Dessin original au crayon, cachet d'atelier. (Le cachet comportant la date de son décès il s'agit probablement d'un cachet posthume réalisé pour la vente du contenu de son atelier)Dimensions 308 x 242 mm. Venez visiter mon site antharedeschuyter.fr mis en place par livre rare book !Envoi par recommandé R2 ; pour plusieurs dessins ou envoi vers l'étranger merci de me contacter pour devis. Règlement par chèque bancaire sur la France avec expédition de l'objet à l'adresse du titulaire du compte, mandat poste ou virement bancaire. Pas d'espèces dans une enveloppe même UPS, DHL etc...
Élève de Jean-Louis Forain dont il s'éloigne par ses idées, Édouard Couturier commence à se faire connaître du public en publiant des caricatures assez féroces dans Le Sifflet journal dreyfusard fondé par Ibels en mars 1898 au moment où l'affaire Dreyfus prend un nouveau tournant : ses dessins, qu'il signe « Couturier », « E. Couturier » ou plus rarement « Ed. Couturier », mettent en scène les différents rebondissements qui conduisirent à la révision du procès. Depuis son atelier, il fabrique de nombreuses cartes postales illustrées relatives à cette affaire, sans doute en lien avec le critique Émile Straus (1865-?) qui avait fondé en 1899 La Carte postale illustrée, le bulletin de l'International Poste-Carte Club.Auparavant, en 1896, il réalise un petit recueil de dessins sur le monde des prostituées, "Des Femmes en chemises !".Par ailleurs, il collabore à d'autres journaux, plutôt de tendance radicale-socialiste, comme Le Chambard socialiste de Gérault-Richard, La Feuille de Zo d'Axa, Le Petit Bleu, Le Fouet, Le Cri de Paris, ou anarchiste, comme Les Temps nouveaux. Il donne aussi quelques dessins à L'Assiette au beurre, coordonnant le n° 89 du 13 décembre 1902 sur « les filles-mères » ainsi qu'au Rire et à L'Omnibus de Corinthe. trace de poussière mais bon état général Remises possibles sur les achats en lot, achetez plusieurs objets à la fois ! Reçoit sur rendez-vous pour consultation des ouvrages.