Editions du sénevé. 1969. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement pliée, Agrafes rouillées, Quelques rousseurs. Non paginé, environ 15 pages agrafées - nombreuses illustrations en couleurs dans et hors texte - coins frottés.. . . A l'italienne. Classification Dewey : 843.0692-Livres d'enfants
Collection réjouis-toi. Classification Dewey : 843.0692-Livres d'enfants
7 titres en 1 vol. in-8 reliure de l'époque plein veau brun, dos à 5 nerfs, contient : Discours qui a remporté le Prix d'éloquence à l'Académie Françoise en l'année MDCCLV, par ke P. Guénard, Jésuite, Chez B. Brunet, 1755, 35 pp. [ Suivi de : ] Eloge de Maurice de Saxe, Duc de Sémigalle & de Curlande, Maréchal Général des Armées de Sa Majesté Très-Chrétienne, Discours qui a remporté le Prix de l'Académie Françoise en 1759 par M. Thomas, Professeur en l'Université de Paris au Collège de Beauvais, Chez Brunet, Paris, 1759, 1 f., 42 pp. [ Suivi de : ] Eloge de Henri-François d'Aguesseau, Chancelier de France, Commandeur des Ordres du Roi, Discours qui a remporté le Prix de l'Académie Françoise en 1760 par M. Thomas, Professeur en l'Université de Paris au Collège de Beauvais, Chez Brunet, Paris, 1760, 1 f., 48 pp. [ Suivi de : ] Eloge de René Duguay-Trouin, Lieutenant Général des Armées navales, Commandeur de l'Ordre Royal & Militaire de S. Louis, Discours qui a remporté le Prix de l'Académie Françoise en 1761 par M. Thomas, Professeur en l'Université de Paris au Collège de Beauvais, Chez la Veuve de Bernard Brunet, Paris, 1761, 74 pp. [ Suivi de : ] Eloge de Maximilien de Béthune, Duc de Sully, Surintendant des Finances, &cc principal Ministre sous Henri IV, Discours qui a remporté le Prix de l'Académie Françoise en 1763 par M. Thomas, Professeur en l'Université de Paris au Collège de Beauvais, Chez Regnard, Paris, 1763, 91 pp. [ Suivi de : ] Epitre au Peuple, ouvrage présenté à l'Académie Françoise en 1760, par M. Thomas, Professeur en l'Université de Paris au Collège de Beauvais, Troisième édition, s.n., s.l., 1761, 13 pp. pp. [ Suivi de : ] Ode sur le Temps, qui a remporté le Prix de l'Académie Françoise en 1762, Chez la V. Brunet, Paris, 1762, 16 pp.
Intéressant recueil d'éloges, presque tous en édition originale. Etat très satsfaisant (reliure frottée avec mq. en coiffes et pièce de titre, première garde volante faible, mq. angulaire à la seconde garde volante, bon état par ailleurs).
Le très rare atlas céleste de Corbinianus Thomas qui comporte un traité d’astronomie et une explication sur l’usage des globes en astronomie. Leipzig & Nuremberg, 1730.Petit in-4 oblong de (1) f. de titre, 212 pp. et 83 planches hors texte. Manquent probablement le frontispice gravé et/ou un table dép. Feuillet de titre monté avec manque de papier et d’un peu de texte dans la partie supérieure. Cachet sur le feuillet de titre et dans la marge. Qq. ff. abîmés dans les marges. Qq. Tâches et mouillures. 20 planches avec dessins ajoutés dans l’image à l’encre ou au crayon. Demi-vélin souple postérieur à coins, plats de papier cartonné bleu, titre au dos.195 x 156 mm.
Le très rare atlas céleste de Corbinianus Thomas qui comporte un traité d’astronomie et une explication sur l’usage des globes en astronomie.Poggend. II, 1096 u. ; Honeyman 2975; Not in Houzeau/L. Une autre version de cet ouvrage parut simultanément sous le titre de Mercurii Philosophici firmamentum firmianum descriptionem et usum globi artificialis coelestis.On connaît peu de choses à propos de Corbinianus Thomas, moine bénédictin et professeur de mathématique à Salzbourg, mais son atlas fait partie des trésors méconnus de la cartographie céleste. Il est composé de gravures représentant individuellement les constellations, aussi charmantes les unes que les autres. La planche d’Andromède est la plus réussie, grâce à son drap baroque répondant aux différentes teintes du rocher composant le décor. Certaines autres figures des constellations sont aussi peu communes. Thomas fut l’un des premiers cartographes célèstes à dédier une planche séparée à Camelopardalis, une constellation qui apparut pour la première fois sur les globes vers 1600, mais qui habituellement apparaissait aux côtés de Cepheus ou Cassiopeia. Il fut également le premier cartographe à offrir une planche individuelle à certaines des constellations du ud, tells que Indus et Pavo qui étaient habituellement représentées en tant que petites parties des planches dédiées au planisphère centré sur le pole sud célèste.Comme on peut le voir sur la planche d’Andromède à droite, Thomas a utilize un système de nomenclature intéressant : les lettres grecques de Bayer, la numération romaine pour la magnitude, et la numération arabe en référence à un catalogue d’étoiles. Ce système provient des larges globes de Coronelli, tout comme de nombreuses figures de Thomas. Thomas inventa une constellation, la constellation de Corona Firminia en honneur à son mécène, l’archevêque de Salzbourg. Elle ne figure ainsi que dans l’atlas du moine bénédictin Thomas Corbinianus où elle remplace tout bonnement la Couronne boréale.Le présent ouvrage est illustré de 83 gravures sur cuivre à pleine page présentant les constellations, les hémisphères, ou des figures plus techniques consacrées à l’usage des globes en astronomie.Précieux exemplaire de ce rare atlas céleste, dont l’ensemble des 83 planches a été entièrement colorié à la main à l’époque dans des tons particulièrement vifs.Nos recherches ne nous ont permis de localiser que 2 exemplaires de ce très rare atlas céleste dans l’ensemble des Institutions mondiales : Bibliothèque d’Etat de Berlin et Bibliothèque de l’Université d’Eichstätt.
Platter (Thomas) - Marie Helmer, ed. - Thomas Platter le Vieux
Reference : 101655
(1964)
Librairie Armand Colin , Cahiers des Annales - Association Marc Bloch Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1964 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur blanche, illustrée une vignette rouge grand In-8 1 vol. - 144 pages
2 planches hors-texte dont un fac-similé du manuscrit de Thomas Platter et une photographie de sa maison à Bâle 1ere édition de cette traduction, 1964 "Contents, Chapitres : Thomas Platter, né le 10 février 1499 à Grächen (canton du Valais) et mort le 26 janvier 1582 à Bâle, est un humaniste suisse ; on l'appelle « Thomas Platter l'Ancien », « Thomas Platter le Vieux » (voire « Thomas Platter I ») pour le distinguer de son fils cadet, dit « le Jeune » (15741628). Tout en travaillant comme cordier, il apprend ensuite le grec et l'hébreu, puis s'établit à Bâle où il devient correcteur d'imprimerie avant d'être nommé professeur de grec au gymnase en 1541 ; l'un de ses élèves est Theodor Zwinger. Son autobiographie, adressée à son fils aîné Félix, dont il avait commencé la rédaction en 1572, ne fut publiée pour la première fois dans son texte original qu'en 1840, d'après le manuscrit autographe conservé à Bâle. (source : Wikipedia)" couverture propre, légère petite déchirure sans manque d'1 cm sur le bord supérieur du plat inférieur - intérieur frais et propre
1836 London : Fisher, son and C, 1836,In-4,cartonnage décoré editeur, dos en partie manquant,, 73 planches gravées sur acier dont 70 vues par 2 sur 35 planches,sous serpentes,gravées par Allom Thomas,mouillures en coin à quelques feuillets,papier du texte jauni,dans l'état,
Unique édition française de la série Westmorland, Cumberland, Durham and Northumberland illstrated from original drawings by Thomas Allom, George Pickering, etc., qui était parue en 1832 à Londres. Comme souvent la version française est passablement réduite, puisque l'original comprend trois volumes in-4 et regroupe 108 planches offrant 213 vues.
in4 plein maroquin,plats decorés,trés frotté,titré museo Londres,sans page de titre, tranches dorées, 80 eaux fortes sous serpentes avec le texte en regard, montées sur onglets, Author: Thomas H Shepherd, (Thomas Hosmer), artist.Contributor: Wallis, William, 1796- engraver.- rare-
The New National Gallery, Trafalgar Square, London. / Engraved by W. Wallis from a Drawing by Thos. H. Shepherd Esqre for Jones' Series of Engravings from the Pictures in the Gallery.Author: Thomas H Shepherd, (Thomas Hosmer), artist.- Contributor: Wallis, William, 1796- engraver.
Gazette Thomas More Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1979 Book condition, Etat : Très Bon broché, sous couverture illustrée d'un portrait de Thomas More In-8 1 vol. - 112 pages
nombreuses figures "Contents, Chapitres : Marie-Claude Rousseau : Editorial - Portrait de Thomas More par Erasme - More, le film d'une vie (G.M.) - Germain Marc'Hadour : More entre l'Est et l'Ouest : notes de voyage - Entre-nous (courrier) - Erasme (1509), eloge d'un sage-fou (G.M.) - Marie-Claude Rousseau : More et Erasme rendent visite aux enfants de Henry VII - More raconté aux enfants - More et Maurois - Anne Payan, Hervé Bazin, More et Shakespeare - Jacques Bonnot, l'humaniste au XVIe siècle - Colette Demaizière, grammaire française au XVIe siècle (Jean-Paul Chauveau) - Guillaume Budé, correspondance, tome 1 (Lucien Cloutier) - Jean-Pierre Ouvrard, musique à la cour de Henry VIII - Deux chansons de la Renaissance (trad. Henri Gibaud) - La Cordelière : More et Botrel - More et la musique (Erasme, 1519) - R.J. Shoeck, The Achievement of Thomas More ; the Yale edition of A Dialogue of Comfort (Archibadl Young) - Peter Berglar, Die Strunde des Thomas Morus (André Bogaert) - Walter Nigg, La conscience d'un saint (G.M.) - Reinhold Schneider : Stimme des Abendlandes - Charles Lemarié : Thomas More au Portugal - More en esperanto (trad. Charles Lemarié) - Germain Marc'Hadour, Suite italienne - Marie-Claude Rousseau, echos de Rome, More et Fisher - Henri Meulon, Poèmes sur More, le saint, le martyr - 22 juin 1979, compte rendu de la rencontre des amici à Paris (Anna Torlay) - La prière de More, Give me thy grace - André Godin, Thomas More franc-maçon ? - Marie-Claude Rousseau, utopies, couleurs du temps et jeux d'espaces - André Prévost remet son édition critique de l'Utopie à Jean-Paul II - Le petit kiosque : revue des revues sur l'Utopie - Wenceslas Bubenicek : L'Utopie, du latin au russe - Chrétiens d'Utopie, textes en latin, français, breton et italien - Du côté du théâtre (Marie-Claude Rousseau) - Le mûrier de More"
SAINT THOMAS D'AQUIN. (Aquino, 1225 ou 1226 - Priverno, 1274)
Reference : (LCPCREL-0011)
(1701)
(La Somme de théologie de Saint Thomas d'Aquin dans un superbe exemplaire tel que paru dans son cartonnage d'attente d'origine) SAINT THOMAS D'AQUIN. (Aquino, 1225 ou 1226 - Priverno, 1274) "SUMMA TOTIUS THEOLOGIAE S. THOMAE AQUINATIS, DOCTORIS ANGELICI ORDINI PREDICATORUM". 1701-1702, Lugduni, Anisson et Renduel. 6 parties en 20 volumes in-12° (173x98 mm) (dimensions pages 160x90 mm) I : (2) ff. (faux-titre et titre), (XXIV) ff. (lettre, préface et index), 572 pp. ; II : (6) ff. (titre et index), 430 pp., (1) f. b. ; III : (6) ff. (titre et index), 660 pp. ; IV : (8) ff. (titre et index), 672 pp. ; V : (6) ff. (titre et index), 436 pp. ; VI : (1) f. b., (1) f. (titre), (6) ff. (index), 511, (1) pp. ; VII : (8) ff. (titre et index), 730 pp., (1) f .b. ; VIII : (6) ff., (titre et index), 684 pp. ; IX : (1) f. b., (11) ff. (titre et index), 898 pp., (1) f. b.; X : (10) ff. (titre, index et privilège), 670 pp., (1) f. b. ; XI : (8) ff. (titre et index), 636 pp., (1) f. b.; XII : (8) ff. (titre et index), 628 pp.; XIII : (6) ff. (titre et index), 572 pp.; XIV: (8) ff. (titre et index), 576 pp.; XV : (8) ff. (titre et index), 720 pp. ; XVI : (10) ff. (titre et index), 936 pp. ; XVII : (3) ff. b., (9) ff. (titre et index), 539, (1) pp. ; XVIII : (3) ff. b., (9) ff. (titre et index), 666 pp. ; XIX : (6) ff. (titre et index), 622 pp., (1) f. b., (42) ff. (index) ; XX : (396) ff. (index). Reliure d'attente de l'époque en cartonnage gris. Gardes de papier blanc. Rare exemplaire tel que paru, à toutes marges, non rogné et dans son cartonnage gris d'attente. Seulement les reliures des volumes V et VI ont été recouvertes, à l'époque, d'une feuille de vélin souple (mais les cartonnages sont très bien conservés en dessous et ont les mêmes caractères manuscrits des titres sur les dos). Petite déchirure angulaire aux pp. 513-514 du vol. III, avec perte de deux ou trois lettres d'une note marginale. Des rousseurs éparses et quelques cahiers roussis. Trou de ver dans la marges inférieure des 20 premières pages, sans atteinte, et mouillure claire dans l'angle inférieur du dernier volume d'index. Superbe exemplaire dans sa toute première reliure d'attente. Quelques anciennes notes manuscrites en marge des volumes V et VI. Rare édition. "Dieu est l'objet de tout le travail de Thomas d'Aquin. Selon Thomas, la philosophie étudie d'abord les êtres créés, pour s'élever ensuite à la connaissance de Dieu ; dans l'ordre de la théologie, au contraire, on commence par l'étude de Dieu, et c'est précisement cet ordre qui est suivi dans les Sommes. L'ordre de la théologie est ainsi spécifié dans la Somme de théologie : <l'objet principale de la doctrine sacrée est de transmettre la connaissance de Dieu, non pas seulement selon ce qu'il est en lui-même, mais aussi selon qu'il est le principe et la fin des choses, spécialement de la créature raisonnable> (...) La thèse de Thomas est que la foi et raison ne peuvent se contredire car elles émanent toutes deux de Dieu ; la théologie et la philosophie ne peuvent donc pas parvenir à des vérités divergentes". "Thomas établit que l'Homme peur acquérir la connaissance de l'existence de Dieu à partir du monde et non à partir de la déduction de principes logiques ou abstraits. Il est tout à fait possible d'accéder à une certaine connaissance de Dieu - principalement son existence, son statut de cause première - sans Révélation, en observant le monde, par une connaissance indirecte et a posteriori. C'est le sens des voies dites cosmologiques qui conduisent à la connaissance de l'existence de Dieu à partir de l'observation de l'univers. Thomas d'Aquin proposera cinq voies qui conduisent à conclure, par l'exercice de la raison, à l'existence d'un être que tout le monde appelle Dieu : les Quinque viae. Elles reposent sur la distinction entre ce que Dieu est <pour nous> (quoad nos) (par exemple Dieu en tant que créateur du monde) et ce qu'il est <en lui-même> (in se) - ce qui est impossible à connaître intégralement en ce monde, car, en raison de sa perfection suprême, il est au-delà de ce que la créature peut connaître par elle-même. L'exercice de cette connaissance rationelle reste souvent entravé par le péché, et doit donc être aidé et complété par la Révélation et par la grâce de la rédemption, moyennant lesquelles l'homme, créé capable de Dieu (capax Dei), est conduit à atteindre sa finalité ultime : contempler l'essence de Dieu face à face dans la Béatitude, c'est à dire après la mort pour les bienheureux". (source Wikipedia) (LCPCREL-0011) (1.100,00 €)
(La Somme de théologie de Saint Thomas d'Aquin dans un superbe exemplaire tel que paru dans son cartonnage d'attente d'origine)
London, Taylor and Francis, 1927. Contemp. full cloth. Stamped in blind on titlepage. In: ""The London, Edinburgh, and Dublin Philosophical Magazine and Journal of Science"", Vol. III, Seventh Series. X,1360 pp., textillustr. and 19 plates. (Entire volume offered). Thomas' paper: pp. 1-22. Internally clean and fine.
First printing - in full - of Thomas' paper on electron spin. The Thomas factor gives a correction to the spin-orbit interaction in quantum mechanics, which takes into account the relativistic time dilation between the electron and the nucleus of an atom.""In February 1926 the missing factor two was supplied (Nature vol. 117) by Llewellyn Thomas and has since been known as the Thomas factor. Thomas noted that earlier calculations of the precession of the electronic spin had been performed in the rest frame of the electron, without taking into account the precession of the electron orbit around its normal. Inclusion of this relativistic effect reduces the angular velocity of the electron (as seen by the nucleus) by the needed factor 1/2. Einstein was surprised. Pauli became converted."" (Pais ""Inward Bound"", p. 279).
1832 London: H. Fisher, R. Fisher & P. Jackson, [1832-1835] First Edition in French. Dessinées d'après Nature par Thomas Allom, George Pickering, &c. Avec des Notices Historiques et Topographiques par Thomas Rose. La Texte Français Rédigé par J. F. Gerard, M.A. Engraved title-page (in English), sans les 2 frontispieces and 215 engraved views on 108 plates. 3 volumes in one. Small folio. [283 x 220 x 70 mm]. 76pp; 76pp; 76pp. Bicknell, The Picturesque Scenery of the Lake District, 112. The engraved title in vol.1 is dated 1832, and the plates are dated 1832-35. This work was originally published in 26 parts, as parts 10-35 of the Fourth Series of Fisher's Picturesque Illustrations of Great Britain and Ireland. The plates are guarded with the original tissues, and half are lightly foxed or browned. Almost every aspect of Lake District scenery was covered, including views from fairly remote spots high in the fells. Allom in particular, "fearless of danger, patient of fatigue", was indefatigable in collecting views.
reliure demi veau dos lisse titré,plats un peu frottés,quelques rousseurs,tranches dorées; 228 pages [3 fois 76 pages]; 215 vues gravées sur 108 planches sous serpente hors pagination [titre + 108 planches].
CHALCONDYLE (Nicolas); VIGENERE (Blaise) ; ARTUS (Thomas); MEZERAY (François Eudes de)
Reference : 2090
(1662)
Paris chez Denys Brechet 1662 Deux volumes in-folio (37 x 24 cm.), Pleine reliure de veau fauve, dos à nerfs muet (reliure de l’époque). Edition illustrée de 2 frontispices, 24 portraits de sultans, 62 planches de costumes et 17 figures allégoriques plus quelque bois gravés (bandeaux, lettrines, etc.).Tome I : Frontispice et 9 ff. non chiffrés contenant l’Epître à la Reine de Pologne par Mézeray, et celle au Prince de Mantoue Louis de Gonzague par Blaise de Vigenère, ainsi que l’Epître au Lecteur et le privilège de l’ouvrage ; 907 pp. (l’Histoire des Turcs de Chalcondyle p.1 à 234 et sa continuation par Thomas Artus p. 235 à 907).Tome II : faux-titre, frontispice et 3 ff. non chiffrés (Épitre au Duc de Richelieu et privilège) 204 pp. et (6) ff.(continuation de l’Histoire des Turcs et table) ; 89-(1) pp. 2 ff. n. ch. (Histoire générale du Sérail et de la Cour du Grand Seigneur par Michel Baudier) ; 85-(1) pp. 5 ff. n. ch. (Annales des Sultans et supplément aux Annales de Jean Leunclavius), 64 ff. ch. (Plusieurs descriptions es accoutrements tant des magistrats et officiers de la Porte de l’Empereur des Turcs que des peuples assujectis à son Empire), 1 f. non chiffré, 49 pp. chiffrées de 67 à 116 et 2ff. non chiffrés (Tableaux prophétiques des Empereurs Sévère et Léon avec leurs épigrammes prédisant la ruine de la Monarchie des Turcs par Artus Thomas) ; 136 ff. 15 ff. n. ch. (Illustrations de Blaise de Vigenère et table).Exemplaire incomplet : il manque les pages de garde, le faux-titre du premier tome et deux planches représentant l'armée turque en ordre de bataille et Constantinople (copie des planches fournie). Exemplaire fatigué (déchirures et mouillures sans atteinte majeure au texte, reliure frottée aux coins et coiffes, début de fente aux mors.
Cet ouvrage est l’oeuvre de l’historien grec Nicolas Chalcondyle (ou Laonicos Chalkondylès v.1423-v.1490), un noble Athénien réfugié à Constantinople. Il y décrit la chute de l'Empire romain d'Orient et l'essor de l'Empire ottoman de 1298 à 1463. Le texte a été traduit par Blaise de Vigenère sur la version latine, la seule imprimée à l’époque, et sur les manuscrits grecs en circulation.Parue en France pour la première fois en 1577 chez Nicolas Chesneau, elle fut réimprimée en 1583 chez Abel l’Angelier. La troisième édition ne parut qu’en 1612, à l’instigation de la veuve l’Angelier, Françoise de Louvain. Elle contenait la traduction révisée de Chalcondyle, et les nouvelles «illustrations» (en fait des commentaires) de Vigenère, le Triomphe de la Croix, des Observations sur l’histoire des Turcs et une continuation de cette même histoire, en huit livres, couvrant la période 1462-1611, ainsi que des Eloges des Seigneurs Ottomans par Artus Thomas d’Embry, éditeur de l’ensemble. L’ouvrage était mis en valeur par une abondante illustration : un titre frontispice gravé, une vue de Constantinople, des emblèmes et figures prophétiques, des portraits des sultans et 62 planches de costumes. Celles-ci provenaient des Navigations de Nicolaï, publiées par Guillaume Rouillé quarante ans plus tôt. L’ouvrage connut plusieurs émissions en 1616, 1619 et 1620. Il fut encore édité en 1632 chez la veuve Guillemot, jusqu’à cette présente édition (1662) augmentée d’une suite par Mezeray et de l’Histoire générale du Sérail de Baudier.Le succès de l’ouvrage s’explique entre autres raisons par la nouveauté de la matière, encore jamais traitée, davantage que par les qualités d’écriture de l’auteur. Dans sa première version française, cette histoire était conçue comme une réflexion sur la décadence décrite de l’intérieur, sous forme d’autopsie par un historien témoin et acteur des événements qu’il décrivait, et commentée par Vigenère, contempteur de "la lascheté, nonchaloir et dissolution" de l’époque. Malgré sa grandeur passée, Byzance en fait plutôt que Constantinople, était toujours jugée à l’aune de son déclin. L’histoire de Byzance ne pouvait pas ou plus être pensée pour elle-même, ne pouvait être pensée autrement que comme décadence, autrement que pour mettre en valeur, par contraste, les Francs, les héros de la croisade, ni autrement que sous sa forme moderne, c’est-à-dire turque. Cette conception était celle de Vigenère dans sa traduction. L’histoire de Chalcondyle illustrait une conception cyclique de l’histoire, ou plus exactement présentait une histoire des empires qui se succèdent, connaissant des phases de prospérité et de déclin, à travers des “mutations” de fortune. Montaigne dans ses Essais citait l’historien grec avec éloge et il lui fit dans les ajouts de l’Exemplaire de Bordeaux une quinzaine d’emprunts.En éditant la traduction de Vigenère et en publiant ses propres annotations, elles-mêmes adaptées du corpus turc réuni entre-temps par Leunclavius, Artus Thomas entendait moins faire renaître Byzance et encore moins célébrer la cité que donner à lire et à comprendre l’histoire turque. Selon Thomas, Chalcondyle avait mieux éclairé le mystère de l’origine des Turcs que ses prédécesseurs et que tout autre historien.Vigenère lui-même avait donné corps à cette interprétation, et ses Illustrations posthumes qui accompagnaient le texte dans sa dernière version étaient presque entièrement consacrées aux Turcs. Elles s’ouvraient par une longue description de Constantinople, où l’érudit rappelait que les anciens monuments avaient presque tous été détruits. Il examinait ensuite, dans ce lieu à la fois géographique et symbolique du pouvoir, le Sérail, dont Montesquieu allait faire comme le théâtre allégorique du despotisme oriental, les mœurs et l’organisation civile des Turcs, pour le prolonger par une description minutieuse des institutions militaires, et achever sur la relation détaillée, prise de différentes sources, des cérémonies de la circoncision de Mechmet fils d’Amurat, aux mois de juin et juillet 1582.Les gravures choisies par L’Angelier reflétaient de la même manière cette évolution de l’intérêt porté au sujet même du livre. Dans un avis au lecteur ouvrant sa propre continuation, Thomas les justifiait comme une manière d’égayer l’esprit du lecteur “qui pourroit estre devenu triste par la lecture de tant de sang répandu”, et il offrait à voir ce qu’il appelait la “pompe” de l’empire turc alors que l’Histoire de Chalcondyle lui en avait montré le progrès, la puissance et la grandeur. La pompe, c’est à dire l’ensemble des costumes de tous les rangs de la société ottomane tels que les avait déjà décrits Nicolaÿ. Cette fiche cite largement l'étude de Jean Balsamo, "Byzance à Paris, Charlcondyle, Vigenère, L'Angelier" publiée dans les actes du colloque "Sauver Byzance de la barbarie du monde" qui s'est tenu à l'université de Milan en 2003. Libraire membre du S.L.A.M. (Syndicat national de la Librairie Ancienne et Moderne) et de la L.I.L.A. (Ligue Internationale de la Librairie Ancienne). N'hésitez pas à prendre contact par mail pour des photographies et des détails supplémentaires, pour des recherches ou des estimations de livres anciens et rares.
[De l'Imprimerie Nationale] - PAYNE, Thomas ; [ PAINE, Thomas ]
Reference : 27257
(1792)
Opinion de Thomas Payne, Député du Département de la Somme, concernant le Jugement de Louis XVI, Précédée de sa lettre d'envoi au Président de la Convention [ Suivi de : ] Convention Nationale, Opinion de Thomas Payne, sur l'Affaire de Louis Capet, adressée au Président de la Convention Nationale, Imprimée par ordre de la Convention Nationale, 2 brochures in-8, sans couv., De l'Imprimerie Nationale, Paris, 1792 et s.d., 8 et 10 pp.
Bon état. Très rare réunion de ces deux plaquettes rédigée par Thomas Paine, dans lesquelles il expose son opinion. "Je pense qu'il faut faire le procès à Louis XVI, non que cet avis me soit suggéré par un esprit de vengeance, car rien n'est plus éloigné de mon caractère ; mais parce que cette mesure me semble juste, légitime & conforme à la saine politique". ... "Dans la cause particulière, soumise en ce moment à notre délibération, je fais à la Conventiuon nationale les propositions suivantes : premièrement, que la Convention nationale prononce le bannissement de Louis Capet & de sa famille ; secondement, que Louis Capet soit tenu en prison jusqu'à la la fin de la guerre, & qu'à cette époque la sentence du bannissement soit soumise à exécution". Martin & Walter, 26330 et 26331
Treillières Pierre Gauthier 1979 -in-4 pleine percale un volume, reliure d'éditeur bradel pleine-percale grand in-quarto quarré couleur "chocolat" sous jaquette illustrée en couleurs par Alain THOMAS (27,8 x 27,8 cm) (cloth-bound great in-4 editor), dos et 1er plat avec titre imprimé en doré, envoi autographe manuscrit de l'auteur à l'encre noire sur la page de faux-titre + envoi autographe de l'illustrateur avec un dessin original à l'encre bleue sur la page de faux-titre + joint avec une carte de visite Ex-libris ornée d'un dessin original d'Alain THOMAS à l'encre bleue, orné de 18 hors-texte en couleur (full page engraving in colours) par Alain THOMAS (dont une planche double), 103 pages, 1979 [Treillières] (B.P. 2, 44240 La Chapelle-sur- Erdre) : Pierre Gauthier Editeur,
Superbe.....!!!..en PARFAIT état (as new condition). en trés bon état
Robert Wakefield, Thomas Wakefield, James P. Carley (ed), Charles Burnett (ed)
Reference : 63140
, Brepols- PIMS, 2024 Hardback, 348 pages, Size:152 x 229 mm, Language: English. ISBN 9780888442314.
Summary Robert Wakefield and his brother Thomas were pioneers in the study and teaching of Hebrew in early modern England. Robert was trained at Cambridge, acquired expertise in Aramaic, Hebrew, and Arabic, and obtained professorial status in Louvain, Cambridge, and Oxford. Thomas took possession of his brother's books and manuscripts upon his death; he enjoyed long tenure as praelector in Hebrew at Cambridge and was a compulsive annotator of his books. This volume draws together the political, linguistic, and bibliographical materials that shaped the careers of these two scholars, revising previous claims and producing a compelling analysis of Hebrew learning in sixteenth-century England. TABLE OF CONTENTS List of Figures Abbreviations Preface 1 James P. Carley and Charles Burnett Introduction 2 James P. Carley Robert and Thomas Wakefield: A Biographical Sketch 3 Jessica Crown Robert Wakefield's Inaugural Orations in Context 4 Joanna Weinberg The Remarkable Hebraism of Robert Wakefield 5 Charles Burnett Robert Wakefield and Arabic 6 Richard Rex Robert Wakefield and the King's Great Matter 7 Saverio Campanini The ?Ezra Scroll? of Bologna in the Crossfire of the Royal Divorce: John Fisher, Robert Wakefield and an Erased Text 8 Judith Olszowy-Schlanger ?My Silent Teachers?: Hebrew Manuscripts as the Source of Robert Wakefield's Hebraism 9 James P. Carley Robert Wakefield's Manuscript Collections and the English Monastic Libraries: A Parallel to John Leland's Mission 10 James P. Carley Books Owned or Annotated by the Wakefield Brothers 11 Benjamin Williams ?Great Mountains Suspended from Every Single Letter?: Thomas Wakefield and His Hebrew Bibles 12 Herbert L. Kessler Thomas Wakefield's ?Antiquissimus Codex? and San Marco's Musivum Novissimum Appendix 1 David R. Carlson Robert Wakefield, ?Oratio Oxonii habita in Collegio Regio? (1532) Appendix 2 Joanna Weinberg A Hebrew Responsum about Levirate Marriage (1530) Bibliography Contributors Index of Manuscripts Indexes of Printed Books General Index
s. d. (vers 1750) 2 tomes reliés en 1 vol. in-12° (194 x 126 mm) 239 pp - 238 pp., papier filigrané au cornet avec contremarque SC (non identifié, inconnu à Gaudriault), demi-veau moucheté, dos à 5 nerfs, tranches rouges (reliure de l'époque)
Recueil manuscrit de 8 comédies "messéantes", dont une inédite Recueil manuscrit de 8 parades, dont une pièce inédite de Charles Collé. Le terme « parade » désigne à l'origine les comédies jouées devant les théâtres populaires dans le but d'attirer les badauds à l'intérieur. Mais au XVIIIe siècle, ces farces sont adoptées comme divertissement mondain : les bourgeois rejouent entre eux des scènes aperçues à la foire, et bientôt leurs amis du grand monde se pressent pour assister à ces spectacles. La parade de société séduit autant qu'elle inquiète : burlesque, absurde, anti-théâtrale, le genre fait appel à des références érudites tout en jouant sur la « messéance ». Dans Le Remède à la mode, par exemple, Isabelle simule une colique : son amant Léandre se présente chez elle grimé en docteur pour lui administrer un lavement, tandis que son fiancé les observe par le trou de la serrure. Grimm, dans sa correspondance du 15 septembre 1756, exprime tout son mépris pour le genre : "C'est un ramassis de malpropretés, d'obscénités, de balourdises, d'extravagances démesurées, de mauvais compliments jetés à la face des gens, de calembours et de noms propres scatologiques, avec des coquilles, des liaisons et du zézaiement dans la prononciation." On compte parmi les plus célèbres auteurs de parade aussi bien des chansonniers et dramaturges (Charles Collé) que des magistrats, comme Thomas Gueulette, bibliophile et historien du théâtre qui, de ses 26 ans à sa mort, fut substitut du procureur du Roi. Plusieurs dizaines de ces parades furent imprimées sans le consentement de leurs auteurs en 1756 dans l'ouvrage Théâtre des Boulevards, ou recueil de Parades. (3 vol. Mahon : Gilles Langlois, 1756) L'éditeur est un nommé Corbie. On ne le connait que par l'anecdote suivante, tirée d'un manuscrit autographe de Collé, qui se plaignait de la manière infidèle dont plusieurs de ses parades y sont imprimées : « Soyez sûrs et certains, que toutes les parades qui sont zenterrés vives dans ce damné Théâtre des boulevards sont de la faciende de M. de Sallé (secrétaire de Maurepas), à l'exception de l'Isabelle grosse par vertu, qu'est de Fagan ; une qu'est de Montcrif, en vers (l'Amant Cochemard), une qu'est de Piron (le Marchand de merde), et trois ou quatre autres de moi, qui m'ont été volées par un Savoyard décrotteur. » L'ouvrage, divisé en 2 tomes titrés 3 et 4, comprend : Tome 3 : - une lettre au président Hainaut (Hénault) le remerciant d'avoir assisté à une pièce. Conseiller au parlement de Paris en 1705, puis président de la Première chambre des Enquêtes en 1710, Charles-Jean-François Hénault signa lui-même quelques parades. - Le Remède à la mode (1729), parade de Thomas Gueulette et Charles-Alexandre Salley pp. 7-88. Parue dans Théâtre des boulevards, ou Recueil de parades, t. II - Isabelle grosse par vertu (1738), de Thomas Gueulette et Christophe-Barthélémy Fagan de Lugny. pp. 89-123. Parue dans Théâtre des boulevards, ou Recueil de parades, t. II - Ah ! que voilà qui est beau ! (1730), de Thomas Gueulette et Louis-César de la Vallière. pp. 124-18. Parue dans Théâtre des boulevards, ou Recueil de parades, t. I - Léandre Ambassadeur (1720), de Thomas Gueulette, pp. 185-239. Parue dans Théâtre des boulevards, ou Recueil de parades, t. II Tome 4 : - Caracataca et Caracataque, Thomas Gueulette, pp. 1-111. Parue dans Théâtre des boulevards, ou Recueil de parades, t. I - L'amant poussif, pp. 112-159. Parue dans Théâtre des boulevards, ou Recueil de parades, t. II - Léandre hongre, de Charles Collé. pp. 160-222. Parue dans Théâtre des boulevards, ou Recueil de parades, t. I - L'Enfant Rouge, pièce inédite de Charles Collé, pp. 223-238 Cette dernière pièce semble n'être documentée que dans un manuscrit conservé à la bibliothèque de Versailles (Ms L 60) sous le titre « uvres de Monsieur Collé non imprimées ». Avec l'indication « L'Enfant rouge, parodie d'une scène d'Athalie. » Elle met en scène un dialogue entre Madame Pataclin, séductrice, et le très naïf Balthazar. PROVENANCE : Pierre Enckell (1937-2011), ex-libris manuscrit à l'encre bleue sur la première garde blanche. Journaliste, lexicographe et auteur d'un article sur Charles Collé, « Un air de folie et d'indécence » (paru à titre posthume dans Charles Collé (1709-1783) : Au cur de la République des Lettres [en ligne]. Rennes : Presses universitaires de Rennes, 2013). L'annotateur de l'article décrit le manuscrit détenu par Pierre Enckell comme la seule autre copie connue du texte de L'Enfant Rouge (p. 27) Les bibliothèques publiques françaises ne détiendraient qu'une dizaine de recueils de ce type, avec plus ou moins de pièces. Bibliographie : 1. Jennifer Ruimi, «La joyeuse mise à mort d'Aristote dans les parades de société » dans Théâtres en liberté du xviiie au xxe siècle. Genres nouveaux, scènes marginales ?, 2013, 2. Moureau, Françoise, « Le Recueil Corbie ou les parades en liberté (1756) : théâtre secret et gens du monde au XVIII siècle », (Revue d'histoire du théâtre, n°1-2, 2004, p. 121-133). Coins rognés, frottements sur les coupes.
[Recueil], [Collectif], Bellet (Abbé), [Anonyme], Marquez, Thomas, Maury (Abbé), Puget de Saint Pierre
Reference : 4054
1766 - 1768 Pour les Eloges historiques de la Princesse Marie [...] et de Stanislas I [...] par M. l'abbé Bellet, Desaint, Paris, 1768, page de titre, 92 pages en numérotation continue et [1f.]. Pour l'Eloge du vrai sage [...], Claude Jean-Baptiste Bauche, Paris, 1766, 120 pages et [1f.] blanc. Pour l'Eloge de Monseigneur le Dauphin [...], François-Théodore Hautot, Saint-Quentin, 1766, 13 pages. Pour l'éloge funèbre de Monseigneur le Dauphin [...] par Marquez [...], Sacarau & Dupleix, Toulouse, 1766, faux-titre, page de titre, 40 pages. Pour l'Eloge [...] de M. Thomas, Regnard, Paris, 1766, 62 pages et [1f.] blanc. Pour l'Examen d'un discours de M. Thomas [...], H. C. De Hansy le jeune, Paris, 1766, faux-titre, page de titre, 63 pages. Pour l'Eloge funèbre [...] par l'Abbé Maury, Tarbé, Sens, Veuve Pierres & Fils, Paris, 1766, faux-titre, page de titre, 58 pages et [1f.] blanc. Pour l'Eloge funèbre [...] par M. Puget de St Pierre, Panckoucke, Paris, 1766, 40 pages et [1f.] blanc. L'ensemble relié en 1 volume plein veau brun, dos lisse orné de fleurons, pièce de titre de maroquin rouge, tranches rouges, coins frottés, coiffe supérieure arasée, première charnière très faible. En l'état.
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London, Edward Blunt, 1620. 8vo. Contemporary full speckled calf, expertly rebacked to style with four raised bacds and gilt line-decoration. Front free end-paper with notes dated 1637. Note station ""Lord Bacon"" in early hand to title-page. P. 57 with a 20th century stamp (""Library of Washington University""). A bit closely shaved at top, occasionally cropping border. A very nice copy. (8), 222, (4 - 1 blank leaf and 1 leaf with half-title ""A Discourse Upon the Beginning of Tacitus""), pp., pp. 223-324, (1 f. with half-title: A Discourse Of Rome), pp. 325-(418), (1 f. with half-title: A Discourse Against Flatterie), pp. 419-(504), (1 f. with half-title: A Discourse of Lawes), pp. 505-542.
The very rare first edition of this extremely important collection of essays, three of which have now been proven to have been written by Thomas Hobbes, thus constituting his earliest published work. The work is now widely regarded a highly important source to the understanding of what is arguably the greatest political thinker of all time, providing us with unprecedented access to the early writings and thought of Thomas Hobbes. ""Studies of the early Hobbes can be enriched and deepened by a consideration of the formerly anonymous texts now identified as the philosopher's earliest work, namely the essays ""A Discourse on Tacitus"", ""A Discourse on Rome"", ""A Discourse on Laws"", found in a larger collection entitled ""Horae Subseciuae: Observations and Discourses"". Originally thought to have been the work of the young William Cavendish, who under Hobbes's supervision likely wrote the majority of the ""Horae"" essays, these three discourses have since been identified... as the work of Hobbes himself."" (Butler). ""The entire work consists of twelve essays or ""observations"" reminiscent in style and language of Bacon's essays and devoted to such topics as arrogance, expenses, reading history, religion, and death, and four much longer discourses, three of which we have been able to attribute to Hobbes."" (Reynolds & Saxenhouse p. 4). Efforts to identify the author of the ""Horae Subseciuae"" began almost immediately after its anonymous publication, and the publication has always been a source of speculation about the author. As it would turn out, all twelve essays were not written by the same author, and three of them were written by one of modernity's greatest philosophers. It was Leo Strauss who first provided something resembling evidence that the writings were by Thomas Hobbes. He had come upon the original manuscript and concluded that it was indeed in Hobbes's hand. But handwriting, of course, does not prove authorship. It does prove a connection, with the work, however, and the exact connection with the three essays would be proven some decades later, by Saxonhouse and Reynolds, who famously published the three essays together, under Hobbes's name for the first time. ""For the first time in three centuries, this book brings back into print three discourses now confirmed to have been written by the young Thomas Hobbes. Their contents may well lead to a resolution of the long-standing controversy surrounding Hobbes's early influences and the subsequent development of his thought. The volume begins with the recent history of the discourses, first published as part of the anonymous seventeenth-century work, ""Horae Subsecivae"". Drawing upon both internal evidence and external confirmation afforded by new statistical ""wordprinting"" techniques, the editors present a compelling case for Hobbes's authorship. Saxonhouse and Reynolds present the complete texts of the discourse with full annotations and modernized spellings. These are followed by a lengthy essay analyzing the pieces' significance for Hobbes's intellectual development and modern political thought more generally. The discourses provide the strongest evidence to date for the profound influences of Bacon and Machiavelli on the young Hobbes, and they add a new dimension to the much-debated impact of the scientific method on his thought. The book also contains both introductory and in-depth explanations of statistical ""wordprinting."" Saxonhouse and Reynolds met each other at a conference in 1988 and decided to join forces to determine, whether Thomas Hobbes was the actual author of the ""Horae Subseciuae"", which had often been speculated. ""Fortuitously, Reynolds was closely involved with statisticians at Bringham Young University who have done some of the most important work in developing statistical techniques for identifying authorship for disputed texts, or ""wordprinting."" ...The results relative to the ""Horae Subseciuae"" were both exhilarating and disappointing. The three discourses published here could definitely be attributed to Hobbes, but the volume's twelve shorter essays or observations which draw heavily on Baconian themes and language, portraying the passionate young aristocrat with all his foibles, and the fourth discourse, were authored by someone else - perhaps Hobbes's tutee, but clearly not Hobbes himself. While it would have been more satisfying to have the entire work match Hobbes's later writings, we thought that the identification of the three discourses as previously unrecognized and unacknowledged Hobbesian works was of great significance and that they were worthy of republication. These three discourses give us direct access to Hobbes's intellectual concerns and motivating interests at a point almost two decades earlier than was possible through his previous recognized writings."" (Reynolds & Saxenhouse, pp. VII-VIII). Apart from a poem in his hand, nothing had remained to help us understand the early intellectual development of Hobbes and the early influences upon his thought, before his translation of Thucydides, which appeared in 1627, when he was almost 40 years old. These important early texts give us access to Hobbes's early thought, thereby letting us understand how he developed his political science. Shortly after taking his degree, Hobbes became engaged as a tutor to the Cavendish family, with whom he maintained a close connection for the rest of his life. Hobbes was first hired to serve as a tutor and companion to William Cavendish, later the Second Earl of Devonshire, and subsequently taught William's son and grandson. In 1610, Hobbes and his first charge embarked on a grand tour of the continent, traveling primarily to France and Italy.Hobbes remained with William for the next twenty years, later serving as his secretary and becoming a close friend and confidant. It has previously been thought that Hobbes published nothing during this time, but as it has recently turned out, he did indeed contribute the three essays ""A Discourse on Tacitus"", ""A Discourse on Rome"", ""A Discourse on Laws"" to the ""Horae Subseciuae"", that was presumably publiahed by William Cavendish, who arguably wrote if not all, then most of the other essays in the volume. Shortly after William died, Hobbes published the first translation of Thucydides' History of the Peloponnesian War into English (1628). During this period, Hobbes also worked occasionally for the Lord Chancellor and great scientist Francis Bacon, who highly valued him as a secretary, translator, and conversation partner, and to whom the present work has also be ascribed during the centuries. Noel B. Reynolds and Arlene W. Saxenhouse in: ""Three Discourses: A Critical Modern edition of Newly Identified Work of the Young Thomas Hobbes"", 1995. Todd Butler: Imagination and Politics in Seventeenth-Century England, 2017
A Paris,chez Regnard, Imprimeur de l'Académie Françoise, Grand'Salle du Palais, & rue Basse des Ursins, 1765-1763, / Amsterdam, chez E. Van Harrevelt, 1762, 3 parties reliées en 1 volume in-8 de 220x135x40 mm environ, 1f.blanc, 126-1f.(Privilège)-titre-91-62-1f.-faux-titre-titre en rouge et noir avec vignette-2ff.(Avertissement)-70-1f.-175 pages, plein veau marbré fauve, titre dorés sur dos lisse, orné de caissons à fleurons et motifs dorés, coupes dorées, gardes marbrées (ex-libris masqué par du papier marbré différend). Des mouillures dans les marges, léger défaut d'impression p. 109 dans la premier texte (sans gêne pour la lecture). Edition originale.
Antoine Léonard Thomas, né le 1er octobre 1732 à Clermont-Ferrand et mort le 17 septembre 1785 à Oullins, est un poète, critique littéraire et académicien français, surtout renommé en son temps pour sa grande éloquence. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
LONDON Hutchinson & Co., no date (circa 1935): in8 toile bleue ed.FIRST EDITION/48th.Thousand 21.2 x 13.5cm, 317pp, frontis + 30 b&w photos, map,good
Lowell Thomas's first book was on the exploits of T.E. Lawrence in the Arab Revolt during World War I. LT and four assistants visited TE in early 1917. Lowell Thomas put together a lecture series accompanied by hand painted color slides made from the photos taken by Harry Chase who accompanied Thomas on his trip to the Middle East. The lecture series was titled "The Last Crusade: With Allenby in Palestine and Lawrence in Arabia". It opened at London's Royal Albert Hall in the fall of 1919 and played to packed houses during its long run. Thomas eventually took it on a worldwide tour and made a fortune from it. Riding on the success of the lecture tour, LT wrote a series of articles for "Asia: The American Magazine on the Orient" in 1919 and 1920. In 1924 this book was published and was to be so successful that it has been republished in numerous editions.
[Apud Ioannem Certe [ Jean Certe ]] - HIBERNICUS, F. Thomas ; [ IRELAND Thomas of : IRLANDE, Thomas d' ]
Reference : 66557
(1679)
Ordine alphabetico digesti per F. Thomam Hibernicum, Ordinis Praedicatorum. Divine verbis Concionatoribus utilissimi, Hanc ultima editionea mendis plurimis repurgati, 1 vol. in-12 reliure de l'époque pleine basane marron, dos à 5 nerfs orné, Apud Ioannem Certe [ Jean Certe ], Lugduni [ Lyon ], 1679, 2 ff., 698 pp. et 3 ff. n. ch.
L'écrivain Thomas d'Irlande (vers 1265-1317) est connu pour ces compilations et anthologies. Le présent ouvrage recueille des citations extraites de l'Ancien et du Nouveau Testament, classées par thème présentés alphabétiquement, de "Abstinentia" à "Votum". Bon état (reliure un peu frottée, ex-libris en garde).
Thomas Mann, Hermann Hesse, Jacques Duvernet
Reference : RO20259992
(1997)
ISBN : 2714306039
JOSE CORTI. 1997. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 327 pages.. . . . Classification Dewey : 846-Lettres, correspondance littéraire
Encore jeunes, déjà célèbres et manifestement promis l'un et l'autre à un brillant avenir littéraire, Thomas Mann (1875-1955) et Hermann Hesse (1877-1962) firent connaissance en 1904 à Munich, hôtes tous deux de leur éditeur, S. Fischer. Espacée d'abord, puis plus régulière au fil des années, la correspondance qui s'engagea entre eux ne s'interrompit qu'avec la mort de Thomas Mann en 1955. Ce volume présente pour la première fois au lecteur français l'intégralité des lettres conservées ainsi que plusieurs documents en annexe qui, éclairant les arrière-plans historiques, idéologiques ou personnels de cette correspondance, permettent d'en apprécier précisément les enjeux. Entre ces deux géants conscients de représenter chacun à sa façon une bonne part de ce que la tradition humaniste allemande pouvait avoir de plus précieux - comment ne pas évoquer là une autre amitié et une autre correspondance célèbres, celles de Goethe et de Schiller ? -, nous voyons s'approfondir l'attachement et l'estime au fur et à mesure que s'élèvent les édifices majestueux de leurs œuvres parallèles. Mais il y a autre chose : dans la guerre que la folie du siècle mène contre ces valeurs humanistes, Thomas Mann et Hermann Hesse se trouvent vite en première ligne, sommés par les évènements, qu'ils le veuillent ou non, de prendre clairement position. Entre Hesse qui a démissionné en 1930 de la section de littérature de l'Académie des arts de Prusse et T. Mann qui le presse en 1931 de s'y faire réélire, entre l'un qui refuse avec une constante intransigeance de se ranger dans un camp et l'autre qui, en 1936 et non sans avoir tergiversé, se solidarise enfin sans réserve avec l'émigration allemande, ce sont deux conceptions du rôle de l'écrivain, de la mission de l'intellectuel qui s'opposent souvent, mais se rejoignent aussi parfois, comme dans le jugement sans aménité que l'un et l'autre portent sur l'Allemagne occidentale d'après 1945. Cet aspect-là aussi de l'échange entre Hermann Hesse et Thomas Mann retiendra sans doute l'attention du lecteur d'aujourd'hui. Classification Dewey : 846-Lettres, correspondance littéraire
Dutronc Thomas - Dutronc Thomas,Chrion David,Garcia Ninine,Papy Bertrand,Ciosi Jérôme - Dutronc Thomas,Garoux Arnaud,Garcia Ninine
Reference : 92576
(2008)
Universal Music Publishing 2008
Bon état Grand format Guitare
Première édition citée par Brunet des Œuvres en latin de Thomas More conservée dans son vélin de l'époque. Louvain, Jean Bogard, 1566.In-folio de 6 ff. préliminaires et 136 feuillets. Vélin ivoire rigide. Reliure de l'époque. 280 x 183 mm.
Première édition citée par Brunet des Œuvres en latin de Thomas More, parue simultanément en 1565 et 1566 chez deux éditeurs différents Bogardus et Zangrius. Adams m 1751; Belgica Typographica 4525; Gibson (More) 76a. Elle présente en édition originale Historia Regis Richard Tertii qui n’avait pas encore été publiée. Contrairement à ce qu’annonce Brunet (III, 1892) cette édition contient bien l’Utopie, les Epigrammata, les Ecrits contre Luther et l'Expositio Passionis Domini. Cette édition complète l'édition des œuvres en anglais parue 9 ans plus tôt à Londres. Il faudra attendre l'édition de Francfort de 1689 pour trouver une édition aussi complète. Cette édition constitue la plus importante collection des Œuvres latines de Thomas More du XVIe siècle. Imprimée en caractères italiques pour les Epigrammata et en caractères romains pour les autres textes, elle est ornée d'une vignette de titre et de nombreuses initiales historiées. Grand ami d'Erasme, érudit, philanthrope, Thomas More participa pleinement au renouveau de la pensée qui caractérise pleinement l'époque de la Renaissance ainsi qu'à l'humanisme dont il fut le plus illustre représentant anglais. « Le supplice de Morus fut un sujet d'universels regrets pour ceux mêmes qui avaient été en opposition avec l’ancien ministre tant il y avait en ce grand homme de bienveillance et de bonté». Erasme. Très séduisant exemplaire de parfaite fraîcheur conservé dans son beau vélin de l’époque. Il porte un commentaire manuscrit d'un érudit de l'époque à l'encre sur la page de garde.
Antverpiae : in aedibus viduae et haeredum J. Stelsii 1573 In-12, plein veau marbré, dos à nerfs, caissons ornés, triple filet d’encadrement des plat, guirlande en coupe, titre gravé, 7- 170 ff. Coiffes usées, mors fendillés. Quelques anciennes surlignures.
Texte apocryphe qui a figuré dans les collections d’œuvres complètes de Thomas d’Aquin depuis cette édition jusqu’au XIX° s. “L’éditeur, Antonius Senensis, avait collaboré à l’édition des œuvres de Thomas commandée par PieV et avait publié à part une édition de la Summa theologiae. Professeur de théologie à Louvain, il avait continué ses recherches de manuscrits thomasiensà travers les Pays-Bas; c’est au couvent franciscain de Middelburg, en Zélande, qu’il dit avoir trouvé un manuscrit contenant une exposition de la Genèse, explicitement attribuée à Thomas d’Aquin. Dans son adresse «ad lectorem», il fait très honnêtement état de ses doutes, mais parvient à y répondre. L’absence de tout prologue, fort inhabituelle chez saint Thomas, peut s’expliquer, selon lui, par la disparition des trois premiers folios du manuscrit. Les dissemblances stylistiques pourraient être mises au compte d’une œuvre de jeunesse.” (Sylvain Piron, «Note sur le commentaire sur la Genèse publié dans les œuvres de Thomas d’Aquin») Bon état d’occasion
Paris, Belin / Valade, 1791, pt. in-8vo, Tome 1) 1 frontispice gravé (portrait de l’auteur ‘Thomas Corneille’) + 2 ff. + 84 p. (Vie de Thomas C. + Catalogue des Pièces de Th. C.); + Page de Titre (Ariane tragédie. P. Au Bureau P. Bibl. d. Théatres - 1786) + VI + 84 p.; Page de Titre (Le comte d’Essex, Tragédie, 1786) + XII + 78 p.; 2 ff. (entre-titre: Tome Second + Titre: Le Baron d’Albikrac comédie) + V (+ 1 bl.) + 130 p.; 1 ff. Page de titre:( Le Festin de Pierre. 1786) + XII + 128 p. // suivie de tome 3 à 7 des chefs d’oeuvres de Pierre Corneille avec date 1791, 1785 e.a., premier garde détaché, pt. étiquette XIXème d’un libraire parisien ‘Paul Ledoux’, reliure en plein veau frottées, coiffes usées, dos richement ornés en or, avec pièce de titre rouge et numérations des vols. sur fond vert (1-2 / 3-4 / 5-6-7). Le 1er f. de garde du vol. 1 est détaché.
Thomas Corneille, né à Rouen le 20 août 1625 et mort aux Andelys le 8 décembre 1709, est un juriste et auteur dramatique français, souvent considéré par certains comme quelqu’un qui a été remarqué que pour le nom qu’il portait, tandis que d’autres estiment qu’il a eu la malchance d’avoir un frère (Pierre) qui lui faisait de l’ombre, comme il en aurait fait à presque n’importe qui d’autre. Quoi qu’il en soit, modeste, affable, toujours prêt à louer le mérite d’autrui, bienfaisant, religieux sans faste de dévotion, Thomas possédait toutes les vertus de son frère avec plus d’agrément dans l’esprit et plus de grâce dans le monde. image disp.
Phone number : 41 (0)26 3223808