Genève, 12 septembre 1922 in-8, VI pp., 20 pp., broché.
Très rare. L'espéranto avait été proposé comme langue de travail de la Société des Nations ; la proposition, soutenue par des pays tels que le Japon et la Perse, échoua notamment à cause du veto de la France, qui estimait que la langue internationale était et devait être le français. Finalement, deux idiomes furent retenus : le français, et l'anglais.Aucun exemplaire au CCF.Envoi autographe de l'auteur "ao senhor commandante Montarroyos ... de un companheiro de trabalho na S. d. N". Il s'agit d'Eliseu Fonseca de Montarroyos (1874-1940), alors commandant dans l'armée brésilienne et qui fut ultérieurement représentant du Brésil à la Commission consultative et technique des communications et du trafic de la Société des Nations (Genève), puis délégué du Brésil à l'Institut international de coopération intellectuelle. Par ailleurs l'un des fondateurs de l'Union positiviste pour le culte de l'Humanité. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT