Pocket 1997 poche. 1997. Broché. 300 pages. Retraité Larry mène une existence morne et solitaire dans une vieille bâtisse du nord de Londres. Il supporte tant bien que mal les propriétaires deux rentiers acariâtres installés au rez-de-chaussée. L'arrivée au premier étage de Mandy une jeune étudiante va bouleverser son existence. Larry la couvre d'attentions et de cadeaux peut-être pour oublier la disparition mystérieuse de sa femme et de sa fille. Mais un jeune médecin en devenant l'amant de Mandy va bousculer le psychisme du retraité... La langue est assez classique mais l'atmosphère est extraordinaire. C'est le retraité tourmenté qui raconte son histoire commentant ses pulsions inavouables comme s'il se contemplait lui-même. Le côté ridicule et minable de son personnage et de ceux des deux propriétaires parvient à peine à détendre le lecteur tant l'intrigue est tendue pesante et le suspense remarquablement maîtrisé. L'ex-avocate Penelope Evans a tout d'une grande. --Bruno Ménard Bon Etat
New York, The Museum of Modern Art, 1938. In-quarto (226 X 202 mm) toile noire de l’éditeur, étiquette papier de titre au dos. MANQUE la jaquette papier imprimée, traces de frottements sans gravité à la reliure.
PREMIÈRE ÉDITION contenant 87 PHOTOGRAPHIES en noir et blanc de WALKER EVANS. EXEMPLAIRE D'ANNE HARVEY (1916-1967), contenant un EX-DONO AUTOGRAPHE de WALKER EVANS (1903-1975) en tête du premier feuillet blanc : « Anne Harvey from Walker Evans ». Peintre originaire de Chicago, Anne HARVEY émigra avec sa mère à Paris durant la grande dépression. Nièce de Caroline Dudley Reagan (créatrice de la "Revue Nègre" menée par Joséphine Baker) et de la peintre Katherine Dudley, Anne HARVEY fut liée aux artistes les plus célèbres de l'époque : L. Survage, F. Léger, C. Brancusi, L. Marcoussis, H. Matisse et P. Picasso. Jules Pascin a notamment dessiné son portrait en 1929, et elle a été photographiée par Brancusi et Walker Evans en 1930 ("Walker Evans Archive", The Metropolitan Museum of Art). Provenance : Joseph DELTEIL, mari de Caroline Dudley Reagan. BON EXEMPLAIRE, avec la DÉDICACE AUTOGRAPHE de WALKER EVANS et une INTÉRESSANTE PROVENANCE. FIRST EDITION containing 87 PHOTOGRAPHS in black and white. ANNE HARVEY'S COPY, containing an AUTOGRAPHIC EX-DONO from WALKER EVANS (1903-1975) at the head of the first blank page: « Anne Harvey from Walker Evans ». A Chicago-born painter, Anne HARVEY (1916-1967) emigrated with her mother to Paris during the Great Depression. Niece of Caroline Dudley Reagan (creator of the Revue Nègre led by Joséphine Baker) and painter Katerine Dudley, Anne HARVEY was associated with the most famous artists of the time : A. Calder, L. Survage, F. Léger, C. Brancusi, L. Marcoussis, H. Matisse and P. Picasso. Jules Pascin drew her portrait in 1929, and she was photographed by Brancusi and Walker Evans in 1930 ("Walker Evans Archive", The Metropolitan Museum of Art). Provenance : Joseph DELTEIL, husband of Caroline Dudley Reagan. GOOD COPY, with AUTOGRAPH DEDICATION by WALKER EVANS and an INTERESTING PROVENANCE. PICTURES AND MORE DETAILS ON REQUEST.
Phone number : 06 21 78 12 79
Librairie Plon, Plon-Nourrit et Cie, Imprimeurs-Editeurs à Paris Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1910 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur verte fort et grand In-8 1 vol. - 456 pages
1 portrait en héliogravure de Thomas W. Evans (complet) 3eme édition, 1910 "Contents, Chapitres : Note, préface de Edward A. Crane, iv, Texte, 451 pages - Thomas Wiltberger Evans, né à Philadelphie le 23 décembre 1823, mort à Paris le 14 novembre 1897, est un dentiste et un médecin américain du XIXe siècle. - Employé comme conseiller officieux par Napoléon III (qui l'envoya en mission diplomatique auprès du Président Lincoln et du secrétaire d'État Seward en 1864), Evans contribua à dissuader l'empereur d'intervenir en faveur du Sud dans la Guerre de Sécession. Personnalité influente du Second Empire, Evans resta fidèle à la famille impériale après Sedan et la proclamation de la République. Ainsi, il protégea l'impératrice déchue lors de sa fuite de Paris vers l'Angleterre (4-8 septembre 1870), avant d'aller rendre visite à Napoléon III captif au château de Wilhelmshöhe (octobre 1870). Il accepta également de prendre sous sa protection un fils naturel de l'empereur, Arthur Hugenschmidt, qui deviendra son associé puis son successeur. Membre du comité international de la Croix-Rouge, il organisa et finança une « ambulance américaine » lors du siège de Paris (1870). - Dentiste des têtes couronnées d'Europe, il eut l'occasion de toutes les soigner, à l'exception du Sultan, de la reine Victoria et des Habsbourg. Il prolongea ainsi de 90 jours la vie de l'empereur Frédéric III d'Allemagne en pratiquant sur lui une trachéotomie. N'hésitant pas à innover il fut l'un des premiers dentistes à utiliser le protoxyde d'azote lors d'une opération (1860 ou 1866), ainsi que du caoutchouc vulcanisé pour la réalisation de prothèses dentaires (1865). Il a également utilisé de la pyroxiline pour fabriquer des dentiers, et on lui attribue l'invention de l'occluseur rectificateur destiné à améliorer l'articulation des dentiers doubles. D'autres innovations d'Evans sont plus discutables, comme ses amalgames en alliage d'étain et de cadmium (1848). - Membre notable de la communauté américaine de Paris, Evans créa pour elle un hebdomadaire anglophone, l'American Register (1868), et participa largement au financement de la construction de l'église américaine de l'avenue de l'Alma (n°23 avenue George-V). Très riche - il aurait amassé une fortune de 35 millions de dollars - il se fit construire un luxueux palais dans le XVIe arrondissement au 43 de l'avenue du Bois-de-Boulogne, à l'angle de l'avenue de Malakoff, appelé « Bella Rosa ». Doté d'un grand escalier en marbre conçu par Garnier, l'édifice contenait notamment son importante collection d'uvres d'art, qui comprenait des tableaux de Manet. Utilisée en 1900 pour y loger des souverains étrangers en visite à l'exposition universelle, la demeure fut démolie six ans plus tard. Evans eut pour maîtresse Anne-Rose Louviot, dite Méry Laurent (1849-1900), qui l'avait été auparavant du général Canrobert, gouverneur de Nancy; celle-ci interrompit sa carrière d'actrice de comédies légères et devint la muse de nombreux artistes, dont Édouard Manet dont elle devint l'amie, et le modèle, dès 1876 (source : Wikipedia)" dos de la couverture à peine bruni, plats sinon tres propre, la couverture reste en très bon état, intérieur frais et propre, papier à peine jauni, exemplaire en grande partie non coupé, bien complet du portrait photographique de Thomas W. Evans, très légère odeur d'ancien sans gravité
Marabout 1967 11 5x18. 1967. Broché. 213 pages. Bon Etat intérieur propre
Fleuve noir 1969 poche. 1969. Broché. 249 pages. Bon Etat intérieur propre
Fleuve noir 1971 poche. 1971. Broché. 234 pages. Bon Etat intérieur propre
P. Belfond 1980 in8. 1980. Broché. 364 pages. Bon Etat
Gründ 1985 in8. 1985. Cartonné. 95 pages. Bon Etat
Brassey's (UK) Ltd 2000 25x20x2cm. 2000. Broché. 256 pages. Bon Etat
Evans Peter Lecorné Isabelle-Sophie Antoine Joseph
Reference : 82035
(2004)
ISBN : 2749901995
Pocket 1997 poche. 1997. broché. 437 pages. Bon Etat
Pocket 1997 poche. 1997. broché. 437 pages. envois en suivi pour la france et l'etranger Bon Etat intérieur propre
Plon, 1910, in-8°, iv-451 pp, traduits par E. Philippi, un portrait en héliogravure en frontispice, reliure demi-percaline verte, dos lisse avec titres dorés, couv. conservées, bon état
On sait que l'art dentaire est une chasse gardée des Etats-Unis, où l'esprit pratique des Américains combiné au 'Keep Smiling' exigé par la société démocratique a fait merveille. Dentiste donc américain, Evans (1824-1897) s'installe à Paris en 1847... — "Le docteur Thomas W. Evans, dentiste américain, né en 1824, mort en 1897, s’installa à Paris en 1847, entra dès l’année suivante en relations avec le Prince Président, et fut un des familiers des Tuileries pendant toute la durée du second Empire. Il a laissé des mémoires qui comprennent deux parties. La première, rédigée en 1884, contient un « aperçu de la situation politique et militaire de la France et de l’Allemagne immédiatement avant la guerre franco-allemande » ; cet aperçu est suivi d'une relation de la fuite de l'impératrice Eugénie en septembre 1870 et de l’établissement de la famille impériale à Chislehurst. La deuxième partie, écrite en 1896, se compose de notes rangées sans ordre sur les personnages qu’Evans avait connus et sur les événements auxquels il avait assisté ou participé. Les chapitres X a XIV en particulier racontent des événements dans lesquels Evans a joué un rôle de premier plan : la fuite de l'Impératrice, son embarquement à Deauville, son arrivée en Angleterre. Le chapitre IV fournit sur les relations de la France et des Etats-Unis pendant la guerre de Sécession quelques indications utiles..." (Pierre Caron, Revue d'histoire moderne et contemporaine, 1911) — "Témoignage de premier ordre sur la personnalité de Napoléon III, la Cour impériale, le développement industriel de la France, la guerre franco-allemande et la fin du régime impérial." (Bourachot, 156)
Plon, 1910, in-8°, iv-451 pp, traduits par E. Philippi, un portrait en héliogravure en frontispice, reliure demi-chagrin acajou, dos à 5 nerfs pointillés soulignés à froid, titres et filets dorés, couv. et dos (piqués) conservés (rel. de l'époque), bon état
On sait que l'art dentaire est une chasse gardée des Etats-Unis, où l'esprit pratique des Américains combiné au 'Keep Smiling' exigé par la société démocratique a fait merveille. Dentiste donc américain, Evans (1824-1897) s'installe à Paris en 1847... — "Le docteur Thomas W. Evans, dentiste américain, né en 1824, mort en 1897, s’installa à Paris en 1847, entra dès l’année suivante en relations avec le Prince Président, et fut un des familiers des Tuileries pendant toute la durée du second Empire. Il a laissé des mémoires qui comprennent deux parties. La première, rédigée en 1884, contient un « aperçu de la situation politique et rnilitaire de la France et de l’Allemagne immédiatement avant la guerre franco-allemande » ; cet aperçu est suivi d'une relation de la fuite de l'impératrice Eugénie en septembre 1870 et de l’établissement de la famille impériale à Chislehurst. La deuxième partie, écrite en 1896, se compose de notes rangées sans ordre sur les personnages qu’Evans avait connus et sur les événements auxquels il avait assisté ou participé. Les chapitres X a XIV en particulier racontent des événements dans lesquels Evans a joué un rôle de premier plan : la futte de l'Impératrice, son embarquement à Deauville, son arrivée en Angleterre. Le chapitre IV fournit sur les relations de la France et des Etats-Unis pendant la guerre de Sécession quelques indications utiles..." (Pierre Caron, Revue d'histoire moderne et contemporaine, 1911) — "Témoignage de premier ordre sur la personnalité de Napoléon III, la Cour impériale, le développement industriel de la France, la guerre franco-allemande et la fin du régime impérial." (Bourachot, 156)