Lgf paris / Le livre de poche n° 3494 1976 poche. 1976. Broché. 671 pages. Bon Etat
Pensée universelle 1983 in8. 1983. Broché. 351 pages. Bon Etat intérieur hommage de l'auteur en seconde page couverture avec quelques taches et un écrit( voir photo )
Grasset 1992 in8. 1992. Broché. 246 pages. Très Bon Etat
Grasset 1966 in8. 1966. reliure pleine toile editeur. 324 pages. Bon Etat intérieur propre
Jeanmaire Zizi Mannoni Gérard Charles-Roux Edmonde
Reference : 100095868
(2002)
ISBN : 2843233895
Assouline 2002 19x28x2cm. 2002. Reliure editeur avec sa jaquette. 147 pages. Très Bon Etat de l'ensemble
Tallandier / cercle du nouveau livre 1967 in8. 1967. reliure pleine toile sous rhodoid. 324 pages. Très bon état
Le Livre de Poche 1991 10x16x3cm. 1991. Poche. 736 pages. Bon état (BE) interieur propre
Del duca 1959 in12. 1959. Broché. 215 pages. Etat Correct couverture usagé
Plon 1928 in12. 1928. Broché. 222 pages. Etat Correct exemplaire legerement usagé
Le Grand Livre du Mois 1995 in8. 1995. Broché. 586 pages. Absolument NEUF Les années africaines d'Isabelle Eberhardt Bon Etat
Grasset & Fasquelle 2009 in8. 2009. Broché. 588 pages. Bon Etat
Grasset 1966 in8. 1966. Broché. 324 pages. Très Bon Etat couverture légèrement salie
Le Livre de Poche 2001 17x11x3cm. 2001. Poche. 661 pages. Très Bon Etat
Seguin 1917 in8. 1917. Broché. 87 pages. envois en suivi pour la france et l'etranger Etat intérieur propre sans rousseurs couverture tachée et frottée sur ses bords et son dos
Marcel petit 1983 in8. 1983. Broché. 150 pages. envois en suivi pour la France et l'étranger Bon Etat
Fayard, 1958, in-8°, 377 pp, broché, couv. lég. salie, bon état
"Avant de devenir ambassadeur auprès du Vatican, F. C.-R. exerça pendant la première guerre mondiale les fonctions de secrétaire puis de conseiller à l'Ambassade de France auprès du gouvernement italien. Ses souvenirs fournissent des précisions intéressantes sur les relations franco-italiennes, sur les hommes d'Etat italiens et sur la personnalité de Barrère, alors ambassadeur à Rome, pour lequel l'auteur professe la plus grande admiration. Un chapitre très sévère sur Caillaux à propos de son voyage en Italie en 1916." (Revue française de science politique, 1960) — "... on lira avec l’intérêt le plus vif les chapitres relatifs à la première offensive de paix austro-allemande, préparée entre les deux partenaires par une négociation si réellement secrète que nul, chez les Alliés, ne la soupçonna et qu’elle demeura encore inconnue dix ans plus tard quand M. Charles-Roux en révéla l’existence et le détail. (...) M. Charles-Roux apporte ici le témoignage le plus direct, les informations les plus détaillées et les plus précises, qui se trouvent être assez accablantes, sur le séjour à Rome de Joseph Caillaux, ses relations avec des personnages tarés, sa propagande à rebours, ses conversations officieuses, son audience au Vatican, le dépôt en lieu sûr de ses papiers, dont le fameux dossier « Rubicon », projet de prise du pouvoir, de mise en congé des Chambres, de limogeage de tous les commandants d’armée, le commandement en chef étant donné à Sarrail, et d’ouverture immédiate des pourparlers de paix. Sur cette tragi-comédie se greffe la farce des démêlés de Mme Caillaux avec l’ambassade (que Joseph Caillaux n’honorait pas de sa visite, sinon pour y faire viser son passeport diplomatique établi sous un faux nom !) La farce, il est vrai, serait plus drôle si elle n’avait suscité tant de remous, d’embarras et d’interventions. « Barrère et moi, note M. Charles-Roux, nous fûmes surpris et un peu écœurés que, dans la tragédie alors vécue par la France, un président du conseil français crût devoir insister à ce point auprès d’un ambassadeur, pour apaiser les susceptibilités d’une voyageuse dont, après tout, le seul titre personnel à la notoriété était un assassinat prémédité, ce qui n’était pas fait pour lui ouvrir toutes grandes les portes d’une ambassade française... » L’activité romaine du passeur de Rubicon (qui, à la différence de César, n’envisageait pas de sauter le pas à la suite d’une victoire, mais pour mieux assurer une demi-défaite) eut pour conséquence de grandes alarmes chez les alliés, redoutant que la France fût sur le point de les « lâcher ». Plus tard, à Clemenceau qui exprimait devant lui un certain doute sur ce que Cailloux eût « positivement trahi », et qui lui demandait ce qu’il en pensait, M. Charles-Roux fit cette réponse (concernant le seul épisode italien), qui demeure sa conclusion d’aujourd’hui : « Je pense (qu’il) a été l’instrument d’un agent de l’ennemi, Cavallini, qui avait été chargé par la propagande allemande d’aider au succès de la manœuvre pacifiste de décembre 1916. » Le livre relate ensuite les nouvelles tentatives de paix, les ouvertures de l’empereur Charles par l’intermédiaire de ses beaux-frères, les princes Sixte et Xavier de Bourbon-Parme ; puis Caporetto, le redressement italien vigoureusement appuyé par les alliés ; l’armistice, les griefs et les rancœurs de l’Italie, la tension franco-italienne, et le rôle décisif que joua Barrère tout au long de ces diverses crises. Tout empli qu’il soit par les événements dont n’était que trop riche cette période de l’histoire, le livre fait sa place au pittoresque, à l’observation des mœurs et des hommes, aux croquis et aux portraits." (Yves Florenne, Le Monde diplomatique, 1958)
M. Pierre Pascal. - Charles-Roux J. & Fonssagrives J. - EXPOSITION UNIVERSELLE DE 1900 -
Reference : 15960b
Paris, Ministère des Colonies / , 1900 , 406 pages , In-8, broche,couvertures illustrees,imprimé sur papier glacé, exemplaire,manque haut du dos et coin couverture illustree,
Publié à l’occasion de l’Exposition Universelle de 1900, sous la direction de J. Charles-Roux, délégué du ministère des colonies et de Marcel Saint-Germain, bilan détaillé de l"état de la colonisation française, des institutions et des services qui y participent. Tres nombreuses illustrations et reproductions photographiques in-texte et hors-texte, plans et cartes, NOTICE SUR Le dahomey et ses dependeances, par M. Fonssagrives Jean sous la direction de M. Pierre Pascal. Les origines, le Dahomey avant la conquête, la conquête millitaire de 1890 à 1893, la colonie du Dahomey et dépendances, le haut-Dahomey, le bas-Dahomey, agriculture, commerce, industrie, situation financière de la colonie au 1er janvier 1900. Orné de gravures et d"une carte, du Dahomey et dépendances, dépliante en fin de volume,
Plon, 1936, in-8°, 383 pp, 25 gravures et une grande carte dépliante hors texte, broché, pt morceau de scotch en haut du dos, bon état
L'ouvrage n'est pas seulement un ouvrage de référence sur la campagne d'Egypte. En effet l'auteur s'intéresse à l'administration du futur empereur. Pour lui cette période d'apprentissage permit à Bonaparte de développer des idées qu'il devait employer plus tard. — "Excellent sur l'œuvre intérieure." (Jean Tulard, Napoléon) — "Un très remarquable ouvrage." (Georges Spillmann, Revue du Souvenir Napoléonien, 1979) — "M. François Charles-Roux, ancien ministre de France à Prague, nous propose un nouvel ouvrage extrêmement précieux pour les historiens de la colonisation française et aussi pour le grand public qui sera heureux d'y trouver exposé avec une objectivité remarquable, un sens historique aïgu et, ce qui ne nuit point, beaucoup d'agrément, un chapitre peu connu de l'histoire de Napoléon et une étude des principes d'une méthode de colonisation. L'auteur définit tout de suite les caractères de l'expédition d'Egypte, qui ne fut pas seulement décidée pour des motifs politiques d'intérêt immédiat temporaire, mais en considération d'un établissement définitif. A cet égard l'organisation de cette grande mission de 165 savants et spécialistes que le général Bonaparte s'adjoignit (astronomes, géomètres, chimistes, physiciens, ingénieurs, géographes, architectes, zoologistes, botanistes, minéralogistes, artistes, compositeurs, littérateurs, économistes, antiquaires, orientalistes, imprimeurs, chirurgiens, médecins, pharmaciens) est tout à fait probante. Avec adresse, l'auteur évite d'encombrer son récit des péripéties multiples de l'expédition d'Egypte, et ne met en lumière les grandes lignes de l'histoire militaire que dans la mesure où elles ont influé sur la politique colonisatrice de Bonaparte. C'était la première fois que la France colonisatrice prenait contact avec l'Islam africain. Ce fut le mérite de Bonaparte de comprendre tout de suite la puissance de l'Islam et de ménager cette puissance. Ayant dû recourir à la force pour s'emparer d'Alexandrie, puis du Caire, Bonaparte se trouvait devant un problème délicat : ne pas brusquer une population indigène à laquelle il voulut apparaître sous les espèces d'un libérateur. D'où une sorte de politique de protectorat : postes de responsabilité confiés à des indigènes, intérêts matériels de la population ménagés, stricte discipline maintenue dans l'armée d'occupation, etc. L'habileté avec laquelle Bonaparte gouverneur de l'Egypte pratique cette politique fait pressentir Napoléon et, comme le remarque fort justement M. F. Charles-Roux, c'est dès cette époque et non plus tard que « Napoléon perçait sous Bonaparte ». Au risque de ne pas être compris des Français qui l'accompagnaient. Bonaparte témoigna non seulement de la déférence, mais de la sympathie pour l'Islam. Il le fit pour ne pas rendre plus difficile encore sa tâche; d'organisation singulièrement compliquée par les difficultés financières et les hostilités engagées avec l'Angleterre et la Porte Ottomane. Très vite, il apparut que la cohorte de savants qu'il avait amenés avec lui et qui constituèrent l'Institut d'Egypte, fondé le 2 août 1798, pouvait être son plus utile auxiliaire. Les difficultés matérielles du début ne furent point médiocres pour ces intellectuels français peu habitués aux fatigues des camps, mais elles s'atténuèrent ou disparurent quand l'Institut fut royalement installé au Caire dans la palais de Quassim-Bey. L'insurrection du Caire (octobre 1798) due à la duplicité orientale – avec laquelle Bonaparte n'avait pas assez compté – à la propagande anglaise, à celle des Mameluks, anciens maîtres du pays, aux vicissitudes de l'expédition de Syrie, à la guerre avec la Turquie, au « cafard » qui travailla à un moment donné les troupes françaises, tout cela retarda l'organisation méthodique du pays, compromit son succès. Toutefois il est équitable de reconnaître, qu'à aucune époque de l'histoire militaire de la France la guerre n'avait été accompagnée d'un tel effort d'investigation dans le passé du pays, d'un tel effort d'organisation et d'amélioration matérielle du pays occupé. Bonaparte, pour cette œuvre grandiose ne disposa que de 13 mois et 20 jours. Son départ secret et précipité qui toutefois n'amena point l'évacuation immédiate, laissa inachevée l'œuvre qu'il n'avait pu qu'ébaucher, mais dont il est resté quelque chose. Une étude historique à la fois instructive, solide et brillante." (Alfred Fichelle, Revue Française de Prague)
Grasset Broché D'occasion bon état 01/01/1966 100 pages
RONIS Willy ( photographies de ) CHARLES-ROUX Edmonde ( texte de )
Reference : 30246
(1998)
ISBN : 284230036X
Hoëbeke, Paris, 1998. In-4 relié sous jaquette illustrée ( 23 x 1.5 x 30.7 cm), 105 pages.Texte de Edmonde Charles-Roux.Photographies de Willy Ronis. En 1947, Willy Ronis tombe amoureux de la Provence et achète un vieux mas à Gordes, village perché du Vaucluse. Il en fera son lieu de vacances, avant de décider de quitter Paris pour y vivre, de 1972 à 1983. De Gordes puis de L'Isle-sur-la-Sorgue, où il s'installe peu après, le photographe ne cessera d'arpenter la région, appareil en main.- 940g.- Comme neuf.
Marseille, Laffitte, 2007 in-8 broché; couverture illustrée rempliée. 332 pp.
Quelques illustrations. Envoi signé d'Edmonde Charles-Roux et Eliane Richard.
Paris Grasset 1981 1 vol. Broché in-8, broché, jaquette, 317 pp. Edition originale de l'adaptation française avec un envoi d'Edmonde Charles-Roux à un journaliste. En belle condition.