Non daté fin XIX eme / 357 pages. Broché Editions Marpon & Flammarion.
Couverture d'usage avec des rousseurs éparses, légèrement déchirée en tête et pied de dos. Page manquante entre la page de titre et la notice, sans incidence sur la lecture. Intérieur frais malgré de très rares rousseurs. Bon état.
Racle, Imprimeur Du Roi, Rue Sainte-Catherine, N°74 20 x 13 Bordeaux 1817 Quatre volumes, reliure demi-basane fauve de l'époque, dos lisse orné de filets dorés, pièces de titre de maroquin rouge, pièces de tomaison de cuir vert, titre et tomaison dorés. Vol. 1: titre, prospectus (4 pp.), 480 pp., soit 12 livraisons de 40 pp. chacune, du 1er juillet au 15 décembre 1817, table des articles (3 pp.). Vol. 2: fx titre, titre, 488 pp., soit 12 livraisons de 40 pp. chacune (sauf 2, de 44 pp.), du 1 janvier au 15 juin 1818 (unes non datées à partir du 15 mars), table des articles (3 pp.). Vol. 3: 488 pp., soit 12 livraisons de 40 pp. chacune (sauf celle du 1er décembre de 48 pp.), du 1er juillet au 15 décembre 1818, unes non datées, tables des articles sur double feuillet manuscrit. Vol. 4: faux titre, titre, 480 pp.soit 12 livraisons de 40 pp. chacune, vraisemblablement du 1er janvier au 15 juin 1819 (unes non datées), table des articles (3 pp.). Rare collection de la revue littéraire bordelaise bi-mensuelle fondée par Edmond Géraud (1775-1831), littérateur bordelais, issu d'une famille de négociants et d'armateurs protestants, en partie réfugiée en Hollande après la révocation de l'Edit de Nantes, dont le domaine familial "Belle allée" était situé sur la rive droite de Bordeaux. Géraud, qui avait séjourné à Paris au début de la Révolution, avait créé à son retour à Bordeaux le "Journal d'un étudiant pendant la révolution", puis avait dirigé le "Mémorial bordelais", journal royaliste fondé à la faveur de la journée du 12 mars 1814. Géraud, dans le prospectus de lancement de la Ruche d'Aquitaine en 1817 justifie le positionnement du bi-mensuel. C'est un journal de "littérature et de sciences", loin des "cabales parisiennes", dans lequel la politique est exclue. L'ordonnance de 1815 d'ailleurs, en pleine réaction ultra, n'autorisait qu'un seul journal politique par département, place occupée à Bordeaux par le "Mémorial bordelais". La revue de 40 pages de format in-8 s'articule autour de la littérature, de la poésie, de récits de voyages, d'actualités bordelaises et de sa région. "La Ruche bordelaise" se transformera en 1819 en quotidien de tendance royaliste à la faveur de la suppression de la censure. La publication s'arrêtera en 1823. Exemplaire intéressant pour l'histoire de la presse bordelaise à l'issue de la Révolution. Reliure usagée mais solide (mors fendus, manque en queue du tome 1), intérieur frais. Manque le feuillet 299/300 du tome 1. Rare et bon exemplaire bien complet du prospectus de 1817. (LatB24). PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST.
Racle, Imprimeur Du Roi, Rue Sainte-Catherine, N°74 14 x 21 Bordeaux 1818 Un volume in-8 broché, 488 pp., soit 12 livraisons de 40 pp. chacune (sauf 2, de 44 pp.), du 1 janvier au 15 juin 1818 (unes non datées à partir du 15 mars), table des articles (3 pp.). Rares livraisons de la revue littéraire bordelaise bi-mensuelle fondée par Edmond Géraud (1775-1831), littérateur bordelais, issu d'une famille de négociants et d'armateurs protestants, en partie réfugiée en Hollande après la révocation de l'Edit de Nantes, dont le domaine familial "Belle allée" était situé sur la rive droite de Bordeaux. Géraud, qui avait séjourné à Paris au début de la Révolution, avait créé à son retour à Bordeaux le "Journal d'un étudiant pendant la révolution", puis avait dirigé le "Mémorial bordelais", journal royaliste fondé à la faveur de la journée du 12 mars 1814. Géraud, dans le prospectus de lancement de la Ruche d'Aquitaine en 1817 justifie le positionnement du bi-mensuel. C'est un journal de "littérature et de sciences", loin des "cabales parisiennes", dans lequel la politique est exclue. L'ordonnance de 1815 d'ailleurs, en pleine réaction ultra, n'autorisait qu'un seul journal politique par département, place occupée à Bordeaux par le "Mémorial bordelais". La revue de 40 pages de format in-8 s'articule autour de la littérature, de la poésie, de récits de voyages, d'actualités bordelaises et de sa région. "La Ruche bordelaise" se transformera en 1819 en quotidien de tendance royaliste à la faveur de la suppression de la censure. La publication s'arrêtera en 1823. Exemplaire intéressant pour l'histoire de la presse bordelaise à l'issue de la Révolution. Large mouillure sur la page de titre, sinon bon intérieur, pages en partie non coupées, traces de vers dans les dernières pages. (LatB24) PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST.
Racle, Imprimeur Du Roi, Rue Sainte-Catherine, N°74 14 x 21 Bordeaux 1819 Un volume in-8 broché, 480 pp.soit 12 livraisons de 40 pp. chacune, vraisemblablement du 1er janvier au 15 juin 1819 (unes non datées), table des articles (3 pp.). Rares livraisons de la revue littéraire bordelaise bi-mensuelle fondée par Edmond Géraud (1775-1831), littérateur bordelais, issu d'une famille de négociants et d'armateurs protestants, en partie réfugiée en Hollande après la révocation de l'Edit de Nantes, dont le domaine familial "Belle allée" était situé sur la rive droite de Bordeaux. Géraud, qui avait séjourné à Paris au début de la Révolution, avait créé à son retour à Bordeaux le "Journal d'un étudiant pendant la révolution", puis avait dirigé le "Mémorial bordelais", journal royaliste fondé à la faveur de la journée du 12 mars 1814. Géraud, dans le prospectus de lancement de la Ruche d'Aquitaine en 1817 justifie le positionnement du bi-mensuel. C'est un journal de "littérature et de sciences", loin des "cabales parisiennes", dans lequel la politique est exclue. L'ordonnance de 1815 d'ailleurs, en pleine réaction ultra, n'autorisait qu'un seul journal politique par département, place occupée à Bordeaux par le "Mémorial bordelais". La revue de 40 pages de format in-8 s'articule autour de la littérature, de la poésie, de récits de voyages, d'actualités bordelaises et de sa région. "La Ruche bordelaise" se transformera en 1819 en quotidien de tendance royaliste à la faveur de la suppression de la censure. La publication s'arrêtera en 1823. Exemplaire intéressant pour l'histoire de la presse bordelaise à l'issue de la Révolution. Coin inférieur droit de la couverture absent, couverture et volume dérelié, bon intérieur, mouillure en tête des dix dernières pages. (LatB24) PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST.
Paris, Librairie Marpon et Flammarion, 1893. Petit in-8 de XXV-306-(1) pp., demi-percaline bleue.
Édition originale. Ecrivain, bourgeois bordelais, Edmond Géraud (1775-1831) manifesta une grande hostilité à l'Empire, qui lui valut quelques ennuis. Se croyant en droit d'obtenir des faveurs de la Restauration, il vint à Paris avec son ami Maine de Biran ; déçu il retourna à Bordeaux dès 1817. Sainte-Beuve voyait en lui le premier romantique avant Hugo, mais il n'avait pas jugé que son journal valût d'être édité. Bertier, 459. 1 portrait en frontispice.
P., Marpon et Flammarion, s.d. (1892), in-12, 357 pp, un portrait en frontispice, reliure demi-basane fauve, dos à 5 nerfs filetés soulignés à froid et fleurons dorés, pièces d'auteur et de titre basane havane (rel. de l'époque), bon état
"Ecrivain facile, bourgeois bordelais, Edmond Géraud a manifesté une grande hostilité à l'Empire, qui lui a valu quelques ennuis. Aussi se croit-il en droit d'obtenir des faveurs de la Restauration et vient-il à Paris en compagnie de son ami, Maine de Biran. Dès 1817, déçu, il est de retour à Bordeaux. Bigot a édité des fragments relatifs à la vie politique et sociale bordelaise." (Bertier de Sauvigny, 459)
P., Marpon et Flammarion, s.d. (1892), in-12, 357 pp, un portrait en frontispice, reliure demi-chagrin vert bouteille, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres et fleurons dorés (rel. de l'époque), bon état
"Ecrivain facile, bourgeois bordelais, Edmond Géraud a manifesté une grande hostilité à l'Empire, qui lui a valu quelques ennuis. Aussi se croit-il en droit d'obtenir des faveurs de la Restauration et vient-il à Paris en compagnie de son ami, Maine de Biran. Dès 1817, déçu, il est de retour à Bordeaux. Bigot a édité des fragments relatifs à la vie politique et sociale bordelaise." (Bertier de Sauvigny, 459)
Paris, Flammarion, Paris, Flammarion(1892) ; in-12, broché. 357 pp., 1 f.ÉDITION ORIGINALE rare. L’écrivain bordelais Géraud qui fut très hostile à l’Empire se crut en droit de recevoir les faveurs du nouveau régime. Il vint à Paris avec son ami Maine de Biran. Déçu, il rentra à Bordeaux dès 1817. Sainte-Beuve voyait en lui le premier romantique avant Hugo, mais il n’avait pas jugé que son journal valût d’être édité. - Bertier de Sauvigny, Fiero, 459.
Paris, H. Nicolle, A la Librairie Stéréotype, 1818. in-12. 2 f. 284 pages. 2 gravures hors-texte. (15x9,5cm). Plein veau ornementé. Dos à nerfs orné. Dentelle dorée sur les contreplats. Tranches marbrées. Légères traces de frottement. Charnières partiellement fenudes. Accident au coins. Rousseurs. Très bon exemplaire par ailleurs. Très joli exemplaire avec belle reliure enrichi de 2 belles gravures. Première édition. Rousseurs. Edmond Géraud (1775-1831) fut un homme de lettres, journaliste, poète et écrivain de Bordeaux. Il publia ses poèmes aussi dans des revues. Il se convertit au catholicisme en 1831.
4 vol. in-8 reliure de l'époque demi-veau vert marron, dos lisse orné, toutes tranches marbrées, Chez Racle, Bordeaux, 1817 à 1819, 2 ff., 4-480-3 pp. ; 2 ff., 480 pp. et 2 ff. n. ch. ; 2 ff., 488 pp. et 2 ff. n. ch. ; 2 ff., 480 pp. et 2 ff. n. ch.
Rare série bien complète des 4 premières années, avec le Prospectus d'origine relié en tête du Tome Premier. A partir d'août 1819, il paraîtra ensuite sous une autre forme jusqu'en septembre 1823. Le prospectus précise l'intention de la revue : "Lorsque tous les esprits, lassés de troubles et de discussions politiques, ne demandent qu'à se reposer enfin dans le maintien du gouvernement légitime, il semble que le moment ne sauroit être mieux choisi pour appeler l'attention vers les arts utiles, et nous réconcilier avec ces jouissances paisibles que promet la culture des lettres". On y trouve de nombreux compte-rendus ainsi que des extraits d'ouvrage (par exemple du "Nouveau Voyage dans l'intérieur de l'Afrique, fait en 1810, 1811, 1812, 1813 et 1814, ou Relation de Robert Adams" ; et de nombreux essais pleins d'esprit, tel celui-ci, sur l'Horloge : "Charles-Quint vait toujours eu un goût très vif pour les horloges. On raconte même qu'après son abdication, il s'amusoit à en construire dans sa retraite de Saint-Just, et qu'il se consoloit aussi de ses retours d'ambition. Mais n'ayant pu réussir à en faire aller deux exactement d'accord, il tira de cette contrariété une leçon de morale, et réfléchit à la folie qu'il avait eue de prétendre assujettir tous ses peuples à penser d'une manière uniforme, et à obéir aux mêmes impulsions"). La revue a été fondée par l'écrivain bordelais Edmond Géraud (1775-1831). Bon état (petit mq. de cuir à un mors, petite galerie marginale sans atteinte au texte en tome 3, très bon état par ailleurs) pour ce joli exemplaire bien relié.
Paris, Marpon, Flammarion, sans date, in 12 broché, 359 pages ; portrait en frontispice ; couverture fanée, dos fendu.
...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Paris, Marpon et Flammarion,1892, in huit, 357 pp, broché, état d'usage, texte bien complet,couverture un peu tachée
.
paris Plon-Nourrit et Cie 1910 in-8 demi-percale un volume, reliure demi-percale rose (half hard-back percale) in-octavo, reliure d'époque, dos long (spine without raised band), titre frappé or, pièce de titre à double filets or (label of title with gilt line) sur fond bordeaux, papie rpeigné aux plats (cover with painting paper), tête lisse (top edge smooth) peignée - gouttière et tranche de queue non-rognées, marque-page en tissu (bookmark in tissue), couverture conservée (cover preserved - library edition), sans illustrations (no illustration), VII-331 pages, 1910 à Paris, Plon-Nourrit et Cie Editeur,
Nouvelle Edition........en trés bon état (very good condition). trés bon état
1910 Paris, Plon-Nourrit et Cie, 1910, in 8 br. de (2) ff., VII-331 pp., bon ex.
Chez Meissonnier, Paris. Non daté. In-8. En feuillets. Bon état, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 2 pages, partitions et paroles. Timbre fiscal (empreinte marque): 'Timbre Royal' de la Seine.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
Tiré du 'Journal de Lyre ou Guitare, Rédigé par Meissonnier'. Romance mise en musique par Herdlizka, paroles de S. Ed. Geraud, avec accompagnement de lyre ou guitare par A. Meissonnier. N° 195, 9e Année, 7e Liv. Classification Dewey : 780.26-Partitions
COLLECTIF - SANBAR, Elias - AMRAN EL MALEH, Edmond - ABOU SAMRA, Muhammad - C. CHEYSSON - LA PRADELLE, Géraud, de ...
Reference : 48718
BEYROUTH (Liban), Institut des études palestiniennes - Revue d'Etudes Palestiniennes n° 5 - Automne 1982 - In-8 - Broché - Photographies NB HT, cartes - 359 pages - Envoi manuscrit - Bon exemplaire - Réf.48718
- ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
Bordeaux, Chez les marchands d'estampes et chez l'Auteur, 1818-1819. In-4 de (32) pp. et 32 planches coloriées, demi-maroquin rouge à petits coins, dos lisse orné de filets dorés (reliure de l'époque).
Suite complète en premier tirage des 32 planches en couleurs gravées par Philippe Leroy d'après Gustave de Galard, accompagnées de 32 pages d'explication - publiée en huit livraisons de quatre planches chacune. 1. Grisette 2. Marchande de lait 3. Servante 4. Layt 5. Marchande d'huîtres 6. Modiste 7. Charbonnier 8. Marchande de fraises 9. Vendeuse de pommes cuites 10. Porte faix 11. Artisane 12. Jeune fille de la Teste 13. Bergère des Landes 14. Berger des Landes (ou cousiot). 15. Berger des Landes (de dos). 16. Petit résinier 17. Patron de barque 18. Grisette 19. Femme du peuple 20. Femme de Blaye 21. Jeunes filles de Cauderan 22. Marchand de volaille 23. Femme de la Roque 24. Marchands d'habits 25. Marchande de chataîgnes 26. Matelot 27. Décroteur 28. Marchande de poulets 29. Paysan du Médoc 30. Marchande de sable 31. Marchande d'allumettes 32. Pompier de la ville.Premier album du peintre, lithographe et caricaturiste bordelais Philippe-Gustave, comte de Galard (1779-1841) ; descendant d"une grande famille de Gascogne, il commença ses études au collège militaire de Sorèze qu'il dut interrompre à la Révolution. Après la mort de son père, guillotiné en 1793, Galard commença une longue errance en Europe et en Amérique, gagnant sa vie comme peintre de miniatures. Il rentra en France en 1802 et s'installa à Bordeaux, vivant de ses peintures et gravures, puis de la lithographie à partir de 1815. Il y domina la période de la Restauration aussi bien par ses portraits et miniatures de la haute société bordelaise que par ses gravures et lithographies mettant en scène le petit peuple au travers de costumes et de métiers de la rue. Il mourut avant d'avoir terminé l'album vignicole qui fut continué par un de ses élèves Pierre-Eugène Claveau (1820-1902), puis par Gorse et J. Philippe. Exemplaire en reliure d'époque sans la couverture qui sert de titre.Provenance : comtesse de Pancemont, née Amélie-Joseph Renaud de Boucly (ex-libris héraldique), marié le 28 janvier 1789 à Jean-Baptiste, François Mayneaud de Pancemont, Président à mortier au Parlement de Dijon sous l'Ancien Régime. L'empereur le nomme premier président de la cour d'appel de Nîmes en 1806 et maître des requêtes au Conseil d’État. Il est créé baron d'Empire le 31 décembre 1809. Le 11 avril 1820 il est fait comte de Pancemont.Bel exemplaire, les planches 21 à 32 sont reliées dans le désordre. Coins émoussés.Colas, 1153 : « Ce recueil est très rare complet » ; Gustave Labat, Gustave de Galard sa vie et son oeuvre (1779-1841) Bordeaux, Feret et fils, 1896, pp. 49-52, n° 1-32.
Paris, Plon, collection Bibliothèque Historique Plon, 1934, in-12 relié de 316 pages, reliure déditeur, 8 gravures noir et blanc hors-texte. Un bon exemplaire complet de sa jaquette. Très bon état.