages, couverture imprimée.
Portrait de Guillaume Favre en frontispice. "Guillaume Favre (1770-1851) s'est adonné successivement à l'étude de la minéralogie et de l'antiquité. Durant quelques années, il fréquenta le cercle de Coppet sans abandonner pour cela son domicile à Genève. Bibliophile, Guillaume Favre a constitué une bibliothèque pour laquelle il fit construire une aile à la Ville La Grange, propriété familiale. Cette belle collection est aujourd'hui administrée par la Bibliothèque de Genève" [Bibliothèque de Genève].
Plon, 1871, gr. in-8°, 432 pp, pièces justificatives, reliure demi-chagrin carmin, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres dorés (rel. de l'époque), qqs rousseurs sur les premiers et derniers feuillets, bon état
"Le volume que nous donne aujourd'hui M. Jules Favre a trait surtout à son rôle comme ministre des affaires étrangères vis-à-vis de la papauté et de l'Italie, au sujet de Rome. Le livre, tel qu'il est, a provoqué une trés vive irritation dans la presse religieuse contre M. Jules Favre. Les injures n'ont point été ménagées à l'auteur, qui, malgré de grandes faiblesses et des fautes que l'avenir jugera, n'en restera pas moins une des figures remarquables de ce temps, et l'un des hommes dont notre pays s'honorera. Certain parti aurait sans doute voulu qu'à lui seul, tandis que toute l'Allemagne nous écrasait, et que chaque puissance se désintéressait de la question du pouvoir temporel, M. Jules Favre prit sur lui de soutenir la papauté. Il faudrait pourtant que les partisans les plus convaincus du pouvoir temporel se donnassent la peine de constater, d'après les documents publiés par M. Jules Favre, qu'aucun ministre en Europe ne s'est avisé de penser que le pouvoir temporel dût être maintenu, et que tous ont été de l'avis de M. d'Anethan, ministre de Belgique, qui déclarait à M. de Barral « qu'absolument parlant, le pouvoir temporel n'était pas d'une nécessité indispensable au Saint-Siège pour remplir sa mission dans le monde ». M. Jules Favre a donc été en droit de conclure de ce jugement unanime porté sur le pouvoir temporel que le principe de la domination temporelle des papes avait « fait son temps », et de déclarer que le gouvernement français devrait s'en tenir à ces deux résolutions : la première, de n'intervenir (ni directement, ni indirectement) dans un but d'action quelconque ayant pour but le rétablissement du pouvoir temporel ; – et la seconde, de continuer près du saint-père le rôle de protecteur respectueux de sa personne et de sa liberté religieuse. Le souverain pontife lui-même parait avoir accepté d'ailleurs le sacrifice que lui imposait la nécessité des temps. On lit, en effet, dans une dépêche du comte d'Harcourt, notre ambassadeur à Rome, cette réponse que lui fit le saint-père : « La souveraineté n'est pas à rechercher dans des temps comme ceux-ci : je le sais mieux que personne. Tout ce que je désire, c'est un petit coin de terre où je serai le maître. Si l'on m'offrait de me rendre mes États, je refuserais, mais tant que je n'aurai pas ce petit coin de terre, je ne pourrai exercer dans leur plénitude mes fonctions spirituelles. » Ce sont là des paroles très dignes d'attention puisqu'elles sont rapportées par M. d'Harcourt, dont les sentiments de vénération pour le souverain pontife ne peuvent être mis en doute. Dès lors il faut espérer qu'elles n'échapperont pas à l'attention des catholiques français, et qu'ils s'en inspireront pour comprendre qu'ils nuiraient à nos intérêts les plus considérables en poursuivant la restauration du pouvoir temporel, alors même que le pape déclare que si l'on offrait de lui rendre ses États, il les refuserait." (La Revue politique et littéraire, 11 novembre 1871) — Table : But de cet écrit ; Déclaration du ministre des affaires étrangères à M. Nigra, après le 4 septembre1870 ; L'Empire et le Concile ; L'Empire retire les troupes françaises au moment de la guerre ; Rome et le gouvernement du 4 septembre. – Entrée des Italiens à Rome ; Conduite du gouvernement français après la prise de Rome ; Rome et le gouvernement de M. Thiers ; Propositions d'une conférence repoussées par le gouvernement français ; Protection accordée au Saint-Siège ; Nomination d'un ambassadeur à Rome – M. le comte d'Harcourt ; Translation de la capitale à Rome – Instructions données à notre ministre à Florence ; Pétitionnement des évêques. – Discussion à l'Assemblée. – Renvoi des pétitions au ministre des Affaires étrangères ; Nomination de M. de Rémusat au poste de ministre des Affaires étrangères ; Conséquence du vote de l'Assemblée ; Conduite à tenir envers l'Italie ; Conduite à tenir envers le Saint-Siège, et conclusion. – 20 Pièces justificatives (pp. 303-430).
Plon, 1871, gr. in-8°, 432 pp, pièces justificatives, reliure demi-percaline bordeaux à la bradel, dos lisse orné d'un fleuron et d'un double filet doré en queue (rel. de l'époque), pt trace de mouillure au coin des 10 premiers feuillets, bon état
"Le volume que nous donne aujourd'hui M. Jules Favre a trait surtout à son rôle comme ministre des affaires étrangères vis-à-vis de la papauté et de l'Italie, au sujet de Rome. Le livre, tel qu'il est, a provoqué une trés vive irritation dans la presse religieuse contre M. Jules Favre. Les injures n'ont point été ménagées à l'auteur, qui, malgré de grandes faiblesses et des fautes que l'avenir jugera, n'en restera pas moins une des figures remarquables de ce temps, et l'un des hommes dont notre pays s'honorera. Certain parti aurait sans doute voulu qu'à lui seul, tandis que toute l'Allemagne nous écrasait, et que chaque puissance se désintéressait de la question du pouvoir temporel, M. Jules Favre prit sur lui de soutenir la papauté. Il faudrait pourtant que les partisans les plus convaincus du pouvoir temporel se donnassent la peine de constater, d'après les documents publiés par M. Jules Favre, qu'aucun ministre en Europe ne s'est avisé de penser que Je pouvoir temporel dût être maintenu, et que tous ont été de l'avis de M. d'Anethan, ministre de Belgique, qui déclarait à M. de Barral « qu'absolument parlant, le pouvoir temporel n'était pas d'une nécessité indispensable au Saint-Siège pour remplir sa mission dans le monde ». M. Jules Favre a donc été en droit de conclure de ce jugement unanime porté sur le pouvoir temporel que le principe de la domination temporelle des papes avait « fait son temps », et de déclarer que le gouvernement français devrait s'en tenir à ces deux résolutions : la première, de n'intervenir (ni directement, ni indirectement) dans un but d'action quelconque ayant pour but le rétablissement du pouvoir temporel ; – et la seconde, de continuer près du saint-père le rôle de protecteur respectueux de sa personne et de sa liberté religieuse. Le souverain pontife lui-même parait avoir accepté d'ailleurs le sacrifice que lui imposait la nécessité des temps. On lit, en effet, dans une dépêche du comte d'Harcourt, notre ambassadeur à Rome, cette réponse que lui fit le saint-père : « La souveraineté n'est pas à rechercher dans des temps comme ceux-ci : je le sais mieux que personne. Tout ce que je désire, c'est un petit coin de terre où je serai je maitre. Si l'on m'offrait de me rendre mes États, je refuserais, mais tant que je n'aurai pas ce petit coin de terre, je ne pourrai exercer dans leur plénitude mes fonctions spirituelles. » Ce sont là des paroles très dignes d'attention puisqu'elles sont rapportées par M. d'Harcourt, dont les sentiments de vénération pour le souverain pontife ne peuvent être mis en doute. Dès lors il faut espérer qu'elles n'échapperont pas à l'attention dus catholiques français, et qu'ils s'en inspireront pour comprendre qu'ils nuiraient à nos intérêts les plus considérables en poursuivant la restauration du pouvoir temporel, alors même que le pape déclare que si l'on offrait de lui rendre ses États, il les refuserait." (La Revue politique et littéraire, 11 novembre 1871) — Table : But de cet écrit ; Déclaration du ministre des affaires étrangères à M. Nigra, après le 4 septembre1870 ; L'Empire et le Concile ; L'Empire retire les troupes françaises au moment de la guerre ; Rome et le gouvernement du 4 septembre. – Entrée des Italiens à Rome ; Conduite du gouvernement français après la prise de Rome ; Rome et le gouvernement de M. Thiers ; Propositions d'une conférence repoussées par le gouvernement français ; Protection accordée au Saint-Siége ; Nomination d'un ambassadeur a Rome – M. le comte d'Harcourt ; Translation de la capitale à Rome – Instructions données à notre ministre à Florence ; Pétitionnement des éveques. – Discussion à l'Assemblée. – Renvoi des pétitions au ministre des affaires étrangères ; Nomination de M. de Rémusat au poste de ministre des affaires étrangères ; Conséquence du vote de l'Assemblée ; Conduite à tenir envers l'Italie ; Conduite à tenir envers le Saint-Siége, et conclusion. – 20 Pièces justificatives (pp. 303-430).
FAVRE J.-B. ( ou FABRE, Abbé Jean-Baptiste Favre de Saint-Castor )
Reference : 053368
Mounpéyé ( Montpellier ) Enco de Auguste Virenque, Librayre-éditou 1839 in 16 (16x10,5) 1 volume broché, couverture imprimée, 296 pages, quelques petites rousseurs éparses. Texte en patois languedocien. Edicioun nouvèla, la soula coumplèta, révista é courijada émbe souèn pèr un troubadour d'aquéste tén. Jean-Baptiste Fabre, ou Favre de Saint-Castor, Sommières 1727 - Celleneuve 1783, ecclésiastique et écrivain français, élève des Jésuites à Montpellier, auteur de plusieurs oeuvres comiques. Tome 2 seul (ségoun). Bel exemplaire
Très bon Couverture rigide
[Marsal Edouard ] - FAVRE J.-B. ( ou FABRE, Abbé Jean-Baptiste Favre de Saint-Castor ) Marsal Edouard
Reference : 46206
Mount-Peliè ( Montpellier ) Enco de E. Marsal, Editou 1878 in 8 (25,5x17) 1 volume reliure demi chagrin rouge de l'époque, dos à nerfs soulignés de filets à froid, tête dorée, couverture illustrée conservée, frontispice, une planche en fac-similé, 278 pages [1], avec de nombreuses illustrations pae Edouard Marsal, dont hors texte. Abbé Jean-Baptiste Castor Favre, Sommières 1727 - Celleneuve en 1783, élève des Jésuites à Montpellier, auteur de plusieurs oeuvres comiques en patois languedocien. Textes en patois languedocien: Lou Siège de Cadaroussa, Lou sermoun de Moussu Sistre, Lou tresor de substancioun, La fam d'eresitoun, L'opera d'Aubais, Satiras, Epigramas, Jan l'An pres. Très bel exemplaire
Très bon Couverture rigide
FAVRE J.-B. ( ou FABRE, Abbé Jean-Baptiste Favre de Saint-Castor )
Reference : 40366
Mounpéyé ( Montpellier ) Enco de Auguste Virenque, Librayre-éditou 1839 in 16 (15,5x10,5) 4 volumes reliures demi chagrin marron, dos à faux-nerfs à froid, VIII et 251 pages, 296 pages, 280 pages [1], 344 pages. Texte en patois languedocien. Jean-Baptiste Fabre, ou Favre de Saint-Castor, Sommières 1727 - Celleneuve 1783, ecclésiastique et écrivain français, élève des Jésuites à Montpellier, auteur de plusieurs oeuvres comiques. Bel exemplaire
Très bon Couverture rigide
Paris Imprimerie de E. Brière 1860 in 8 (21,5x14) 1 volume reliure demi chagrin noir de l'époque, dos à nerfs soulignés de filets à froid, 45 pages. Envoi autographe signé de l'auteur: à Monsieur le Président Petit. Barreau de Paris (imprimé aux frais de l'ordre. Relié à la suite du même: ALLOCUTION PRONONCÉE PAR Me JULES FAVRE (Paris 1861, imprimerie de E. Brière), 46 pages. Relié à la suite du même: ALLOCUTION PRONONCÉE PAR Me JULES FAVRE (Paris 1862, imprimerie de E. Brière), 24 pages. Favre Jules-Gabriel, 1809-1880, avocat républicain. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Couverture rigide Signé par l'auteur
Jules Favre recommande chaleureusement Mademoiselle Montpellier auprès d'un ministre ...Je suis heureux de pouvoir donner à Mademoiselle Montpellier un témoignage spécial de l'intérêt que je lui porte en vous disant par ces quelques lignes qu'elle appartient à une honorable famille qu'elle soutient par son travail, elle est aussi distinguée par son talent que recommandable par son caractère, elle a déjà obtenu des travaux du département des beaux-arts, aujourd'hui elle vous serait très reconnaissante si en lui en accordant vous pouviez l'envoyer en Italie...Député Républicain de Paris de 1848 à 1851, Jules FAVRE fut un ardent opposant à l'Empire. Aux côtés de Victor HUGO, il tenta également, en vain, d'organiser la résistance au coup d'état du 21 décembre 1851. Il devint chef du parti républicain en 1863.(*) Jules Favre fait peut-être référence à l'artiste peintre Albertine Montpellier qui exposa des portraits au Salon de Paris en 1868 et 1870.
Jules Favre explique pourquoi il n'a pu rendre visite à son ami ...J'attendais, j'attends encore d'être officiellement relevé de la fonction de plus en plus pénible où me laisse mon colonel. Il me promet que ce sera demain, alors je serai sorti de la position fausse où je suis retenu. [...] Mais je ne veux pas tarder à vous dire combien je vous suis reconnaissant d'être resté au ministère - vous y êtes en croix, et moi grâce à dieu je suis au tombeau... Jules Favre revient ensuite sur le contexte politique ...Je pousserai la gauche à provoquer une solution dans le sens que vous connaissez, nous avons déjà trop attendu. L'humanité, le droit et l'intérêt crient ensemble, restés sourds serait manquer de conscience et de bons sens... Il ajoute ensuite ...une vieille amie à moi m'a apporté dimanche de beaux vers, de très beaux vers, faits par un vieil ami à elle. Elle voudrait les lire à la cérémonie du 6, car il parait qu'il y a un festival pour ce jour-là, ces vers sont une attaque véhémente à la commune ! (...) dites moi donc si vendredi dans la matinée ou dans l'après-midi, Madame Nelly (Marie Dupuy) pourrait aller vous faire cette lecture qui durera 10 minutes et vous fera certainement plaisir...Député Républicain de Paris de 1848 à 1851, Ministre des Affaires Etrangères dans le gouvernement de la Défense Nationale, Jules FAVRE fut un ardent opposant à l'Empire. Aux côtés de Victor HUGO, il tenta également, en vain, d'organiser la résistance au coup d'état du 21 décembre 1851. Il devint chef du parti républicain en 1863.
Jules FAVRE prie le maire de ...vouloir bien vous trouver aujourd'hui 20 janvier à deux heures au ministère des affaires étrangères pour affaires urgentes...Deux jours avant la date de ce courrier, dans la galerie des Glaces au château de Versailles, le roi de Prusse est proclamé empereur des Allemands. Le 20 janvier, le gouvernement se résout à demander un armistice qui sera finalement signé une semaine plus tard. C'est sans doute pour cette réunion que Jules Favre convoque son correspondant. Député Républicain de Paris de 1848 à 1851, Jules FAVRE fut un ardent opposant à l'Empire. Aux cotés de Victor HUGO, il tenta également, en vain, d'organiser la résistance au coup d'état du 21 décembre 1851. Il devint chef du parti républicain en 1863.
FAVRE Abbé ( ou FABRE, Abbé Jean-Baptiste Favre de Saint-Castor )
Reference : 057895
Montpellier Camille Coulet, Libraire-Editeur 1878 in 8 (22x14) Les 2 premiers tomes reliés en 1 volume reliure demi basane prune de l'époque, dos à nerfs soulignés de filets dorés, 232 pages [1], et 431 pages. Jean-Baptiste Fabre, ou Favre de Saint-Castor, Sommières 1727 - Celleneuve 1783, ecclésiastique et écrivain français, élève des Jésuites à Montpellier, auteur de plusieurs oeuvres comiques. Les 2 premiers tomes seuls sur 4 . Bon exemplaire, exempt de rousseurs ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Bon Couverture rigide
[ FAVRE J.-B., ou FABRE, Abbé Jean-Baptiste Favre de Saint-Castor ]
Reference : 49224
Mountpéie ( Montpellier ) Dé l'imprimarié d'Augusta Ricard 0 in 8 (20,5x14) 1 volume broché, couverture d'attente muette de l'époque, 136 pages. Exemplaire provenant de la bibliothèque de Louis Planchon, avec le cachet ex-libris de Frédéric Alliey Juge (timbre humide bleu), ex-dono manuscrit à la plume daté novembre 1903: '' offert à l'ami Planchon '' (signature non identifiée). Jean-Baptiste Fabre, ou Favre de Saint-Castor, Sommières 1727 - Celleneuve 1783, ecclésiastique et écrivain français, élève des Jésuites à Montpellier, auteur de plusieurs oeuvres comiques. Bon exemplaire
Bon Broché
FAVRE J.-B. ( ou FABRE, Abbé Jean-Baptiste Favre de Saint-Castor )
Reference : 38704
Montpellier Edition de l'Entente Bibliophile 1960 in 8 (21,5x14) 1 volume broché, portrait en frontispice, 184 pages, petits cachets ex-libris de Jean Suire. Jean-Baptiste Fabre, ou Favre de Saint-Castor, Sommières 1727 - Celleneuve 1783, ecclésiastique et écrivain français, élève des Jésuites à Montpellier, auteur de plusieurs oeuvres comiques. Publiés pour la première fois, intégralement avec introduction, notes et documents inédits par Marcel Barral, Agrégé de l'Université, Vice-Président de l'Entente Bibliophile de Montpellier. Edition originale hors-commerce tirée à 350 exemplaires numérotés sur papier offset des papeteries navarre. Bel exemplaire
Très bon Broché Ed. numérotée
FAVRE J.-B. ( ou FABRE, Abbé Jean-Baptiste Favre de Saint-Castor )
Reference : 17825
Montpellier Edition de l'Entente Bibliophile 1960 in 8 (21,5x14) 1 volume broché, portrait en frontispice, 184 pages. Jean-Baptiste Fabre, ou Favre de Saint-Castor, Sommières 1727 - Celleneuve 1783, ecclésiastique et écrivain français, élève des Jésuites à Montpellier, auteur de plusieurs oeuvres comiques. Publiés pour la première fois, intégralement avec introduction, notes et documents inédits par Marcel Barral, Agrégé de l'Université, Vice-Président de l'Entente Bibliophile de Montpellier. Edition originale hors-commerce tirée à 350 exemplaires numérotés sur papier offset des papeteries navarre. Très bel exemplaire
Très bon Broché Ed. numérotée
FAVRE J.-B. ( ou FABRE, Abbé Jean-Baptiste Favre de Saint-Castor )
Reference : 17833
Montpellier Edition de l'Entente Bibliophile 1960 in 8 (21,5x14) 1 volume broché, frontispice, 184 pages. Jean-Baptiste Fabre, ou Favre de Saint-Castor, Sommières 1727 - Celleneuve 1783, ecclésiastique et écrivain français, élève des Jésuites à Montpellier, auteur de plusieurs oeuvres comiques. Publiés pour la première fois, intégralement avec introduction, notes et documents inédits par Marcel Barral, Agrégé de l'Université, Vice-Président de l'Entente Bibliophile de Montpellier. Edition non numérotée. Bel exemplaire
Très bon Broché
(Paris), De l'Imprimerie de P. de Lormel, s.d. (1789), in-8, 61 pp., dérelié.
Voie dissonnante dans la Révolution bourgeoise de 1789, l'abbé de Favre prend la défense du peuple laborieux, dénonce les injustices dont sont victimes les ouvriers et propose une solution inédité : que les ouvriers invalides bénéficient de l'oblat, vieux droit dont bénéficiait les soldats estropiés d'être accueillis dans les abbayes et prieurés.On peut reconnaitre dans les idées de l'abbé de Favre les débuts d'un véritable catholicisme social, que l'on peut d'ailleurs rattaché à une tradition plus ancienne, mais qui est relativement isolé en ces débuts de Révolution.Ce texte a été réimprimé par les éditions EDHIS, ce qui est en soi un signe de l'importance et de la rareté du document. M. & W., 13253. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Jules Favre accuse réception des renseignements adressés par son correspondant ...sur le département de l'Oise et les demandes de mutations de différents Maires et Adjoints de ce dept... Il en a donné connaissance au Commissaire du gouvernement près de ce département. Député Républicain de Paris de 1848 à 1851, Ministre des Affaires Etrangères dans le gouvernement de la Défense Nationale, Jules FAVRE fut un ardent opposant à l'Empire. Aux côtés de Victor HUGO, il tenta également, en vain, d'organiser la résistance au coup d'état du 21 décembre 1851. Il devint chef du parti républicain en 1863.
Jules Favre informe son ami ...J'ai été très souffrant cette nuit et le suis encore, on me défend de sortir cependant j'irai je l'espère ce soir au conseil. Mais je serais bien aise de causer avec quelques instants avec vous. Si cela ne vous dérange pas, je vous propose de me tenir voir à 5 h. J'avertis Emmanuel et Picard...Député Républicain de Paris de 1848 à 1851. Jules FAVRE fut un ardent opposant à l'Empire. Aux côtés de Victor HUGO, il tenta également, en vain, d'organiser la résistance au coup d'état du 21 décembre 1851. Il devint chef du parti républicain en 1863.