Edmond Stoullig (1845-1918), journaliste. C.A.S., sd 5 lignes. A Scholl : « Comme vous seriez aimable, mon cher maître, de faire vous-même une jolie chronique sur le tout Paris des premières ! A l'Evènement ou à l'Echo de Paris. Votre reconnaissant E. Stoullig ». [215]
Edmond Stoullig (1845-1918), journaliste. C.A.S., sd, 10 lignes. A Scholl : « me adsum qui feci ! C'est moi, mon cher maître, qui suis, depuis trois ans, le critique théâtral du National. Et ce n'est pas tout : je vous réserverai quelque-chose d'aussi désagréable un de ces jours dans l'Art. L'ami [Edouard] Siebecker n'appartient plus au journal depuis quelques années. Votre bien dévoué copain de sleeping car. E S ». [215]