Portrait original de Marcel Jouhandeau en tirage argentique d’époque, circa 1960, dimensions de la photo : 150 x 240 mm. Au verso, cachet humide « Photo Etienne Hubert, 21, boulevard Lannes, Paris » Beau portrait en bel état, une marque discrète de pli dans l’angle inférieur droit. Etienne Hubert a souvent travaillé pour Gallimard.
Amsterdam & Paris Grangé 1778 In-8° (201 x 131 mm), 244 pp. [1] f., [1] pl., demi-percaline verte, dos lisse plats de papier, tranches à mouchetures rouges (reliure postérieure, 1ère moitié du XIXe siècle)
Rare ouvrage sur la culture des arbres exotiques en France Première édition française rare due à Etienne-François Turgot de ces extraits de la septième édition du « Dictionnaire des jardiniers » (The Gardeners Dictionary) du botaniste écossais Philip Miller. L'ouvrage répond à un enthousiasme alors relativement récent pour les arbres et arbustes exotiques en France et prétend compléter et corriger le Traité des arbres et arbustes, publié par Henri-Louis Duhamel en 1755, qui fait alors autorité. Une brève introduction, illustrée d'une planche hors texte représentant deux méthodes de greffe, résume les principes généraux de la culture des arbres. L'ouvrage contient en outre des données spécifiques sur une centaine d'espèces classées par ordre alphabétique. Philip Miller (1691-1771) devint, en 1722, le chef-jardinier du jardin botanique de Chelsea, fondé par une société d'apothicaires dans le but d'y cultiver des plantes médicinales. Il y introduisit de nombreuses espèces exotiques dont il obtint des spécimens au cours de sa correspondance avec des botanistes du monde entier. Ses ouvrages de botanique furent maintes fois traduits et présentés sous forme d'extraits : on citera par exemple le Traité des arbres résineux et conifères, publié 10 ans avant notre ouvrage et traduit d'extraits différents du même Gardeners Dictionary. Étienne-François Turgot (1721-1788), gouverneur général de Guyane en 1764, membre associé libre de l'Académie des sciences (1765-1789), est un des fondateurs de l'Académie royale d'agriculture en 1761. Coupes et coins légèrement frottés, mouillure angulaire sur les tout premiers feuillets réapparaissant sur quelques feuillets au milieu de l'ouvrage, tache marginale en gouttière sur les tout derniers feuillets, dernier feuillet (errata) rogné en gouttière sans atteinte au texte.
Paris Charles Douniol 1861 In-12° (116 x 181 mm), de 72 pp. demi-veau rouge avec armes au centre des plats (reliure de l'époque)
UN DES PREMIERS TRAVAUX SUR LE DÉVELOPPEMENT DE LA NOUVELLE CHARITÉ AU XIXe SIÈCLE. Seconde édition parue l'année suivant l'originale, toute aussi rare qu'elle, de cette histoire descriptive et analytique de la société de Saint Vincent de Paul. Rémaniée, elle ajoute une introduction et supprime "tout le premier chapitre intitulé le progrès ainsi que quelques passages qui ne sont pas indispensables pour le but que je me propose" dans le but de mettre à la portée de tout un chacun un ouvrage portant une mise à nu de la Société dans le but de battre en brèche les critiques qu'elle subissait alors. La Société de Saint Vincent de Paul a initié une rupture avec les modes de charité traditionnels en adoptant une approche plus humaniste et respectueuse envers les personnes aidées. Fondée en 1833, cette organisation s'est éloignée des pratiques caritatives paternalistes qui prédominaient, souvent caractérisées par une assistance matérielle sans lien personnel. Au lieu de cela, elle a mis l'accent sur la "visite à domicile" et l'engagement direct, favorisant des relations basées sur la dignité et le respect mutuel. Les membres de la société cherchent à établir un contact humain avec ceux qu'ils aident, en évitant l'humiliation souvent associée à l'aide traditionnelle. Cette nouvelle vision de la charité est née dans un contexte d'urbanisation et d'industrialisation croissantes, où les inégalités sociales devenaient de plus en plus visibles. La Société de Saint Vincent de Paul a ainsi répondu aux défis contemporains en proposant une aide qui ne se limite pas à la distribution de biens matériels, mais qui inclut également un soutien moral et social. Elle vise à traiter les causes profondes de la pauvreté plutôt que ses symptômes. Cette approche novatrice a cependant rencontré des critiques dans les années 1860. Certains membres du clergé et intellectuels considéraient la Société comme une menace pour les structures traditionnelles de charité. Ces critiques étaient souvent motivées par une peur du changement et par l'idée que l'innovation dans les pratiques caritatives pourrait éroder le pouvoir des anciennes institutions. De plus, le climat politique et social de l'époque, marqué par des tensions entre modernité et tradition, a exacerbé ces résistances. Étienne Jules Gigault de Crisenoy (1831-1901), démissionne de la Marine en 1859 pour se consacrer à des études économiques et à des recherches historiques. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages. PROVENANCE : Guillaume Gabriel Pavée de Vendeuvre (1779-1870), avec ses armes (Dor à un paon au naturel au chef dazur chargé dune croisette dor entre deux étoiles du même) à la devise : Ardeo, Persevero, Spero, au centre des plats. Homme politique, député de l'Aube et pair de France, industriel, fondateur d'une faïencerie et d'une verrerie à Spoy, disposait d'une très importante bibliothèque dans son château de Vendeuvre. Petits manques à deux extrémités des mors ainsi qu'à la coiffe de queue, coins légèrement frottés
Paris L. Mame et Delaunay 1831 2 vol. in-8° (203 x 130 mm) 4 pp. [catalogue] - [1] f. - 374 pp. + [2] ff. - 374 pp., demi-basane caramel, dos lisse (reliure de lépoque signée « Nairière-Fontaine, libraire relieur à Fontenay », étiquette sur le contreplat supérieur.)
PROVENANCE ET SOBRE ET ÉLÉGANTE RELIURE SIGNÉE DE FONTENAY-LE-COMTE Édition originale de ces mémoires apocryphes qui font suite aux Mémoires dune femme de qualité sur Louis XVIII, sa cour et son règne (1829), aux Mémoires dune femme de qualité depuis la mort de Louis XVIII jusquà la fin de 1829 (1830) et enfin aux Mémoires et souvenirs dune femme de qualité sur le consulat et lempire (1830). Les présents volumes portent sur la Monarchie de Juillet. Profitant dune mode des témoignages historiques « au féminin », Étienne-Léon de Lamothe-Langon compose le manuscrit de ces mémoires dune femme de la haute noblesse, élève de Madame de Staël, qui évolue tour à tour à la cour de Bonaparte puis à celle de Louis XVIII. Mais le texte ne satisfait pas les éditeurs, qui en demandant une révision par Amédée Pichet. Ce-dernier ajoute quelques épisodes aux volumes portant sur le règne de Louis XVIII, suivi en cela par Charles Nodier. Hinard, Gaimaut et Ferrier apportent les dernières corrections. Le Baron de Lamothe-Langon était coutumier de ce genre dimpostures : Philippe Audebrand raconte : « Cétait, sur la fin du règne de Louis Philippe, un vieillard de haute taille, un peu voûté, un peu fané, visiblement surmené par lexcès du travail et labus de lopium, quil prenait en globules. [...] Cet improvisateur était une espèce de Protée, se produisant en librairie sous toutes les formes humaines et sous tous les déguisements. Un jour, il signait le livre nouveau de son nom. Une autre fois, loeuvre était dun Ancien Diplomate ou dune Duchesse. Parfois, cétait un pseudonyme de fantaisie. Lorsque léditeur Ladvocat mit à la mode la manie des Mémoires, le Baron tira vingt morts illustres de leur sépulcres pour leur faire raconter leurs vies et le public, toujours vorace, toujours crédule, a avalé tout cela. » (Romanciers et viveurs du XIXe siècle, Paris, Calmann Lévy, 1904, pp. 21-22) PROVENANCE : Raoul Hervineau (1853-1918), étiquette sur les contreplats supérieurs et tampon humide bleu sur les premières gardes blanches. Viticulteur, conseiller municipal à Fontenay-le-Comte et co-fondateur du journal La Vendée. Frottements, manque en tête du mors supérieur au vol. 2. Quelques rousseurs, pp. 369-370 reliées en fin du vol. 1, mouillure en gouttière en fin du vol. 1 ; Quérard IV, 570 ; Absent de Tulard ; Bertier, 592
Paris, Gallimard, 1992. Cartonnage éditeur, (22 x 31 cm) illustré par Etienne Delessert, 30 pages, nombreuses images en couleurs. Edition originale française en grand format de ce beau livre plusieurs fois réédité en format réduit. Excellent état.
EDITION ORIGINALE
Paris, Desclée de Brouwer, 1937, in-8, broché, 250 pages. Edition originale. Envoi autographe d’Etienne Borne: «Pour Jean Monier / irremplaçable pionnier des idées / d’Esprit , ces pages qui / essaient d’apporter quelque chose / à l’œuvre commune».
EDITION ORIGINALE LIVRE DEDICACE
Seuil, 1973. In-8 broché, jaquette illustrée, 213 pages. Edition originale enrichie d'un envoi autographe signé : " ...ce roman qui sent le poisson / affectueusement ..."
EDITION ORIGINALE LIVRE SIGNE
Rome, Carte Segrete, 1992. In-4, broché, couverture illustrée en couleurs, 175 pp.Important catalogue monographique publié à l’occasion de l’exposition tournante (Rome, Montréal, Saint-Denis, Lausanne) de 1992-1993.Textes de Bonito Oliva, Chappaz, Colonetti, Faeti, Gallaz, Nourissier, Rauch, Vassali. Très nombreuses illustrations en noir et en couleurs. Bibliographie, expositions, biographie des auteurs.Bel exemplaire de l’édition française.
Forces Nouvelles, numéro spécial juin 1954. Plaquette in-8, agrafée, 32 pages. Edition originale. Texte du rapport présenté au congrès du M.R.P. en mai 1954. E. Borne s’efforce d’y répondre à la question « qui nous habite tous jusqu’à déraisonnablement nous paralyser : de 1944 à 1954 avons-nous servi les valeurs au nom desquelles nous sommes entrés dans la vie publique ? Alors (1944) une grande espérance révolutionnaire, aujourd’hui la chute dans la routine et l’impuissance »
Anvers, ça ira, 1948. Plaquette in-8, agrafée, couverture rempliée, 19 pages. Edition originale. Un des 100 exemplaires numérotés sur papier La Hulpe, seul tirage. Couverture piquée.
Paris, La Nouvelle Revue des Deux Mondes, novembre 1973, (16 pages). Tiré à part d’un article publié dans la La Nouvelle Revue des Deux Mondes. E. Wolff y traite de la situation et de l’avenir du Collège de France. Cachet humide de la vente de la bibliothèque de Georges Dumézil.
, , 1843-1848. L'ensemble relié en 1 vol. in-8, demi-veau blond, dos lisse orné de filets dorés (reliure de l'époque).
CABET (Etienne). Douze Lettres d'un Communiste à un réformiste sur la Communauté. Paris, Imp. de E. B. Delanchy, 1845. In-8 de 166 pp. Troisième édition. Lettres écrites du 26 mai 1841 au 18 février 1842. Portrait. Prudhommeaux, A47.CABET (Etienne). Bombardement de Barcelone ou Voila les Bastilles ! Histoire de l'insurrection et du bombardement. Documents historiques. Opinion des Journaux espagnols, anglais et français. Appréciation des faits. Paris, Au Bureau du Populaire, 1843. In-8 de (4)-124 pp. Deuxième édition. Prudhommeaux, A67. CABET (Etienne). Les Masques arrachés. Paris, Imp. de E. B. Delanchy, 1844. In-8 de 144 pp. Édition originale. Prudhommeaux, A78. CABET (Etienne). Le Cataclysme social ou Conjurons la Tempête. Paris, Au Bureau du Populaire, 1845. In-8 de 21-(3) pp. Edition originale. Prudhommeaux, A80. CABET (Etienne). Le Salut est dans l'Union ; La Concurrence est dans la Ruine. Paris, Imp. de E. B. Delanchy, 1845. In-8 de 56 pp. Édition originale. Inconnu de Prudhommeaux qui cite un titre différent mais approchant (A82). CABET (Etienne). Réfutation ou Examen de tous les écrits ou Journaux contre ou sur la Communaué. Réfutation des trois ouvrages de L'abbé Constant. Paris Chez Prévot, 1841. In-8 de (2)-33-(1) pp. Édition originale. Prudhommeaux, A55. CABET (Etienne). Réfutation de l'Humanitaire, (Demandant l'abolition du Mariage et de la Famille). Paris Chez Prévot, 1841. In-8 de 12 pp. Édition originale. Prudhommeaux, A54. CABET (Etienne). Réfutation des Doctrines de l'Atelier. Paris Chez Prévot, 1842. In-8 de (2)-32-(2) pp. Édition originale. Prudhommeaux, A57. CABET (Etienne). Le Gant jeté au Communisme par un un riche Jésuite, Académicien à Lyon, Ramassé Par M. Cabet. Paris, Au Bureau du Populaire, 1844. In-8 de 21-(3) pp. Édition originale. Prudhommeaux, A74.CABET (Etienne). Aux Membres du Gouvernement Provisoire. Typographie Félix Maltesse et Comp. 1848. In-8 de 4 pp. Prudhommeaux, B6 (pour l'originale in-plano).CABET (Etienne). Petit Dialogues populaires sur la Communauté. Premier Dialogue. - Ne toumentez pas pour convertir. Paris, Imp. de E. B. Delanchy, 1844. In-8 de 4 pp. Deuxième édition. Prudhommeaux, A58.CABET (Etienne). A Bas les Communistes !. Typographie Félix Maltesse et Ce, 1848. In-8 de 4 pp. Édition originale. Dialogue. Prudhommeaux, B5.CABET (Etienne). A Ceux qui menacent d'assassinat. (Extrait du Populaire du 22 avril 1848). Paris, Au Bureau du Populaire, 1848. In-8 de 16 pp. Prudhommeaux, B8.Règlement pour la Société fraternelle. Typographie Félix Maltesse et Ce, 1848. In-8 de 7 pp. Inconnu de Prudhommeaux.HARDIER. Choeur des Icaries. Paris, Typ. Soupé, sd. [1848]. 1 p. in-8 contrecollé au verso d'un feuillet blanc. Inconnu de Prudhommeaux.Société fraternelle centrale. Discours du citoyen Cabet. Paris, Au Bureau du Populaire, 1848. 11 discours en 10 livraisons in-8, du 6 mars 1848 au 8 mai 1848. Edition originale. Prudhommeaux, B2.Ier Discours, 6 mars 1848 : La garde Nationale, la Liberté de la Presse, le Droit d'association, de réunion, et de discussion, les Élections et le travail. In-8 de 15-(1) pp.2e Discours, 13 mars 1848 : La Nécessité d'éloigner les troupes et d'ajourner les élections. In-8 de 16 pp.3e Discours, 17 mars 1848 : La Manifestation du 17 mars et la nécessité d'ajourner les élections. In-8 de 14 pp.4e Discours, 22 mars 1848 : Sur ce qu'il fallait faire et sur l'ajournement des élections. In-8 de 14-(2) pp.5e Discours, 24 mars 1848 : Sur la Profession de foi à exiger des candidats à l'Assemblée Nationale. In-8 de 14-(2) pp.6e Discours, 29 mars 1848 : Sur les élections. In-8 de 14-(2) pp.7e et 8e Discours, 3 et 10 avril 1848 : Sur les élections. Réception et discours de Robert Owen. In-8 de 15-(1) pp.9e Discours, 24 avril 1848 : Sur la proscription contre les communistes et sur l'esprit du communiste. In-8 de 15-(1) pp.10e Discours, 1er mai 1848 : Exposé rapide sur la doctrine et la marche du communisme icarien. In-8 de 14-(2) pp.11e Discours, 8 mai 1848. Persécution contre le communisme et, Émigration, Arrivée de la 1re avant-garde. In-8 de 14-(2) pp.CABET (Etienne). Insurrection du 23 juin. Paris, Au Bureau du Populaire,1848. In-8 de 59-(3) pp. Édition originale. Prudhommeaux, B14. La page de titre manque.Voyage en Eldorado. S.l.n.d. {1848]. In-8 de 3 pp. Inconnu de Prudhommeaux.
2009 2009. Elsa Peny Etienne En Las Huellas de Jean Louis Etienne (2009 Tbe ) La descripción de este producto se ha traducido automáticamente. Si tiene alguna pregunta al respecto por favor póngase en contacto con nosotros. hermoso libro en gran formato de tapa dura con 184 páginas sobrecubierta publicado por Le Chêne edición original de 2009 con excelentes ilustraciones del autor. en EXCELENTES CONDICIONES como nuevo. Elliot y Ulises son los dignos hijos de Jean-Louis Étienne. El primero está enamorado de la ciencia y el conocimiento mientras que el segundo más intuitivo tiene una sed insaciable de aventura. Mientras los dos muchachos se unen a su padre en el extremo norte de Canadá un desastre logístico los hace perder la reunión y se quedan solos entre los inuit. Conocen a Anyu una niña de su edad mitad quebequense y mitad inuit cuyo chamán abuelo los ayudará a encontrar a su padre. A través de encantamientos este último invoca los espíritus de los animales que Jean-Louis Étienne encontró durante sus expediciones. Desde el oso hasta la ballena pasando por el perro de trineo ninguno tiene la lengua en el bolsillo y sus alegres historias nos siguen los pasos del explorador polar Jean-Louis Etienne. Biografia: Elsa Pény-Etienne nació en 1972. Después de estudiar en Bellas Artes tenía la intención de enseñar y prepararse para la agregación en artes visuales. Con la vida llena de acontecimientos imprevistos se diversificó en la publicación y comenzó como iconógrafa en Hoebeke antes de establecer su propia editorial con Jean-Louis Etienne su esposo. Al mismo tiempo Elsa está trabajando para organizar expediciones polares con su esposo. En una de sus aventuras en el desierto del atolón de Clipperton donde pasó 4 meses aislada del mundo con un equipo de investigadores escribió e ilustró un libro para jóvenes: Las aventuras de Elliot y Basile. (Límite). Desde entonces el virus no la ha abandonado y Elsa compone cuentos con contenido serio o científico y enamorada de Lewis Caroll presta una voz y conocimiento a los animales. ¡por supuesto costos de envío agrupados en caso de compras múltiples. Perlenbook empresa Siret n ° 49982801100010. RCS Lure Tgi 499828911 N ° GESTION 2007 A 111. Creado por
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2009 2009. Elsa Peny Etienne On The Traces de Jean Louis Etienne (2009 Tbe ) The description of this item has been automatically translated. If you have any questions please feel free to contact us. beautiful book in large cardboard format with dust jacket 184 pages published by Le Chêne original edition from 2009 with superb illustrations by the author. in EXCELLENT CONDITION like new. Elliot and Ulysse are the worthy sons of Jean-Louis Étienne. The first is enamored of science and knowledge while the second more intuitive has an insatiable thirst for adventure. While the two boys join their father in the Canadian Far North a logistical mess makes them miss the meeting and they are left to themselves among the Inuit. They meet Anyu a little girl their age half Quebec half Inuit whose shaman grandfather will help them find their father. Through incantations the latter invokes the spirits of animals that Jean-Louis Étienne encountered during his expeditions. From bears to whales to sled dogs none have their tongues in their pockets and their joyful tales take us in the footsteps of polar explorer Jean-Louis Etienne. Biography: Elsa Pény-Etienne was born in 1972. After studying Fine Arts she intended for teaching and prepared the aggregation of visual arts. Life is full of unforeseen events she turns to publishing and begins as an iconographer at Hoebeke before setting up her own publishing house with Jean-Louis Etienne her husband. At the same time Elsa is working on setting up polar expeditions with her husband. During one of her adventures on the deserted Atoll of Clipperton where she spent 4 months isolated from the world with a team of researchers she wrote and illustrated a book for young people: The adventures of Elliot and Basile (Threshold). Since then the virus has not left it and Elsa composes tales with serious or scientific content and in love with Lewis Caroll lends the word and knowledge to animals. of course grouped shipping costs in case of multiple purchases. Perlenbook company n ° Siret 49982801100010. RCS Lure Tgi 499828911 N ° GESTION 2007 A 111. Created by eBay
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Les Amis du Vieux St Etienne - Société historique, archéologique, littéraire - M. Chalendard
Reference : 42632
N° 51 - Septembre 1963 - Revue trimestrielle - 13 bis, rue Gambetta. Saint-Etiennne (Loire) - broché
Bon état
Le Grand livre du mois 2009 2009. bel ouvrage en grand format cartonné avec jaquette 184 pages aux éditions du Chêne édition originale de 2009 avec superbes illustrations de l'auteur. en EXCELLENT ETAT comme neuf. Elliot et Ulysse sont les dignes fils de Jean-Louis Étienne. Le premier est épris de sciences et de savoir tandis que le second plus intuitif a une soif insatiable d'aventure. Alors que les deux garçons rejoignent leur père dans le Grand Nord canadien un cafouillage logistique leur fait rater le rendez-vous et les voilà livrés à eux-mêmes parmi les Inuits. Ils font la connaissance d'Anyu une petite fille de leur âge moitié québécoise moitié inuit dont le grand-père chaman va les aider à retrouver leur père. A travers des incantations ce dernier invoque les esprits des animaux que Jean-Louis Étienne a rencontrés au fil de ses expéditions. De l'ours à la baleine en passant par le chien de traîneau aucun n'a sa langue dans la poche et leurs récits joyeux nous emmènent sur les traces de l'explorateur polaire Jean-Louis Etienne. Biographie: Elsa Pény-Etienne est née en 1972. Après des études aux Beaux-Arts elle se destine à l'enseignement et prépare l'agrégation d'arts plastiques. La vie étant pleine d'imprévus elle bifurque vers l'édition et débute comme iconographe chez Hoebeke avant de monter sa propre maison d'édition avec Jean-Louis Etienne son mari. Parallèlement Elsa travaille à la mise en place d'expéditions polaires avec son époux. A l'occasion d'une de ses aventures sur l'Atoll désert de Clipperton où elle passe 4 mois isolée du monde avec une équipe de chercheurs elle écrit et illustre un livre pour la jeunesse : Les aventures d'Elliot et Basile (Seuil). Depuis le virus ne l'a pas quittée et Elsa compose des contes au contenu sérieux ou scientifique et en amoureuse de Lewis Caroll prête la parole et le savoir aux animaux
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[FOREZ] - DAUGAS (J. P.) et TIXIER (L.) - LAURENT (Dominique) - VIAL (Pierre) - TIBI (Jean) - GADILLE (Jacques) - PONCEYRI (Robert) - FOURNIAL (Etienne).-
Reference : 63854
Saint Etienne, Université de St Etienne, 1977, in 8° broché, 67 pages.
Au sommaire : - Travaux des séminaires. - DAUGAS (J. P.) et TIXIER (L.).- Variations ombriques et chronostratigraphies post-glaciaire en Limagne d'Auvergne. - LAURENT (Dominique).- Moulins au XVe siècle. - VIAL (Pierre).- Un aspect de la christianisation du monde chevaleresque : l'ordre du Temple. - TIBI (Jean).- Itinéraires de l'information. - GADILLE (Jacques).- Le catholicisme populaire. - PONCEYRI (Robert).- Aspects et significations de la participation électorale dans les grandes villes sous la Ve République (à partir de l'exemple de Saint-Etienne, 1958-1974). - FOURNIAL (Etienne).- De l'utilisation des copies. - Mémoires de Maitrise d'Histoire moderne et contemporaine soutenus à l'Université de Saint-Etienne depuis 1970. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
[Besançon, Besnans Haute-Saône] Arrêt de la chambre des vacations du parlement de Besançon qui condamne Guillaume Goguet aux galères perpétuelles ; Ignace Pepot au fouet, à la marque, & à neuf ans de bannissement ; Etienne Calame à neuf ans de galères ; Etiennette & Françoise Championnet à être enfermées pendant trois ans en la Maison de force, dite du Bon Pasteur, de Besançon ; renvoye deux inconnus à un plus amplement informé indéfini ; Simonne Bayet, femme d'Etienne Calame, à neuf ans ; Vincent Menetrey à cinq ans, & Nicolas Jannin à trois ans de bannissement ; Jeanne-Claude Championnet, veuve Dumont, à être pendue & étranglée ; le nommé Maurice, Hibernois, à trois ans de galères, &c pour vols & autres crimes. Du 7 octobre 1767.
Reference : 015625
[Besançon, Besnans Haute-Saône] Arrêt de la chambre des vacations du parlement de Besançon qui condamne Guillaume Goguet aux galères perpétuelles ; Ignace Pepot au fouet, à la marque, & à neuf ans de bannissement ; Etienne Calame à neuf ans de galères ; Etiennette & Françoise Championnet à être enfermées pendant trois ans en la Maison de force, dite du Bon Pasteur, de Besançon ; renvoye deux inconnus à un plus amplement informé indéfini ; Simonne Bayet, femme d'Etienne Calame, à neuf ans ; Vincent Menetrey à cinq ans, & Nicolas Jannin à trois ans de bannissement ; Jeanne-Claude Championnet, veuve Dumont, à être pendue & étranglée ; le nommé Maurice, Hibernois, à trois ans de galères, &c pour vols & autres crimes. Du 7 octobre 1767. [Besançon], Claude-Joseph Daclin, 1767. In-folio, 8p. Condamnation pour une étonnante affaire de moeurs à Besnans [Bennans dans le document]: Guillaume Goguet, dit le grand Guillaume, et Maurice sont deux contrebandiers et Etiennette, Françoise, Jeanne-Claude (la veuve Dumont) et Jeanne Championnet sont quatre soeurs. Le premier avait mis enceinte Françoise puis Jeanne-Claude et comptait faire pareil avec les deux autres. Le second avait payé les trois soeurs de la veuve pour coucher avec elles et avait été surpris au lit avec deux d'entr'elles. Jeanne-Claude, mis enceinte, accoucha d'une petite fille qu'elle assassina à la naissance et jeta dans la rivière Ognon. Elle sera donc pendue en place de Besnans. Beau document. [90]
Précieux volume conservé dans son élégante et intéressante reliure parisienne strictement de l’époque, très proche des reliures alors réalisées pour le bibliophile de la Renaissance Marcus Fugger (1529-1597). Paris, Jean Longis, 1553. In-8 de (8), 191 ff. Les gardes et les contreplats sont couvertes d’annotations manuscrites anciennes. Veau blond, double encadrement de trois filets à froid avec petits fleurons dorés aux angles, fleuron central argenté, dos à nerfs orné de filets à froid et d’un petit fer répété, mors et coiffes restaurés. Reliure parisienne de l’époque de belle facture proche de celles réalisées pour Marcus Fugger. 166 x 102 mm.
Edition originale de la traduction française établie par Etienne de la Planche, des trois derniers livres des Apophtegmes. Les cinq premiers livres avaient déjà été traduits en français par Antoine Macault. Brunet, II, 1040 ; Bibliotheca Belgica, E392. Dédiée à Jean Brinon, seigneur de Villennes, conseiller au Parlement de Paris, elle fut partagée entre Jean Longis et ses confrères parisiens Vincent Sertenas et Etienne Groulleau. Érasme publia les « Apophtegmes » pour l’éducation des Hommes d’État. Il veut ici « célébrer l’art d’être spirituel. Il le fait en traduisant et en commentant Plutarque. La scène est presque toujours la même : on pose inopinément une question à un général ou à un homme politique de Sparte. D'autres seraient pris au dépourvu. Les Spartiates, jamais. Ils répondent avec finesse, subtilité, élégance, qualités bien notées dans les marges du recueil. Parfois, avec une certaine rosserie. Le contenu de leurs réponses n'est pas la chose la plus importante. Homme du nord, Érasme aime autant que Castiglione et les grands Italiens le plaisir des bons mots. Si on l'oublie, on réduit le sens de sa culture comique. » (Daniel Ménager). « Signe évident de succès, le recueil latin de plus de 3 000 dits mémorables qu'Érasme publia à partir de 1531 sous le titre d'Apophthegmatum opus, fut réimprimé quelque soixante-dix fois en l'espace d'un demi siècle. Et comme s'il ne suffisait pas de pourvoir aux besoins intellectuels d'un public plus ou moins érudit, voici que rapidement se mirent à fleurir des traductions à l'intention de lecteurs pour qui, apparemment, la connaissance du latin n'allait plus de soi. Ainsi, s'il faudra attendre 1672 pour voir sortir des presses une édition néerlandaise, il en parut une anglaise en 1542, une italienne en 1546 et une espagnole en 1549. Non point que les Français, quant à eux, ne s'y soient pas intéressés : dès 1536, Antoine Macault s'attaqua non pas à une traduction, qui relève de l'imitatio, mais à une translation, qui appartient à l'inventio, des cinq premiers livres ; ce labeur, Etienne de Laplanche allait le compléter dix-sept ans plus tard. Qui plus est, dans les années qui suivirent, Guillaume Haudent et Gabriel Pot devaient même prétendre y trouver matière à en tirer des poésies ! Dès lors, le nombre de compatriotes qui se sont attachés à transposer le recueil d'Érasme, aussi bien que la rapidité avec laquelle ils se sont mis au travail ont de quoi nous intriguer, au point que l'on peut se demander si, au-delà d'un désir fort louable de vulgarisation, et d'une aspiration bien compréhensible, sur les brisées d'un si illustre maître, à la gloire littéraire, d'autres ambitions plus ou moins explicitement énoncées ne se laissent pas discerner. C'est à la lecture de ces exemples que l'on se rend compte à quel point, dès le milieu du XVIe siècle, le français s'est suffisamment démarqué du latin pour pouvoir se prétendre à son tour langue littéraire à part entière. Tant s'en faut, en effet, que Rabelais ait été le seul à se livrer à la truculence verbale : Macault et Etienne de Laplanche prouvent qu'elle est en réalité le fait de toute leur époque. Pour quelque raison que ce soit, mièvrerie esthétique, pruderie intellectuelle, austérité morale ou tyrannie dogmatique, les siècles suivants, à commencer par le XVIIe, allaient se charger de canaliser, voire de brider cette énergie créatrice qui, du coup, fait précisément l'originalité du XVIe. Faut-il le regretter? Il est vrai que de la sorte, le français a perdu en spontanéité ce qu'il a gagné en longévité, au point qu'à presque quatre siècles de distance, les pièces de Corneille se lisent encore sans trop de difficulté. Et si, dès cette époque, se sont mises à fleurir des Belles Infidèles qui se sont épanouies en genre littéraire à part entière, simultanément surgit le débat de fond entre l'école et la rue. » Louis Lobbes. Etienne de Laplanche, avocat au parlement de Paris au XVIe siècle, s’est immortalisé par la traduction qu’il a donnée des cinq premiers livres des Annales de Tacite et des trois derniers livres des Apophtegmes d’Érasme. Précieux volume conservé dans son élégante et intéressante reliure parisienne strictement de l’époque, très proche des reliures alors réalisées pour le bibliophile de la Renaissance Marcus Fugger (1529-1597).
Paris, l'Auteur, Imprimerie Félix Malteste et Cie, 1856-1858. 21 pièces et 1 feuillet de table manuscrit reliés en 1 vol. in-12, demi-chagrin noir, dos à nerfs (reliure de l'époque).
Exceptionnelle réunion de 21 brochures sur la communauté icarienne fondée par Etienne Cabet (1788-1856) « l'un des mouvements communisants les plus marquants du XIXe siècle [qui] conduisit plusieurs centaines de socialistes à La Nouvelle-Orléans en 1848-1849 : [Cabet] y racheta l'ancienne colonie mormone de Nauvoo (dans l'Illinois) qui, sous sa direction, devait compter jusqu'à mille huit cents personnes avant d'éclater en 1856 sous l'effet de graves dissensions internes » (BnF, Utopie, 2000, p. 226).Jean-Pierre Béluze ou Beluze (1821-1908), gendre posthume de Cabet et son successeur, anima le mouvement de coopération sous le Second Empire. « Pendant douze années, Béluze assura ainsi la direction du " Bureau icarien de Paris ", chargé de propager la doctrine et de venir en aide aux colonies de Nauvoo et de Cheltenham, en même temps que de trouver de nouveaux adhérents et de les mettre en route pour Icarie. Cette activité le conduisit à de nombreux voyages en province. En février 1856, par exemple, il était signalé dans la région de Poligny, dans celle de Montbéliard, à Dôle, à Arbois. Il était dénoncé à de nombreux parquets, fut plusieurs fois poursuivi, et deux fois emprisonné (ainsi lors d’une condamnation à quinze jours de prison prononcée pour distribution d’écrits et colportage, le 12 avril 1856, par le tribunal correctionnel de Besançon). De janvier 1852 à décembre 1855, il put collecter 150 000 F environ, sur lesquels 115 000 furent envoyés à Nauvoo. Les frais de bureau ne s’étaient pas, durant le même temps, élevés à 20 000 F, sur lesquels il avait payé une pension alimentaire annuelle de 3 000 F à la femme et à la fille de Cabet, Céline, femme de Firmin Favard* et sa future femme, et assuré le fonctionnement du bureau : cela faisait à peine 1 750 F par an pour la rétribution du gérant, le loyer et les fournitures de bureau. Après la scission dans la colonie, et après la mort de Cabet, survenue le 8 novembre 1856, Béluze continua à recevoir son traitement, porté à 3 000 F, à charge pour lui de subvenir à toutes les dépenses de fonctionnement. La veuve de Cabet et sa fille Céline, elle-même devenue veuve, étaient, avec Béluze, les seuls employés du bureau et les mandataires de la colonie de Saint-Louis. Béluze s’efforça d’entraver le déclin de l’école icarienne. Il maintint un minimum de liaison avec les groupes de province, notamment avec celui de Lyon. Toutefois, en présence des difficultés et des déboires, devant le zèle fléchissant des disciples d’Icarie, il commença à éprouver des doutes sur la portée et la valeur de l’expérience communiste tentée par Cabet. Sa pensée évolua et s’éloigna peu à peu des idées qu’il avait professées jusque-là. Le 6 janvier 1863, alors que depuis deux ans il avait dû, pour alléger les charges du " Bureau icarien ", ouvrir un cabinet d’affaires à son nom et épouser Céline Favard (le 20 mars 1862), pour sauver la fille et la femme de Cabet d’une misère prochaine, il donna sa démission de gérant du bureau » (Maitron). Cachet répété "Timbre impérial" ; quelques pâles mouillures et salissures. Contient : 1. [CABET (Étienne)]. Opinions et sentiments publiquement exprimés concernant le fondateur d'Icarie. Paris, l'auteur, mars 1856. 36 pp., premier plat couverture conservé. Prudhommeaux, B.592. [CABET (Étienne)]. Le fondateur d'Icarie aux Icariens. Paris, l'auteur, avril 1856. 11 pp., premier plat de couverture conservé. Prudhommeaux, B.613. [CABET (Étienne)]. Guerre de l'opposition contre le citoyen Cabet, fondateur d'Icarie. Paris, l'auteur, août 1856. 72 pp. Prudhommeaux, B.684. [Beluze (Jean-Pierre)]. Lettre sur la colonie icarienne, par un Icarien. Paris, l'auteur, 1856. 46 pp. Prudhommeaux, B.695. [CABET (Étienne)]. Manifestes de l'opposition et réponse du citoyen Cabet. Paris, l'auteur, 1856. 24 pp. premier plat couverture conservée. Prudhommeaux, B.716. [CABET (Étienne)]. Départ de Nauvoo du fondateur d'Icarie avec les vrais Icariens. Paris, l'auteur, 1856. 23 pp. couverture conservée. Prudhommeaux, B.727. [BELUZE (Jean-Pierre)]. Mort du fondateur d'Icarie. Paris, l'auteur, 1856. 12 pp., premier plat de couverture conservé. Prudhommeaux, C.028. [BELUZE (Jean-Pierre)].La Colonie icarienne à Saint-Louis. Paris, l'auteur, 1857. 24 pp. premier plat de couverture conservé. Prudhommeaux, C.039. [BELUZE (Jean-Pierre)]. Célébration du premier anniversaire de la naissance du fondateur d'Icarie. Paris, l'auteur, mars 1857. 23 pp., couverture conservée. Prudhommeaux, C.0410. [BELUZE (Jean-Pierre)]. Célébration à Saint-Louis du neuvième anniversaire de la fondation d'Icarie. Paris, l'auteur, avril 1857. 24 pp. Prudhommeaux, C.0611. [BELUZE (Jean-Pierre)]. Compte-rendu de la Gérance de la Communauté icarienne, à Saint-Louis, sur la situation morale et matérielle de la Communauté pendant les mois de novembre et décembre 1856 et les mois de janvier et février 1857. Paris, l'auteur, mai 1857. 24 pp. Prudhommeaux, C.0812. [BELUZE (Jean-Pierre)]. Organisation du travail dans la communauté icarienne. Paris, l'auteur, 1857. 23 pp. couverture conservée. Prudhommeaux, C.0713. [BELUZE (Jean-Pierre)]. Emprunt icarien de un million de francs. Paris, l'auteur, juillet 1857. 21 pp. couverture conservée. Prudhommeaux, C.1014. [BELUZE (Jean-Pierre)]. Contrat social ou Acte de société de la communauté icarienne. Lois sur l'admission. Paris, l'auteur, août 1857. 46 pp. Prudhommeaux, C.1115. [BELUZE (Jean-Pierre)]. Notre Situation à Saint-Louis. Paris, l'auteur, octobre 1857. 23 pp. couverture conservée. Prudhommeaux, C.1216. [BELUZE (Jean-Pierre)]. Lettre à Maximilien. Paris, l'auteur, 1858. 45 pp. Prudhommeaux, C.14 17. [BELUZE (Jean-Pierre)]. Deuxième lettre à Maximilien. Paris, l'auteur, mars 1858. Paginé 52-70. Prudhommeaux, C.14 18. [BELUZE (Jean-Pierre)]. Compte-rendu de la situation morale et matérielle de la communauté, du mois d'août 1857 au mois de février 1858. 26 pp. Prudhommeaux, C.1319.[BELUZE (Jean-Pierre)]. Cheltenham. Paris, l'auteur, 1858. 22 pp. Prudhommeaux, C.1520. [BELUZE (Jean-Pierre)]. Inauguration du cours icarien. Paris, l'auteur, 1858. Prudhommeaux, C.1621. Blanc (Louis). Le Socialisme. Droit au travail. Troisième édition Paris, Au bureau du "Nouveau-Monde", 1849. 72 pp.
A Paris, chez Pillet Ainé, Imprimeur-Libraire, 1818-1827, 14 volumes in-12 de 180x105 mm environ, de 360 à 420 pages par volume, demi maroquin à coins à long grain bordeaux, dos lisses portant titres et tomaisons dorés, ornés de petits fers et frises dorés, gardes marbrées, tranches citron. Avec 14 frontispices, 2 figures hors texte et 13 cartes dont 9 dépliantes. Des coins légèrements émoussés, frottements sur le cartonnage, 3 coiffes supérieures ébréchées, quelques rousseurs et pages brunies, sinon bon état.
Joseph Étienne, dit Étienne de Jouy né à Versailles le 19 octobre 1764 et mort à Saint-Germain-en-Laye le 4 septembre 1846, est un dramaturge et librettiste français. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Paris, Michaud, 1812, 1 br., couverture muette d'attente, dos en partie manquant. in-8 de XXV-86 pp. ;
Charles-Guillaume Etienne, né à Chamouilley (Haute-Marne).Cette pièce jouée au Théatre-Français le fit accuser d'avoir plagié une pièce manuscrite de la Bibliothèque Impériale, écrite par Jean-Antoine Du Cerceau.Réf. Biblio: Lebrun-Tossa: "Mes révélations sur M. Etienne "Les deux gendres et conaxa", Paris Dentu, 1812. "Conaxa et les deux gendres, ou résumé des débats, servant de réponse à M. Hoffman, défenseur officieux de M. Etienne, membre de l'Institut Impérial de France, par M. D** E** N. (Ant-Touss. Desquiron de Saint-Agnan), Paris Dentu, 1812.
Phone number : 06 80 15 77 01
1912 Saint-Etienne, Mulcey, 1912, in 8° broché, 152 pages.
Contient : Etat des CENT PLUS IMPOSES de la ville de Saint-Etienne, 25 Brumaire an XI. - La GERINIADE ou les élections de 1827 à Saint-Etienne. Poème héroique en quatre chants par Alphonse PEYRET. - Notes généalogiques concernant Antoine GERIN (pages 18 à 56). ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
1840 Saint-Etienne, Gonin, et Janin, 1840 et sans date, 3 plaquettes in 4° et in 8° brochées, 31, 8 et 18 pages, couvertures factices ; première et dernière page du "Mémoire..." poussiéreuses.
Rare ensemble. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Edité par [Saint-Etienne, Manufacture Française d'Armes], 1890, 1 volume in-8 de 210x135 mm environ, 1f.blanc, 360 pages-1f.blanc-218 pages de Présentation de la Manufacture Française d'Armes, suivies du Catalogue accompagné de 2 feuillets de bon de commande, suivies du Catalogue de l'Hirondelle Société de Fabrication en France de Vélocipèdes (Saint-Etienne, Loire), 1f.blanc, percaline brune de l'éditeur portant titres dorés sur le premier plat. Petits frottement sur les coins, une déchirure p.189-190 (dans le catalogue de l'Hirondelle), papier légèrement jauni, infimes petits plis sur les coiffes et les mors, sinon bon état.
La manufacture d'armes de Saint-Étienne (MAS) est une ancienne entreprise française d'armement située à Saint-Étienne. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.