P, Ladvocat 1826, in-12 ( ) de 172 pp. Reliure romantique strictement d’époque en demi-veau violine à quatre nerfs soulignés d’une roulette dorée et à petit coins. Titre, quintuple file doré autour des nerfs, en tête et en queue et fleuron d’entre-nerfs, dorés. Toutes tranches à l’identique du papier de garde à la cuve. Il est grandement possible que cette édition ait été publiée avec les invendus de la seconde, et pour laquelle a été tiré une nouvelle page de titre assortie d’un frontispice d’après Déveria et d’une autre page de titre, entièrement gravée, avec vignette du même. Très bel exemplaire. ..... Amie de Chateaubriand, ce premier roman a pour héroïne une jeune esclave sénégalaise, achetée à l’âge de deux ans au moment de son embarquement pour les colonies, amenée en métropole, et élevée dans une famille aristocratique. Son amour impossible pour un jeune et riche noble de race blanche la mènera au couvent et à la folie. "Qui voudra jamais épouser une négresse? Et si, à force d’argent vous trouvez quelqu’un qui consente à avoir des enfans nègres, ce sera un homme d’une condition inférieure." (p. 60). Ourika passe pour être le premier roman dont le protagoniste est une femme noire. (Vicaire, III, 535). L’E.O. de 108 pp., en 1824, ne fut tirée qu’à 25 exemplaires.
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Paris, PLON, 1889, in-12 demi-percaline, pièce de titre maroquin, couverture conservée, 319 pp. 2E ed. BON ETAT
« Un best seller sous Louis XVIII » (Lucien Scheler in « Bulletin du Bibliophile », Paris 1988.) Paris, chez Ladvocat, libraire de Son Altesse Sérénissime Monseigneur Le Duc de Chartres, 1824. In-12 de 172 pp. Pte. déch. dans le coin sup. de la page 3 sans atteinte au texte.- [Accompagné de] : Edouard, par l’auteur d’Ourika.Paris, chez Ladvocat, libraire de S. A. R. Le Duc de Chartres, 1825. 2 volumes in-12 de : I/ (2) ff., 238 pp. ; II/ (2) ff., 225 pp., (1) f. de catalogue de l’éditeur, quelques rousseurs.Soit 3 volumes reliés en demi-veau rouge à petits coins, plats de papier rouge gauffré, dos lisses ornés de filets dorés hachurés, tranches jonquille mouchetées de rouge. Reliure de l’époque.172 x 99 mm.
Éditions parues la même année que les originales, publiées « au profit d’un établissement de charité ».Carteret, I, p. 250 ; Vicaire, III, 535 ; Clouzot, p. 114 ; Vicaire, 535 ; Barbier II, 31 ; Quérard, II, 723 ; Brunet, II, 908.Première édition dans le commerce de ces deux œuvres. L'édition originale d’Ourika fut publiée la même année sans page de titre, imprimée par l'Imprimerie royale en petit nombre (25-40 ex.) pour les amis de la famille. Au verso du faux-titre, on peut lire « Publié au profit d'un établissement de charité ». « La duchesse de Duras (1778-1828), fille d’un capitaine de vaisseau, le comte de Kersaint, mort sur l’échafaud, émigre avec sa mère à la Martinique, puis se fixe à Londres où elle épouse le duc de Duras, un autre émigré. Elle rentre en France après le 18 brumaire, mais, pendant tout l’Empire, vit retirée avec son mari dans son château de Touraine, où elle n’a de relations avec le monde des lettres que son amitié pour Chateaubriand, et surtout pour Mme de Staël. Avec la Restauration, le duc de Duras est nommé maréchal de France et la duchesse rentrée à Paris, tient un salon littéraire assez fermé, où c’est en quelque sorte une consécration mondaine d’être admis. Elle publie ce roman très bien accueilli du public. » (Dictionnaire des auteurs, II, 78).« Sous la Restauration, le salon de Mme de Duras était un des plus brillants. ‘Bientôt, dit Sainte-Beuve, il se forma dans les boudoirs aristocratiques une petite société d’élite, une espèce d’hôtel de Rambouillet adorant l’art à huis clos…’. ».L’esclavage étant interdit sur le territoire français, une mode étrange se répandit dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle : des négrillons arrachés d’Afrique, qu’on sauvait pour ainsi dire de l’esclavage des colonies, étaient offerts ça et là à de riches aristocrates et à des bourgeois qui en faisaient les délices exotiques de leurs demeures ou de leurs salons. C’est ainsi qu’une fillette emmenée du Sénégal recevra une éducation aristocratique et finira sa vie comme religieuse dans un couvent parisien au début du XIXe siècle.C’est de son couvent que la religieuse Ourika, malade, confie à son médecin le chagrin qui a ravagé sa vie et l’a conduite au bord de la tombe. N’est-il pas toujours vrai que pour nous guérir, les médecins ont besoin de connaître les peines qui détruisent notre santé ? Ourika raconte donc son arrivée en France à l’âge de deux ans, son éducation et sa formation intellectuelle auprès de Madame de B. qui « s’occupait elle-même de ses lectures, guidait son esprit, formait son jugement ». Mais, à quinze ans, elle prend brutalement conscience de sa couleur comme le signe par lequel elle sera toujours rejetée, le signe qui la séparait de tous les êtres de son espèce, « qui la condamnait à être seule, toujours seule ! jamais aimée ! » La voilà donc une étrangère parmi ses semblables. Dans sa douleur, la douce compagnie de sa maîtresse et de ses deux fils ne lui sont d’aucun secours.« Je fus rapportée du Sénégal, à l’âge de deux ans par M. Le Chevalier de B. qui en était gouverneur. Il eut pitié de moi, un jour qu’il voyait embarquer des esclaves sur un bâtiment négrier qui allait bientôt quitter le port : ma mère était morte, et on m’emportait dans le vaisseau malgré mes cris. M. de B. m’acheta, et, à son arrivée en France, il me donna à Mme la marechale de B. sa tante, la personne la plus aimable de son temps… »Le charme d’Ourika, c’est que pour la première fois dans la littérature européenne – comme l’a déjà remarqué un romancier anglais – un écrivain blanc pénètre dans une conscience noire avec élégance et sincérité au point de permettre à des lecteurs blancs de s’identifier au personnage. La parution d’Ourika en 1824 procura à la duchesse de Duras l’un des plus grands succès du roman féminin. Instantanément à la mode, cette nouvelle brossait avec finesse l’Histoire d’une jeune esclave noire éprise du fils de ses protecteurs.« Un best seller sous Louis XVIII ». [Lucien Scheler in Le Bulletin du bibliophile, Paris, 1988].La Duchesse de Duras acquit sa notoriété par de courts romans sentimentaux consacrés à des personnages marginaux et défavorisés par leur condition sociale, comme Edouard, amoureux de la fille de son protecteur.« Mme de Duras a construit un petit roman psychologique très fin et très gracieux, qui peut prendre place entre ‘Adolphe’ et ‘Dominique’ dans la tradition du roman psychologique français. La seule autre œuvre publiée de Mme de Duras est également une longue nouvelle ‘Ourika’ (1823). Ces deux petits chefs-d’œuvre sont injustement oubliés ». (Dictionnaire des Œuvres, II, 514-515).Bel exemplaire de cette réunion des deux grands textes de la Duchesse de Duras conservé dans une jolie reliure uniforme de l’époque.Provenance : ex-libris de la comtesse Victoire de Rigaud de Vaudreuil (1775-1851), épouse du gouverneur du Louvre et contemporaine de Mme de Duras.
P., Ladvocat 1824 In-16, demi basane, dos lisse, caissons à froid, filets dorés, 172 pp. Charnières usées, mors fendillés. Rares rousseurs. Seconde édition, la première ayant été publié la même année à près de 40 exemplaires. On lis au verso du faux-titre : « Publié au profit d'un établissement de charité ».
Bon état d’occasion
2 parties en un vol. in-12 (167 x 98 mm), veau bleu, dos lisse orné de fleurons à froid, palettes et filets dorés, roulette de feuilles d'acanthe à froid sur les plats, filet doré, dent. int. (Reliure de l'époque).
PREMIÈRE ÉDITION EN LIBRAIRIE. L’édition originale, publiée la même année, n’a été tirée qu’à quelques exemplaires distribués par la Duchesse de Duras, amie de Chateaubriand, à son entourage. Comme Ourika, publié l'année précédente, Edouard compte parmi les cinq romans que Stendhal qualifiera de "babilan" (amour impossible par un "décret de la nature" ou un obstacle social) et auquel il contribuera avec Armance. L'amour impossible des deux amants les mènera à la mort. Comme dans Ourika, Mme de Duras transpose ici les délices et les désespoirs de sa passion "impossible" pour Chateaubriand. BEL EXEMPLAIRE, TRÈS GRAND DE MARGES, DANS UNE ÉLÉGANTE RELIURE DE L'ÉPOQUE. IL PORTE AU VERSO DU TITRE CET ENVOI AUTOGRAPHE DE LA MAIN DE Mme DE DURAS : Donné par l’auteur. Quelques petits défauts (qq. piqûres, qq. rousseurs ou feuillets jaunis) mais très élégant exemplaire néanmoins.
Paris, Ladvocat, 25 mars 1824 (Imprimerie de J. Pinard) ; in-12 ; demi-chagrin bleu-marine, dos à nerfs orné de roulettes décoratives de style romantique, fleurons à froid, filet doré sur les plats, plats de couverture marron illustrés conservés, non rogné (reliure fin XIXe-début XXe) ; 172 pp. y compris le faux-titre et le titre ; au verso du faux-titre on lit "Publié au profit d'un établissement de charité".
(Vicaire, III-535). L'édition originale, imprimée juste avant celle-ci au début de 1824, ne fut tirée qu'à 25 exemplaires hors-commerce. Celle-ci est la première édition publique, rare aussi, du tout premier roman d'amour d'une jeune Sénégalaise noire, sauvée de l'esclavage et emmenée en France, qui aime secrètement un homme blanc ; Ourika avait passé son enfance dans une bonne famille, aimée, entourée, éduquée dans tous les domaines, elle avait reçu l'éducation d'une jeune fille de bonne famile. Avec l'adolescence, la dure réalité sociale et la barrière raciale s'imposèrent. Qui voudrait épouser une Négresse ? Quel avenir humain pouvait-elle espérer ? Amoureuse en secret, mais également désespérée de son état, elle avait décidé de se laisser mourir; l'issue, ou plutôt le refuge, elle le trouva en prenant le voile. Ce roman court mais très intense est la première tentative littéraire de pénétrer l'âme africaine, d'essayer de comprendre la psychologie d'un être totalement aimé et respecté par son entourage et pourtant seul à porter le lourd fardeau de la différence, différence qui l'exclut de fait de la vie de toute une société, malgré les idées de la Révolution française, idées qu'elle juge vaines face à la réalité des hommes et de la vie. Souvent, Ourika se demande s'il n'aurait pas mieux valu qu'on la laisse en Afrique ou en esclavage ; le problème du métissage est aussi courageusement évoqué, mais bien vite écarté.Née à Brest (1777 - 1828), Claire de Kersaint voit son père, amiral, guillotiné le 5 décembre 1793. Emigrée aux Antilles avec sa mère, elles reviendront ensuite en Suisse et à Londres où Claire épouse Amédée Bretagne-Molo Durfort de Duras en 1797. Rentrée en France en 1801, elle fera la connaissance de Chateaubriand et ouvrira un salon aux Tuileries, fréquenté par Humbold, Cuvier, Talleyrand, Madame de Staël, Balzac, Lamartine, Delphine Gay, Juliette Récamier, etc. Petite auréole claire dans l'angle supérieur et petites rousseurs éparses, sinon exceptionnel exemplaire avec sa couverture d'origine, qui porte la date du "25 mars 1824", date non reprise au titre, qui est la marque d'authentification de cette première édition publique, non rognée, tel que parue, avec une reliure sur brochage.
Phone number : 06 60 22 21 35
Collectif ; DUCHESSE DE MAZARIN, Louise-Jeanne de DURFORT DE DURAS
Reference : 66238
(1779)
1 vol. in-8 cartonnage vert d'époque recueillant 35 pièces manuscrites de différents formats, relatives aux dépenses faites dans le Duché de Mazarin Année 1779 à 1780
Plusieurs pièces sont signées de Louise-Jeanne de Durfort de Duras, Duchesse de Mazarin (1735-1781), l'un des plus grandes collectionneuses de son temps. Les autres pièces sont signées par son "Intendant et Fondé de la Procuration générale" de Madame la Duchesse de Mazarin, et certaines également signées par Dayot, Procureur et Receveur Général du Duché. Ce recueil de pièces relatives aux dépenses du Duché de Mazarin (ancien duché de Rethel devenu Duché de Mazarin de 1683 à la Révolution), est indiqué sous le numéro 360 du Catalogue de vente des manuscrits et livres de la Succession de l'historien et marchand Amans-Alexis Monteil (1769-1850). On peut également relever sur le premier feuillet manuscrit la mention manuscrite "ex collectione Mesr. A Claudin", où l'on reconnaît la signature du grand expert et érudit Anatole Claudin (1833-1906), qui a barré sur la pièce de titre au premier plat la mention "Mt. apprt. à Mr. Monteil" et a apposé sa signature sur la droite. Bon état (la couverture a été plastifiée dans la seconde partie du XXe siècle, bon état par ailleurs) pour ce recueil de belle provenance.
Paris, Ladvocat, 1824 in-16, 172 pp., broché sous couverture imprimée. Rousseurs.
Rare seconde édition, et la première mise dans le commerce.L'originale, sortie des presses de l'Imprimerie Royale la même année, fut tirée à très petit nombre. Elle ne compte que 84 pp. in-12.Ce premier roman de la duchesse de Duras (1777-1828), la grande amie de Mme de Staël et de Chateaubriand, relate l'amour malheureux d'une jeune esclave Sénégalaise pour le petit-fils d'une famille aristocratique qui l'avait recueillie et élevée. L'originalité du sujet et la délicatesse de ton firent de Ourika un des romans les plus célèbres de la Restauration. De fait, c'est le tout premier texte de notre littérature à s'intéresser aux relations interraciales, et il rentre dans la curieuse prédilection de l'auteur pour les situations de marginalisation sociale, très en avance sur les tendances du roman de son temps.Vicaire III, 535. Escoffier, 497. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Plon , Nourrit . 1889 - Deuxieme édition- "Se vend au profit des pauvres" - In-12, broché (cousu), 322 pages, non rogné, mouillures claires sans incidences, non coupé.
Bon Etat - solide exemplaire, rares rousseurs, plats solides et structure saine . Franco de port pour la France par MONDIAL RELAY dés 20 euros pour les ouvrages modernes . Paiement immédiat par Paypal . Chèques et virement acceptés. Votre Libraire vous accompagne dans toutes les étapes de vos achats. Achat et déplacement France Suisse.
Paris, E. Plon, Nourrit et Cie, 1888. In-8°, demi-chagrin brun, dos à nerfs (reliure de l'époque). 322 pp.
"J'ai été mise en arrestation le 23 août 1793, au château de Mouchy-le-Châtel, dans le département de l'Oise, avec mon père et ma mère..."La duchesse de Duras sera libérée le 19 octobre 1794, mais son père et sa mère furent guillotinés en juillet. Son récit décrit bien l'état d'esprit des prisonniers durant la Terreur. (Fierro, 493). L'ouvrage comprend également trois autres récits de proches de la famille de Noailles :- Journal de Madame Latour.- Journée du 21 juillet 1794. Relation de M. Grelet.- Récit d'un témoin oculaire du 22 juillet 1794, par Carrichon, prêtre ; ainsi qu'une note sur l'acquisition du cimetière de Picpus.Portrait en frontispice.Dos usé.
Paris, Ladvocat, Paris, Ladvocat1825 ; 2 volumes in-12, demi-cuir de Russie rouge, dos lisses ornés de filets dorés, titres dorés, tranches jaspées, chiffre “LG” doré au bas des dos. (Reliure de l’époque) 2 ff., 238 pp. - 2 ff., 225 pp., 7 ff. n. chiffrés (catalogue)Seconde édition, la première destinée au public. La première édition de ce roman, parue la même année chez Jules Didot et tirée à seulement 100 exemplaires n’a pas été mise dans le commerce. Après le succès d’Ourika, la duchesse de Duras entreprit ce second roman sur le même thème de l’amour rendu impossible par des raisons sociales. Edouard est un enfant d’extraction modeste adopté par une famille de nobles. Il tombe amoureux de sa sœur adoptive ce qui le conduit à quitter son milieu d’aption pour partir à la guerre...Vicaire III, 535 - Brunet II, 908 - Barbier II, 31 - Clouzot 63 - Quérard II, 723Ex-libris sur les gardes : P. Guiraudi, R. de Genas et de leurs héritiers Testu de Balincourt (Provence).Bel exemplaire.
DURAS Claire-Louisa-Rose-Bonne Lechal de Kersaint, duchesse de.
Reference : 1431
(1825)
Paris: Ladvocat, 1825 2 tomes en un volume in-12, 181 x 100 : (2 ff.), 238 pp.; (2 ff.), 225 pp. Demi-veau rouge, dos lisse orné, tranches mouchetées (reliure de l’époque).
Deuxième tirage de la seconde édition entièrement imprimée sur papier vélin. Il fut publié seulement 3 jours après le premier tirage, la même année que la très rare originale non mise dans le commerce, qui n’avait été tirée qu’à 100 exemplaires.« Mme de Duras a construit un petit roman psychologique très fin et très gracieux qui peut prendre place entre Adolphe et Dominique dans la tradition du roman psychologique française. La seule autre œuvre publiée par Mme de Duras est également une longue nouvelle Ourika (1824) » (Dictionnaire des Oeuvres, éd. de 1980, II, p. 514).Agréable exemplaire en reliure de l’époque, malgré quelques frottements d’usage et une insolation en haut du premier plat. Rousseurs.
Paris Ladvocat 1824 in-12 demi-reliure Paris, Ladvocat, 1824. 17 x 10,5 cm (R), in-12, 172 - 140 pp., reliure de l'époque de demi-basane maroquinée verte, dos lisse orné, tranches jaunes.
Deuxième édition du grand texte de Claire de Duras sur l'altérité, parue quelques mois après la très rare édition originale. Elle est suivie, à la même date, chez le même éditeur, et également "au profit d'un établissement de charité", de la rare édition originale d'Eveline, que l'on crut un moment due à la même plume, malgré les protestations de l'éditeur dans sa préface, et en réalité de Felix Bodin, co-auteur l'année précédente avec Thiers de l'Histoire de la Révolution française. Bon exemplaire (reliure modeste, quelques rousseurs). (BARBIER, III, 754 et II, 333) Bon
Paris, Plon 1889 322pp., 2e éd., reliure demi-toile (titre doré au dos, br.orig. conservée), 19cm., 2 cachets, bon état, [relié avec: Anne-Paule-Dominique de Noailles marquise de Montagu, Paris, Douniol/ Dentu, 1872, 446pp.], G56101
A Paris, chez Ladvocat, 1824. In-12 de 172 pp., demi-basane brune, dos lisse orné (reliure de l'époque).
Deuxième édition dans le commerce. L'édition originale fut publiée la même année sans page de titre, imprimée par l'Imprimerie royale à petit nombre (25 à 40 ex.) pour les amis de la famille. Au verso du faux-titre, on peut lire « Publié au profit d'un établissement de charité ».Ourika est une jeune esclave africaine amenée du Sénégal à l'âge de deux ans, élevée en France, qui, oubliant en sa naïveté sa couleur et sa condition, s'éprend d'un homme qui jamais ne lui donnera son nom. Quelques rousseurs ; infime accident à une coiffe. Vicaire III, 535.
NOAILLES Louise-Charlotte-Philippine [Duchesse de DURAS]
Reference : HISTOFRA3333441221
(1888)
Paris, E. Plon, Nourrit & Cie, 1888, 14 x 22, 322 pages sous demi-basane moutarde - dos à cinq nerfs titré. Portrait-frontispice de la duchesse de Duras.
Coins émoussées.
Librairie Plon. 1889. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos plié, Quelques rousseurs. 322 pages. 2e plat légèrement déchiré.. . . . Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
PARIS, Imp. Simo, Sans date - tiré à part - Couverture muette, rousseurs - Pagination 374 à 505
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A Paris, Chez Ladvocat, 1824. in 12, maroquin fauve, dos à nerfs orné, pièces en maroquin bleu-vert, encadrement de triple filet dorés sur les plats, double filet doré sur les coupes, dentelle intérieure et tranches dorées (Reliure de Thibaron). 172 pp., portrait ajouté en frontispice.
Première édition mise dans le commerce, parue la même année que la rarissime édition originale. Ourika raconte l’amour malheureux d’une jeune Sénégalaise pour un aristocrate blanc. Mme de Duras a donné à son héroïne le prénom d’une petite fille que le chevalier de Boufflers avait ramenée du Sénégal et qu’il avait donnée à la Maréchale de Bauveau qui l’éleva auprès d’elle. Avec ce roman, Mme de Duras initia un genre romanesque, que Stendhal appela babilanisme (Escoffier, 497 ; Vicaire III, 535). Bel exemplaire.
Paris E Plon Nourrit et Cie, 1888, In-8° 322 pp. Frontispice en noir et blanc. Relie demi-cuir a coins.
Livre ne bon état, intérieur frais et complet. Dos avec des marques d'usage et quelques frottement .A signaler le remarquable Ex-Libris de la famille Oettingensie-Metternich ,rien que cela.Exemplaire quelque peu gauchi ,sinon très beau.