HATIER 1994 18 4x1x24 6cm. 1994. Broché.
Très bon état
Editions de l'Aube 1995 1995. Thierry Fabre: L'Héritage Andalou/ Editions de l'Aube 1995 . Thierry Fabre: L'Héritage Andalou/ Editions de l'Aube 1995
Très bon état
Julliard 1960 1960. Alfred Fabre-Luce: Le plus illustre des Français/ Julliard 1960 . Alfred Fabre-Luce: Le plus illustre des Français/ Julliard 1960
Bon état
1914 196 pages 1914. 196 pages.
La Petite Illustration. Théâtre 1936 1936.
Fayard 2004 2004. ouvrage broché 288 pages en TRES BON ETAT complet et solide sans déchirures ni annotations intérieur propre et frais Derrière son zinc le garçon du Cercle a vue sur la place : le kiosquier la brasserie concurrente les tunnels sous les voies la rue de la Marne la lune en hiver mais surtout l'entrée de la gare ; chaque soir il guette le train de 18h12 et une femme qu'il a perdue. Dans le triangle des gares ferroviaires de Bécon Asnières et Bois-Colombes un entrelacs d'itinéraires d'histoires digressives ou minuscules térébrantes ou consolatrices forment la geste d'un quartier populaire. Habileté à exprimer la douleur de manière presque distraite tendresse sans déclamation pour les faibles et les inutiles glorification modeste de l'éphémère ainsi évoque-t-on l'œuvre de Dominique Fabre
Très bon état
1958 1958. Alfred Fabre-Luce: Gaulle deux/ Julliard 1958. SP. non coupé
Très bon état
2000 2000. Cédric Fabre: La commune des minots/ Gallimard 2000
Très bon état
Sans date. 5 Saints En Leur Temps - Saint Augustin Par Lucien Fabre / HACHETTE
Bon état
1945 1945. René Fabre: Toxiques minéraux (4ème partie) / Hermann&Cie 1945 . bon état
Très bon état
Julliard 1960 1960. Alfred Fabre-Luce: Le plus illustre des Français / Julliard 1960 . bon état
Bon état
1840 Paris, au bureau de la Némésis médicale, 1840; 2 tomes petits in-4 reliés en 1 volume, de XXXIIpp. (faux-titre, titre orné,préface et "mot de l'auteur") - 278pp. - (1) f. blanc ; 360pp. (y compris faux-titre et titre). Reliure demi-basane fauve de l'époque, dos lisse orné en long de larges fleurons dorés, titre et auteur dorés. 30 vignettes par Daumie dans le texte. Premier tirage des illustrations (cf. Vicaire III - 641).
Ving-cinq satires en alexandrins de l'auteur pour décrire le concours, l'académie de médecine, le choléra-morbus, la patente et le droit d'exercice, les funérailles de Dupuytren, Orfila, les étudiants en médecine, le réveil, l'école, l'homéopathie, les professeurs, les charlatans, les hôpitaux et les cliniques, les responsabilités, les pharmaciens, l'institut, les lazarets, les quarantaines, etc…, chaque satire est suivie de notes de l'auteur et illustrée de vignette, entête, cul-de-lampe par Daumier. Reliure légèrement frottée, rousseurs inégales, mais bon exemplaire. (Reu-Bur)
Paris, Théophile Barrois, 1784 ; in-8°,pleine basane fauve marbrée de l' époque, dos lisse, orné de filets et petits fers dorés, titre doré sur étiquette de maroquin vieux-rouge, tomaison " 2" dorée, tranches rouges; XIV, ( 2), 242, (2)pp.Coins émoussés avec petits manques de cuir, manque la coiffe supérieure, rares piqûres. Mention de Tome 2 au dos.
On trouve à la suite : FABRE. Réflexions sur la Chaleur animale, Pour servir de suite à la Seconde Partie des Recherches sur différents points de Physiologie, etc... Paris, Barrois, 1784; 31pp.Ces 2 textes forment la suite de l'ouvrage du même auteur " Essais sur différents points de physiologie... ". (GrMD)
Chez E. Camoin, Libraire Marseille 1867-1869 6 volumes in-8 ( 240 X 150 mm ), demi-basane maroquinée lie-de-vin, dos à nerfs orné de fleurons dorés ( Reliures de l'époque ). Portrait de l'auteur sur Chine monté par A. GILBERT en frontispice. EDITION ORIGINALE bien complète en 5 volumes auquel nous joignons: "Notice historique sur les anciennes rues de Marseille démolies en 1862 pour la création de la rue Impériale". Ensemble 6 volumes. Très bel exemplaire enrichi d'un envoi autographe signé d'Augustin FABRE.
(Paris, Béthune et Plon), sans date ( 1834) ; 1 volume in-4°, demi-toile verte, dos lisse, filet à froid, titre doré; ex-libris étiquette orné à l' intérieur du 1er plat "Remy Soulat, Issoudun" et cachet à froid et ex-libris manuscrit " Stanislas Martin Pharmacien "; 200pp.Texte encadré d'un triple filet noir à chaque page, vignette sur bois de Porret répétée en tête de chaque livraison ( 24).Le premier feuillet "Prospectus-Introduction" et les 4 derniers feuillets sont jaunis, sinon rares piqûres et quelques petites taches rousses.
Bon exemplaire de la toute première édition, non illustrée, de cette Némésis Médicale, en 2 séries de 12 livraisons (200pp), parue sans date, chez Béthune et Plon. La première livraison est enregistrée dans la Bibliogr. de la France du 16 mai 1834 et la dernière est signée F. Fabre, Phocéen ( Cf. Vicaire III. 642). Notre exemplaire est enrichi d'une longue Poésie autographe signée du Pharmacien Stanislas Martin "Le Char de Triomphe de la Rue de l' Arbalète", sur le ton satirique de la Némésis, mettant en scène médecin, pharmacien et politicien du temps ( rédigé sur les 2 gardes blanches de la fin de l'ouvrage, 1p.1/2 in-4 ). ( Reu-CH1 )
Sur l' imprimé de 1813, Paris, Editions Niclaus,sans date ; 1 volume grand in-8° , demi- basane noire d'amateur à bande, dos muet, au centre du 1er plat bande de velin sur laquelle on a peint à la gouache un momument de la Grèce antique, au centre du 2ème plat bande de papier de couleur à la main, gardes de papier de couleur à la main, 1er plat de la couverture et dos conservés; 2ff.,409pp.
Papier d'édition un peu jauni, reliure fottée aux coiffes et coins, curieuse reliure d'amateur peinte, vers 1950 ( par Jacques Revel de La Guerche - Cher). Reproduction , par les Procédés Dorel , de l'édition de 1813 de l' imprimerie de Crapelet.(GrD2)
FABRE, Ferdinand ; [ BOURDIER DE BEAUREGARD, Hermance ; ALBOIZE, Jean ]
Reference : 63978
(1863)
[ Ensemble de documents consacrés à Ferdinand Fabre, dont 6 lettres autographes signées et 2 cartes de visites avec mention autographe de Ferdinand Fabre ] 1 L.A.S. de 2 pages, datée de 1863 : "Mon Cher Levallois, Après avoir passé trois mois dans un village du Midi fort reculé et où ne parvient pas le moindre bruit des journaux, j'arrive à Paris et je lis le trop bienveillant article que vous avez bien voulu consacrer à "Julien Savignon". Recevez, je vous prie, l'expression un peu tardive de ma reconnaissance. Hélas ! Cher Monsieur Levallois, n'apprenant rien de moi après m'avoir traité d'une manière si flatteuse, ne m'aurez-vous pas accusé d'ingratitude ? Accusez Paris, accusez nos [...] travaux qui, à certaines heures, nous obligent à réclamer la solitude comme un impérieux besoin [ il évoque ensuite ses "Etudes cévenoles" et termine en annonçant son troisième roman : "Mademoiselle de Malavielle" ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S.,1 page, non daté : "Cher Monsieur Augier, Voulez-vous et pouvez-vous répéter le 1er acte de [ l'aventurier ? ] demain matin mercredi à midi pour le quart. Un mot de réponse je vous prie [ ... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. datée du 12 mai 1870 : "Monsieur, J'autorise avec plaisir M. Ernest Chesneau à publier mon nom dans la liste des rédacteurs de la "Correspondance Générale" [... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. , 2 pages datées du 22 janvier 1877 [ adressée à Eugène Montrosier ] : "Cher Monsieur, Je vous remercie d'avoir bien voulu vous occuper, dans le Musée des Deux Mondes, des travaux de mon beau-frère. Mon ami Laurens demeure 73, rue Notre-Dame des Champs [... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. , 2 pages non datées : "Mille regrets, mon cher Monsieur, ; ma femme, en sa qualité d'Inspectrice des pensionnats, est appelée samedi à la commission d'examen et ne sera pas de retour aux Batignolles avant six heures [... ] ; [ On joint : ] 2 CDV enrichies de qq. mots de remerciements ; [ On joint : ] 2 L.A.S. et 3 cartes autographes signées de Mme Veuve Ferdinand Fabre , adressées à Jean Alboize, rédacteur à l'Artiste, pour l'hommage à son défunt mari ; [ On joint : ] Manuscrit autographe signé J. A. [ Jean Alboize ] de l'article consacré à Ferdinand Fabre dans le Journal l'Artiste à l'occasion de sa mort en février 1898, 2 pages ; [ On joint : ] Un recueil de coupures de presse consacrées à Ferdinand Fabre
Très intéressant ensemble de manuscrits et autographes consacrés à l'écrivain Ferdinand Fabre (1827-1898), dans lequel l'auteur cite ses deux romans "Jean Savignac" et "Mademoiselle de Malavielle", et fournit notamment l'adresse de son grand ami le peintre Jean-Paul Laurens, grand illustrateur de son oeuvre et auquel il dédiera son roman "l'Abbé Tigrane".
Julliard, 1981, in-8°, 328 pp, broché, bon état
"Ainsi que son titre l'indique, Alfred Fabre-Luce raconte « douze journées décisives », qui « s'inscrivent dans une histoire continue : celle d'une abdication de l'Europe.» A. Fabre-Luce a du talent et du métier : l'ouvrage se lit comme un roman... Mais l'ambition de l'auteur est celle de l'historien. Dans cette perspective, sa méthode mérite d'être décomposée. – Premier aspect de la démarche : l'histoire de l'Europe, entre 1914 et 1966, se cristalliserait autour de ces douze « journées décisives ». Certes, A. Fabre-Luce est trop intelligent pour oublier que ces journées sont prises dans un tissu épais de faits, d'attitudes et de discours. Pourtant, l'approche de l'auteur finit par suggérer que, comme dans un conte de fées, l'histoire et les hommes retrouveraient leur liberté à chacune de ces étapes : pendant vingt-quatre heures, tout serait ou resterait possible, mais, minuit sonné, les rêves de paix ou d'ordre se dissiperaient devant les réalités de la force et de la guerre ! – Deuxième aspect de la démarche : les « douze journées » sont bien sûr choisies avec soin. Certaines dates, qui semblaient s'imposer – par exemple, Munich (29-30 septembre 1938) et surtout cet acte capital qu'est la signature du pacte germano-soviétique (23 août 1939) – , sont laissées de côté. Avec habileté, A. Fabre-Luce se penche sur des moments qui, tout en ayant un écho moins grand dans les opinions publiques, feraient partie de ces tournants d'autant plus lourds de conséquences que leur importance exacte est mal perçue (par exemple, les 7 mars 1936 – entrée des troupes d'Hitler en Rhénanie –, 30 mars 1939 - octroi par la Grande-Bretagne et la France d'une garantie inconditionnelle à la Pologne – ou 30 août 1954 – refus de l'Assemblée nationale de discuter le traité instituant la Communauté européenne de défense –). A nouveau, en eux-mêmes les choix de A. Fabre-Luce peuvent être interprétés comme ceux d'un homme soucieux d'aller au delà des conformismes. Néanmoins, le lecteur s'interroge : les journées n'auraient-elles pas pour seul rôle de justifier une thèse déjà fixée avant tout examen des événements ? – Les préférences, les amertumes ou même peut-être les embarras de l'auteur font trop souvent dévier les buts de l'écrivain. Ce qui est dit sur Hitler et l'Allemagne nazie aux pages 141 à 143 est assez étrange : par exemple, A. Fabre-Luce écrit : « C'est essentiellement par un progrès de la production 'civile' que le revenu national allemand avait été doublé pendant les premières années d'hitlérisme. C'est seulement après 1936 que le réarmement a joué un rôle important. Ensuite, jusqu'à ses premières grandes déceptions, de l'hiver 1941-1942, Hitler n'a pas fait la guerre totale... » Tous ces clivages oublient simplement l'essentiel : la logique du régime hitlérien, la mobilisation permanente de la population (d'abord, bien sûr, dans des formes civiles), enfin la dissimulation du réarmement dans les premières années du nazisme... – Enfin, dernier aspect de la démarche de A. Fabre-Luce, quelques données fondamentales du XXe siècle sont laissées dans l'ombre. Comment est-il possible d'évoquer le 23 septembre 1917 – rendez-vous avorté du baron allemand Von Der Lacken avec Aristide Briand – ou le 24 janvier 1943 – exigence par Roosevelt et Churchill d'une capitulation inconditionnelle de l'Allemagne – , sans tenir compte de la nature de la guerre moderne, cette « ascension aux extrêmes » selon la définition pour longtemps actuelle de Clausewitz ? Et puis surtout, cette « abdication » de l'Europe, si elle a été amplifiée et accélérée par ses déchirements internes, ne peut être vraiment comprise sans faire sentir l'élargissement du monde, la montée parallèle des États-Unis et de la Russie qu'annonce Tocqueville dans De la démocratie en Amérique ? Les « journées décisives » seraient peut-être alors le « jeudi noir » de Wall Street (24 octobre 1929) ou la prise de Singapour par les troupes japonaises (15 février 1942) !" (Philippe Moreau-Defarges, Politique étrangère, 1982)