Paris, Bibliothèque d'Art et d'Archéologie, 1918-1919. 2060 g 2 volumes in-4 brochés, [2] ff., lvi-521 pp., [1] ff.; [2] ff., 370 pp., [2] ff.. Ouvrage tiré à 800 exemplaires. Petites rousseurs sur les couvertures. . (Catégories : Lyonnais, Arts, Artisanat, )
Paris, E. Plon et Cie, 1879. 2390 g Grand in-8, demi chagrin rouge à coins, tête dorée, dos à faux-nerfs, [3] ff., xiv-[1]-398 pp., [1] ff.. Illustré d'après les dessins et tableaux de l'auteur, de 12 eaux-fortes hors-texte gravées par Le Rat, Courtry et Rajon, d'une héliogravure procédé Goupil hors-texte et de 45 gravures en relief dont 12 hors-texte et les autres in-texte. Vicaire, III, 839-840 Quelques petites rousseurs, frottements. . (Catégories : Voyages, Algérie, )
Paris et Moulins, Honoré Champion et Louis Grégoire, 1903. 795 g Grand in-8, plein papier parcheminé à la bradel, couvertures conservées, 140 pp., [1] ff., figures in-texte, 2 tableaux généalogiques, 5 planches hors-texte dont un portrait en frontispice et 7 documents hors-texte.. Saffroy, 35807. Ex-dono sur une garde. . (Catégories : Généalogie, Ancien régime, )
Lyon, Cumin et Masson, 1915. 1020 g In-8, demi chagrin brun à coins, couvertures conservées, tête dorée, 120 pp., 84 reproductions in et hors-texte, un frontispice gravé à l'eau-forte.. Signature de Joannes Drevet sur le faux-titre. Découpe angulaire faisant disparaître le nom du dédicataire. Ouvrage tiré à 305 exemplaire numérotés, celui-ci un des 220 sur Alfa. Ex-libris J. G. Quelques petits points de rousseurs. . (Catégories : Gravures / Estampes, )
Paris, E. Jorel, 1912. 250 g In-12, demi percaline brune à la bradel, couvertures conservées, ix-184 pp.. Anecdotes concernant la vie théâtrale. Un des 500 exemplaires numérotés sur papier vergé. Cachet ex-libris Jean-Marie bernicat. . (Catégories : Théâtre, )
Lettre I. Paris – 28 février 1890. [3 pages in-12 sur papier vergé crème]. Mon cher confrère, Ci-joint une vingtaine de notices sur « Paris qui Crie[2] ou les Petits métiers. » De cette façon vous pouvez prendre l’air de la maison, ruminer votre provende et pondre une jolie petite Préface : … J’espère que Mr. Prudhomme n’aurait pas dit mieux. Mais nous sommes, très, très pressés et nous n’attendons plus que vous pour paraître au grand jour. Après les coups réitérés dont vous nous frappez dans le Livre Moderne[3], sans relâche et sans indulgence exagérée, il faut que nous publions (sic) au plus vite un volume pour riposter à pareille artillerie. Or il sera assez coquet de vous voir escarmoucher dans notre Préface en faveur des Amis des Livres[4]. Qu’elle soit vive, brève, peu poussée et bien troussée, votre Préface, d’ailleurs comme vous savez les faire. Je ne vous en demande pas long, mais bon et prompt ; si c’était possible, avant votre départ pour les pays étranges[5]. Je vous rappelle que les gravures seront peinturlurées et que le texte est dû à la collaboration des membres de la société. [1] Eugène Paillet (1829-1901) est le fondateur de la société des Amis des Livres. C’était un ardent bibliophile. Sa bibliothèque fut vendue en trois fois, dont deux ventes de son vivant. - Bibliothèque d'un bibliophile, 1865-1885. Lille, Danel, 1885, petit in-8, XVI + 149 pp + (1) f. Ce catalogue à été édité à 200 exemplaires tous numérotés sur vergé de Hollande. 1000 livres sont décrits. - Catalogue des livres de la bibliothèque de M. Eugène Paillet. Paris, Damascène Morgand, 1887, in-8 avec un portrait, 170 pages, tirage à 797 exemplaires numérotés, les exemplaires sont sur grand papier vélin d'Arches. - La bibliothèque de feu M. Eugène Paillet (Président de la Société des Amis des Livres). Paris, Damascène Morgand, 1902, 2 vol. in-8. [2] Paris qui crie (petits métiers). Notices par Albert Arnal, Henry Spencer, Ashbee, Jules Claretie, Abel Giraudeau, Henry Houssaye, Henri Meilhac, Victor Mercier, Eugène Paillet, Jean Paillet, Roger Portalis, E. Rodrigues. Préface de Henri Beraldi. 1 vol. petit in-4°, 1890. 30 dessins en couleurs de Pierre Vidal, tirés au patron. Imprimé par G. Chamerot. [3] Le Livre Moderne est la nouvelle revue éphémère que vient d’entreprendre Octave Uzanne à la fin de l’année 1889. Elle comptera 24 livraisons mensuelles, soit deux années d’existence (1890 et 1891). Uzanne inflige de sévères critiques à peine voilées aux Amis des Livres dirigés par Eugène Paillet et ce dès les premières pages de sa nouvelle revue : « Soit qu’il nous plaise de résumer en un court chapitre la théorie de l’illustration moderne, soit qu’il nous convienne de parler du format des livres d’art, soit enfin que la fantaisie nous porte à partir en guerre contre la routine de nos éditeurs les plus en renom, dont l’esprit de nouveauté, de recherche et d’originalité se donne si peu carrière, on peut être assuré que nous ne faiblirons pas à notre tâche et que nous irons toujours de l’avant, sans crainte de nous attirer les sarcasmes et les calomnies des bibliophiles vieux jeu, rétrogrades, fermés aux visions du progrès et qui, loin de s’appeler amis des livres, méritent par leurs préjugés et leurs errements le qualificatif plus juste d’ennemis du Livre. (…) » (Nos variations futures sur l’art du livre et le livre d’art moderne, p. 5). Il poursuit ses acides critiques envers les Amis des Livres p. 58-60 « Les collègues de M. Eugène Paillet manifestent une impatience légitime et trouvent que la Société (des Amis des Livres) est d’un platonisme navrant. » et plus loin : « Franchement il serait temps que les Amis des Livres montrent qu’ils ne sont pas morts, frappés par l’influenza du lazaronisme et la malaria de l’indifférence. » (On-dit, racontages et anecdotes du monde des curieux). On lit encore dans la livraison du 10 février 1890 (p. 133) : « (le trésorier venant d’être renouvelé le 14 janvier) Rien d’autre à signaler ; le Comité ayant été nommé à nouveau sans autre changement, maître Eugène Paillet en tête, à cette présidence qu’il occupe si bien avec toutes les qualités requises, courtoisie, belle humeur et autorité sereine. » (Le monde des livres – ce qui s’y dit, s’y fait, s’y prépare). [4] Eugène Paillet ne manque pas d’humour en disant cela. Il sait comme les Amis des Livres sont maltraités par Uzanne dans le Livre Moderne et pourtant une demande de Préface lui a été faite. [5] Nous ne savons pas vers quelle destination Uzanne devait partir dans le courant de 1890, peut-être Anvers ? (exposition Plantin). Agréez, mon cher confrère, l’assurance de mes sentiments tout dévoués. Eugène Paillet Mr. Meilhac[1] fait l’article du Café-concert et Mr. Clarétie[2] m’a remis celui de la Bouquetière. Ces deux notices ne sont pas encore imprimées, c’est pourquoi je vous les signale, sans vous les envoyer. Ashbee[3] a composé en anglais une définition du Distributeur de Prospectus. Ne faites pas attention aux incorrections des placards – ils ne sont pas encore corrigés. Lettre II. Paris – 7 mai 1890. [2 pages petit in-12 sur papier vélin crème]. [1] Henry Meilhac, né le 21 février 1831 à Paris où il est mort le 6 juillet 1897, est un auteur dramatique, librettiste d'opérettes et d'opéras français. Après ses études au collège Louis-le-Grand, Henry Meilhac travailla tout d'abord comme employé dans une librairie. Puis il continua comme dessinateur au Journal pour rire, de 1852 à 1855, sous le pseudonyme de Thalin, et donna des articles dans diverses revues où se signalait déjà sa fantaisie dans le plus pur esprit boulevardier. Meilhac était grand, bel homme, bon vivant, amateur de jolies femmes jusqu'à rester célibataire. Avec Ludovic Halévy, rencontré en 1860, il entama une collaboration de près de vingt ans, donnant les livrets des plus célèbres opérettes de Jacques Offenbach dont La Belle Hélène (1864), La Vie parisienne (1866), La Grande-Duchesse de Gérolstein (1867) et La Périchole (1868) et aussi de Carmen de Georges Bizet (1875). Il signa également les livrets d'opérettes de Charles Lecocq et de Hervé. Le duo composa aussi des vaudevilles et des comédies: Les Brebis de Panurge (1863), Fanny Lear (1868), Froufrou (1869), Tricoche et Cacolet (1872), Le Prince (1876), La Cigale (1877), Le Mari de la débutante (1879). Des deux duettistes, Henri Meilhac apportait en propre une fantaisie irrésistible, confinant parfois à la loufoquerie. Gagnant beaucoup d'argent, il en dépensait beaucoup, cherchant l'inspiration dans les grands restaurants, les cigares et le champagne. Meilhac et Halévy fréquentèrent le salon littéraire de Geneviève Halévy ou l'on rencontrait Lucien Guitry, Paul Bourget ou Joseph Reinach, entre autres. La collaboration de Meilhac et Halévy cessa en 1881. Meilhac signa également des pièces avec d'autres collaborateurs, notamment Mam'zelle Nitouche (1883) avec Albert Millaud (1844-1892) et Manon de Jules Massenet avec Philippe Gille. Il encouragea les débuts de Georges Feydeau. Il fut élu à l'Académie française le 26 avril 1888 au fauteuil 15, en remplacement d'Eugène Labiche. [2]Arsène Arnaud Claretie, dit Jules Claretie, né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913, est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux, notamment au Figaro et au Temps, sous plusieurs pseudonymes. Il tient la critique théâtrale à L'Opinion nationale, au Soir, à La Presse. Ami d'Étienne Arago, il publie une analyse de ses Mémoires dans Le Temps du 28 mai 1892. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million et Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs sont adaptés pour la scène. En 1894, il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise et celui d' Amadis, tiré d'Amadis de Gaule, roman chevaleresque de Garci Rodríguez de Montalvo, qui n'est créé qu'après la mort des deux artistes, le 1er avril 1922 au Grand théâtre de Monte Carlo. Il est président de la Société des gens de lettres. En 1882 et 1883, il est vice-président de la Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains tels que Paul Hervieu, Henry Bataille et Octave Mirbeau, dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer. Il est élu membre de l'Académie française le 26 janvier 1888. [3] Henry Spencer Ashbee (21 April 1834 – 29 July 1900) was a book collector, writer, and bibliographer, notorious for his massive, clandestine three volume bibliography of erotic literature written under the pseudonym of Pisanus Fraxi. Mon cher confrère, J’attends toujours votre Préface pour les « Cris de Paris ». Jusqu’à présent nous ne vous avons pas tourmenté ; mais voilà que nous n’attendons plus que vous pour mener à fin notre lambine entreprise. Allons un peu de courage à la plume – Envoyez moi bien vite votre avant propos pour que Chamerot[1] l’imprime de son mieux et que notre ouvrage paraisse enfin dans toute sa gloire. Je compte, mon cher confrère, sur votre gracieuse complaisance et vous prie d’agréer l’assurance de mes sentiments dévoués. Eugène Paillet Lettre III. Paris – 14 mai 1890. [2 pages grand in-12 sur papier vergé crème]. Mon cher confrère, Je regrette beaucoup qu’au dernier moment, vous renonciez à écrire la Préface de « Paris qui Crie ». De cette résolution les Amis des Livres ne se consolent pas facilement, puisqu’ils vont être privés d’un mets savoureux, dont ils se régalaient à l’avance. Quant à votre serviteur, le voila contraint de faire appel à un bibliographe moins accablé de besogne[2] ; mais auquel il faudra toujours un certain temps pour composer sa copie. Vous voyez qu’il n’y a pas de notre faute et vous n’avez plus le cœur de nous plaisanter dans le Livre, sur notre lenteur à produire un ouvrage. Quoi qu’il en soit, je suis persuadé que, seules, vos occupations vous empêchent de nous accorder votre collaboration et je souhaite que vous n’assumiez pas un travail trop considérable qui finirait par vous fatiguer. Mais, si vous n’écrivez pas pour nous, il ne faut pas nous priver de votre présence et nous serions tous très heureux de vous voir à la première réunion des Amis des Livres. Elle aura lieu au mois de juin. Agréez, mon cher confrère, avec l’expression de tous nos regrets, l’assurance de mes sentiments dévoués. Eugène Paillet [1] C’est bien Georges Chamerot qui imprimera le volume pour les Amis des Livres. [2] C’est finalement à Henri Beraldi qu’échouera la Préface de Paris qui crie. Henri Beraldi (1849-1931), presque exact contemporain d’Octave Uzanne, était un éminent biblio-iconophile. Il est connut comme bibliographe pour ces deux ouvrages sur les graveurs du XVIIIe et du XIXe s., et comme historien pour son ouvrage sur les Pyrénées. C’est lui qui prit la présidence des Amis des Livres au décès d’Eugène Paillet en 1901.
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(1845).
Suite d'illustrations inédites pour "Le juif errant", célèbre roman d'Eugène Sue. Ces 35 dessins au crayon, tous coloriés, sont des caricatures des principaux personnages du roman publié en 1844. Remarquablement dessinées, ces très amusantes illustrations sont sans aucun doute l'oeuvre d'un caricaturiste professionnel. Elles sont très probablement d'Eugène Forest. On trouve dans la revue "Musée Philipon", 1843, 22e livraison, p. 176, une caricature titrée "Eugène Forest, dessiné par lui-même". Le personnage représenté ressemble étrangement au premier dessin montrant le "juif errant" de notre album. Eugène Forest a été tout d'abord peintre et a exposé dans des salons des tableaux de paysages et des études d'oiseaux. Puis il s'est orienté vers la lithographie et la caricature, et subit l'influence d'Henri Monnier et de Grandville. Il collabora avec Grandville et Honoré Daumier aux nombreux journaux satiriques illustrés de son époque : La Silhouette, La Caricature, Le Charivari et le Musée Philipon. Avec "Les Mystères de Paris", du même Eugène Sue "Le juif errant" a été l'un des plus grands succès de librairie du XIXe siècle. Il a été publié initialement en feuilleton dans Le Constitutionnel de juin 1844 à juillet 1845 et parallèlement en 10 volumes par Paulin. Dès 1844, il a donné lieu à une "Parodie du Juif errant", par Charles Philipon et Louis Huart, illustrée par Cham. Paulin, en 1845, publia une édition illustrée par Gavarni. Mais il n'y a aucune similitude entre ces dessins et les gravures de ces deux publications. Reliure discrètement restaurée. /// In-4 de 35 ff. Demi-basane verte, dos à nerfs orné (Reliure de l'époque.) //// Suite of unpublished illustrations for "The Wandering Jew ", Eugène Sue's famous novel. These 35 pencil drawings, all colored, are caricatures of the main characters in the novel published in 1844. Remarkably drawn, these very amusing illustrations are undoubtedly the work of a professional caricaturist. They are most probably by Eugène Forest. In the magazine "Musée Philipon", 1843, 22nd issue, p. 176, we find a caricature entitled "Eugène Forest, dessiné par lui-même" ("Eugène Forest, drawn by himself"). The character depicted bears a striking resemblance to the first drawing showing the "wandering Jew" in our album. Eugène Forest started out as a painter, exhibiting landscape plates and bird studies in salons. He then turned to lithography and caricature, under the influence of Henri Monnier and Grandville. Together with Grandville and Honoré Daumier, he contributed to the many illustrated satirical journals of his day: La Silhouette, La Caricature, Le Charivari and Musée Philipon. Along with "Les Mystères de Paris", by the same Eugène Sue, "Le juif errant" was one of the biggest bestsellers of the 19th century. It was initially published as a serial in Le Constitutionnel from June 1844 to July 1845, and in parallel in 10 volumes by Paulin. As early as 1844, it gave rise to a "Parodie du Juif errant", by Charles Philipon and Louis Huart, illustrated by Cham. In 1845, Paulin published an edition illustrated by Gavarni. But there is no similarity between these drawings and the engravings in these two publications. Binding discreetly restored. /// PLUS DE PHOTOS SUR WWW.LATUDE.NET
[Société des Antiquaires de Normandie], Cochet (abbé), Beaurepaire (Eugène de Robillard de), Le Héricher (Édouard), Demiau de Crouzilhac (F.), Mancel (G.), Thaurin (J-M.), Sainte-Suzanne (M. de Boyer de), Puiseux (Léon), Laffetay (abbé), Beautemps-Beaupré, Hippeau (Célestin), La Quérière (M. de), Pontaumont (Lechanteur de), Demiau de Crouzilhac, Cauvet, Estaintot (Vicomte Robert d), Chatel (Eugène), Caix (Alfred de)
Reference : 3326
1859 - 1861 Société des Antiquaires de Normandie, Le Blanc-Hardel, Le Brument, Derache, Didron, Caen, Rouen, Paris, 1859 - 1861. In Mémoires de la Société des Antiquaires de Normandie, 3e série, 4e volume, XXIVe volume de la collection. 4 fascicules grand in-4 brochés, 264 et 317 pages.Bon état, à relier.
Contient : Histoire de la Société (1858-1860). Cochet (abbé), Notice sur les anciennes sépultures et pierres tombales trouvées à Leure, en 1856 et 1857, lors de la reconstruction de léglise Saint-Nicolas (Rapport à M. le maire du Havre). Beaurepaire (Eugène de Robillard de), Olivier Basselin, Jean Le Houx et le vaudevire normand. Le Héricher (Édouard), Notes philologiques sur le Roman de Rou et le Roman du Mont-Saint-Michel. Demiau de Crouzilhac (F.), Le château de Crèvecur. Mancel (G.), Notice sur léglise Saint-Georges du château de Caen. Thaurin (J-M.), Note historique et archéologique sur le cippe funéraire antique du batelier Aprius. Sainte-Suzanne (M. de Boyer de), Observations sur quelques parties du théâtre antique. Puiseux (Léon), Robert lHermite. Étude sur un personnage normand du XIVe siècle. Laffetay (abbé), Sur les chasubles de saint Raven, saint Rasiph et saint Pantaléon. Cochet (abbé), Note sur les reste dun palais de Charles le Chauve (861-869), retrouvés à Pitres, canton du Pont-de-lArche, arrondissement de Louviers (Eure), en 1854, 1855, 1856. Beaurepaire (Eugène de Robillard de), Les briques émaillées du château de Ducey. De ladministration de la Normandie, sous la domination anglaise, aux années 1424, 1425 et 1429, daprès trois comptes de la Recette générale de Normandie, conservés à la Bibliothèque impériale.Beautemps-Beaupré, Notice sur un manuscrit de la Coutume de Normandie. Hippeau (Célestin), Notice sur la Vie de saint Thomas le Martyr, archevêque de Canterbury, poème de Garnier de Pont-Sainte-Maxence.Thaurin (J.-M.), Le vieux Rouen et ses monuments. Cochet (abbé), Archéologie céramique des sépultures. La Quérière (M. de), Saint-Martin-sur-Renelle, ancienne église paroissiale de Rouen, supprimée en 1791. Thaurin (J.-M.), Pierres tombales des anciens sénéchaux du Neubourg et de leur femmes, dans léglise de Sainte-Opportune-du-Bosc. Cochet (abbé), Voies romaines de la Seine-Inférieure. Pontaumont (Lechanteur de), (éd.), Documents inédits sur le siège de Cherbourg en 1378. Demiau de Crouzilhac, Études sur Fervaques. Cauvet, Le Droit de Colombier sous la coutume de Normandie. Cochet (abbé), Une nouvelle visite à Pitres. Estaintot (Vicomte Robert d), Recherches historiques, archéologiques et féodales sur les sires et le duché dEstouteville. Chatel (Eugène), Bougeoir romain trouvé dans les fouilles du Vieil-Évreux : des chandelles de suif, des bougies de cire, des cierges, des candélabres, des chandeliers, des bougeoirs et des lanternes chez les Romains. Beaurepaire (Eugène de Robillard de), Documents sur la captivité et la mort de Dubourg dans la cage de fer du Mont-Saint-michel. Caix (Alfred de), Histoire du bourg dÉcouché, département de lOrne. Cochet (abbé), Divisions territoriales de la Seine-Inférieure, aux époques gauloise, romaine et franque. Chatel (Eugène), Note sur un moëllon de léglise de Baron. La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné. La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné.
REVILLOUT Eugène, publiée par. AMELINEAU, BIGOT, BISSON DE LA ROQUE, DELAPORTE, GIRON, MALLET, PATURET, ABBÉ SAINT PAUL GIRARD, avec la collaboration de.
Reference : 19290
<p>De la page 1 à 22 : Revillout, Eugène: Le Koufi, [2]: dialogues philosophiques 22-32 Revillout, Eugène: Textes coptes: extraits de la correspondance de St. Pésunthius évêque de Coptos et de plusieurs documents analogues (juridiques ou économiques) 33-39 Revillout, Eugène: Papyrus magique de Londres et de Leide, [3] 39-69 Revillout, Eugène: Textes démotiques d'époque ptolémaïque et romaine transcrits en hiéroglyphes 69-77 Revillout, Eugène: Contrats démotiques archaïques du musée Rylands 77-82 Revillout, Eugène: Les vignettes du papyrus Rhind No. 1 82-87 Revillout, Eugène: Mémoire sur la vocalisation hébraïque 87-92 Revillout, Eugène: Un contrat d'aliénation d'une maison par voie d'échange sous l'ancien empire égyptien, [1] 92 Revillout, Eugène: Deux contrats démotiques archaïques </p> Paris, 1912 pp. 1-92, 4 planches, broché à relier. 21 x 29
Occasion
<p>De la page 1 à 4 : Revillout, Victor: Deux lettres inédites de notre collection, [1] 5-8 Revillout, Victor: Istar Taribi, [1]: Deux nouveaux contrats inédits de notre collection - idéogrammes de la déesse Istar et du dieu Bunéné 8-9 Wessely, Carl: L'ensevelissement d'un Apis à l'époque impériale 10-16 Revillout, Victor; Revillout, Eugène: Un passage de la plaidoirie de Demosthène contre Aphobos: commenté à l'aide des contrats babyloniens 17-32 Revillout, Eugène: Leçon d'ouverture du 7 décembre 1896 33-43 Revillout, Eugène: Les origines religieuses du droit et du patriotisme dans l'ancienne Égypte: leçon d'ouverture du cours de droit égyptien prononcée en décembre 1893 à l'École du Louvre 43-50 Revillout, Eugène: Un procès criminel 51-57 Revillout, Eugène: Un papyrus métrologique et judiciaire inédit 57-59 Revillout, Eugène: L'interrogatoire des témoins et la question des accusées dans les procès criminels égpytiens 60-61 Revillout, Eugène: Une corruption de fonctionnaires dans l'ancienne Égypte 61-63 Revillout, Eugène: L'origine mythologique des entretiens de la chatte et du chacal 63 Avis au lecteur 64-68 Notice bibliographique </p> Paris, 1897 pp. 1-68, broché à relier. 21 x 29
Occasion
Paris, Launette et Baschet, 1881-1882. 60 fascicules in-4, en feuilles, couvertures des fascicules conservés.
Chaque fascicule contient deux biographies, des dessins et croquis, des lettres ornées, des en-têtes spécialement dessinés pour chaque artiste par G. Fraipont et deux photogravures par Goupil. Edition de "grand luxe", tirage en bistre, tiré à 662 exemplaires, celui-ci un des 650, texte sur papier vélin, gravures sur Chine monté.Première partie, les peintres de genre. XII, 164 pp. : A. Vély, Lobrichon, Chaplin, Jacquet, Gérôme, Gustave Boulanger, Jules Goupil, Firmin Girard, Fortuny, Jules Garnier, Adrien Moreau, A. Weisz, Eugène Lambert, J. Caraud, Gustave Brion, Jeanne Bôle, F.-H. Kaemmerer, Rudaux, Compte-Calix, Steinheil, Louis Leloir, Worms, Pinchart, F. Willems, Raimond de Madrazo, James Bertrand, Hector Le Roux, Dagnan-Bouveret, De Nittis, Louis Jimenez, Vibert, Hermann Léo, Léon Perrault, Laure de Chatillon, Stevens, F. Roybet, Cot, Aimé Perret, Munkacsy, Villa.Deuxième partie, les peintres militaires et les peintres de nu. (2) ff., 160 pp., (2) ff. : A. de Neuville, Edouard Detaille, Berne-Bellecour, H. Dupray, P. Jazet, Léon Couturier, L. Sergent, Eugène Chaperon, Alexandre Protais, Eugène Médard, J.-A. Walker, Jules Lefebvre, W. Bouguereau, J.-J. Henner, Paul Baudry, E. de Beaumont, Adolphe Jourdan, Raphaël Collin, Charles Gleyre, Jean Aubert, Edmond Dupain, Jules Machard, Ph. Parrot, Eugène Thirion, E. Benner, L. Faléro, Gabriel Ferrier.Troisième partie, les peintres d'histoire, paysagistes, portraitistes, animaliers, etc. (2) ff., 164 pp. : Jean-Paul Laurens, Puvis de Chavannes, Lucien Mélingue, E.-V. Luminais, Tony Robert-Fleury, Charles-Louis Müller, Albert Maignan, Moreau de Tours, Fernand Cormon, Georges Cain, Jules Breton, Bastien Lepage, E. Duez, Jules Dupré, Camille Bernier, Ulysse Butin, Maurice Courant, Charles Jacque, Schenck, Rosa Bonheur, Van Marcke, Edouard Sain, Veyrassat, C. Corot, Antoine Vollon, Hippolyte Delanoy, Léon Bonnat, Carolus Duran, Delaplanche, Fremiet, Antonin Mercié, Paul Dubois, H. Chapu, Falguière, De Saint-Marceaux, Gautherin.Une quatrième partie (peintres divers), parue en 1884, manque ici.
Paris Maillet éditeur 1840 1 vol. in-12 ( 17,5 x 11 cm ) Fx. t. , frontisp. , t. , XIII , 526 pp. , (1) f. n. ch. . En frontispice , portrait sous serpente , dessiné par Caqué et gravé par Aimé de Lemud . Contient : préface , Table analytique des matières ; Vie de Nostradamus ; Histoire des oracles et des prophètes ; Centuries de Nostradamus ; Explication des Quatrains prophétiques ; Table des chapitres . Demi-basane vert foncé . Dos lisse , nom de l' auteur , titre ( Prophéties ) et filets dorés . Plats papier vert foncé . Coiffes absentes . Petit manque sur une coupe dû à un choc . Nombreuses rousseurs ne gênant cependant pas la lecture . Notes au crayon à papier dans le texte et sur la dernière contregarde . ( Collat. complet ).
Même éditeur et même date que l' E. O. . Eugène BARESTE ( Paris 1814 - id 1861) , littérateur , journaliste , biographe . " En 1840, Eugène Bareste fait paraître, Nostradamus, par Eugène Bareste [ .... ] Orné d'un portrait authentique de Nostradamus, par Aimé de Lemud [Paris : Maillet, éditeur, rue de l'Est, 31 et chez tous les marchands de nouveautés. In-12, XVIII-527 p., portrait. 1840].Un texte d'avertissement, de deux pages, daté du 29 juin 1840, est placé en tête du volume : «[l'auteur] n'a pas voulu faire paraître son volume au commencement de janvier, afin qu'on ne le considérât point comme un de ses nombreux almanachs sans valeur, ou comme une de ces brochures prophétiques, qui ont toujours le grave inconvénient de compromettre la cause qu'elles veulent servir []».Réédité la même année, comme deuxième et troisième édition. Avec sur la page de titre un texte de Charles Nodier, mis en page sous forme d'un losange [ ...] La même année [1840] et sans doute en fonction du succès de librairie du Nostradamus, Eugène Bareste fait paraître : Prophéties. La Fin des temps, avec une notice, par Eugène Bareste [ Paris : Lavigne. In-18, XII-136 p., 1840]. Le livre reprend des thèmes déjà abordés dans le Nostradamus . " ( Bareste, Eugène (1814-1861), du saint-simonisme à lédition populaire in Textes rares , Témoignages sur le monde de l'édition du XVe au XIXe siècle, textes et images / Philosophie française du XIXe siècle / Histoire de l'éducation au XIXe siècle , 15 juin 2011 )
Phone number : 05 53 48 62 96
<p>De la page 1 à 28 : Revillout, Eugène: Le Koufi, [1]: dialogues philosophiques 29-38 Revillout, Eugène: Le roman du Setme, [2]: second roman du Setme Xaemuas 38-43 Revillout, Eugène: Le roman dit de Setna, [2]: recit d'Ahura 43-109 Revillout, Eugène: Les deux versions hiéroglyphiques du décret de Rosette, accompagnées du texte démotique transcrit en hiéroglyphes et de la version grecque 109-129 Revillout, Eugène: Supplément sur le décret de Philée et le classement historique des diverses versions de Rosette 129-131 Revillout, Eugène: Note annexe sur les relatifs dans les décrets de Rosette et de Philée 131-132 Revillout, Eugène: Note annexe sur l'optatif à propos des décrets de Rosette, de Philée et de Canope </p> Paris, 1910 pp. 1-132, broché à relier. 21 x 29
Occasion
Pau, Auguste Bassy, circa 1841-1844, in-folio, 10 lithographies en couleurs dont un titre illustré, Demi-veau à coins, plats de toile chagrinée noire, titre doré en long sur dos fileté et titre en doré au premier plat, Magnifique ouvrage "édité et lithographié par Auguste Bassy à Pau" et "imprimé par Lemercier à Paris" dont il existe très peu d'exemplaires, avec plusieurs tirages et des combinaisons de planches différentes. Cet exemplaire comprend par ordre d'apparition : "Souvenir des Eaux-Bonnes | Souvenir des Eaux-Chaudes - Retour d'une chasse à l'Izard | Costumes pyrénéens - Danse aux Eaux-Bonnes | Pauvres à Louvie (Vallée d'Ossau) | Costume des Eaux-Bonnes ( x 4 pl.) | Guide aux Eaux-Bonnes." Les trois premières planches sont des scènes de genre présentées à l'horizontal ; les six dernières planches avec un ou deux personnages en costumes sont présentées à la verticale et numérotées de 1 à 6. Toutes les planches de ce recueil sont signées par Eugène Devéria (1805 - 1865), dessinateur et peintre, très apprécié de ses contemporains. Parisien, il fit son apprentissage auprès de son frère aîné Achille (1800-1857), peintre et lithographe renommé. Eugène devient célèbre dès l'âge de vingt-deux ans en exposant La Naissance d'Henri IV au Salon de 1827 du Louvre, oeuvre qui marqua définitivement les esprits, en particulier ceux de la jeunesse romantique de son temps notamment Théophile Gautier. Entre 1838 et 1840, il séjourne avec sa famille à Avignon et entreprend le décor mural de la chapelle de la Vierge à Notre-Dame des Doms dans des conditions de travail très rudes. Au cours de ce séjour, le peintre et sa famille sont victimes d'une crue du Rhône qui manque d'emporter leur maison. Pendant l'hiver 1840, le peintre malade, en proie à une crise spirituelle qui le conduira à se convertir au protestantisme en 1843, se réfugie à Pau. Atteint d'une péripneumonie, il effectue durant l'été 1841 une cure aux Eaux-Bonnes et décide de s'établir à Pau où il résida plus de vingt ans. C'est pendant ses diverses cures aux Eaux-Bonnes et aux Eaux-chaudes des Pyrénées, que l'artiste réalisa ce porte-folio de costumes pittoresques. Les superbes planches lithographiées, rehaussées à la main en couleurs, étaient vendues à la pièce, insérées dans des ouvrages ou bien sous forme de recueils, elles permirent ainsi à Eugène Devéria d'asseoir sa popularité et de subvenir à ses besoins. L'artiste voyage ensuite aux Pays-Bas, en Écosse ou en Grande-Bretagne, puis retourne à Pau où il s'éteint en 1865. Porte deux cachets ex-libris au titre de "Js Liebach Hartmann à Mulhouse" : Jacques HARTMANN-LIEBACH (1794-1876), industriel et propriétaire de la filature Hartmann Liebach située rue des Champs à Mulhouse. Bel exemplaire, dos refait à l'identique. Labarère, Bibliographie pyrénéiste, 486. Barthélemy Jobert : Eugène Devéria, protestant romantique, Artois Press Université, p. 67-76. R. Ancely, La vie Pyrénéenne d'Eugène Devéria, Pau, G. Lescher-Montoué, 1940. Eugène Devéria 1805-1865, catalogue d'exposition, 17 décembre 2005-19 mars 2006, Musée national du Château de Pau - Musée des Beaux-Arts de Pau, RMN, Paris, 2005. Couverture rigide
Bon 10 lithographies en couleurs
[Eugène Courboin] - STENDHAL (Henri Beyle, DE). Eugène COURBOIN, illustrateur. Angelo MARIANI (provenance). UZANNE, Octave (directeur de la publication, éditeur).
Reference : AMO-4499
(1890)
Paris, Publié pour les Sociétaires de l'Académie des Beaux Livres (Bibliophiles contemporains), 1890 (achevé d'imprimer le 20 décembre 1890). 1 volume grand in-8 (26 x 18 cm), 170-(2) pages. Toutes les pages sont décorées d'encadrements en camaïeu par Eugène Courboin, eaux-fortes dans le texte gravées par Manesse d'après les dessins d'Eugène Courboin. Reliure de l'époque plein maroquin violine, dos à deux nerfs, plats décorés d'une guirlande de fleurs oranges et feuillage de houx, décor mosaïqué au centre du premier plat avec rehauts de motifs au fer à dorer avec la devise dorée AMOR A -MORT (avec serpents argentés, anges souffleurs de trompettes, le tout surmonté par une tête de mort en majesté cernée de rayons d'or), avec feuillages. Dos mosaïqué de fleurs de lis avec titre doré au centre. Encadrement intérieur mosaïqué de fleurettes rouges et feuillage doré, doublures et gardes de tabis gris, filet doré sur les coupes, tranches dorées. Etui bordé. Reliure signée CH. MEUNIER 97 (Charles Meunier, 1897). Exemplaire parfaitement conservé. Quelques décharges en regard des gravures.
Tirage à 160 exemplaires pour les membres de la Société des Bibliophiles Contemporains. Celui-ci imprimé pour Monsieur Angelo Mariani. Les encadrements par Eugène Courboin sont d'une inventivité et d'une imagination qui annoncent le Symbolisme et l'Art nouveau. Les eaux-fortes insérées dans les pages (différentes tailles) apportent un aspect esthétique supplémentaire à l'ensemble. Ce livre peu connu des bibliophiles, d'un tirage rare, mérite cependant toute leur considération. L’Abbesse de Castro est la plus connue des Chroniques italiennes de Stendhal et constitue un condensé particulièrement riche de l’écriture stendhalienne. L’écriture de cette chronique est contemporaine de celle de La Chartreuse de Parme : la découverte en 1833 de manuscrits italiens dans les bibliothèques ou chez de riches particuliers fournit la première impulsion à l’imagination de l’auteur, qui ne se démentira jamais jusqu’à sa mort prématurée. Stendhal s’empare de ce matériau et se l’approprie, tant et si bien que la majeure partie de L’Abbesse de Castro n’est en rien une traduction, mais bien une invention. Cette chronique se présente comme une histoire d’amour impossible entre Hélène, élevée au couvent de Castro, riche héritière d’une puissante famille des environs de Rome, et Jules, fils de brigand, et pauvre parmi les pauvres. Leur différence sociale, la religion, une sourde fatalité : tout s’oppose à leur union et concourt à leur perte. Histoire effrénée d’amour, de violence et de mort dans l’Italie du XVIe siècle, L’Abbesse de Castro revisite les grands mythes amoureux de la littérature. Il s'agit du deuxième ouvrage publié par les soins d'Octave Uzanne pour les membres de la jeune société des Bibliophiles contemporains, née à peine un an auparavant (novembre 1889). Octave Uzanne en est le maître d'œuvre. Il emploie ici le talent d'Eugène Courboin qui participera à d'autres publications bibliophiliques pour le Prince des Bibliophiles. Provenance : de la bibliothèque Angelo Mariani relié pour lui et imprimé à son nom. Angelo Mariani (1838-1914) fut l'inventeur et le propagateur du vin tonique à la coca, dit vin Mariani. Il fut l'ami intime d'Octave Uzanne et de son frère Joseph qui fut son secrétaire et le directeur des Figures Mariani (biographies de personnolités) recueillies entre 1894 et 1914 (puis avec le fils de Mariani de 1914 à 1925). Mariani fut également mécène et bibliophile. Splendide exemplaire relié en maroquin mosaïqué richement décoré pour Monsieur Angelo Mariani, ami de l'auteur et célèbre inventeur et propagateur du vin à la coca dit Vin Mariani. Un des plus beaux exemplaires qu'on puisse imaginer pour cet ouvrage.
Phone number : 06 79 90 96 36
[Roux Géo ] - - Legay Marcel,Manescau Eugène,Lemercier Eugène,Guméry,Droccos A.,Guérard Robert,Marie Constant - Lemercier Eugène,Vadorin de Volgré,Couté Gaston,Masselier Albert,Jolivet F.H,Guérard Robert,Loréal,Désautés Marcel,Bizeau Eugène,Millery Jean,Paillette Paul,Marie Constant
Reference : 93607
La Muse Rouge
Bon état Petit format
Théâtre complet de Eugène Labiche, avec une préface par Emile Augier Eugène Labiche était un dramaturge français du XIXe siècle, célèbre pour ses comédies satiriques et burlesques. Ses œuvres ont été largement jouées et appréciées pour leur humour et leur satire sociale. Le "Théâtre complet de Eugène Labiche" désignerait une compilation de ses pièces de théâtre, qui sont nombreuses. Parmi les pièces les plus célèbres d'Eugène Labiche, on peut citer : "Un chapeau de paille d'Italie" : Cette comédie est l'une des œuvres les plus connues de Labiche. Elle raconte l'histoire d'un homme qui perd le chapeau de paille d'une femme mariée, ce qui entraîne une série de quiproquos et de situations hilarantes. "La Cagnotte" : Cette pièce aborde la question d'une cagnotte gagnée à la loterie et les disputes qui en découlent parmi les amis et la famille. "Le Voyage de Monsieur Perrichon" : Cette comédie met en scène un homme prétentieux qui fait un voyage en montagne avec sa famille, ce qui donne lieu à de nombreuses situations comiques. "Le Gendre de Monsieur Poirier" : Cette pièce traite des mariages arrangés et des conflits entre les générations. "Le Misanthrope et l'Auvergnat" : Une comédie qui met en scène un misanthrope, qui, malgré son mépris pour la société, se retrouve à devoir aider un Auvergnat. "Le Chapeau de paille" : Cette pièce raconte l'histoire d'un mari infidèle qui tente de cacher un chapeau de paille dans sa chambre. Ces pièces de théâtre sont caractérisées par leur humour farceur, leurs personnages excentriques et leurs satires de la société de l'époque. Un "Théâtre complet de Eugène Labiche" regrouperait l'ensemble de ses œuvres théâtrales, permettant aux lecteurs de découvrir ou de redécouvrir son talent pour la comédie et la satire sociale. Jolie édition complète en 10 volumes, in8, 18x11, reliés demi toile, qq rousseurs, bel état intérieur 487 + 511 + 501 + 491 + 467 + 462 + 442 + 503 + 510 + 493 pages. Édition des pièces de théâtre d'Eugène Labiche comprenant les titres suivants : Chapeau paille d'Italie, Misanthrope et auvergnat, Edgard et sa bonne, Fille bien gardée, Jeune homme pressé, deux papas très-bien, Affaire rue Lourcine, Monsieur Perrichon, Grammaire, Petits oiseaux, Poudre aux yeux, Capitaine Tic, Célimare le Bien-aimé, Monsieur prend mouche, Frisette, Mon isménie, J'invite le colonel, Baron de Fourchevif, Club champenois, Moi, les deux timides, Folleville, Chez Véry, Maman Sabouleux, Suites d'un premier lit, Marquises de La Fourchette, Cagnotte, Perle canebière, Premier pas, Gros mot, Choix d'un gendre, Monsieur Montaudoin, Plus heureux des trois, Commode de victorine, L'avare, Sensitive, Cachemire X.b.t, Gladiators, Petit voyage, 29 degrés à l'ombre, Major Cravachon, Main leste, Pied dans le crime, Petites mains, deux merles blancs, Chasse aux corbeaux, Un monsieur qui a brulé un e dame, Clou aux maris, Doit-on le dire, Noces Bouchencoeur, La station Champbaudet, Point de mire, Prix Martin, J'ai compromis ma femme, La cigale, Si jamais je te pince, Mari qui lance sa femme - Paris, Calmann, Lévy, 1886
CORBIERE (Edouard), SUE (Eugène), PLEE (Eugène), DUHAUTCILLY, LECOMPTE (Jules), Fulgence Girard, A. Jal, Geoffroy Saint-Hilaire, Léon Gozlan, Denis de Trobriand, Juan Floran, P. Hennequin, De Sainson, Anténor de Caligny, Louis Reybaud, P. Chevalier ...
Reference : 15455
(1834)
Réunion de quatre livraisons de la nouvelle série de cette revue vouée selon son sous-titre aux récits de «naufrages – pirateries – voyages – incendies – famines – évènements de mer », soit premier et second semestres 1834, premier et second semestre 1835 (daté par erreur de 1836 sur la couverture). En tout, quatre volumes in-8, brochés, 282, 231, 214 et 225 pages, gravures hors texte. Au sommaire: Edouard Corbière (Les Smoglers – L’Athlète de bord – La corvette La Parisienne – Le Prisonnier de guerre – Le petit Forban – Un calme plat sous l’équateur – Le matelot Carottier et le matelot Fanfan – Le corsaire L’Oiseau- de-Nuit), Eugène Sue (L’Aïeul de Jean Bart), Eugène Plée (Mœurs créoles. Habitations aux Antilles, vie d’un économe), Duhaut-Cilly (Souvenirs de la mer du Sud, relâche aux îles Sandwich), Jules Lecompte, Fulgence Girard, A. Jal, Geoffroy Saint-Hilaire, Léon Gozlan, Denis de Trobriand, Juan Floran, P. Hennequin, De Sainson (Naufrage de Lapérouse aux îles Wanikoro), Anténor de Caligny, Louis Reybaud, P. Chevalier, etc. Beaux exemplaires tels que parus, quasiment exempts de rousseurs.
1 feuillet in-8 rédigé recto-verso, 22 avril 1863
Intéressante copie d'acte d'huissier, qui fut remise à l'éditeur Edouard Dentu. Il lui est interdit de régler son confrère Humbert, les sommes devant servir au paiement d'Eugène de Mirecourt. On trouve trace de 3 titres de Charles-Jean-Baptiste Jacquot, dit Eugène de Mirecourt (1812-1880), édité en collaboration entre Dentu et Humbert : "Le Petit-fils de Pigault-Lebrun" (1863), "La bourse et les signes du siècle" (1863) et "La queue de Voltaire" 1864. Bon document témoin de la complexité des relations entretenues par les auteurs et éditeurs tout au long du siècle.
DE VOGÜE Eugène-Melchior (Avant-propos ) - Eugène BURNAND (illustrations)
Reference : 104841
(1921)
1921 Berger-Levrault Editeurs - 1 vol in-4 - 1917 - Demi chagrin marron (dos décoloré) - 5 nerfs, titre, fleurons et caissons dorés - 147 pages - Illustrations en noir et blanc en et hors texte par Eugène Burnand sous serpentes - Avec un envoi mais pas de l'auteur en page de garde
Bon état général - Petites épidermures au dos de la reliure
[Société des Antiquaires de Normandie], Cochet (abbé), Beaurepaire (Eugène de Robillard de), Chatel (Eugène), Caix (Alfred de)
Reference : 3665
(1861)
1861 1861 Société des Antiquaires de Normandie, Le Blanc-Hardel, Le Brument, Derache, Didron, Caen, Rouen, Paris, 1859 - 1861.In Mémoires de la Société des Antiquaires de Normandie, 3e série, 4e volume, XXIVe volume de la collection.1 fascicule grand in-4 broché, pages 481 à 672 et VII pages.Etat d'usage, à relier.
Contient :Beaurepaire (Eugène de Robillard de), Documents sur la captivité et la mort de Dubourg dans la cage de fer du Mont-Saint-michel.Caix (Alfred de), Histoire du bourg dÉcouché, département de lOrne,.Cochet (abbé), Divisions territoriales de la Seine-Inférieure, aux époques gauloise, romaine et franque.Chatel (Eugène), Note sur un moëllon de léglise de Baron. La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné. La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné.
FIGUIERE (Eugène), FONTAINE (Jean de la), CLOUZET (Gabriel), MERCEREAUX (Alexandre), POINCARE (Raymond), OMBIAUX (Maurice des), BRULAT (Paul), LETY-COURBIERE (Alexandre). GLEIZE (Albert), LAURENCIN (Marie), DOMIN (André), RENO, CIOLKOWSKI, STAB, NARBONNE (Eugène), WARNOD (André).
Reference : 17191
(1920)
Paris Eugène Figuière 1920 20 Collection complète de la série "Un petit bréviaire". Paris, Eugène Figuière et Cie éditeurs collection les Petits Livres d'Heures, (1920), 20 volumes in-16, broché, couvertures illustrées d'une vignette en couleurs sur papier glacé, collée, titre en bleu.
Rare collection complète des "Petits bréviaires" illustrés par André DOMIN, chacun consacré à un thème précis : petit bréviaire de la jeunesse, des fiancés, de l'amitié, de la volonté, des heures, de la mère, de la tendresse, de la solitude, de la douleur, de la vie, du bonheur, de la sagesse (recueil des fables de la FONTAINE), du mariage, de l'ambition, de l'amour, de la femme, de la mort, de la gourmandise, du patriotisme (rédigé par le président de la République Raymond POINCARE), et de la jeune fille. Par cette collection, Eugène FIGUIERE voulait "instituer la mode charmante des petits livres donnés en cadeau, à la place des sempiternelles futilités des jours de fête ou d'étrennes (...) Il fallait, pour que ces éditions pussent plaire, qu'elles fussent dans le bon goût français, coquettes, élégantes, délicieuses par l'aspect comme par le contenu". Usures aux dos, déchirures, restaurations, infimes manques de papier sur certains volumes, petites taches aux plats inférieurs sur certains volumes.
Lausanne, Edita, 1985, in-4°, 211 pp, 119 photos à pleine page, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, bon état
Bel album où des extraits d' "A la recherche du temps perdu" illustrent un choix de photographies d’Atget. — Marcel Proust et Eugène Atget bien que contemporains ne se connaissaient pas. Leurs œuvres monumentales témoignent de cette même volonté patiente et méticuleuse de restituer la vie de leur temps, ce Paris légendaire de la Belle Époque. Tandis que Proust s'attachait à décrire la complexité de l'âme humaine, Atget, lui, photographiait les rues, les places, les jardins, les échoppes qui allaient servir de décor au peuple parisien. Dans cet ouvrage les photographies de l'un font subtilement écho aux mots de l'autre, c'est Odette ou encore Albertine qu'on croit reconnaître derrière les passantes furtives, c'est l'hôtel de la duchesse de Guermantes que dissimulent les lourdes portes cochères. Ces deux regards croisés sur un Paris irrémédiablement perdu suscitent une émotion teintée de mélancolie. — C'est M. Arthur D. Trottenberg, professeur à l'université de Harvard, qui eut l'idée de choisir des photographies d'Eugène Atget, conservées en Amérique par Bérénice Abbott, de les accompagner d'extraits de "A la recherche du temps perdu" de Marcel Proust et de les réunir en un volume. Eugène Atget ne connaissait ni Marcel Proust, ni son œuvre, mais l'écrivain et le photographe avaient en commun la dévorante passion d'enregistrer la vie complexe et le pouls rapide de Paris au tournant du siècle. Ils partageaient aussi le don d'user du pouvoir évocateur de l'image visuelle comme moyen de communication esthétique. Les images qui jaillissent du texte et de la photographie transcendent alors les idées et les émotions exprimées et deviennent pures œuvres d'art. En décrivant "A la recherche du temps perdu", Proust s'intéressait aux gens et à la signification de leurs rapports entre eux; son examen microscopique de leurs relations est souvent coloré et, dans une certaine mesure, motivé par sa sensibilité exceptionnelle au monde visuel. Cette même sensibilité caractérise l'œuvre d'Eugène Atget, et les deux artistes l'un par l'objectif et l'autre par la plume, ont rendu une époque et un lieu précis avec une vigueur unique. Ce livre veut rapprocher les œuvres de deux artistes inégalables afin que l'art de l'un illumine et fortifie l'art de l'autre.
Eugène DELACROIX. Écrits d'Eugène Delacroix. 1942, Plon, Paris. Editions d'histoire et d'art. Dans la collection "les cahiers de l'unité française", publiés sous la direction de Jacques et René Wittman. 2 vol. in-12 brochés de XIII-97 et 98 pages. Exemplaire non coupé, à marges. Édition originale, un des 25 exemplaires de tête numérotés sur vélin d'Arches. (Celui-ci un des 10 hors-commerce). Premier grand papier. Très bon
[REVUE]. LES MARGES. " Revue littéraire fondée en 1903 par Eugène Montfort ".
Reference : 10907
N° 127 (15 janvier 1925). Albert Marchon, René Martineau, Denis Saurat, Albert Flad, Marcel Milet, Pierre Leguay, Eugène Monfort, Pierre Lièvre, etc. Bon état.
LES MARGES. " Revue littéraire fondée en 1903 par Eugène Montfort ". Paris. (5, rue Chaptal, puis 164, boulevard Montparnasse, puis 99, boulevard Raspail). Directeur : Eugène Monfort. In-8° broché. 229 numéros ont paru en 215 livraisons de novembre 1903 à juin 1937.