Réalisée à l'occasion de " Flacons : exposition René Lalique / exposition de verre contemporain ", réalisée par la Ville de Combs-la-Ville, en partenariat avec le groupe Lalique, le commissariat de l'exposition étant assuré par Denis Goudenhooft et la Galerie Complément d'Objet. Exposition au Château de la Fresnaye, Combs-la-Ville, du 22 mars au 29 avril 2001. Format : 50 x 68,5 cm - Illustrations couleurs. Au choix, expédition délicatement pliée en huit (25 x 17,5 cm) ou non pliée dans un tube (demander les frais de port selon votre choix).
Cette exposition rassemblait les créations de René Lalique (15 flacons "historiques" et 22 d'éditions limitées) et celles de 46 verriers contemporains (rétrospective avec des flacons des années 80 et flacons créés spécialement pour l'exposition). Au recto, photos de 44 flacons (avec nom de l'artiste, date de création et hauteur) de : Claude Monod, Anthony Guibé, Marisa et Alain Bégou, Isabelle Monod, Régis et Gisèle Fiévet, Joël Linard, Michel Bouchard, Gérard Depralon, Erich Schamschula, Etienne Leperlier, François Le Lonquer, Claude Morin, Antoine Leperlier, Jean-Claude Novaro, René Deniel, Matei Negreanu, Yves Batrel, Denis Bracke, Michel Delcey, Edmée Delsol et Manuel Leclercq, Hervé Dupont, Gérard Fournier, Jean-Luc Garcin, Allain Guillot, Dominique Guittet, Eric Laurent, Ghislène Jolivet, Olivier Juteau, Dominique Marcadé, Xavier de Mirbeck, Nicolas Morin, Jean-Claude Ourdouillie, Michèle Perozeni, Robert Piérini, Isabelle Poilprez, Pascale Riberolles, Ségolène Roth, Georges Stahl, Jean-Pierre Umbdenstock, Guy Untrauer, Jean-Paul van Lith, William Velasquez et Udo Zembok (sans photo : Thomas Bastide et Yan Zoritchak). Au verso, texte de présentation de l'exposition et légendes des photos. Toutes les techniques sont représentées : verre soufflé, pâte de verre, travail à la lampe, verre optique, verre gravé, fusing. . . Très bon état - -
Paris, 1867, 2 vol. gr. in-4°, 480-(4) et 480 pp, 700 gravures dans le texte, texte sur 3 colonnes, reliures demi-basane carmin, dos lisse à quadruples filets dorés, titre et tomaison dorés, palette en queue, tranches pennées (rel. de l'époque), qqs épidermures, bon état. Bel exemplaire sans rousseurs
L'exposition universelle de 1867, également appelée Exposition universelle d'Art et d'industrie, est chronologiquement la septième exposition universelle et la seconde se déroulant à Paris après celle de 1855. Elle s'est tenue du 1er avril au 3 novembre 1867 sur le Champ-de-Mars, à Paris. 41 pays étaient représentés à l'exposition. Cette exposition sera surtout une démonstration et un exposition des fastes et du pouvoir du Second Empire. Voulue par Napoléon III, celui-ci nommera à la tête de l'exposition des hommes clefs de la vie économique et politique. Le Champ de Mars fut choisi pour emplacement. Elle accueillit près de 15 millions de visiteurs.
Catalogue publié à l'occasion de l'exposition "Vita Nuova. Nouveaux enjeux de l'art en Italie 1960 - 1975". Exposition conçue par Valérie da Costa, MAMAC, Nice 14 mai - 2 octobre 2022.
Reference : 25703
ISBN : 9789461617323
<meta charset="utf-8"><div class="woocommerce-tabs wc-tabs-wrapper" data-mce-fragment="1"><div class="woocommerce-Tabs-panel woocommerce-Tabs-panel--description panel entry-content wc-tab" id="tab-description" role="tabpanel" aria-labelledby="tab-title-description" data-mce-fragment="1"><p data-mce-fragment="1">Depuis l’exposition qui s’est tenue au Centre Pompidou en 1981 : « Identité italienne. L’art en Italie depuis 1959 », dont le commissariat était assuré par Germano Celant, il n’y a pas eu en France une exposition qui proposerait de repenser largement la scène artistique italienne. Or, l’Italie a connu une période particulièrement fertile et exceptionnelle du début des années 1960 jusqu’au milieu des années 1970 qui est aussi liée notamment à la richesse du cinéma et de la littérature de ces années.<br data-mce-fragment="1">L’exposition entend faire découvrir l’exceptionnelle vitalité de cette scène artistique profondément renouvelée par une jeune génération d’artistes (nés entre les années 1920 et les années 1940) actifs à Rome, Milan, Turin, Gênes et dont le travail commence à être exposé au début des années 1960 ; une génération porteuse de nouvelles manières d’appréhender et de faire de l’art illustrant ainsi une forme de vita nuova (« vie nouvelle ») – titre emprunté au livre éponyme de Dante (Vita Nuova) qui tout en étant une ode à l’amour affirme une nouvelle manière d’écrire – qui traverse comme un souffle l’art italien et contribue à faire sa reconnaissance internationale.<br data-mce-fragment="1">Ainsi, en lien avec les profondes transformations des pratiques artistiques internationales des années 1960, la culture italienne est marquée par différents enjeux sociétaux et politiques dont la création artistique se fait l’écho. Au cours des années 1960 et 1970, la transformation de l’Italie (industrialisation, boom économique, société de consommation, développement des mass media) engagent de nouveaux modes de représentation (picturaux notamment) qui sont influencés par le cinéma, la télévision, la presse et la publicité, et changent la manière dont les artistes représentent leur époque.<br data-mce-fragment="1">Face à ces bouleversements sociétaux, certains artistes, dans une conscience écologique, se tournent vers une forme d’art de la décroissance en choisissant de porter un regard attentif sur la nature qu’ils représentent avec des matériaux primaires ou artificiels. Conscients de ces bouleversements, ils investissent également le corps qui apparaît comme un médium qui traverse les processus créatifs et implique de nouveaux enjeux participatifs dans l’espace public notamment.<br data-mce-fragment="1">Tous ces modes d’expression (peinture, sculpture, photographie, vidéo, performance installation, environnement) couvrent ces années marquées par des engagements collectifs (Biennale de Venise, Triennale de Milan de 1968) et d’instabilité politique (attentats de la piazza Fontana à Milan en 1969, Golpe Borghese (coup d’état Borghese) à Rome en 1970).1960 correspond aux premières expositions personnelles de toute une nouvelle génération de jeunes artistes romains (Giosetta Fioroni, Mario Schifano, Franco Angeli, Jannis Kounellis…) qui donne une nouvelle orientation à l’art italien.<br data-mce-fragment="1">1975 se réfère à la mort traumatique de l’écrivain, poète et réalisateur Pier Paolo Pasolini qui a marqué considérablement la vie littéraire et cinématographique de cette décennie et qui clôt une époque.<br data-mce-fragment="1">L’exposition s’organise autour de trois axes qui sont envisagés de manière poreuse afin de montrer comment certaines problématiques se recoupent et traversent le travail de certains artistes (nature/corps/performance ; politique/corps/performance). Pensée de manière pluridisciplinaire, l’exposition souhaite aussi montrer les liens qui se sont établis entre la création visuelle, le design et le cinéma.</p></div></div><section class="related products" data-mce-fragment="1"></section> Gand, 2022 Snoeck 176 p;, richement illustré, relié. 24,5 x 28,5
Neuf
Catalogue édité à l'occasion de l'exposition "Felix Gonzalez-Torres - Roni Horn" à la Bourse de Commerce - Pinault Collection, du 6 avril au 22 août 2022, conçue par Caroline Bourgeois.
Reference : 25677
ISBN : 9782373721492
<meta charset="utf-8"><p data-mce-fragment="1">Catalogue de l’exposition « Felix Gonzalez-Torres—Roni Horn ». L'exposition proposée à la Bourse de Commerce est d’abord un rêve, celui de pouvoir présenter deux artistes dont le travail et l’engagement ont énormément compté pour leurs pairs. Dans la continuité de leur profonde amitié et à partir d’œuvres emblématiques conservées par la Collection Pinault, l’exposition fait dialoguer les œuvres de l’un et l’autre, comme si leur discussion continuait d’exister au présent.</p><p data-mce-fragment="1">Dans la continuité d'un échange créatif entre les deux artistes, nourri pendant plusieurs années et brutalement suspendu par la disparition de Felix Gonzalez-Torres, l’exposition de la Bourse de Commerce est rendue possible grâce à l’implication de Roni Horn, avec la complicité de la Felix Gonzalez-Torres Foundation. Entre installations, photographies et sculptures, le dialogue des deux artistes se perpétue à travers une série d’œuvres à la beauté fragile et à l’extrême puissance émotionnelle, tout en miroir et en lumière, avec la conviction que « l’acte de regarder chacun de ces objets est transfiguré par le genre, la race, la classe social et la sexualité » (Felix Gonzalez-Torres). Au cœur de leur travail, et dans cette exposition en particulier, il s’agit donc de saisir le caractère « intermédiaire » de l’existence, la dimension d’entre-deux, prise dans cette tension entre présence fragile et irréductible disparition. Le dialogue entre les œuvres de Roni Horn et de Felix Gonzalez- Torres s’ancre dans le balancement entre ces deux polarités, entre vie et mort, entre le public et le privé, le personnel et le social, « entre la peur de la perte et la joie d’aimer, de croître, de changer, de devenir toujours plus… » (Felix Gonzalez-Torres interviewé par Tim Rollins, in Felix Gonzalez-Torres, New York, A.R.T. Press, 1993).</p> Paris, 2022 Bourse de Commerce - Pinault Collection et éditions Dilecta 176 p., illustré, relié. 22,5 x 28,5
Neuf
<div class="ProductDetails-body" data-mce-fragment="1"><div id="ProductDetails-body" data-mce-fragment="1"><p data-mce-fragment="1"><span data-mce-fragment="1" itemprop="description">Il y a 150 ans, le 15 avril 1874, ouvre à Paris la première exposition impressionniste.<br data-mce-fragment="1">Pour célébrer cet anniversaire, le musée d'Orsay présente quelque 130 œuvres, et porte un regard neuf sur cette date-clé, considérée comme le coup d'envoi des avant-gardes.<br data-mce-fragment="1"><br data-mce-fragment="1">« Affamés d'indépendance », Monet, Renoir, Degas, Morisot, Pissarro, Sisley ou encore Cézanne ont décidé de s'affranchir des règles en organisant leur propre exposition, en dehors des voies officielles : l'impressionnisme est né. Que s'est-il passé exactement en ce printemps 1874 à Paris, et quel sens donner aujourd'hui à une exposition devenue mythique ? « Paris 1874. L'instant impressionniste » propose de retracer l'avènement d'un mouvement artistique surgi dans un monde en pleine mutation.<br data-mce-fragment="1">« Paris 1874 » fait le point sur les circonstances ayant mené ces 31 artistes à se réunir pour exposer ensemble leurs œuvres. Le climat de la période est celui d'un après-guerre, faisant suite à deux conflits : la Guerre franco-allemande de 1870, puis une violente guerre civile. Dans ce contexte de crise les artistes repensent leur art et explorent de nouvelles directions. Un petit « clan des révoltés » peint des scènes de la vie moderne, ou des paysages aux tons clairs et à la touche enlevée, croqués en plein air. Comme le note un observateur, « ce qu'ils semblent rechercher avant tout, c'est l'impression ». Une sélection d'œuvres ayant figuré à l'exposition impressionniste de 1874 est mise en perspective avec des tableaux et sculptures montrés au même moment au Salon officiel. Cette confrontation inédite permet de restituer le choc visuel des œuvres alors exposées par les impressionnistes, mais aussi de le nuancer, par des parallèles et recoupements inattendus entre la première exposition impressionniste et le Salon. Elle montre ainsi les contradictions et l'infinie richesse de la création contemporaine en ce printemps 1874, tout en soulignant la modernité radicale de l'art de ces jeunes artistes.</span></p></div></div> Paris, 2024 RMN 288 p., nombreuses illustrations et photographies couleurs, relié toile éditeur. 22,4 x 33
Neuf
Catalogue exposition. Paris, Grand Palais 1998.
Reference : 3428
ISBN : 9782711835669
<p>Deux règnes ont marqué l'histoire de l'<a href="https://www.universalis.fr/encyclopedie/art-gothique/">art gothique</a><span></span>en France, celui de Saint Louis (1226-1270) et celui de CharlesV (1364-1380). Entre les deux, une sorte de hiatus s'est instauré: l'éclosion des grandes cathédrales est alors terminée, le style rayonnant poursuit ses raffinements sans se renouveler véritablement, le génie créateur des artistes semble s'épanouir hors du royaume. Beaucoup d'œuvres françaises de cette époque sont ainsi approximativement datées «fin du<span></span><span class="pc">XIII</span><sup>e</sup>-début du<span></span><span class="pc">XIV</span><sup>e</sup>siècle» ou «première moitié du<span></span><span class="pc">XIV</span><sup>e</sup>siècle». L'<a href="https://www.universalis.fr/encyclopedie/exposition/">exposition</a><em>L'Art au temps des rois maudits. Philippe le Bel et ses fils, 1285-1328</em>, présentée au Grand<span></span><a href="https://www.universalis.fr/encyclopedie/palais/">Palais</a><span></span>du 17mars au 29juin 1998, a donc apporté une contribution majeure à la connaissance de la production artistique de cette période. Elle complétait remarquablement l'exposition<span></span><em>Les Fastes du gothique, le siècle de Charles</em><em>V</em><span></span>(Grand Palais, 1981), qui débutait avec l'avènement des Valois, en 1328. Les œuvres présentées et le catalogue, articulé en douze sections qui vont de l'architecture aux armes, ont permis de découvrir un art inventif et ont apporté des repères chronologiques plus précis.</p><p>Certes, l'architecture religieuse n'a plus le dynamisme qui la caractérisait auparavant, bien que l'on bâtisse alors des églises étonnantes, telles que la cathédrale d'Albi ou la collégiale de Mussy-sur-Seine (Aube). L'architecture civile prend le relais. À<span></span><a href="https://www.universalis.fr/encyclopedie/paris/">Paris</a>, le palais de la Cité par exemple, construit pour Philippe le Bel, reflète les changements institutionnels de son règne et rassemble, non seulement la Sainte Chapelle de LouisIX et la demeure du souverain, mais aussi les organes du pouvoir politique, administratif et judiciaire. Celui-ci était évoqué dans l'exposition par des statues de personnages assis, découvertes à l'occasion de travaux dans le sous-sol du palais en 1899 et présentées pour la première fois au public.</p><p>La multiplication des statues en ronde bosse, dans le décor intérieur et extérieur des édifices civils et religieux, constitue en effet une des particularités de l'art du début du<span></span><span class="pc">XIV</span><sup>e</sup>siècle. Certains ensembles, dispersés à la suite de démolitions, comme celui des anges de Saint-Louis de Poissy, ont pu être reconstitués. D'autres, notamment les admirables statues commandées par Enguerrand de Marigny pour la collégiale Notre-Dame d'Écouis et exécutées vers 1310-1313, ont bénéficié d'une mise en valeur éblouissante. La sculpture, comme les autres arts, montre que le roi, sa famille et son entourage ont exercé un mécénat qui a favorisé nettement une prédominance de l'art parisien. Les documents de comptabilité et d'imposition conservés indiquent cependant que les artistes qui exerçaient à<span></span><a href="https://www.universalis.fr/encyclopedie/orchestre-de-paris/">Paris</a><span></span>venaient d'horizons très divers.</p><p>En outre, des foyers provinciaux ont coexisté sans heurt et ont fait preuve de vitalité, du nord de la France au Midi et de la Normandie à la Lorraine et à la Bourgogne. Dès l'entrée de l'exposition, une cohorte d'anges en bois des régions septentrionales accueillaient ainsi le visiteur, avec une grâce souriante. Pour les sections les plus importantes –sculptures, arts précieux, manuscrits à peintures– les centres de production ont été distingués, de même que les rares artistes connus. Pépin de Huy, sculpteur de la comtesse Mahaut d'Artois, et les peintres maître Honoré et Jean Pucelle étaient représentés par la plupart des œuvres qui leur sont attribuées. Le nord de la France, de la Normandie au Hainaut, a été particulièrement productif et très influencé par le milieu parisien. Les régions de l'Est et de la Bourgogne, et surtout le Languedoc, ont connu un art plus original, qui s'observe aussi bien dans l'atelier de sculpture de Mussy-l'Évêque (Aube) que dans le reliquaire de la Vraie Croix d'Albi ou dans les manuscrits toulousains.</p> Paris, 1998 RMN 460 p., nombreuses illustrations, relié sous jaquette. 23 x 31
Occasion
Paris, Le Journal Illustré du Dimanche 24 Avril 1900. 1 plan dépliant de l'Exposition Universelle de 1900. à Paris, supplément du Journal Illustré du 15 Avril 1900, bon état. Format 80*56 cm. Au recto, un plan de l'Exposition, au verso une vue générale de l'Exposition Universelle et des palais des Nations Etrangères.
Exposition internationale (1939 / 1940 ; New York, NY). Section française
Reference : 125538
(1939)
Paris, Ateliers d'impressions et de cartonnages d'art 1939 In-4 31 x 25,5 cm. Reliure moderne demi-toile beige à coins, pièce de titre maroquin havane, couvertures conservées, 134 pp, cartes. Zxemplaire en très bon état.
L’exposition internationale de New-York, 1939 (New York World's fair 1939) dont le thème était "le monde de demain", fut bien plus grande que l'exposition parisienne de 1937 (160 hectares d’exposition, 120 d'attraction et 200 de parkings et de plans d'eaux) dont elle s'inspire par sa composition sur 2 axes avec une "tour Eiffel" en béton appelée Trylone flanquée d'une géode nommée périsphére. Certains pavillons étaient réalisés par de grands noms de l'architecture. L’Allemagne était absente, et durant la saison 1940 le pavillon russe fut démoli et les pavillons tchèque et polonais restèrent fermés. Très bon état d’occasion
Exposition réalisée par la Galerie Complément d'Objet (commissaire expo : Denis Goudenhooft), au siège du Crédit Industriel de Normandie, Hôtel de Bourgtheroulde, Rouen, du 26 septembre au 4 novembre 2000. Format : 20 x 10 cm (plié) - Dépliant bristol glacé en accordéon de 6 volets imprimés R/V. Illustrations couleurs.
En photos les œuvres d'Olivier Juteau, Michel Delcey, Gérard Fournier, Véronique Sablery, Yves Batrel, Jean-Claude Ourdouillie, Monica Damian-Eyrignoux, Gérard Delafosse, Yan Zoritchak, Etienne Leperlier, Isabelle Monod, Udo Zembok, Edmée Delsol, Jean-Paul van Lith, Gérard Depralon. Cette exposition, rassemblant une quarantaine de verriers, était accompagnée d'une exposition sur le verre en Haute-Normandie réalisée par le Centre Régional du Patrimoine, ainsi que de vitrines avec des pièces des industries verrières de la région (Verreries Brosse, Holophane, Metra Verre, Saverglass, Saint Gobain Desjonquères et Waltersperger). - - Frais de port : -France métropolitaine Colissimo 4,99 € -Union Européenne Colissimo 14,25 € -Monde Colissimo 31,6 €
Paris, Hachette 1901 In-4. Broché, couverture grise imprimée, IX-104 pp., illustrations dans le texte,
Bon état d’occasion
Catalogue de l'exposition au Musée Picasso d'Antibes du 02 avril au 26 juin 2016.
Reference : 20104
ISBN : 9782754108713
<p>Catalogue officiel de l'exposition Pierre Soulages, les papiers au Musée Picasso d'Antibes du 20 février à fin juin 2016. Pierre Soulages (né en 1919 à Rodez) est reconnu comme l'une des figures majeures de l'abstraction. Ses tableaux noirs ont été exposés dans les plus grands musées du monde. Mais c'est tout particulièrement à son œuvre sur papier - à l'origine domaine réservé de l'artiste pour expérimenter de nouvelles pistes de recherches - que veut rendre hommage le musée Picasso d'Antibes. Cette exposition rassemblera un certain nombre de papiers provenant de collections publiques et privées, également du musée Soulages de Rodez, ou encore conservés par l'artiste et dévoilés au public pour la première fois. Pierre Soulages (né le 24 décembre 1919 à Rodez), « peintre du noir et de la lumière , est reconnu comme l'une des figures majeures de l'abstraction.Sa carrière artistique débute en 1947, avec une première exposition à Paris, au Salon des Surindépendants, où il présente des toiles abstraites. Ces œuvres, aux tonalités sombres, attirent l'attention de Picabia qui lui prédit : « Avec cela, vous allez vous faire beaucoup d'ennemis. Picabia se trompait.Après plus de soixante-cinq ans de création, Soulages s'est imposé comme le plus grand peintre de la scène française actuelle, comme l'un des principaux représentants de la peinture informelle. Ses tableaux noirs (un noir qu'il appelle « noir-lumière ou « outrenoir ) ont été exposés dans les plus grands musées du monde. A 96 ans, Pierre Soulages poursuit son œuvre.Mais c'est tout particulièrement à celle sur papier que veut rendre hommage le musée Picasso d'Antibes, à travers cette exposition et son catalogue qui l'accompagne.Car à côté de sa pratique de la peinture sur toile, Pierre Soulages, depuis ses débuts, développe une œuvre parallèle et complémentaire sur papier, que ce soit en utilisant le fusain, le brou de noix, la gouache, l'encre, l'acrylique ou le graphite. « C'est avec les brous de noix de 1947 que j'ai pu me rassembler et obéir à une sorte d'impératif intérieur. La vérité est que je me suis senti contraint par l'huile. Je l'avais pratiquée avant guerre et je ne savais ce qu'elle imposait comme contraintes. Par impatience, un jour, dans un mouvement d'humeur, muni de brou et de pinceaux de peintre en bâtiment, je me suis jeté sur le papier. Ce travail sur papier était à l'origine le domaine réservé de l'artiste pour expérimenter de nouvelles pistes de recherche. La donation en 2005 au musée de Rodez de plus d'une centaine de dessins a révélé au grand public l'extraordinaire diversité de cette production.L'exposition du musée Picasso d'Antibes rassemblera autour d'un important ensemble issu des collections du musée Soulages, un certain nombre de papiers provenant de collections publiques et privées, ou encore conservés par l'artiste et dévoilés au public pour la première fois. </p> Paris, 2016 Hazan 159 p., relié. 17,5 x 22,5
Neuf
Catalogue de l’exposition au Musée de La Poste à Paris du 19 mai au 01 novembre 2021
Reference : 23404
ISBN : 9789461616470
<p>L'exposition intitulée « À la pointe de l'art » sera la troisième exposition temporaire du musée depuis sa réouverture. Au coeur de cette exposition se trouve le timbre-poste ; en effet, les collections philatéliques constituent le fonds le plus important du musée. Cependant, le sujet de l'exposition portera moins sur les aspects techniques du timbre que sur la création de l'oeuvre à proprement parler. En effet, en plus d'être une estampe, le timbre reste l'une des plus petites surfaces de création qui existent au monde mais aussi l'une des plus diffusées. Aussi, les dessins originaux et les poinçons gravés d'artistes seront au coeur du propos. En plus des timbres eux-mêmes, le musée conserve dans le cadre du dépôt obligatoire des archives du timbre-poste français des milliers de pièces témoignant du processus créatif conduisant à l'émission d'un timbre : les esquisses et dessins préparatoires, les épreuves d'impression, essais de couleurs ou poinçons gravés.<br>L'idée première est de démontrer que, bien que le timbre soit une oeuvre de commande régie par un cahier des charges strict, la place accordée au geste de l'artiste reste très présente. Le parcours de l'exposition sera ainsi ponctué de neuf portraits de dessinateurs, graveurs, peintres, illustrateurs, tous créateurs de timbres et ayant des carrières artistiques et parcours très différents. C'est une manière pour le Musée de La Poste de valoriser la création philatélique et de l'ancrer dans le vaste domaine de l'histoire de l'art. À côté des peintures d'Henry Cheffer ou estampes de Pierre Albuisson, le visiteur découvrira les gravures héraldiques de Sarah Bougault, les sculptures de Jacques Jubert, les peintures sur ivoire de Pierrette Lambert, les bandes dessinées de Pierre Forget, l'univers fantastique de Thierry Mordant et Ciou, ainsi que le monde foisonnant de détails et d'histoires de Jean Delpech.<br>Le timbre-poste est une surface de création à la fois unique et pour autant connue de tous. Ce support artistique voyage et nous fait voyager. Depuis les années 1960, la série artistique, imaginée par André Malraux pour mettre l'art à portée de tous les Français, a su s'imposer et c'est donc tout naturellement que certains des plus grands artistes se sont approprié le timbre-poste pour nous proposer de merveilleuses créations. Tomi Ungerer, Victor Vasarely, Raoul Ubac, Jean-Michel Folon, Salvador Dali, Roger Bezombes et bien d'autres se sont prêtés à l'exercice et le résultat est toujours impressionnant.</p> Gent, 2021 Snoeck 184 p., broché. 23 x 28
Neuf
Paris, E. Dentu Editeur, Librairie de la Société des Gens de Lettres, 1890. 1 volume in-4, reliure percaline illustrée d'éditeur, 170 pp., illustré de 82 gravures à pleine ou double page, mors un peu émoussés, très bon exemplaire.
Il s'agit ici du seul album d'illustrations paru en complément des 3 autres volumes consacrés à l'Exposition Universelle de Paris en 1889. "Le présent Album est le complément naturel et indispensable de mon ouvrage. La partie monumentale et architecturale a joué un rôle trop important à l'Exposition Universelle de 1889 pour n'être pas l'objet d'une consécration spéciale. Tel est le but et la raison d'être de ces gravures." (Avant-Propos de Monod). Ces gravures sont des reproductions des lieux, galeries, sculptures, peintures et représentent également des personnages, figurants, ouvriers ou indigènes présents sur les lieux. Rappelons que la Tour Eiffel fut érigée dans les années précédentes et inaugurée lors de l'Exposition de 1889.
Paris, E. Dentu Editeur, Librairie de la Société des Gens de Lettres, 1890. 1 volume in-4, reliure percaline illustrée d'éditeur, 170 pp., illustré de 82 gravures à pleine ou double page, très bon exemplaire.
Il s'agit ici du seul album d'illustrations paru en complément des 3 autres volumes consacrés à l'Exposition Universelle de Paris en 1889. "Le présent Album est le complément naturel et indispensable de mon ouvrage. La partie monumentale et architecturale a joué un rôle trop important à l'Exposition Universelle de 1889 pour n'être pas l'objet d'une consécration spéciale. Tel est le but et la raison d'être de ces gravures." (Avant-Propos de Monod). Ces gravures sont des reproductions des lieux, galeries, sculptures, peintures et représentent également des personnages, figurants, ouvriers ou indigènes présents sur les lieux. Rappelons que la Tour Eiffel fut érigée dans les années précédentes et inaugurée lors de l'Exposition de 1889.
EXPOSITION INTERNATIONALE DES ARTS DÉCORATIFS 1925. BONFILS (Robert).
Reference : 25041
(1976)
1976 Affiche lithographiée signée dans la planche au milieu à gauche, Les Presses de la Connaissance, Exclusivité Weber, Imprimerie Serg - Ivry, 1976, 59.5 x 39.5 cm.
Cette affiche réalisée par Robert Bonfils fut, à l'origine, commandée par le Ministère des Arts Décoratifs et Industries Modernes, pour l' "Exposition Internationale des Arts Décoratifs et Industrie Moderne" de 1925. En 1976, le Musée des Arts Décoratifs, à l'occasion de l'exposition commémorative "Cinquantenaire Paris - 1925" la réédite. Robert Bonfils (1886-1972) est peintre, graveur, relieur et professeur à l'École Estienne ; représentant typique du style "Art Déco", (il) s'est acquis une célébrité d'illustrateur par l'élégance de son trait et sa subtile interprétation des textes (Bénézit, II, 148) qui fit que son affiche "Paris 1925" fut celle retenue pour l'Exposition Internationale des Arts Décoratifs de 1925.
1 P., Imprimerie Impériale, 1857, in-5, demi-chag. noir, dos orné, tr. dorées, 504 pp.
Rapport de cette première Exposition Universelle Française consacrée aux Beaux-Arts, à l'Industrie et à l'Agriculture, divisée en quatre parties. La première partie est consacrée à la Législation et à l'Organisation de l'Exposition, la seconde partie traite de l'Installation et de l'arrangement des Oeuvres d'Art, la troisième partie comprend les travaux relatifs à l'appréciation et aux Récompenses du Jury, la quatrième partie parle de la cloture de l'Exposition, enfin la cinquième et dernière partie conclut ce rapport. Petites rousseurs et brunissures en encadrement des pages.
[CERAMIQUE CONTEMPORAINE]. - Rare catalogue d’exposition, 1962. - [MUSEE DES ARTS DECORATIFS, Paris].
Reference : 164
(1962)
MAD/UCAD, Paris, 1962. - Format : 19 x 19 cm. - Non paginé (34 pages). - Broché. - Très bon état général.
Catalogue de l’exposition au musée des Arts Décoratifs, Paris, Octobre 1962-Janvier 1963. Cette exposition consacre l'exposition « Grès d'Aujourd'hui, d'Ici et d'Ailleurs » organisée au Château de Ratilly du 23 juin au 15 septembre 1962. 16 pages HT de photos en N&B + 1 en couleurs. - Texte de Michel Faré. - Petites biographies de chaque céramiste. Shoji HAMADA ; Bernard LEACH ; Antoni CUMELLA ; Raija TUUMI ; Antoine de VINCK ; Francine DEL PIERRE ; Jean DERVAL ; Georges JOUVE ; Jacqueline et Jean LERAT ; Monique et Yves MOHY ; Jeanne et Norbert PIERLOT ; Atelier de Taizé (Daniel de MONTMOLLIN). Très bon état général. - - Frais de port : -France métropolitaine Colissimo 6,99 € -Union Européenne Colissimo 14,25 € -Monde Colissimo 31,6 €
Paris, L. Boulanger, [1889]. 2 vol. in-4, (28 x 19,5 cm) ; [2] ff. (fx-titre et titre-front.), 776 pp., [4] pp. (tables) ; [2] ff. (fx-titre et titre-front.), pp. 777 à 1592 et [4] pp. (tables). Reliure en demi-chagrin rouge, dos à nerfs orné de fleurons, titre, date et tomaison dorés, tranches marbrées. Déchirures à la grande planche dépliante (Vue générale de l'Exposition).
Belle publication parue d'abord en livraisons pendant l'Exposition universelle de 1889. Elle décrit en détail l'exposition et ses pavillons pour ceux qui ne peuvent pas s'y rendre, avec de nombreuses illustrations, dans le texte et hors texte (certaines en couleurs). Bel exemplaire de cette bonne documentation d'époque.
Dimensions : 293 x 225 mm + passe-partout + cadre.
Photographie représentant la façade du Palais de l'Electricité ; érigé à l'occasion de l'Exposition Universelle de Paris 1900. Elle est animée de nombreux personnages au premier plan. ''Que le palais de l'Electricité vienne, pour une cause ou pour une autre, à s'arrêter et, toute l'Exposition s'arrête avec lui [...]. Dans le palais de l'Electricité se fabrique, en effet, toute l'énergie nécessaire à l'éclairage et à la marche des organes divers de l'Exposition". Le gigantesque château d'eau de l'architecte Edmond Paulin faisait office de façade. Il s'agissait d'un étonnant décor découpé et aérien : "un diadème, un éventail ouvert, la queue d'un paon faisant la roue". De son centre jaillissait une immense cascade, tandis qu'au sommet dominait Le Génie de l'électricité, une statue haute de plus de six mètres. La nuit, cet ensemble scintillait de milliers de feux multicolores.''"(Musée d'Orsay). Altérations éparses affectant le cadre. Abrasions affectant la composition ; principalement concentrées en marge inférieure. Du reste, belle condition.
Paris,s.d.Exposition de 1878 ,panorama dépliant en accordeon sur l'Exposition de 1878 ,16 feuilles illustrées,assemblées,pavillons de tous les pays formant la rue des Nations, in8 en long,reliure demi toile,couverture illustrée collée sur le 1er plat,bon état.Leporello
[ISABELLE MONOD]. - CATALOGUE D'EXPOSITION, 2013 - Edition limitée et numérotée.
Reference : 54
(2013)
Publication hors commerce dédiée à la dernière exposition personnelle d'Isabelle Monod avant la cessation de son activité de " verrier ". Exposition à la Galerie Complément d'Objet, Martot, du 22 novembre au 22 décembre 2013. Format : 21 x 14,6 cm - Non paginé (20 pages) - Illustrations couleurs - Agrafé. Edition limitée à 50 exemplaires numérotés (dont 22 ex. réservés aux acquéreurs des œuvres présentées et 28 ex. numérotés de 23 à 50). Exemplaire N°36. Rare.
L'exposition présentait 22 pièces, toutes de 2013 et toutes en photos (11 " Gourmandises ", 1 fusing et 10 œuvres composées). Très bon état. - - Frais de port : -France métropolitaine Colissimo 4,99 € -Union Européenne Colissimo 14,25 € -Monde Colissimo 31,6 €
[VERRE CONTEMPORAIN]. - CATALOGUE D'EXPOSITION + CATALOGUE DE VENTE, 1991. -
Reference : 117
(1991)
Ensemble de 2 volumes + suppléments : Exposition Musée National Fernand Léger, Biot, du 7 juin au 31 août 1991. Format : 20,5 x 20,5 cm - 94 pages - Illustrations couleurs - Broché. Jointe : plaquette (8 pages agrafées) attribution des Prix. Vente aux enchères, le 12 octobre 1991 à l'Hôtel Drouot, Paris. Ader Tajan, commissaires-priseurs. Format : 20,5 x 20,5 cm - Non paginé (24 pages) - Illustrations couleurs - Broché. Jointe : liste complète des adjudications.
Catalogue d'exposition : 80 verriers dont : Bégou, Bohus, Chabrier, Chiampo, Couffini, Dailey, Depralon, Garcin, Kobayashi, Laurent, Lechner, Linard, Lugossy, Luzoro, Martinez, Meech, Merloz, Molnar, Muratore, Peiser, Piérini, Raymond, Revault, Roubicek, Rybak, Seurat, Seide, Tomecko, Untrauer, van Lith, Vasicek, Zertova. . . Jointe plaquette (8 pages agrafées) attribution des Prix, avec en dernière page, l'annonce de la vente aux enchères : " la majorité des objets présentés durant cette exposition sera vendue aux enchères publiques " à Paris chez Ader Picard Tajan le 12 octobre 1991. + Catalogue de vente aux enchères : " Œuvres des Principaux artistes ayant participé à la 1ère Biennale Internationale du Verre d'Art Contemporain au Musée National Fernand Léger de Biot ". Index des 66 verriers, 8 photos d'œuvres, estimations. Avec liste complète des adjudications. Rare ensemble. - - Frais de port : -France métropolitaine Colissimo 13,2 € -Union Européenne Colissimo 19,6 € -Monde Colissimo 2 € 37,15 €
EXPOSITION COLONIALE]. Chambre de Commerce de Lyon, PILA (Ulysse).
Reference : 111170
(1895)
Lyon A.-H. Storck 1895 1 vol. relié in-4, demi-basane miel à coins, dos à nerfs orné de fleurons dorés, pièces de titre rouge et verte, (6) + VIII + 284 + (2) pp. (dos et coins frottés), plan dépliant de l'exposition et 39 belles planches de photographies hors-texte. Luxueuse publication de la Chambre de commerce de Lyon présentant la section coloniale de l'Exposition universelle organisée à Lyon en 1894 : Algérie, Tunisie, Indochine, Soudan, Congo, Dahomey, Guadeloupe, art moyen et extrême- oriental, etc. Exemplaire de M. Ballet-Gallifet, conseiller municipal. Reluire usée mais solide, intérieur en parfaite condition.
Catalogue de l'exposition éponyme au macLYON.
Reference : 26268
ISBN : 9782363063229
<meta charset="utf-8"><p data-mce-fragment="1">Pour Jasmina Cibic, artiste-chercheuse, chaque projet de film est une occasion de se plonger dans les archives, dans leurs témoignages comme dans leurs silences, afin de révéler la relation qu’entretient toute forme de pouvoir, qu’il soit étatique, gouvernemental, partisan ou diplomatique, avec les arts. Pour l’exposition « Stagecraft – une mise en scène du pouvoir », présentée au macLYON du 15 septembre 2021 au 2 janvier 2022, Jasmina Cibic a rassemblé plusieurs années de recherches consacrées à la notion de don dans le contexte diplomatique. Le film<span data-mce-fragment="1"></span><em data-mce-fragment="1">The Gift</em><span data-mce-fragment="1"></span>(2019-2021), montré pour la première fois dans sa version complète, est un voyage cinématographique qui explore l’usage de la culture en tant que don politique à l’heure des crises identitaires européennes. La nation est brisée et afin qu’elle guérisse, un cadeau parfait doit être offert à ceux qui la composent, un don qui saura dépasser des divisions profondes en temps de crise politique et idéologique.</p><p data-mce-fragment="1">Le catalogue de cette exposition rassemble les essais de Matthieu Lelièvre, commissaire de l’exposition, et d’iLiana Fokianaki, commissaire, critique d’art et éducatrice basée à Athènes et Rotterdam, ainsi que le synopsis du film<span data-mce-fragment="1"></span><em data-mce-fragment="1">The Gift</em><span data-mce-fragment="1"></span>et une présentation des personnages et lieux de tournages. Une riche iconographie, composée des vues de l’exposition au macLYON et d’une sélection importante d’archives sur lesquelles Jasmina Cibic s’est appuyée pour concevoir<span data-mce-fragment="1"></span><em data-mce-fragment="1">The Gift</em>, complète cet ouvrage.</p> Paris, 2023 Bernard Chauveau 192 p., illustrations couleur, cartonnage éditeur. 18,5 x 27,5
Neuf
[Photographie] [Exposition universelle et internationale de Bruxelles 1958] ; Photographes, Actualit ; Baguet (Pierre) ; Brandt (Liborius) ; Detournay (M.-R.) ; Donatil (Jacques) ; Haine frères ; Kayaert (R.) ; Martin (Roger) ; Noir & Blanc, Hermans (A.) ; La Photographie Documentaire ; Photo Faider ; Polak (Jos) ; Sado ; Sentroul (Robert) ; Sergysels & Dietens
Reference : 94045
(1958)
Bruxelles, s.n. 1958 102 photographies argentiques en noir & blanc, format 20 x 25 cm sous chemises papier gris. Ensemble en excellent état.
L’Exposition universelle de 1958 ou Expo 58, officiellement Exposition universelle et internationale de Bruxelles 1958, est profondément liée à l’esprit et à l’euphorie des Trente glorieuses. Construction emblématique de cet événement, l’Atomium est devenu l’une des icônes de Bruxelles. Plans et vues générales (9 phot.) ; L’Atomium (26) - Organisations internationales (9) ; Pays participants (26 phot.) : Allemagne (2) ; Congo (1) ; Espagne (1) ; Finlande (1) ; France (4) ; Grande-Bretagne (5) ; Israël (1) ; Monaco (1) ; Nicaragua (1) ; Portugal (1) ; Saint-Marin (1) ; Soudan (1) ; URSS (2) ; Venezuela (1) ; Yougoslavie (1) - Portes et passerelles (11) - Industries, sciences, etc (20). Très bon état d’occasion