Emile Froment-Meurice (1837-1913), orfèvre & joaillier parisien. L.A.S. (signée « Froment-Meurice et Cie »), 14 mai 1864, 1p in-8. A Arthur Mangin. Lettre de remerciements pour le compte-rendu d'une séance à la Sorbonne sur l'aluminium. « Nous sommes toujours heureux de le rencontrer sous la plume d'un écrivain autorisé et nous ne voulons pas que vous puissiez croire qu'il a passé cette fois inaperçu pour nous ». Peu commun. [300-2]