Paris, Fayard frères, s.d. (1900) in-8, [3] ff. n. ch., 404 pp., [2] ff. n. ch. de table, avec 48 planches hors texte réunissant 96 illustrations, demi-chagrin havane à coins, dos à nerfs orné de pointillés et doubles caissons dorés, double filet doré sur les plats, tête dorée (reliure de l'époque).
Édition originale. Encore un voyage de l'un des petits-fils de Louis-Philippe, effectué en 1897-1898 : Gaston d'Orléans (1842-1922), fils aîné du duc de Nemours, époux d'Isabelle du Brésil, fille aînée de l'Empereur Pierre II, est la souche de la maison d'Orléans-Bragance.Envoi autographe de l'auteur au comte de Lévronne, agent-général de la Compagnie du Canal de Suez, "en souvenir des jours trop courts passés au Caire". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
LORRAINE (Charles IV duc de) fils de François de Lorraine, comte de Vaudémont, passa son enfance à la Cour de France, compagnon de jeu du futur Louis XIII. Il Succéda à son oncle Henri II en 1624 et devint duc de Lorraine et de Bar de 1625 à 1675 avec plusieurs interruptions, pendant cette période du fait d’une vie très agitée, se mêlant aux intrigues de la Fronde, à la guerre de Trente ans et ayant une vie conjugale tumultueuse (1604-1675). Il accueillit Gaston d’Orléans fugitif et donna en mariage, sa sœur Marguerite, qui lui attira les colères de Richelieu et Louis XIII, lui prit Nancy et d’autres places. Son second mariage avec Béatrix de Cusance, fut toutefois cassé par le Pape Urbain VIII en 1639.
Reference : 95C21
Le prince demande l’admission des Pères Carmes des chaussés (probablement le couvent des Carmes déchaussés de Liège, au Prince et Abbé de Stavelot afin de fonder un couvent pour le salut de leur âmes, « estant grandement désirés du peuple de Stavelot ayant heu aussi Considération quils y peuvent vivre sans leur estre a charge ; et comme ils ont beaucoup d’attendre que vous voudrez bien seconder ce bon et pieux dessein en leur accordant ceste permission. Ils ont cru quils lobtiendroient plus facilement si Je Joignois comme je fais, ma prière a celle quils vous en font… ».