P., Techener, 1858, in-8°, xv-508 pp, une planche hors texte, broché, qqs rares rousseurs, bon état
Par le baron Alfred-Auguste Ernouf (1816-1889) — "L'histoire de Waldrade et de ses fils, de Lothaire et de ses ennemis... Lothaire ou Liut-heer, fondateur du royaume de Lorraine, neveu de Charles-le-Chauve, et par conséquent arrière-petit-fils de Charlemagne, a été chargé de toutes les malédictions des écrivains ecclésiastiques. M. le baron Ernouf a résumé leurs narrations et reproduit leurs dires avec une fidélité trop aveugle. Son livre suit fidèlement la chronique monacale et gallo-romaine. Cet ouvrage est assez intéressant par lui-même, assez neuf et assez bien écrit. Donc Lothaire le Germanique est accusé par les écrivains ecclésiastiques d'avoir calomnié et chassé sa femme ; de lui avoir préféré une femme de basse extraction ; d'avoir installé cette indigne rivale sur son propre trône et d'avoir tramé la mort de l'épouse. Je pense qu'il n'y a pas un mot de vrai dans tout cela. Lothaire, dont le domaine semi-germanique embrassait les Vosges, la Bourgogne transjurane et la Lorraine, a défendu comme il a pu son royaume et sa femme menacés par des voisins puissants ; voilà son crimé. A côté de lui régnait son oncle, le possesseur de la portion la plus romaine de la Gaule ; ce chef frank devenu roi comme Clovis. C'était le Koenig que nous appelons maintenant Charles-le-Chauve. Maître de Paris et du centre français, il aurait bien voulu s'étendre jusqu'au Rhin, aux Alpes et aux Pyrénées. Pressé du côté de l'Allemagne par son neveu Lothaire {Liut-heer), du côté de l'Espagne par son autre neveu Karl, il convoitait un ou deux domaines qui lui manquaient. L'Alsace, la Lorraine et la Provence lui auraient fort convenu... Lothaire, que M. Ernouf traite si mal d'après les chroniqueurs et les flatteurs anti-germaniques, avait vu à sa petite cour une jeune fille très belle, nommée Wald-rath, évidemment de race teutonique, sœur de l'archevêque Gunther, nièce ou cousine de trois ou quatre autres évêques ou archevêques, tous assez probablement Saxons. Lothaire, épris d'elle, l'avait épousée solennellement, devant les parents assemblés, par le don de l'anneau et l'échange du serment (tryst). C'était, notez-le bien, la cérémonie germanique, non la consécration chrétienne. Tout, dans la vie de Liut-heer ou Lothaire, porte ce caractère d'un germanisme invétéré. Charles-le-Chauve, le successeur à demi romain de Clovis, était aussi fort amoureux de son côté ; ces rois barbares l'étaient beaucoup. Bien que sa femme fût en vie, il gardait à sa cour une maîtresse, Reich-hilt (Richilde), nièce, sœur et fille des Boson, lesquels (à ce que prétendent quelques généalogistes) seraient les premiers ascendans des Talleyrand-Périgord. C'étaient déjà de grands manoeuvriers politiques que ces Boson qui ont fondé le royaume d'Arles. Richilde-Boson, maîtresse de Charles-le-Chauve, lui persuada qu'il était dangereux de laisser subsister le mariage teutonique de Lothaire avec Wald-ralh, et que, la cérémonie ecclésiastique n'ayant pas consacré l'union légale, on forcerait aisément la volonté de Lothaire à qui l'on ferait épouser Theut-berge-Boson, – la propre tante de Riçhilde-Boson, qui relierait ainsi les deux cours et les deux couronnes. C'était un piège dangereux tendu au pauvre Lothaire. Soit que les fidèles, les leudes, alors plus puissants que les rois, lui aient forcé la main, soit qu'il ait pensé que ses deux femmes lui seraient laissées, l'une pour la politique, l'autre pour le coeur ; il contracta ce second mariage, sans renoncer au premier. Les annales mérovingiennes et carlovingiennes sont remplies de pareils scandales. Charlemagne avait impunément répudié ses femmes, gardé ses filles chez lui, tout en fermant les yeux sur leur plus ou moins de chasteté ; et usé trop librement du mariage. Son palais d'Aix-la-Chapelle laissait beaucoup à dire. Mais ses prouesses scandaleuses ne l'empêchaient pas de rester au mieux avec le Pape ; il protégeait Rome. Lothaire au contraire ne. protégeait personne et avait grand besoin qu'on le protégeât. Theut-berge Boson, dont on avait voulu faire la femme de Lothaire, malgré la cérémonie religieuse, et avec laquelle il refusait d'habiter, n'avait pas été entourée de bons exemples. On lui imputait des relations scandaleuses avec son propre frère, Huc-behrt Boson. Theut-berge en convenait. Toute la cour de Charles-le-Chauve était une école de licence. Le frère prit la fuite, ne défendit point sa sœur accusée, et se contenta de courir les bois et les champs avec une bande d'affidés. Lothaire suppliait Rome de le laisser épouser religieusement Wald-rath. Il voyait bien qu'en le contraignant à garder la tante de Charles-le-Chauve, on ne voulait que le jeter dans les bras du monde gallo-romain ; que Charles-le-Chauve amant de Reich-hilt et bientôt mari de cette dernière, entrerait sans peine dans ses secrets et son intimité ; que par le double mariage de Theut-berge avec lui et de Karl avec Reich-hilt, il courait toutes sortes de dangers ; et que dans une situation pareille, à la fois oncle de Karl par alliance et son neveu par le sang, il n'échapperait pas aux usurpations, aux chicanes et aux ruses qui dans une proche parenté s'exercent si aisément, et dont Karl n'était pas avare. A ses yeux sa véritable épouse était cette Wald-rath, sœur et nièce d'archevêques germains sans alliances avec la cour de Charles-le-Chauve, qui, ayant accepté l'époux qu'elle voulait choisir, l'ayant accepté en présence de parents, solennellement, publiquement, selon le tryst, la foi donnée (trust, confiance), d'après la coutume d'individualité personnelle que ces peuples aiment et pratiquent encore ayant échangé l'anneau des fiançailles contre celui de Liut-heer, ne pouvait (disaient les guerriers germains) être arrachée à son mari. Quant à la seconde épouse, n'étant pas l'épouse du choix, mais de la force elle devait se retirer et se taire. Imposée par Karl, par Boson et la terreur politique, cette Theut-berge. impure n'avait pas le droit de venir se substituer à l'épouse première, vraie, choisie, élue, seule légitime. Que manquait-il en effet à Wald-rath ? prétendaient-ils. Une formule : « Pareniibus arbitris (dit le capitulaire), matrirnonium contractum. » Les parents y étaient. Ils avaient consenti ; le serment mutuel, la parole ne pouvaient être brisés. Voilà l'opinion teutonique. Karl-der-Bald (Charles-le-Chauve) et Theut-berge elle-même la partagèrent. Quand il fut reconnu que le Germain Liut-heer (Lothaire) tenait à son premier choix et n'entendait pas manquer au serment, à la protection promise, le sentiment germanique parla chez l'un et l'autre ; ils se repentirent tous deux; Theut-berge s'effaça devant sa rivale; et Karl l'y encouragea. Elle alla même à Rome supplier le Pape de rendre libre Liut-heer. C'était le sentiment teutonique qui éclatait. Il avait tant de poids sur les esprits, que les enfants même de Theut-berge se réconcilièrent avec les enfants de Wald-rath, et finirent par livrer aux Gallo-Romains une guerre furieuse. (...) Un récit que M. le baron Ernouf a résumé élégamment d'après les chroniqueurs ecclésiastiques, tous ennemis de Wald-rath et partisans dévoués de son antagoniste Theut-berge." (Philarète Chasles, Journal des débats politiques et littéraires, 6 nov 1859)
8 lettres et billets autographes de petit format, sur papier au chiffre du Baron Ernouf, s.d. [ circa 1880 ]
Ensemble de 8 L.A.S. envoyées par l’historien et écrivain Alfred Auguste Ernouf (1816-1889) à son imprimeur. Dans l’une d’elle, il regrette le choix par l’imprimeur de petits caractères: «de cette manière, vous avez dévoré en 250 pages la matière de 450. Enfin, le mal est fait, et me voilà forcé de vous improviser un supplément qui ne peut être que très long pour faire 130 ou 140 pages de votre petit caractère. Veuillez dire à Lévy que je me décide de joindre comme annexe un choix de documents diplomatiques les plus curieux et les moins connus sur le traité définitif de 1815, qui a été la suite et le complément de la capitulation». On sait que le Baron Ernouf fut un fervent napoléonien. Cet ensemble d’autographes est passé par les collections Henri Chenu et Claude Seignolle.
Baron ERNOUF - (Alfred-Auguste Ernouf de Verclives (1817-1889), historien, avocat à la cour royale de Paris.
Reference : 15770
(1858)
1858 PARIS, Libr.Techener - 1858 - In 8° - Broché, accroc au 1 er plat - - XV ,508 pages - 1 planche des monogrammes des empereurs et rois d'Italie - rousseurs éparses - bon exemplaire
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P., Charpentier, 1878, in-8°, iii-691 pp, reliure demi-veau glacé fauve à coins, dos à 5 nerfs pointillés et caissons fleuronnés dorés, doubles filets dorés sur les plats, tête dorée (rel. de l'époque), mors et coupes lég. frottés, une garde recollée, bon état. Edition originale
Critiqué par Talleyrand ("Je ne connais qu'un homme plus bête que Maret, c'est le duc de Bassano") et dépeint sous des traits peu flatteurs par Thiers dans son Histoire du Consulat et de l'Empire, Hugues-Bernard Maret (1763-1839) fut pourtant l'un des pivots essentiels du régime napoléonien pendant près de quinze ans. Fils de médecin, avocat, diplomate et journaliste, il est nommé en 1799 secrétaire général des consuls et entame une ascension fulgurante. Secrétaire d'Etat ayant rang de ministre, il est la plaque tournante du gouvernement napoléonien et en recueille les fruits par des dotations, des décorations et des titres : comte de l'Empire, puis duc de Bassano en 1809. Son passé de diplomate justifie encore que l'Empereur l'emploie dans les grandes négociations (Presbourg, Tilsit, Bayonne) avant de lui confier pour un temps le ministère des Relations extérieures. Sa carrière se poursuit à la chute de l'Empire, d'abord dans les rangs des bonapartistes les plus affirmés, puis dans les cercles du pouvoir de la monarchie de Juillet. Louis-Philippe tente même sans succès d'en faire son président du Conseil. Travailleur acharné et homme d'autorité, Maret reste pour la postérité l'un des plus fidèles serviteurs de Napoléon et une figure méconnue de l'épopée. — "Les mémoires authentiques de Maret, écrits sous la seconde Restauration et dont le manuscrit fut volé par un secrétaire infidèle, ont été reproduits pour les parties restées en possession du fils de Maret par le baron Ernouf." (Tulard, 958) — "Maret joua un rôle discret mais certain dans la diplomatie révolutionnaire, surtout sous le Directoire." (Fierro, 950) — "Sur la première partie de la vie de Maret, avant l’an VIII, [le livre] apporte maints renseignements inédits, tirés de papiers de famille ou de souvenirs laissés par l’intéressé (...) Plus de la moitié de l’étude est une analyse du rôle de Maret comme ministre des Relations extérieures entre 1810 et 1813." (Thierry Sarmant, Bibliothèque Napoléon).
Paris J. Rothschild 1886 1 vol. relié in-4, bradel demi-maroquin vert à coins, tête dorée, couverture illustrée conservée (Carayon), XII + 364 pp., 510 illustrations en noir in et hors-texte. 3e édition entièrement refondue avec le concours de Adolphe Alphand. Reliure salie et frottée, dos passé, exemplaire un peu gauchi. Intérieur en bonne condition. En l'état.
1889 Paris, Hachette, 1889, in 12 relié demi-percaline bleue, XX-715 pages.
...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Corlet Publications Broché D'occasion bon état 01/01/1999 150 pages
Perrin et Cie Libraires-Editeurs Relié D'occasion bon état 01/01/1888 351 pages
6 vol. in-12 reliure pleine percaline rouge ornée au premier plat d'un fer de "l'Ecole Commerciale de Bordeaux" fondée par Victor Coupin : Histoire de trois ouvriers français. Richard-Lenoir, Abraham-Louis Bréguet, Michel Brézin (par le Baron Ernouf), deuxième édition, Librairie Hachette et Cie, Paris, 1873 ; Histoire du gentil Seigneur de Bayart, composée par le Loyal Serviteur et abrégée à l'usage de la jeunesse par Alph. Feillet, Deuxième édition illustrée de 36 vignettes, Librairie Hachette et Cie, Paris, 1872 ; Les Merveilles du Monde Souterrain, par L. Simonin, troisième édition illustréede 18 vignettes sur bois par A. de Neuville et accompagnée de 9 cartes, Bibliothèque des Merveilles, Librairie Hachette et Cie, Paris, 1874 ; Grottes et Cavernes, par Adolphe Badin, ouvrage illustré de 55 vignettes par Camille Saglio, troisième édition Bibliothèque des Merveilles, Librairie Hachette et Cie, Paris, 1876 ; L'électricité par J. Baille, troisième éditio, Bibliothèque des Merveilles, Librairie Hachette et Cie, Paris, Librairie Hachette et Cie, Paris, 1874 ; La Télégraphie française. Etude historique, descriptive, anecdotique et philosophique avec figures, par J.-M. Villefranche, Librairie Classique et d'Education, A. Pigoreau, Paris, s.d.
Charmante réunion de 6 petits ouvrages ornés du fer de "l'Ecole Commerciale de Bordeaux" fondée par le pédagogue Victor Coupin (père du zoologue et botaniste Henri Coupin). Bon ensemble, non séparable (rares petits frott., certaines tranches dorées, la dernière reliure diffère).
, Paris, Plon, 1880., Relie de l' epoque, demi - umaroquin noir, plats marbre, dos orne de fil. dore et de piece de titre dore, plats de papier marbre, 11,5x18cm, 365pp, illustre n/b.
Souvenirs de voyage. d' Apres la relation de M. le baron de Thielmann.
Michel Lévy Frères 14 x 23 Paris 1859 Broché, 380 p. Edition originale. Important pour l'histoire de l'après Waterloo. Exemplaire dérelié, accrocs à la couverture, rousseurs éparses en fin de volume. A relier.(C4)
Paris, Perrin, 1884. In-8 de (4)-III-691 pp., demi-basane rouge, dos à nerfs, premier plat de couverture conservé (reliure de l’époque).
Édition ornée du portrait de Maret en frontispice. Le duc de Bassano joua un rôle discret mais certain dans la diplomatie révolutionnaire, surtout sous le Directoire. Ses mémoires authentiques écrits sous la seconde Restauration dont le manuscrit fut volé par un secrétaire infidèle, ont été reproduits pour les parties restées en possession du fils de Maret par le baron Ernouf. Dos passé, quelques rousseurs mais bon exemplaire. Fierro, 950 ; Tulard, 958
1872 Paris, Didier, 1872. Un volume in-12 demi chagrin noir, dos à nerfs, titre doré, 286 pages et un feuillet non chiffré. Légères épidermures, bel exemplaire.
La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné.
Paris Didier et Cie 1881 1 Un volume de format petit in 8° de 2 ff. (faux titre et titre); IV pp. (Avant propos); 360 pp.; Reliure de l'époque en demi toile vert empire; titre doré; couverture conservée.
Bel état. Quelques pp. roussies au milieu du volume sans gravité. Ce jeune Abbé servit de la campagne de 1794 jusqu'à la campagne d'Italie. Il s'engagea pour sauver sa famille. Il livre ici un émouvant témoignage des remous révolutionnaires. Ouvrage peu fréquent. Voir les photos.
1886 Paris, Rothschild (sans date (1886); in-4°, plein cartonnage beige de l'éditeur illustré en couleurs, titre en rouge au 1er plat en noir au dos; xiipp (dont le titre imprimé en noir et rouge), 364pp. Très nombreuses llustrations en noir dans le texte ou à pleine page.
Cartonnage jauni avec plusieurs traces de mouillures, coiffes frottées avec accroc au dos en tête et pied, très petit manque en tête, des feuillets jaunis, rares rousseurs. (CO1)
1877 Paris, Librairie Hachette & Cie. 1877. 1 vol in-12. Pleine toile grise, étiquette de titre brune au dos (ancienne reliure de travail). 191 pages. Anciens tampons de bibliothèque.
Assez bon état intérieur mais reliure modeste. Anciens tampons de bibliothèque et numéros de référencement en pages de titre et intérieures.
Paris. G. Charpentier. 1879. In-12. Demi-Chagrin rouge. 4 nerfs au dos. Titre et fleurons dorés. 332 p. Bon état intérieur. Couverture frottée et déchirée.
GASTARD, Joseph - Illustrations de A. MIENVILLE - A. ERNOUF - E. MOREL - O. de VILLERS
Reference : 9661
RENNES, "Les Nouvelles" - 1947 - In-8 - Broché - Couverture illustrée, légère déchirure au 1 plat - Illustrations NB dans le texte et HT de A. Mienville, A. Ernouf, E. Morel et O. de Villers - 99 pages - Propre
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Emile Perrin. 1884. In-8. Broché. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos abîmé, Rousseurs. III+691 pages - gravure en noir et blanc sous serpente en frontispice - renfort papier sur le dos et sur les plats - couverture jaunie, rousseurs - tampons et annotation sur le 1er plat - tampon, annotation et étiquette collée sur la page de faux titre - tampons et annotation sur la page de titre - papier jauni.. . . . Classification Dewey : 923-Politiciens, economistes, juristes, enseignants
Classification Dewey : 923-Politiciens, economistes, juristes, enseignants
Paris, Plon, 1876. 345 pages. (18x12cm.). Broché. Couverture imprimée. Les deux plats et 1er feuillet arranchés. 1 Carte dépliante. Fortes rousseurs. Belles gravures. Déchirures à la couverture. Exemplaire usé.
Paris, Techener, 1858 in-8, XV-508 pp., broché.
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Didier, 1872 in-12, 320 pp., broché.
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Hachette, 1881 in-16, 263 pp., demi-basane noire, dos lisse orné de filets dorés, d'une ancre de marine dorée et mention Bibliothèque des équipages en lettres dorées en pied Qqs rousseurs, manque 1/6e du dos (partie supérieure).
Biographie des ces trois grands inventeurs et industriels français de la fin du XVIIIe et du début du XIXe siècles. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Didier, 1872 in-12, 320 pp., broché. Quelques feuillets brunis et marques au crayon dans les marges.
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Hachette, 1885; in-8, 421 pp., portrait-frontispice, 7 pl., demi-chagrin vert, dos à nerfs, couv. cons. (Honnelaître). Petite mouillure marginale mais bon exemplaire.
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT