Catalogue exposition, Musée Fabre, Momtpellier 2022.
Reference : 25787
ISBN : 9789461615824
<meta charset="utf-8"><div class="woocommerce-tabs wc-tabs-wrapper" data-mce-fragment="1"><div class="woocommerce-Tabs-panel woocommerce-Tabs-panel--description panel entry-content wc-tab" id="tab-description" role="tabpanel" aria-labelledby="tab-title-description" data-mce-fragment="1"><p data-mce-fragment="1">Né en 1953 à Paris, Dominique Gauthier vit et travaille à Lavérune, aux portes de Montpellier. Formé à l’école des beaux-arts de Marseille, il fut défendu par le galeriste Jean Fournier dès ses premiers travaux, des Opéras au format monumental composés d’un assemblage de toiles et de matériaux mixtes. Alors qu’une œuvre de cette série a rejoint dès 1982 les collections du musée Fabre, suivie d’une seconde au début des années 2000, l’artiste a honoré le musée en 2020 d’une donation exceptionnelle de près d’une dizaine de toiles et d’une trentaine d’œuvres graphiques, donnant à voir la diversité de sa pratique picturale. Celle-ci évolue entre différentes périodes, d’une matière épaisse et organique notable dans les Provisions pour Cimabue à une rigueur abstraite et géométrique dans ses Hostinato tracés au compas, et multiplie les références aux arts, à l’histoire, jusqu’à puiser dans l’univers encyclopédique. Cette œuvre protéiforme, marqué par l’exubérance du geste, des couleurs et des formats, sera mis à l’honneur au musée Fabre du 21 mai au 28 aout 2022, à travers une exposition et la publication d’un catalogue qui dévoileront la richesse du fonds issu de ses collections.</p><p data-mce-fragment="1">Le musée Fabre édite un catalogue, à la charte graphique similaire aux précédents catalogues Pierrette Bloch, André Pierre Arnal, Stéphane Bordarier, une collection.</p></div></div><section class="related products" data-mce-fragment="1"></section> Gand, 2022 snoeck 128 p., richement illustré, relié. 17 x 22,5
Neuf
Catalogue de l'exposition au Musée Fabre à Montpellier du 22 octobre au 23 décembre 2020.
Reference : 23065
ISBN : 9789461616227
<p>A l'été 2020 le musée Fabre présentera, dans le cadre de l'hôtel particulier de Cabrières-Sabatier d'Espeyran le prêt exceptionnel d'un collectionneur particulier montpelliérain qui a fait de l'histoire de la cité l'axe fondateur de sa passion grâce à, notamment, des pièces de faïence d'une qualité exceptionnelle. L' exposition, élargie à d'autres collections, privées et universitaires, privilégie la découverte des pots à pharmacie à travers leurs usages, dans un contexte montpelliérain particulièrement favorable à leur développement. Quels sont les différents usages de la faïence à Montpellier ? Pourquoi la médecine se trouve-t-elle être un moteur de création de faïences ? Quelle place occupent les pots à pharmacie dans les relations entre les médecins et les apothicaires, l'hôpital et les hospices, la médecine et la bienfaisance ? A quoi servaient ces pots à pharmacie ? Y-a-t-il des remèdes typiquement montpelliérains ? Quel fut le contenu de ces pots et à partir de quoi a-t-il été fabriqué ? Une forme ou un style particulier de pot sont-ils synonymes d'une utilisation spécifique ? ... En écho à cette présentation patrimoniale, l'intervention de Jeanne Susplugas, artiste contemporaine d'origine montpelliéraine dont l'oeuvre reconnue articule avec poésie art et sciences médicales, devrait venir enrichir la visite. Ainsi Jeanne Susplugas interroge, au fil de ses observations sur des comportements ordinaires, la place du remède dans son rapport à soi et à l'autre, dans des créations dont l'élégance non dénuée d'humour permet la gravité des questions qu'elles posent. Cette exposition s'inscrit dans un partenariat entre l'université Montpellier 1 et le musée Fabre, dans le cadre des célébrations du 8e centenaire de la faculté de médecine. </p> Gent, 2020 Snoeck 167 p., cartonnage éditeur. 16,5 x 22,5
Neuf
Catalogue d'exposition, Musée Fabre, Montpellier, du 24 mars au 2 septembre 2018.
Reference : 21319
Gent, 2018 Snoeck 95 p., reproductions couleur, broché avec rabats. 16 x 22
Neuf
Catalogue de l'exposition à Montpellier au Musée Fabre du 21 septembre 2019 au 19 janvier 2020.
Reference : 22073
ISBN : 9789461612984
<p>A l'occasion du bicentenaire de la naissance du peintre Gustave Courbet (1819-1877), le musée Fabre consacre une exposition à l'un des chefs d'œuvres de l'artiste La rencontre, dit Bonjour M. Courbet (1854). Le tableau peint à l'occasion de la venue de l'artiste à Montpellier à l'invitation du collectionneur et mécène montpelliérain Alfred Bruyas en 1854 est l'une des œuvres phares de la collection ainsi qu'un jalon essentiel dans l'histoire de la peinture au XIXe siècle. Cette exposition propose une analyse approfondie de l'œuvre à travers trois axes : - un retour sur les sources iconographiques du tableau (imagerie populaire, pensée sociale utopique...) - sa réception critique au XIXème siècle (caricatures, compte-rendu d'exposition) - et la relecture contemporaine de l'œuvre par des artistes de premier plan qui depuis les années 1990 se sont approprié le tableau (le musée conserve notamment une œuvre de François Morellet). L'exposition sera inaugurée en 2019, anniversaire du bicentenaire de la naissance de l'artiste qui sera également célébré par le musée d'Orsay et le musée Courbet à Ornans </p> Paris, 2019 Snoeck 255 p., relié 16,5 x 23
Neuf
Catalogue de l’exposition au Musée des Beaux-arts de Nantes du 19 mai au 18 juillet 2021 et au Musée Fabre à Montpellier du 05 août au 31 octobre 2021.
Reference : 23461
ISBN : 9789461616678
<p>L'exposition « United States of Abstraction. Artistes américains en France, 1946-1964 » est organisée par le Musée d'arts de Nantes, où elle sera présentée au public du 11 février au 23 mai 2021, et le Musée Fabre de Montpellier, où elle sera présentée du 3 juillet au 17 octobre.<br>Le rôle de Paris comme capitale mondiale de l'art occidental depuis le 19e siècle est bien connu, et il est également considéré comme un fait établi que la Ville lumière perd cette prééminence après la Seconde Guerre mondiale au profit de New York. Pourtant, l'on sait également que de très nombreux artistes, peintres, musiciens et écrivains américains, hommes et femmes, ont continué à venir étudier et créer en France. Plusieurs centaines de jeunes artistes, musiciens et écrivains américains, hommes et femmes, ont séjourné à Paris après la Seconde Guerre mondiale et jusque dans les années 1960. Certains comme Joan Mitchell en 1955 se sont installés en France définitivement. Plus de 400 artistes ont en particulier utilisé la bourse du GI Bill, qui permettait à tout ancien combattant de financer ses études, en venant s'inscrire aux écoles d'arts et académies parisiennes entre 1946 et 1953. Certains artistes comme Ellsworth Kelly, arrivé en France en 1948, étudièrent à l'École de Beaux-arts, tandis que d'autres fréquentèrent avec plus ou moins d'assiduité les ateliers de la Grande Chaumière auprès de Fernand Léger ou d'Ossip Zadkine. Ils venaient pour des raisons diverses : l'attrait culturel de Paris, ses musées et ses maîtres, l'attrait de l'Europe, l'aventure de vivre correctement et sans réelle contrainte grâce à la bourse, la recherche d'une plus grande liberté, l'envie d'être ailleurs, d'être à Paris comme sur une île. L'exposition explore cette intense présence et la manière dont elle a contribué à la redéfinition de l'art abstrait en France à un moment où la géographie mondiale de l'art était bouleversée. Elle est organisée en trois chapitres, qui se retrouveront également dans le catalogue.<br>La première section, « Les autres de l'Art autre : les Américains autour de Michel Tapié », examinera les oeuvres réunies par le critique Michel Tapié, que ce soit dans des expositions de groupe (comme Véhémences confrontées à la galerie Nina Dausset en 1951, Les Signifiants de l'informel en 1952 ou Un art autre au Studio Facchetti la même année) ou dans des publications de la première moitié des années 1950. Ces événements constituent une passionnante tentative de rapprocher une série d'oeuvres abstraites en dehors de considérations nationales, mais autour des idées d'expressivité, de peinture gestuelle ou automatique abstraite. Plusieurs peintres américains, Jackson Pollock, Willem De Kooning, Mark Tobey, Claire Falkenstein, Alfonso Ossorio y sont associés et mis en rapport avec Wols, Jean Dubuffet, Georges Mathieu, Jean-Paul Riopelle.<br>Le second chapitre, « Paris , une île pour les artistes américains? », regroupera plusieurs coloristes abstraits, comme Sam Francis, Joan Mitchell, Shirley Jaffe, mais aussi Kimber Smith, Norman Bluhm ou Beauford Delaney, qui trouvèrent en France un lieu de liberté et de créativité, sans pour autant établir de liens forts avec les artistes français du groupe de l'abstraction lyrique, à l'exception du peintre canadien Jean-Paul Riopelle. Ils revendiquent une forme de solitude, et utilisent la capitale française comme un lieu stimulant pour la création mais néanmoins étrangement apatride. Leurs oeuvres ont en commun des formes flottantes, de grande échelle, aux coloris intenses.<br>Le dernier chapitre, « Nouvelles voies de l'abstraction géométrique : ombre, hasard, mouvement », étudiera comment les artistes Ellsworth Kelly, John Youngerman, Robert Breer et Ralph Coburn, en relation avec certains de leurs aînés comme Jean Arp ou Alexander Calder et avec certains de leurs contemporains (François Morellet), ont profondément renouvelé l'abstraction géométrique dans le Paris de l'après-guerre.</p> Gent, 2021 Snoeck 288 p., broché. 23 x 29
Neuf
Paris, 2014 Somogy 391 p., très nombreuses illustrations en couleur, broché. 24 x 28
Neuf
<span data-mce-fragment="1">À la fin de la Première Guerre mondiale, les avant-gardes européennes sont porteuses d’une volonté de changement et d’un espoir d’avenir meilleur. Plus que tout autre, Theo van Doesburg (1883–1931) participe àcet effort de reconstruction en élargissant l’esthétique néo-plastique de Piet Mondrian à toutes les disciplines : peinture, sculpture, architecture et arts appliqués.</span><br data-mce-fragment="1"><span data-mce-fragment="1">Theo van Doesburg propose une véritable révolution, qui vise à transformer le monde de chaque individu, à créer une nouvelle expression de l’art, qui soit en interaction avec la complexité de la vie et avec l’évolution des sciences et des techniques. Sa démarche en constante évolution convoque des mouvances a priori incompatibles comme le dadaïsmeet le néoplasticisme et tend à promouvoir l’innovation, ce qu’atteste son évolution vers l’élémentarisme, puis vers l’Art Concret.</span><br data-mce-fragment="1"><span data-mce-fragment="1">Pour défendre son projet à un niveau international, Van Doesburg, également fondateur du mouvement et de la revue De Stijl, a su fédérer tousles artistes qui comptent. Il est reconnu autant pour ses réalisations plastiques que pour sa façon d’accomplir un idéal philosophique, artistique et collectif. La notoriété internationale de nombreux artistes, dont celle de Mondrian, lui en sera grandement redevable.</span> Bruxelles, 2024 BOZAR books, Fond Mercator 272 p., nombreuses photographies et ill. couleur et N/B. Relié. Cartonnage éditeur. 24,5 X 31,5
Neuf
CÉSAR, traduction de CONSTANS L.-A. (La Guerre des Gaules) et FABRE Pierre (La Guerre Civile)
Reference : 30577
<p>Collection Budé.</p><p>La Guerre des Gaules tomes 1 et 2. Carte de la Gaule à la fin de chaque volume.</p><p>La Guerre Civile tomes 1 et 2. 2 cartes à la fin de chaque volume, d'Italie et de régions conquises.</p> Paris, 1947 (La Guerre Civile) et 1967 (La Guerre des Gaules). Les Belles Lettres 246 p., 654 p., 216 p., 251 p., reliés. 13,2 x 20,2
Occasion
COHEN Marcel, COUTANCIER Benoît, DUCLOS Jean-Claude, FABRE Patrick.
Reference : 28554
ISBN : 9782369801139
<meta charset="utf-8"><p data-mce-fragment="1"><b data-mce-fragment="1">La transhumance de Marcel Coen</b></p><p data-mce-fragment="1">En 1951, après cinq ans de captivité en Allemagne, Marcel Coen, un jeune photographe épris de liberté, décide de suivre une transhumance, de la plaine de Crau aux alpages du Mercantour: «J'étais heureux parmi ces gens simples menant leurs bêtes à la montagne; la marche lente, la musique de toutes les cloches et clochettes vous fait baigner dans un monde irréel et vous coupe littéralement de l'existence.» C'est, avec la sensation d'assister au spectacle millénaire d'hommes et d'animaux profondément unis aux espaces qu'ils traversent, ce qu'il exprime dans ses photos. Enrichi de son propre journal de route et de réflexions sur ce que ses photos signifient aujourd'hui, cet ouvrage paraît tandis que l'Unesco classe la transhumance au patrimoine culturel immatériel de l'humanité.</p><br data-mce-fragment="1"><p data-mce-fragment="1"><b data-mce-fragment="1">The transhumance of Marcel Coen</b></p><p data-mce-fragment="1">After five years of captivity in Germany during World War II, Marcel Coen embraced the freedom that he found in photography. His passion led him to follow a transhumance that took a herd of sheep from the Crau plains to the high mountain pastures of the Mercantour area of the Alps: « I was happy among these simple people leading their animals into the mountains; the slow walk, the music of all the bells on the collars, it submerges you in a dreamlike world and literally cuts you off from existence. » This is the sensation that he so masterfully expresses in his photographs, along with the feeling of bearing witness to the age-old spectacle of people and animals that are profoundly in unison with the spaces they traverse. Enriched with his own travel journal and reflections on what his photographs represent today, this book is being published at a time when UNESCO is classifying transhumance as part of humanity's intangible cultural heritage.</p> Arles, 2023 Arnaud Bizalion éditeur 190 p., nombreuses photographies N/B, cartonnage éditeur. 21 x 25,5
Neuf
Lille, 2008 250 p., 8 illustrations N/B, 8 illustrations couleur, broché. 16 x 24
Neuf
Londres, 2005 Periplus 278 p., nombreuses planches, relié sous jaquette. 26,5 x 33
Occasion
Paris, s.d. 409 p., broché. 13,5 x 21,5
Occasion
Catalogue d'exposition, musée Fabre, Montpellier, du 1er juillet 2017 au 5 novembre 2017.
Reference : 20811
Montpellier, 2017 248 p., 170 illustrations couleur et N/B, broché. 24 x 30
Neuf
Barcelone, 1998 527 p., 1584 illustrations dont 378 couleur, relié sous jaquette et sous emboitage carton. 30 x 32
Occasion
Catalogue de l’exposition au Musée Fabre à Montpellier du 20 juin au 11 octobre 2015.
Reference : 23746
ISBN : 9782359061406
<p>Présentation de l'école napolitaine, une des institutions artistiques les plus originales et les fertiles du XVIIe siècle, de l'arrivée de Caravage jusqu'au triomphe de Solimena. Une centaine d'oeuvres des artistes les plus représentatifs sont présentées, accompagnées en contrepoint de sculptures et objets d'art. Les relations entre l'art et l'histoire de Naples sont également éclairées.</p> Paris, 2015 Lienart 464 p. 25 x 28
Neuf
Paris: Payot, 1921 in-8, 256 pages. Broché (couverture avec manques de papier, dos cassé).
Les théories d'Einstein. Nouvelle édition épurée, accrue de notes liminaires, d'un exposé des théories de Weyl, et de trois notes de MM. Guillaume, Brillouin et sagnac sur leurs propres idées. (Paris: Payot, 1921). [M.C.: physique]
s. l.: La Proue, La Tête de Feuilles, 1972 in-12, 96 pages. Broché. (Collection Delphica).
La musique expliquée comme science et comme art et considérée dans ses rapports analogiques avec les mystères religieux, la mythologie ancienne et l'histoire de la terre. (s. l.: La Proue, La Tête de Feuilles, 1972). [M.C.: musique, ésotérisme]
FABRE, Ferdinand ; [ BOURDIER DE BEAUREGARD, Hermance ; ALBOIZE, Jean ]
Reference : 63978
(1863)
[ Ensemble de documents consacrés à Ferdinand Fabre, dont 6 lettres autographes signées et 2 cartes de visites avec mention autographe de Ferdinand Fabre ] 1 L.A.S. de 2 pages, datée de 1863 : "Mon Cher Levallois, Après avoir passé trois mois dans un village du Midi fort reculé et où ne parvient pas le moindre bruit des journaux, j'arrive à Paris et je lis le trop bienveillant article que vous avez bien voulu consacrer à "Julien Savignon". Recevez, je vous prie, l'expression un peu tardive de ma reconnaissance. Hélas ! Cher Monsieur Levallois, n'apprenant rien de moi après m'avoir traité d'une manière si flatteuse, ne m'aurez-vous pas accusé d'ingratitude ? Accusez Paris, accusez nos [...] travaux qui, à certaines heures, nous obligent à réclamer la solitude comme un impérieux besoin [ il évoque ensuite ses "Etudes cévenoles" et termine en annonçant son troisième roman : "Mademoiselle de Malavielle" ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S.,1 page, non daté : "Cher Monsieur Augier, Voulez-vous et pouvez-vous répéter le 1er acte de [ l'aventurier ? ] demain matin mercredi à midi pour le quart. Un mot de réponse je vous prie [ ... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. datée du 12 mai 1870 : "Monsieur, J'autorise avec plaisir M. Ernest Chesneau à publier mon nom dans la liste des rédacteurs de la "Correspondance Générale" [... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. , 2 pages datées du 22 janvier 1877 [ adressée à Eugène Montrosier ] : "Cher Monsieur, Je vous remercie d'avoir bien voulu vous occuper, dans le Musée des Deux Mondes, des travaux de mon beau-frère. Mon ami Laurens demeure 73, rue Notre-Dame des Champs [... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. , 2 pages non datées : "Mille regrets, mon cher Monsieur, ; ma femme, en sa qualité d'Inspectrice des pensionnats, est appelée samedi à la commission d'examen et ne sera pas de retour aux Batignolles avant six heures [... ] ; [ On joint : ] 2 CDV enrichies de qq. mots de remerciements ; [ On joint : ] 2 L.A.S. et 3 cartes autographes signées de Mme Veuve Ferdinand Fabre , adressées à Jean Alboize, rédacteur à l'Artiste, pour l'hommage à son défunt mari ; [ On joint : ] Manuscrit autographe signé J. A. [ Jean Alboize ] de l'article consacré à Ferdinand Fabre dans le Journal l'Artiste à l'occasion de sa mort en février 1898, 2 pages ; [ On joint : ] Un recueil de coupures de presse consacrées à Ferdinand Fabre
Très intéressant ensemble de manuscrits et autographes consacrés à l'écrivain Ferdinand Fabre (1827-1898), dans lequel l'auteur cite ses deux romans "Jean Savignac" et "Mademoiselle de Malavielle", et fournit notamment l'adresse de son grand ami le peintre Jean-Paul Laurens, grand illustrateur de son oeuvre et auquel il dédiera son roman "l'Abbé Tigrane".
Julliard, 1981, in-8°, 328 pp, broché, bon état
"Ainsi que son titre l'indique, Alfred Fabre-Luce raconte « douze journées décisives », qui « s'inscrivent dans une histoire continue : celle d'une abdication de l'Europe.» A. Fabre-Luce a du talent et du métier : l'ouvrage se lit comme un roman... Mais l'ambition de l'auteur est celle de l'historien. Dans cette perspective, sa méthode mérite d'être décomposée. – Premier aspect de la démarche : l'histoire de l'Europe, entre 1914 et 1966, se cristalliserait autour de ces douze « journées décisives ». Certes, A. Fabre-Luce est trop intelligent pour oublier que ces journées sont prises dans un tissu épais de faits, d'attitudes et de discours. Pourtant, l'approche de l'auteur finit par suggérer que, comme dans un conte de fées, l'histoire et les hommes retrouveraient leur liberté à chacune de ces étapes : pendant vingt-quatre heures, tout serait ou resterait possible, mais, minuit sonné, les rêves de paix ou d'ordre se dissiperaient devant les réalités de la force et de la guerre ! – Deuxième aspect de la démarche : les « douze journées » sont bien sûr choisies avec soin. Certaines dates, qui semblaient s'imposer – par exemple, Munich (29-30 septembre 1938) et surtout cet acte capital qu'est la signature du pacte germano-soviétique (23 août 1939) – , sont laissées de côté. Avec habileté, A. Fabre-Luce se penche sur des moments qui, tout en ayant un écho moins grand dans les opinions publiques, feraient partie de ces tournants d'autant plus lourds de conséquences que leur importance exacte est mal perçue (par exemple, les 7 mars 1936 – entrée des troupes d'Hitler en Rhénanie –, 30 mars 1939 - octroi par la Grande-Bretagne et la France d'une garantie inconditionnelle à la Pologne – ou 30 août 1954 – refus de l'Assemblée nationale de discuter le traité instituant la Communauté européenne de défense –). A nouveau, en eux-mêmes les choix de A. Fabre-Luce peuvent être interprétés comme ceux d'un homme soucieux d'aller au delà des conformismes. Néanmoins, le lecteur s'interroge : les journées n'auraient-elles pas pour seul rôle de justifier une thèse déjà fixée avant tout examen des événements ? – Les préférences, les amertumes ou même peut-être les embarras de l'auteur font trop souvent dévier les buts de l'écrivain. Ce qui est dit sur Hitler et l'Allemagne nazie aux pages 141 à 143 est assez étrange : par exemple, A. Fabre-Luce écrit : « C'est essentiellement par un progrès de la production 'civile' que le revenu national allemand avait été doublé pendant les premières années d'hitlérisme. C'est seulement après 1936 que le réarmement a joué un rôle important. Ensuite, jusqu'à ses premières grandes déceptions, de l'hiver 1941-1942, Hitler n'a pas fait la guerre totale... » Tous ces clivages oublient simplement l'essentiel : la logique du régime hitlérien, la mobilisation permanente de la population (d'abord, bien sûr, dans des formes civiles), enfin la dissimulation du réarmement dans les premières années du nazisme... – Enfin, dernier aspect de la démarche de A. Fabre-Luce, quelques données fondamentales du XXe siècle sont laissées dans l'ombre. Comment est-il possible d'évoquer le 23 septembre 1917 – rendez-vous avorté du baron allemand Von Der Lacken avec Aristide Briand – ou le 24 janvier 1943 – exigence par Roosevelt et Churchill d'une capitulation inconditionnelle de l'Allemagne – , sans tenir compte de la nature de la guerre moderne, cette « ascension aux extrêmes » selon la définition pour longtemps actuelle de Clausewitz ? Et puis surtout, cette « abdication » de l'Europe, si elle a été amplifiée et accélérée par ses déchirements internes, ne peut être vraiment comprise sans faire sentir l'élargissement du monde, la montée parallèle des États-Unis et de la Russie qu'annonce Tocqueville dans De la démocratie en Amérique ? Les « journées décisives » seraient peut-être alors le « jeudi noir » de Wall Street (24 octobre 1929) ou la prise de Singapour par les troupes japonaises (15 février 1942) !" (Philippe Moreau-Defarges, Politique étrangère, 1982)
Antoine Fabre d'Olivet, Étienne de Senancour, Dioclès Fabre d'Olivet, Gilbert Tappa
Reference : lc_47473
C. Boumendil (Collection Belisane) (1982)
2 VOLUMES 1/250 ex num. Miscellanea Fabre Olivet Antoine Fabre Olivet et les concours de institut I a IV et V a VIII
, [UK] Skira , 2014 Hardback, 297x210mm, 512p, 650 bw and col. illustrations. English edition . ISBN 9788857221243.
Visual artist, choreographer, writer and director, Jan Fabre has been one of the most influential figures on the European scene for over twenty years. His provocative forays into all different art forms are aimed at breaking down the artistic and moral barriers of his times. Published on the occasion of the exhibition of Fabres works at the MAXXI in Rome, the monograph brings together, for the first time, the action art and performances of the Belgian artist from the 70s to the present: drawings, thinking models, collages, films, photos and other documentation that lay the groundwork for a rediscovery of dozens of Fabres performances and interventions, both public and private, held in Belgium and abroad. The extreme, even brazen exploration of the human body, which frequently scandalizes viewers, is linked to the idea of metamorphosis, which Fabre may have derived from that passion for the sciences he inherited from his great-grandfather, the esteemed entomologist Jean-Henri Fabre. Jan Fabre has devoted much of his career to studying the human body and its transfiguration, central themes in his work
[s.n.] - Collectif ; FABRE, Félix-Edmond ; THERIVE, André ; JACQUINOT, Jean
Reference : 61192
(1951)
Deuxième promenade dans le Paris cher à Joris Karl Huysmans. Commentaire par M. Félix-Edmond Fabre le 3 Mai 1951. De la Bièvre à la Chapelle de la rue de l'Ebre, 1 vol. in-4 agrafé, Tirage limité à 150 exemplaires réservés aux Amis de J. K. Huysmans, n° 112, 16 pp. [ Avec : ] Troisième promenade dans le Paris cher à Joris Karl Huysmans. Commentaire faite par Maître Jean Jacquinot, Avocat à la Cour de Paris, le 10 Mai 1952 : L'Eglise Saint-Sulpice dans l'Oeuvre de J. K. Huysmans, 1 vol. in-4 agrafé., Tirage limité à 150 exemplaires réservés aux Amis de J. K. Huysmans, n° 43, 23 pp. [ Avec : ] Quatrième promenade dans le Paris cher à Joris Karl Huysmans. Commentaire par M. Félix-Edmond Fabre, le 15 mars 1953 : Huysmans et le Quartier Montparnasse. Le décor des "Soeurs Vatard", 1 vol. in-4 agrafé., Tirage limité à 150 exemplaires réservés aux Amis de J. K. Huysmans, n° 134, 19 pp. [ Avec : ] J.-K. Huysmans et le 6ème Arrondissement. Conférence prononcée par M. Félix-Edmond Fabre, le 11 Mai 1957 à la Mairie du 6e Arrondissement à l'occasion du cinquantenaire de la mort de J.K. Huysmans, 1 vol. in-4 agrafé., Tirage limité à 100 exemplaires réservés aux Amis de J. K. Huysmans, (exemplaire non numéroté), 18 pp. [ Avec : ] Notice et Catalogue composé par la Société J. K. Huysmans et l'Association populaire d'Art et Culture à l'occasion de l'Exposition du 11 au 31 Mai 1957. Mairie du VIe, 1 vol. in-4 agrafé., 2 ff. et 18 pp. [ Avec : ] Tapuscrit : André Thérive : Gloire de Huysmans. Extrait de Vie, Art, Cité. Genève et Lausanne, Juillet 1950, 7 pp.
Rare réunion de 6 conférences de la société des Amis de Huysmans (dont tapuscrit d'une conférence d'André Thérive). Bon état pour cet ensemble peu commun, non séparable.
Paris, Delagrave, 1914-1924, gr. in-8°, environ 4500 p., abondamment illustré de dessins dans le texte et de planches photographiques hors texte en héliogravure, 10 Leinenbde d. Zeit (+ volume 1 broché, de la première éd.).
Edition définitive complète de ce monumental classique de la littérature entomologique, qui parut pour la première fois de 1879 à 1907. Fruit d'une vie dédiée à l'étude des comportements des insectes, les «Souvenirs entomologiques» valurent à leur auteur une considérable notoriété, non seulement pour la qualité scientifique de l'oeuvre, mais également pour son style particulièrement agréable à la lecture (prix Née de l'Académie française en 1910). Admiré par Darwin qui le qualifiait, en 1859 déjà, d'“observateur inimitable” dans son fameux «Origin of Species», Fabre n'en demeura pas pour autant convaincu, sa vie durant, que les espèces étaient fixes, et non sujettes à une quelconque évolution. Chaque espèce animale est immuable, selon lui, avec le même bagage instinctif et physique qu'à son apparition. Le onzième volume (qui fait souvent défaut à cette série) contient le très utile «Répertoire général analytique des Souvenirs entomologiques» ainsi que la biographie de l'auteur par son gendre, G.-V. Legros.“Fabre devoted himself almost exclusively to the research on biologie and behavior of insects, that was to make him one of the great figures of entomology, in 1859 Charles Darwin cited him in his Origin of Species. Fabre's ten-volume (here present with the often missing 11th volume, by G.-V. Legros «La Vie de J.-H. Fabre» followed by «Répertoire général analytique des souvenirs entomologiques»), which presents a considerable number of original observations on the behavior of insects (and also of arachnids).” (DSB). Dictionary of Scientific Biography IV/503; Bibliothèque Nationale (1990), «En français dans le texte» n° 308. image disp.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Fabre d'Olivet Antoine Senancour Étienne de Fabre d'Olivet Dioclès Tappa Gilbert
Reference : 0010498VPVC
ISBN : 9782902296361
C. Boumendil Broché D'occasion état correct 01/01/1982 150 pages