Paris, Léopold Collin, 1808, in-8 demi-basane, 440 pp. Couverture en mauvais état (mors fendus, manques au dos, très frotté), intérieur en bon état.
Paris, Léopold Collin, 1808, in-8 demi-basane, 328 pp. Couverture en mauvais état (frottée, dos manquant), intérieur en bon état.
Chez Duchesne 14,5 x 22 Paris Edition Originale 1762 Plaquette in-8, reliure demi-vélin de l'époque, plats cartonnés papier caillouté, dos lisse, titre noir, gravure de Soliman II en frontispice signée Gravelot - Lemire, [4]-102 pp., suivies de deux pages de privilège et de deux pages de "Catalogues des pièces des comédies française et italienne, parodies et opéra comiques qui se vendent détachées". Bandeau gravé en tête de l'épitre dédicatoire au Maréchal de Richelieu. Edition originale de cette célèbre pièce de Favart (Paris 1710 - Belleville 1792) "représentée pour la première fois par les comédiens italiens ordinaires du roi le 9 avril 1761 et remise au théatre le 19 décembre de la même année" où Mme Favart sa femme joue le rôle de Roxelane, et et qui fut représentée sous le titre des "Trois sultanes". Petite salissure à l'angle extérieur du frontispice, bon intérieur. (EvC143) PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST. Livre
Martainville, (Alphonse) / Favart, Charles-Simon / Cuvelier , Jean-Guillaume-Antoine / [Chandezon], Léopold
Reference : 7903
(1816)
Barba, Librairie Palais Royal, Derrière Le Théâtre Français 13 x 20,5 Paris 1816 Un volume in-8, 1775-1821, reliure demi-veau vert moderne, dos lisse orné de cinq motifs floraux et de filets à froid, titre doré "Pièces diverses", plats et gardes marbrés, réunissant quatre pièces de comédie ou de vaudeville jouées sous la Restauration à Paris. 1. Martainville, "Tapin ou le tambourineur de Gonesse", Folie, deuxième édition, Paris, Barba, 1818, 35 -[1] p. 2. Favart, " La belle Arsène, comédie-féerie en quatre actes, mêlée d'ariettes. XV-77 p., 1775, précédée du conte moral "La Bégeule" [Voltaire], sans page de titre. 3. Cuvelier et Léopold, "Le sacrifice d'Abraham", par M.M. , Paris, Barba, 1816, 54 p. 4. Gosse, "Manon Lescaux et le chevalier Desgrieux", Paris, Barba, 1821, 70-[2] p. (Bibliographie de Soleinne, Jacob, T.II, 2446, 2476, 2473). Reliure agréable de qualité, très bon exemplaire.(RicB32).PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST.
Paris, Chez la Veuve Duchesne, 1765 1 volume In-8° (14 x 21,7cm) Broché sous couverture "d'attente". 56p. dont 6 de musique. Rousseurs et mouillures angulaires.
Edition originale de cette comédie de Charles-Simon FAVART (1710-1792; auteur de comédies, vaudevilles et livrets pour l'Opéra Comique, directeur de l'Opéra Comique en 1758) d'après le conte de VOLTAIRE "L'Éducation d'une fille", "représentée pour la première fois par les Comédiens italiens, ordinaires du Roi, le 14 août 1765"; 6 pages de musique "de M. [Adolphe] Blaise" in fine. Exemplaire avec mention manuscrite de don sur le 1er plat: "Pour monsieur Gueulette [Thomas Simon, 1683-1766; avocat au Parlement, substitut du procureur du roi et auteur dramatique ?] de la par [sic] de M. [?] de Favart" (mot illisible: "ami de Favart" ? ou prénom ? - mais qui ne serait pas Charles-Simon), et enrichi d'un manuscrit (d'auteur inconnu) d'époque de 5 pages et demie reproduisant une lettre de VOLTAIRE sur cette adaptation de FAVART: "[...] Honneur à lenchanteur charmant / Qui fit cette métamorphose !" sont les derniers vers du poème qui commence cette lettre, poème suivi de "[...] Je vous prie de présenter mes compliments à M. Favart, qui est un des deux conservateurs des grâces et de la gaieté françaises [...]"; lettre adressée en octobre 1765 à son ami l'abbé de Voisenon, écrivain (1708-1775), et suivie de la réponse de celui-ci, commençant de même en vers: "Vos jolis vers à mon adresse / Immortaliseront Favart [...]" (manuscrit difficile à déchiffrer: tapuscrit des 2 textes joint par nos soins).
A Paris, chez Léopold Colin, 1808. 3 vol. in-8 de (4)-308-LXXXVI pp. ; (4)-440 pp. ; (4)-328 pp., demi-veau blond, dos lisse orné de filets dorés (reliure de l'époque).
Édition originale. Très bon exemplaire. « La correspondance avec le comte de Durazzo représente la plus grande partie d’un recueil de Mémoires et Correspondances de Favart publié en 1808. Elle naît du besoin du comte de Durazzo de connaître la réalité théâtrale parisienne. Le noble, d’origine génoise, avait pensé s’adresser à Favart, le considérant comme un homme assez discret et modéré ainsi qu’un véritable intellectuel et mondain parisien. Ces lettres restent une bonne source d’informations sur les spectacles parisiens et sur les Querelles littéraires de l’époque. Favart inaugura, d’ailleurs, le cycle des réadaptations d’œuvres mineures de Voltaire et entretint avec lui des relations épistolaires qui attestent de l’évolution de leur rapport au fil du temps. Les correspondances de Favart demeurent une source importante concernant ses relations internationales (Goldoni, Garrick, Monnet) elles permettent d’analyser certains détails sur les spectacles de Favart et sur l’art théâtral au XVIIIe siècle » (Flora Mele, L’Atelier dramatique de Charles-Simon Favart).
Favart Duronceray Marie-Justine Benoit, (Charles-Simon Favart)
Reference : 23730
(1767)
1767 Chez DUCHESNE 1767. In 8°;broché,non rogné 40 pp. trés rare édition.
Par madame Favart et son mari d'après Ersch ; avec Lourdet de Santerre d'après Quérard, France littéraire ; par Jean-Baptiste Lourdet de Santerre, madame Favart, Claude-Henri de Fuzée Voisenon d'après Goizet ; d'après un conte de Marmontel.
1751 Paris. Delormel et fils, Prault fils. 1751. 3 ouvrages en 1 volume in-8, pleine basane, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin rouge.67 pp, (1) p., 6 pp. (partition).
Seconde édition avec les airs notés. Parodie des Indes galantes de Rameau, grand succès de 1745.Reliés à la suite: [FAVART. Charles-Simon]. Raton et Rosette ou la Vengeance inutile, parodie de Titon et l’Aurore.Paris. Veuve Delormel & fils, Prault fils. 1753.61 pp, (1) p., 1 f. bl., 6 pp. (partition).BOISSY. La Frivolité, comédie en un acte et en vers. Paris. Duchesne. 1753.40 pp., 10 pp. (partition).Rare recueil de 3 parodies d’opéras à la mode au milieu du XVIIIe siècle. Favart fut à l’origine du renouveau de l’Opéra-Comique.
S.l. Imprime par expres commandement de sa majeste 1776 1 vol. relié in-12, bradel de percaline rouge, pièce de titre de basane noire, tranches rouges (Pierson), 122 pp. Édition originale de cet ambigu-comique et parodique par Charles-Simon Favart (1710-1792), maître du genre. Ex-libris manuscrit à l'encre rouge Edmond de de Goncourt, ex-libris manuscrit Barbier Sainte Marie (Collection des Goncourt, Bibliothèque du XVIIIe siècle, n°527). Pièce de titre légèrement frottée.
Paris, Duchesne, 1762 in-8, [2] ff. n. ch. (titre, dédicace au duc de Richelieu), 102 pp., musique notée, [3] ff. n. ch. (privilège et catalogue), avec un frontispice gravé par Le Mire d'après H. Gravelot, broché sous couverture d'attente de papier bleu, tranches rouges.
Edition originale de cet opéra-comique, connu aussi sous le titre Les Trois sultanes. Charles-Simon Favart (1710-1792) fut un dramaturge très fécond, trop sans doute, mais qui a innové dans le domaine de l'ariette.Cioranescu, XVIII, 28 305. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
2 ouvrages en 1 volume in-8. 1). 44pp. (2ff. Blancs). 2). Pp.3-40pp. 12pp. De partition de musique. (manque la page de titre. Broché (traces de reliure au dos). Exemplaire usagé: traces de mouillures, salissures, petites déchirures avec atteinte au texte à 2ff., rousseurs. 1). Première édition de cette comédie joyeuse mettant en scène un "buveur flamand", "joli-coeur", "un niais", "une niaise", etc. Théâtre. 2). Pièce ponctuée de nombreux airs populaires et enrichie d'une partition de musique.
Paris Vve Delormel, Prault fils 1751 1 vol. relié in-12, plein veau havane, dos lisse orné de fleurons dorés, pièce de titre, nom au fer doré sur les plats ("De Gemini"), tranches rouges (reliure de l'époque), 67 pp. + 6 pp. de musique notée. Edition originale de cette parodie du "ballet héroïque" de Rameau, présentée pour la première fois par les Comédiens italiens le 26 juillet 1751. [Relié à la suite :] GUERIN DE FREMICOURT (Jean-Nicolas). Les jumeaux, parodie de Castor et Pollux, en 3 actes... Paris, chez Duchesne, 1755, 80 pp. incluant plusieurs pages de musique notée. Edition originale. Réunion de deux pièces représentatives de l'âge d'or de l'opéra-comique. Ex-libris gravé au contreplat. 1 feuillet de musique relié in-fine. Coiffes un peu usées et trace de pli le long du dos. Sinon très bon exemplaire.
Paris chez la Veuve Delormel et Prault Fils 1754 Petit in-8 (18,5 x 12,5 cm.) frontispice gravé, 61-(1) pp. de texte et 12 pp. de musique. demi-reliure, dos lisse, plats couverts d'un papier caillouté (reliure du XIXème siècle).
Bon exemplaire. Dos très légèrement éclairci. Charles Simon Favart (1710-1792) fut compositeur et directeur de l'Opéra Comique. Libraire membre du S.L.A.M. (Syndicat national de la Librairie Ancienne et Moderne) et de la L.I.L.A. (Ligue Internationale de la Librairie Ancienne). N'hésitez pas à prendre contact par mail pour des photographies et des détails supplémentaires, pour des recherches ou des estimations de livres anciens et rares.
1760, Pet. in-4 (15,5x20cm), 2 volumes reliés.
Manuscrit réalisé vers 1760 et rassemblant plusieurs pièces de théâtre, la plupart des opéras comiques, mais aussi des vaudevilles, des parodies, toujours accompagnées de chansons et musique. La musique et les chansons se trouvent en fin de volume, 104p. in fine du tome I, 41p. au tome II. Beau manuscrit, à l'écriture très lisible et propre, les titres en gras. La plupart des pièces sont paginées séparément. Reliure en plein veau brun marbré d'époque. Dos à nerfs orné. Pièce de titre de veau brun pour le tome I, pièce de titre de maroquin rouge pour le tome II, pièces de tomaison à la cire noire. La typographie des pièces étant sensiblement différente, le fleuron sur les dos également, les deux tomes sont cependant de la même main et forment un ensemble, mais les reliures de ces deux tomes ont certainement été faites séparément et pas dans le même temps. Manques en tête du tome I. Accroc avec manque en queue du tome II. Mors inférieur du tome II fendu en tête et queue. Frottements, notamment aux mors, nerfs et coins. Un coin émoussé. Intérieur parfaitement frais. 8 pièces dans le tome I, 11 dans le tome II, soit 19 pièces, ainsi que plusieurs "Pot pourris" de Vadé, des romances et des vaudevilles, lesquels sont tous des sortes de parodies chantées. Liste de ces titres : Tome I : Les amans inquiets, parodie de Thetis et pelée (notée seconde édition) de Favart, sans nom d'auteur. Les pages de titre ne contiennent que le titre et parfois un nom d'auteur, rien d'autre. Les bergers de qualité, parodie de Daphnis et Chloé, par Gondot, sans nom d'auteur. Première édition en 1753. Tircis et Doristée. Pastorale. Parodie d'Acis et Galatée, par Favart. Anonyme. Première édition en 1759. Les couronnes ou le berger timide, pastorale, parodie de la fête de l'hymen, de Jean-Julien-Constantin Renout. Anonyme. Première édition en 1753. Les racoleurs, opéra comique en un acte, par Monsieur Vadé. Première édition en 1756. Le poirier, opera comique, par Vadé. Anonyme. Première édition en 1752. Le suffisant, opera comique par Monsieur Vadé. Première édition 1759. Suit plusieurs vaudevilles, romances, etc. Tome II : Les aveux indiscrets, opera comique, par M. de la Ribadière. Anonyme. Première édition en 1759. Le jardinier et son seigneur, opera comique, par Michel-Jean Sedaine. Anonyme. Première édition en 1761. L'impromptu du coeur, opera comique. Relatif à la prise du Port Mahon, par Vadé. Anonyme. Première édition en 1757. La soirée des boulevards. Ambigü mêlé de scenes, de chants et de danses, par Favart. Anonyme. Première édition en 1759. Le rien, parodie des parodies de Titon et l'aurore, par Monsieur Vadé. Première édition en 1757. Il etait tems. Parodie de l'acte d'Ixion dans le ballet des Eléments, par Monsieur Vadé Première édition en 1754. La nouvelle Bastienne, opera comique par Monsieur Vadé. Première édition en 1755. La fileuse, parodie d'Omphale, par Monsieur Vadé. Première édition en 1752. Le bouquet du roy, opera comique par Monsieur Vadé. Première édition en 1752. Le miroir magique, opera comique, par Jacques Fleury. Anonyme. Première édition en 1752. Lettre d'Heloise à Abailard. Traduction libre de l'anglois de Monsieur Pope, par Monsieur Collardeau. Première édition en 1758. Suit des madrigaux, romances, vaudevilles... - Photos sur www.Edition-originale.com -
Charles-Simon Favart ; Hugh Kelly [traduit par Marsollier ou Mme Riccoboni] ; Anonyme ; Jean-François Cailhava de L'Estandoux ; Bernard-Joseph Saurin ;
Reference : 007092
Charles-Simon Favart ; Hugh Kelly [traduit par Marsollier ou Mme Riccoboni] ; Anonyme ; Jean-François Cailhava de L'Estandoux ; Bernard-Joseph Saurin ; Recueil de pièces de théâtre à savoir, dans l'ordre de citation des auteurs : 1. Les Moissonneurs, comédie ; 2. La fausse Délicatesse, comédie ; 3. L'école du Soldat ou les Remords du Déserteur françois ; 4. Le Mariage interrompu, comédie ; 5. Spartacus, tragédie. Paris, Duchesne, 1768. [2]-88-[4]p. Paris, Duchesne, 1768. IV-98-[1]p. Paris, Duchesne, 1768. 56p. Paris, Merlin, 1769. [2]-V-[1]-78p. Paris, Duchesne, 1769. XVI-72p. Edition originale des quatre premières pièces. Reliure pleine basane, dos à nerfs orné, pièce de titre maroquin, tranches rouges. Coiffe supérieure arrachée (mais solidaire au livre), étiquette papier ancienne collée sur le premier plat, petits défauts. Bon exemplaire.
A Paris, chez la Veuve Duchesne, 1768. Brochure cousue à relier (19 x 12 cm), 91 pages & 4 pages de catalogue (pièces à ariettes et vaudevilles). Pièce dédiée à Monseigneur le Duc de Choiseul-d'Amboise.-100g.L. - Charles-Simon Favart, né à Paris le 13 novembre 1710 et mort en 1792, est un auteur de pièces de théâtre et d'opéras-comiques français. Il contribue à épurer le genre comique de la Foire : il crée aussi bien dans le genre de la comédie à vaudevilles que dans celui de la comédie à ariettes. Bon état, bien frais.
1813 1813 De l'imprimerie et de la fonderie stéréotypes de P. Didot l'Ainé et de Firmin Didot, 1813.3 volumes in-16, demi basane brune à décors romantique noir et or, XII, 284, 312 et 314 pages.Bel exemplaire malgré quelques rousseurs d'usage
La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné. La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné.
Paris, Léopold Collin, 1808 3 vol. in-8, 2 ff. n. ch., LXXXVI-308 pp., 2 ff. n. ch., 440 pp. et 2 ff. n. ch., 328 pp., demi-basane fauve, dos lisse (rel. de l'époque). Petites usures au dos.
C'est essentiellement la correspondance entre Favart et Durazzo de 1760 à 1764 qui est publiée dans les tomes 1 et 2. Durazzo était intendant des spectacles de la cour de Vienne. Le tome 3 contient diverses correspondances dont celle échangée avec l'abbé de Voisenon.Important document sur le théâtre au XVIIIe siècle. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
BEAUMARCHAIS Pierre Augustin CARON de, SEDAINE Michel Jean, DUBOIS-FONTANELLE Joseph Gaspard, LA HARPE Jean François, FAVART Charles Simon, HIPPEL Charles Théodore, LA PLACE René Antoine de, POISSON DE LA CHABEAUSSIERE Auguste Etienne Xavier
Reference : 1500
(1775)
1775 Recueil factice de différentes pièces du XVIIIe, reliées en 1 volume in-8 demi basane de l'époque, dos à 5 nerfs orné de caissons dorés, pièce de titre bordeaux notée "Theatre", très bon état
1768 1 page in-8 et demi, (197 x 152).
Lettre adressée à une femme inconnue que Favart surnomme « Notre Belle Demoiselle ». Il pourrait s’agir de son épouse Justine Favart (1727-1772) pour laquelle il portait depuis toujours un amour sans faille.Dans cette missive galante il évoque le désagrément provoqué par l’absence de l’interlocutrice : « Songez qu’en vous mettant au régime, vous nous mettez à la diette (sic) et qu’en vous jettant (sic) dans la réforme, c’est nous qui faisons pénitence, puisque nous ne vous voyons point. » L’intéressée semble avoir choisi la ville de Bourbonne-lesbains pour faire une cure : « Vous voilà donc réduite au filet. Vous prenez des eaux, vous allez à l’office paroissial, des curés, des bénitiers des goupillons, des Dames de Cluni ... avec tout cela, je crains fort pour votre salut, à moins que vous n’alliez encore aux Matines de Cytherre. »Vestige d’onglet sur la marge gauche.
Paris, M. de La Chevardière et Lyon, frères Le Goux, Castaud, s.d. (1765). 8 parties en 1 vol. in-folio, vélin vert. Reliure de l'époque usée, éclats avec manque au dos, salissure sur les plats. (3) pp. (dont le titre gravé et 2 pp. pour les catalogues de musique instrumentale et vocale de La Chevardière), 48 pp., 10 pp., 10 pp., 7 pp., 11 pp., 4 pp., 4 pp., 7 pp.
Edition originale de la partition d'orchestre de cet opéra comique de Favart, sur une musique de Blaise et des parodies d'air de Glück. Le volume comprend la partition générale des airs chantés, et les parties séparées pour violons, seconds violons, altos, violoncelles et contrebasses, premiers et seconds cors, hautbois et flûtes. On joint le livret de cet opéra comique : Isabelle et Gertrude, ou les Sylphes supposés : comédie en un acte meslée d'ariettes, Paris, veuve Duchesne, 1765. In-8° dérelié de 36 pp. Quelques mouillures marginales. Wild & Charlton, Théâtre de l'Opéra comique, Répertoire, n°939; Devriès-Lesure, 54.
Phone number : 02 47 97 01 40
A Paris, de l'Imprimerie de P. de Lormel, 1779. 51 pages. (19x12 Cm). Dérelié. Trace de couverture au dos. Infimes rousseurs. Manque de papier en tranche supérieure en pages 37 et 39 sans atteinte au texte. Favart est un des précurseurs de l'Opéra-comique en France. Exemplaire en bon état. Édition originale.
1 brochure in-8 reliure de l'époque demi-cuir brun, Chez la Veuve Duchesne, Paris, 1771, 51 pp.
Etat satisfaisant (petit accroc au dos en queue). Amoureux de la fille de son prisonnier anglais, Darmant s'oppose à la morgue du père ; sa soeur la marquise, intéressée à son succès, l'aidera à parvenir à ses fins. La pièce permet, avec esprit, la confrontation du sérieux anglais avec la légèreté française. "Enfin, nous avons l'avantage, son vaisseau coule à fond & l'on a que le temps de sauver sur mon bord les gens de l'équipage. Je reviens à Bordeaux, où mes soins vigilans de ces infortunés soulagent la misère ; Mais Brumton se refuse à mes empressemens".