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‎DURRELL Lawrence HOROWITZ Karen‎

Reference : 67958

(1974)

‎Affiche originale dédicacée par Lawrence Durrell‎

‎S.n., s.l. 1974, 62x45cm, une affiche.‎


‎Affiche originale réalisée par Karen Horowitz numérotée 145/200, datée 1974 et signée au crayon, représentant une photographie de concombre surmontée d'une citation de Justine de Lawrence Durrell?: «?The world is like a cucumber - today it's in your hand, tomorrow up your ass?» («?Le monde est comme un concombre - aujourd'hui, il est entre tes mains, demain dans ton cul.?») Quelques très infimes piqûres. Dédicace manuscrite de Lawrence Durrell réalisée au feutre noir à gauche de la citation?: «?Buttons dear Attention?! Larry Durrell. 1978?» Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de ses romans Bitter Lemons of Cyprus et Justine, il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «?maison Tartès?», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante «?Jany?» (Janine Brun), Montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «?Buttons?» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «?Buttons?», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes sur un menu de restaurant et à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. Cette affiche fut donc offerte à cette jeune amante qui, à Sommières comme à Paris, égaya ses journées solitaires à la fin des années soixante et soixante-dix. Janine Brun fut ainsi décrite par le biographe de Durrell, Ian McNiven?: «?She was almost thirty but she looked much younger, with a girl's small-breasted figure, as dark-haired as Claude Kiefer was blonde, and not languorous but tremendously energetic?» («?Elle avait presque trente ans mais avait l'air bien plus jeune, avec une silhouette de jeune fille aux seins menus, aussi brune que Claude Kiefer [une autre de ses amantes, femme d'un chirurgien suisse] était blonde, pas tant langoureuse qu'extrêmement énergique?» Lawrence Durrell?: A Biography). La relation de Jani/Buttons avec l'écrivain se prolongea jusqu'à la fin des années 1970, la jeune fille apparaissant à l'occasion dans les uvres de Durrell (et notamment le poème «?Vaumort?», Collected Poems?: 1931-1974) et dans la fameuse correspondance de l'écrivain avec Henry Miller?: «?that little demon Buttons [...] turned up for a New Year TRINC and stayed the night with me finally, in my eternal little Room 13 at the Royal?» («?Buttons ce petit démon arriva pour trinquer à la nouvelle année et passa enfin la nuit avec moi, dans mon éternelle petite chambre 13 du Royal?», lettre de Durrell à Miller, 6 janvier 1979). Elle reçut également des lettres et cartes postales pleines de sollicitude, d'allusions intimes et de conseils de lecture de la part de Durrell et de son grand ami Henry Miller, ainsi que des uvres d'art originales signées par Lawrence Durrell lui-même. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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EUR1,000.00 (€1,000.00 )

‎DURRELL Lawrence GERSON Mark‎

Reference : 66707

(1970)

‎Photographie signée de Lawrence Durrell à une jeune française ‎

‎1970, 21,9x16,2cm, une feuille.‎


‎Photographie originale de Lawrence Durrell signée et datée, réalisée par le photographe Mark Gerson, et portant son tampon au verso : "šPhotograph by MARK GERSON, FIIP. ARPS. 24, Cavendish Ave., St. John's Wood, London NW8". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de ses romans Bitter Lemons, il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes sur un menu de restaurant et à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. Photographie originale en noir et blanc de Lawrence Durrell portant une signature autographe de l'auteur : "Buttons you are impossible 1970", adressé à Janine Brun, sa jeune amante française. L'écrivain pose souriant devant l'objectif du célèbre photographe portraitiste d'écrivains Mark Gerson, à l'occasion d'une séance de signatures à Londres pour la parution deTunc, le premier voume de sa série d'ouvrages distopiques intituléeLaRévolte d'Aphrodite. Cette photographie fut adressée à une jeune amante de l'auteur,qui, àSommières comme à Paris, égaya ses journées solitaires à la fin des années soixante et soixante-dix. Janine Brun, aussi surnommée "Buttons" dans les lettres de l'écrivain, fut ainsi décrite par le biographe de Durrell Ian McNiven : "She was almost thirty but she looked much younger, with a girl's small-breasted figure, as dark-haired as Claude Kiefer was blonde, and not languorous but tremendously energetic" (" Elle avait presque trente ans mais avait l'air bien plus jeune, avec une silhouette de jeune fille aux seins menus, aussi brune que Claude Kiefer [une autre de ses amantes, femme d'un chirurgien suisse] était blonde, pas tant langoureuse qu'extrêmement énergique", (Lawrence Durrell: A Biography, page 591). Leur relation se prolongea jusqu'à la fin des années 1970, Jani/Buttons apparaissant à l'occasion dans les oeuvres de Durrell (et notamment le poème« Vaumort»,Collected Poems: 1931-1974) et dans la fameuse correspondance de l'écrivain avec Henry Miller : "that little demon Buttons [...] turned up for a New Year TRINC and stayed the night with me finally, in my eternal little Room 13 at the Royal" ("Buttons ce petit démon arriva pour trinquer à la nouvelle année et passa enfin la nuit avec moi, dans mon éternelle petite chambre du Royal", lettre de Durrell à Miller, 6 janvier 1979). Elle reçut également des lettres et cartes postales pleines de sollicitude, d'allusions intimes et de conseils de lecture de la part de Durrell et de son grand ami Henry Miller, ainsi que des uvres d'art originales signées par Lawrence Durrell lui-même. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎DURRELL Lawrence‎

Reference : 66717

(1970)

‎Carte postale autographe inédite signée de Lawrence Durrell à son amante française : "je n'aime pas les films, les tournages. On gagne bien des sous mais on perd la raison"‎

‎22 juillet 1970, 14,6x10,1cm, une feuille.‎


‎Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de ses romans Bitter Lemons, il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes sur un menu de restaurant et à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. Sa correspondance reste inédite et inc Carte postale autographe inédite signée de Lawrence Durrell à sa jeune amante française à Janine Brun, prénommée "Buttons". 15 lignes à l'encre noire, signées "Larry". Lacarte porte au verso une photographie en noir et blanc du village de Sommières, coloriée par Durrell de couleurs vives. "Je passe tout mon temps dans la région de Fleurac avec des clochards" (ligne 5) La carte fut envoyée à une jeune amante de l'auteur,qui, àSommières comme à Paris, égaya ses journées solitaires à la fin des années soixante et soixante-dix. Janine Brun, aussi surnommée "Buttons" dans les lettres et cartes postales de l'écrivain, fut ainsi décrite par le biographe de Durrell Ian McNiven : "She was almost thirty but she looked much younger, with a girl's small-breasted figure, as dark-haired as Claude Kiefer was blonde, and not languorous but tremendously energetic" (" Elle avait presque trente ans mais avait l'air bien plus jeune, avec une silhouette de jeune fille aux seins menus, aussi brune que Claude Kiefer [une autre de ses amantes, femme d'un chirurgien suisse] était blonde, pas tant langoureuse qu'extrêmement énergique", (Lawrence Durrell: A Biography, page 591). Durrell adresse cette carte multicolore depuisle tournage d'une série d'interviews organisée dans le Midi : "mais ce vilain temps nous a déjà coûté une semaine de tournage. Tout le monde furieux - et le [sic] météo Encore pessemiste [sic] ! Quoi faire ?". L'écrivaindécrit ses innombrables conquêtes féminines à sa jeune amante: "Je rode un peu avec Diane Deriaz qui joue dans le film et apport[sic] tout les considérations possible [sic] dans les circonstances avec Margaret McCall." Il avait rencontré l'acrobate Diane Deriaz dans l'avion deux ans auparavant,et entretenait une relation houleuseavec Margaret McCall, productrice de la BBC, qui tourna plusieurs documentaires sur lui et la vie deRobert Graves etGraham Sutherland entres autres. La relation de Jani/Buttons avec l'écrivain se prolongea jusqu'à la fin des années 1970, la jeune fille apparaissant à l'occasion dans les oeuvres de Durrell (et notamment le poème« Vaumort»,Collected Poems: 1931-1974) et dans la fameuse correspondance de l'écrivain avec Henry Miller : "that little demon Buttons [...] turned up for a New Year TRINC and stayed the night with me finally, in my eternal little Room 13 at the Royal" ("Buttons ce petit démon arriva pour trinquer à la nouvelle année et passa enfin la nuit avec moi, dans mon éternelle petite chambre du Royal", lettre de Durrell à Miller, 6 janvier 1979). Elle reçut également des lettres et cartes postales pleines de sollicitude, d'allusions intimes et de conseils de lecture de la part de Durrell et de son grand ami Henry Miller, ainsi que des uvres d'art originales signées par Lawrence Durrell lui-même. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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EUR350.00 (€350.00 )

‎DURRELL Lawrence & MILLER Henry‎

Reference : 73617

(1963)

‎Une correspondance privée, Lawrence Durrell Henry Miller‎

‎Buchet-Chastel, Paris 1963, 14x19,5cm, broché.‎


‎Edition originale, sur papier courant, de la traduction française. Exemplaire complet de sa jaquette illustrée qui comporte de petites déchirures et d'infimes manques. Précieux envoi bicolore autographe signé de Lawrence Durrell à son amie Janine Brun : "Janine Brun / from Lawrence Durrell / with affection". Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, Lawrence Durrell rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎DURRELL Lawrence‎

Reference : 73421

(1966)

‎Poèmes‎

‎Gallimard, Paris 1966, 14x20,5cm, broché.‎


‎Edition originale de la traduction française, un des exemplaires du service de presse. Petites piqûres en marges des plats, trois petites taches claires sur le premier plat. Précieux envoi bicolore autographe signé de Lawrence Durrell à son amie Janine Brun : "For Janine Brun / from Lawrence Durrell /Sommières / Gard", Lawrence Durrell ayant ajouté, au feutre rose, deux mentions "Pont du Gard" encadrant le "Gard" de l'envoi autographe. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, Lawrence Durrell rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎[LITTERATURE] - DURRELL (Lawrence) - ‎

Reference : 200707929

‎Citrons acides. ‎

‎Paris, Buchet/ chastel, 1961; in-8, 344 pp., broché, couverture illustr. Eo.‎


‎Eo.‎

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EUR30.00 (€30.00 )

‎[BIOGRAPHIE] - DURRELL (Lawrence) - ‎

Reference : 202103695

‎Affaires urgentes scenes de la vie diplomatique. ‎

‎Paris, Nil editions, 2004; in-8, 303 pp., br.‎


‎.‎

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‎[ROMAN] - DURRELL (Lawrence) - ‎

Reference : 201415051

‎Cléa. ‎

‎Paris, Buchet/ chastel, 1960; in-8, br.‎


‎.‎

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EUR20.00 (€20.00 )

‎[ROMAN] - DURRELL (Lawrence) - ‎

Reference : 201415050

‎Justine. ‎

‎Paris, Buchet/ chastel, 1957; in-8, br. Page non coupé.‎


‎Page non coupé.‎

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EUR20.00 (€20.00 )

‎[ROMAN] - DURRELL (Lawrence) - ‎

Reference : 201415049

‎Balthazar. ‎

‎Paris, Buchet/ chastel, 1959; in-8, 297 pp., br.‎


‎.‎

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‎[LITTERATURE] - DURRELL (Lawrence) - ‎

Reference : 201322979

‎Die Schwarze Chronik. ‎

‎Hamburg, Rowohlt verlag, 1962; grand in-12, 330 pp., cartonnage de l'éditeur. Très bon état avec sa jaquette - 1 tauzend.‎


‎Très bon état avec sa jaquette - 1 tauzend.‎

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‎[LITTERATURE] - DURRELL (Lawrence) - ‎

Reference : 201322978

‎Leuchtende Orangen Rhodos - insel des helios. ‎

‎Hamburg, Rowohlt verlag, 1964; grand in-12, 253 pp., cartonnage de l'éditeur. Tres bon état avec son rhodoide - 1 tauzend.‎


‎Tres bon état avec son rhodoide - 1 tauzend.‎

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‎[LITTERATURE] - DURRELL (Lawrence) - ‎

Reference : 201322977

‎BITTERE LIMONEN ERLEBTES CYPRERN. ‎

‎Hamburg, Rowohlt verlag, 1962; grand in-12, 307 pp., cartonnage de l'éditeur. En très bon état - 1 tausend.‎


‎En très bon état - 1 tausend.‎

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EUR20.00 (€20.00 )

‎[LITTERATURE] - DURRELL (Lawrence) - ‎

Reference : 201209346

‎Balthazar. ‎

‎, Buchet chastel corréa, 1962; in-8, 294 pp., br.‎


‎.‎

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EUR9.00 (€9.00 )

‎[LITTERATURE] - DURRELL (Lawrence) - ‎

Reference : 201106004

‎Justine , clea, moutolive , balthazar. ‎

‎Paris, Buchet/chastel correa, 1960; in-8, 278-357-410-294 pp., broché. Les 4 volumes. Collection chemin de la vie en 4 volumes.‎


‎Collection chemin de la vie en 4 volumes.‎

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‎[LITTERATURE] - DURRELL (Lawrence) - ‎

Reference : 200805983

‎Le carrousel sicilein. ‎

‎Paris, Gallimard - l'air du temps, 1979; in-8, 240 pp., br. Traduit de l'anglais par Paule guivarch.‎


‎Traduit de l'anglais par Paule guivarch.‎

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EUR10.00 (€10.00 )

‎[LITTERATURE] - DURRELL (Lawrence) - ‎

Reference : 200601201

‎La papese Jeanne récit. ‎

‎Paris, Buchet/chastel, 1974; in-8, 231 pp., broché. Adapté de l'oeuvre greque de Emanuel Royidis - traduit de l'anglais par Georges Belmont et Hortense Chabrier.‎


‎Adapté de l'oeuvre greque de Emanuel Royidis - traduit de l'anglais par Georges Belmont et Hortense Chabrier.‎

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EUR16.00 (€16.00 )

‎[ROMAN] - DURRELL (Lawrence) - ‎

Reference : 200402632

‎Mountolive. ‎

‎Paris, Buchet /chastel /Corrêa, 1959; in-8, 410 pp., br.‎


‎.‎

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EUR12.00 (€12.00 )

‎[ART] - DURRELL (Lawrence) - ‎

Reference : 201003270

‎Johann Wilhelm BAUR 1607-1642 Maniérisme et baroque en Europe. ‎

‎Paris, Adam Biro - musées de Strasbourg, 1998; in-4, 192 pp., broché, couverture illustr. Très bon état - palais Rohan, galerie Robert Heitz 14 mars - 7 juin 1998.‎


‎Très bon état - palais Rohan, galerie Robert Heitz 14 mars - 7 juin 1998.‎

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EUR40.00 (€40.00 )

‎[GRECE] - DURRELL (Lawrence) - ‎

Reference : 201003269

‎Les îles grecques. ‎

‎Paris, Albin Michel, 1979; petit in-4, 287 pp., cartonnage d'éditeur avec jaquette.‎


‎.‎

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EUR20.00 (€20.00 )

‎(DURRELL Lawrence) & VOLKOFF Vladimir‎

Reference : 71633

(1984)

‎Lawrence le magnifique. Essai sur Lawrence Durrell et le roman relativiste‎

‎L'âge d'homme & Julliard, Paris 1984, 13x20cm, broché.‎


‎Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Agréable exemplaire. Envoi autographe signé de Lawrence Durrell à sa proche amie Janine Brun. Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎DURRELL Lawrence‎

Reference : 83025

(1980)

‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée depuis Edimbourg à Jani Brun : "Si tu es libre de me joindre... faites moi signed"‎

‎Edimbourg 4 octobre 1980, 10x14,5cm, une carte postale + une enveloppe.‎


‎Suggestive carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre violet, au verso d'une reproduction de sculpture représentant un satyre, enveloppe jointe. "Buttons dear. J'arrive mardi pour deux nuits à Paris - au Royale. Si tu es libre de me joindre... faites moi signed. Suis fatigué après Athens, Londres, Edinburgh! Love. Larry Durrell." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎DURRELL Lawrence‎

Reference : 66628

(1969)

‎"Vaumort" : poème autographe signé et illustré par l'auteur à son amante française‎

‎1969, 30,4x39,5cm, une feuille.‎


‎ Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de ses romans Bitter Lemons of Cyprus et Justine, il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «?maison Tartès?», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante «?Jany?» (Janine Brun), Montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «?Buttons?» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «?Buttons?», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes sur un menu de restaurant et à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs.Exceptionnel poème autographe daté de 1969, signé et illustré de dessins originaux au graphite, feutres et crayons de couleur par Lawrence Durrell. Le poème-uvre d'art est adressé à Janine Brun, son amante française, et porte la dédicace «?For Buttons?», surnom affectueux que lui donnait l'écrivain, surmonté d'un cur percé d'une flèche. «?Et je sus qu'à chaque fois que Je veux être vraiment seul Et me souvenir de toi, de cette journée, C'est à Vaumort que je songerai?». «?I knew that whenever I want to be perfectly alone With the memory of you, of that whole [day, It's to Vaumort that I'll be turning?» Trous d'épingles, déchirures marginales. Publié pour la première fois dans Collected Poems?: 1931-1974 (1980). Dans ce poème-dessin, l'écrivain se remémore une journée d'amour passée dans le cimetière d'un petit village de l'Yonne en compagnie de son amante Janine Brun. Au même moment, Durrell se remet péniblement du décès prématuré de sa troisième femme, survenu deux ans auparavant, et publie sa série de romans dystopiques Tunc (1968) and Nunquam (1970). Il se retranche également dans la poésie, dernier exercice d'ascèse littéraire et philosophique d'un écrivain qui, progressivement, choisit de se retirer du monde. C'est au cours d'une traversée depuis la capitale vers le Midi, que ce sont arrêtés les amoureux le temps d'une journée à Vaumort?: «?Au-dessous de nous, très loin, la route [qui mène à Paris Tu verses un peu de vin sur une tombe Les abeilles boivent avec nous, les morts [acquiescent?». «?Below us, far away, the road to Paris. You pour some wine upon a tomb. The bees drink with us, the dead approve.?» La poésie de Durrell a souffert de l'éclatant succès de ses romans, cependant elle atteint ici une grande beauté lyrique, son vers libre néanmoins très musical reprenant le célèbre motif du cimetière?: «?Un cimetière insouciant bourdonne Comme si ses tombes étaient des ruches Bousculées par des morts impatients - Nous imaginions qu'ils avaient accumulé Le miel de leur immortalité Dans le doux tumulte des abeilles [noires?». «?One careless cemetery buzzes on and [on As if her tombstones were all hives Overturned by the impatient dead - We imagined they had stored up [The honey their of their immortality In the soft commotion the black bees make.?» L'écrivain s'exerce ici à capturer dans le poème un moment de bonheur et de plaisir charnel avec son amante, et encadre les vers qu'il lui offre de longs aplats de graphite et de nombreux dessins aux couleurs vives. Parallèlement à son travail d'écriture, l'auteur du Quatuor d'Alexandrie pratiquait en effet assidument la peinture et organisa plusieurs expositions de ses uvres sous le pseudonyme «?Oscar Epfs?», son double artistique. Selon Serge Fauchereau, «?[...] c'est grâce à son ami Henry Miller qu'il s'était mis à la peinture?», en autodidacte, et qu'il produit à partir des années soixante des «?fantaisies jubilatoires?» (Jean Lacarrière), extrêmement colorées. On a ici un rare exemple d'une uvre d'art double, à la fois poétique et picturale. Réalisée aux feutres et crayons de couleurs, proche des dessins de Joan Miró, elle constitue une magnifique illustration empreinte de naïveté, qui se marie admirablement au poème. Durrell poursuivit cette activité jusqu'à la fin de sa vie, passée à Sommières?: on peut d'ailleurs y voir une véritable transcription picturale du «?burnt and dusty Languedoc?» («?Languedoc brûlé et poussiéreux?», vers 12), auquel il rendra hommage dans son ultime roman Caesar's Vast Ghost. Rare témoignage de l'aventure provençale de Durrell avec une jeune française, qui lui inspira un délicieux poème empreint de chaleur et de couleurs méditerranéennes. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎DURRELL Lawrence‎

Reference : 86609

(1979)

‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée depuis Rhodes à Jani Brun : "J'arrive à Paris Dimanche 19 pour deux nuits. Sera tu la [sic] ? Disponible ? "‎

‎Rhodes Octobre 1979, 21x10cm, une carte postale.‎


‎Suggestive carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre bleu, au verso d'une reproduction de sculpture représentant une fontaine aux hippocampes de Rhodes. Petites traces de pliures angulaires sur la carte postale. "Rhodes ! J'arrive à Paris Dimanche 19 pour deux nuits. Sera tu la [sic]? Disponible ?Je decend chez l'hotel Royale comme d'habitude. Le tournage est fini ce soir ! Ouf ! Love. Larry." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎DURRELL Lawrence‎

Reference : 86623

(1980)

‎Amusante carte de visite autographe signée de Lawrence Durrell adressée à son amante Jani Brun : "Oui telephonez moi quand tu es à Sauve-qui-pleut... "‎

‎Rhodes s.d.[ca 1980], 13x8cm, une carte postale + une enveloppe.‎


‎Suggestive carte de visite autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée aux feutres marron et mauve, enveloppe jointe. "dear Buttons. Oui telephonez moi quand tu es à Sauve-qui-pleutet je viendrai te chercher (un coeur dessiné). Larry." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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