DESSIN ORIGINAL à la mine de plomb (10 x 12 cm sur 1 feuillet de vélin in-8°).Beau portrait réalisé sans doute d’après la photographie de Duranty par J. Thierry (rue de la Chaussée-d’Antin à Paris). - Le dessin est anonyme. Une note à la plume indique, d’après Vapereau, que Duranty est mort en avril 1880 âgé de 46 ans.DURANTY (Louis-Emmanuel-Edmond)Une légende – née d’un article de Ph. Burty – faisait de Duranty un bâtard de Mérimée. Mais le mystère de sa naissance est aujourd’hui éclairci. Fruit des amours secrètes d’une certaine Emilie Lacoste et d’un auditeur du Conseil d’Etat Louis Edmond Anthoine, il naquit à Paris en 1833. Duranty est un fleuron de la bohème, un pilier de la Brasserie Andler (rue Hautefeuille) où Courbet tenait ses assises depuis 1848. Après une brève carrière administrative, il prit la plume qu’il trempa dans l’encrier réaliste. Entré dans le groupe de Champfleury il fonda avec Jules Assézat et Thulié la revue Réalisme qui soutenait l’ « Ecole » de Courbet. Seuls six numéros furent publiés et la revue s’éteignit dès 1857. Malassis fit paraître en 1860 le premier roman de Duranty, mais la carrière romanesque de ce réaliste magistral tourna court. La Cause du beau Guillaume (1862) ne se vendit point et les Combats de Françoise Duquesnoy fut publié à compte d’auteur. Grâce à l’appui de Zola Duranty publia encore deux recueils de nouvelles. Parallèlement il avait dirigé le théâtre de marionnettes des Tuileries dont il mit à jour le répertoire en 1872. Mais Duranty fut surtout un remarquable critique d’art. On lui doit dans Paris Journal (1869-1872), dans la Gazette des Beaux-Arts (1872) et dans Beaux-Arts illustrés (1876) de remarquables études sur l’impressionnisme naissant qu’il rattachait au réalisme.Les romans de Duranty ont paru au mauvais moment, trop tôt après les succès de Champfleury et trop tôt aussi avant les Rougon-Macquart de Zola. « Alors que Champfleury… représente le réalisme humoristique à la Dickens, dit Claude Pichois (Lettres à Baudelaire, p. 145), Duranty représente le réalisme dur ; sa technique – la restriction du champ notamment – annonce celle du nouveau roman ».Il faudra attendre 1942 pour lire Henriette Gérard dans une nouvelle édition (préfacée par Paulhan). Duranty mourut en 1880. En 1913 Pierre Martino lui consacra une notice chaleureuse dans Le Roman Réaliste sous le Second Empire, pp. 136 à 153. C’est en 1954 seulement que paraîtra la première étude biographique et critique sérieuse, par Louis Edouard Tabary, suivie en 1964 par le travail magistral de Marcel Crouzet.
1879 ; 2 pp.2 pp. in-8°Précieuse lettre de remerciement à un romancie polonais dont, à l’instar de MM. Parturier et Crouzet qui reproduisent la présente dans leurs publications sur Duranty, nous n’avons pas découvert l’identité. Charpentier vient de rééditer Le malheur d’Henriette Gérard avec, en guise de préface, des articles de Zola. “J’ai été bien touché de tous vos éloges, et j’en ai été presque surpris, car ainsi que vous le dites, je n’ai pas l’habitude de me voir gâté par les camarades. Aussi l’acte de Zola a-t-il été très extraordinaire, et je me serais cru impardonnable, si je n’avais mis ses articles en tête de mon livre. Plus d’un me conseillaient de ne point le faire. Vous avez à merveille parlé de ce roman [...] et je n’ai qu’un regret c’est que cela n’ait pas été dit à Paris plutôt qu’à Varsovie...”.Dans ses articles consacrés aux romanciers contemporains, Zola avait réclamé pour Duranty une “justice complète” et affirmé qu’il était “un des cinq ou six romanciers dont les oeuvres devraient compter”. Relayés par le Figaro en décembre 1878, ces propos firent grand bruit dans le landerneau littéraire. D’aucuns reprochèrent même à l’auteur de Nana de se servir de Duranty comme “d’une massue vivante” pour écraser la littérature.Voir Parturier, Zola et Duranty, Giraud-Badin, 1948; Crouzet, p. 389DURANTY (Louis-Emmanuel-Edmond)Une légende – née d’un article de Ph. Burty – faisait de Duranty un bâtard de Mérimée. Mais le mystère de sa naissance est aujourd’hui éclairci. Fruit des amours secrètes d’une certaine Emilie Lacoste et d’un auditeur du Conseil d’Etat Louis Edmond Anthoine, il naquit à Paris en 1833. Duranty est un fleuron de la bohème, un pilier de la Brasserie Andler (rue Hautefeuille) où Courbet tenait ses assises depuis 1848. Après une brève carrière administrative, il prit la plume qu’il trempa dans l’encrier réaliste. Entré dans le groupe de Champfleury il fonda avec Jules Assézat et Thulié la revue Réalisme qui soutenait l’ « Ecole » de Courbet. Seuls six numéros furent publiés et la revue s’éteignit dès 1857. Malassis fit paraître en 1860 le premier roman de Duranty, mais la carrière romanesque de ce réaliste magistral tourna court. La Cause du beau Guillaume (1862) ne se vendit point et les Combats de Françoise Duquesnoy fut publié à compte d’auteur. Grâce à l’appui de Zola Duranty publia encore deux recueils de nouvelles. Parallèlement il avait dirigé le théâtre de marionnettes des Tuileries dont il mit à jour le répertoire en 1872. Mais Duranty fut surtout un remarquable critique d’art. On lui doit dans Paris Journal (1869-1872), dans la Gazette des Beaux-Arts (1872) et dans Beaux-Arts illustrés (1876) de remarquables études sur l’impressionnisme naissant qu’il rattachait au réalisme.Les romans de Duranty ont paru au mauvais moment, trop tôt après les succès de Champfleury et trop tôt aussi avant les Rougon-Macquart de Zola. « Alors que Champfleury… représente le réalisme humoristique à la Dickens, dit Claude Pichois (Lettres à Baudelaire, p. 145), Duranty représente le réalisme dur ; sa technique – la restriction du champ notamment – annonce celle du nouveau roman ».Il faudra attendre 1942 pour lire Henriette Gérard dans une nouvelle édition (préfacée par Paulhan). Duranty mourut en 1880. En 1913 Pierre Martino lui consacra une notice chaleureuse dans Le Roman Réaliste sous le Second Empire, pp. 136 à 153. C’est en 1954 seulement que paraîtra la première étude biographique et critique sérieuse, par Louis Edouard Tabary, suivie en 1964 par le travail magistral de Marcel Crouzet.
Paris, Les Belles Lettres, Paris, Les Belles Lettres1954 ; in-8, broché. 224 pp., 2 ff.EDITION ORIGINALE publiée par Etudes françaises, fondées sur l’initiative de la Société des Professeurs français en Amérique. Portrait de Duranty en frontispice. Première étude importante sur l’auteur. Avec, pp. 181 à 224 la bibliographie de Duranty par PARTURIER.DURANTY (Louis-Emmanuel-Edmond)Une légende – née d’un article de Ph. Burty – faisait de Duranty un bâtard de Mérimée. Mais le mystère de sa naissance est aujourd’hui éclairci. Fruit des amours secrètes d’une certaine Emilie Lacoste et d’un auditeur du Conseil d’Etat Louis Edmond Anthoine, il naquit à Paris en 1833. Duranty est un fleuron de la bohème, un pilier de la Brasserie Andler (rue Hautefeuille) où Courbet tenait ses assises depuis 1848. Après une brève carrière administrative, il prit la plume qu’il trempa dans l’encrier réaliste. Entré dans le groupe de Champfleury il fonda avec Jules Assézat et Thulié la revue Réalisme qui soutenait l’ « Ecole » de Courbet. Seuls six numéros furent publiés et la revue s’éteignit dès 1857. Malassis fit paraître en 1860 le premier roman de Duranty, mais la carrière romanesque de ce réaliste magistral tourna court. La Cause du beau Guillaume (1862) ne se vendit point et les Combats de Françoise Duquesnoy fut publié à compte d’auteur. Grâce à l’appui de Zola Duranty publia encore deux recueils de nouvelles. Parallèlement il avait dirigé le théâtre de marionnettes des Tuileries dont il mit à jour le répertoire en 1872. Mais Duranty fut surtout un remarquable critique d’art. On lui doit dans Paris Journal (1869-1872), dans la Gazette des Beaux-Arts (1872) et dans Beaux-Arts illustrés (1876) de remarquables études sur l’impressionnisme naissant qu’il rattachait au réalisme.Les romans de Duranty ont paru au mauvais moment, trop tôt après les succès de Champfleury et trop tôt aussi avant les Rougon-Macquart de Zola. « Alors que Champfleury… représente le réalisme humoristique à la Dickens, dit Claude Pichois (Lettres à Baudelaire, p. 145), Duranty représente le réalisme dur ; sa technique – la restriction du champ notamment – annonce celle du nouveau roman ».Il faudra attendre 1942 pour lire Henriette Gérard dans une nouvelle édition (préfacée par Paulhan). Duranty mourut en 1880. En 1913 Pierre Martino lui consacra une notice chaleureuse dans Le Roman Réaliste sous le Second Empire, pp. 136 à 153. C’est en 1954 seulement que paraîtra la première étude biographique et critique sérieuse, par Louis Edouard Tabary, suivie en 1964 par le travail magistral de Marcel Crouzet.
Paris, Giraud-Badin, Paris, Giraud-Badin1947 ; in-8°, plaquette brochée 16 pp.Tirage à part à 140 exemplaires du Bulletin du Bibliophile.Découpage en marge supérieure du faux-titre. Sur les origines de Duranty, la légende qui fit de lui un bâtard de Mérimée.DURANTY (Louis-Emmanuel-Edmond)Une légende – née d’un article de Ph. Burty – faisait de Duranty un bâtard de Mérimée. Mais le mystère de sa naissance est aujourd’hui éclairci. Fruit des amours secrètes d’une certaine Emilie Lacoste et d’un auditeur du Conseil d’Etat Louis Edmond Anthoine, il naquit à Paris en 1833. Duranty est un fleuron de la bohème, un pilier de la Brasserie Andler (rue Hautefeuille) où Courbet tenait ses assises depuis 1848. Après une brève carrière administrative, il prit la plume qu’il trempa dans l’encrier réaliste. Entré dans le groupe de Champfleury il fonda avec Jules Assézat et Thulié la revue Réalisme qui soutenait l’ « Ecole » de Courbet. Seuls six numéros furent publiés et la revue s’éteignit dès 1857. Malassis fit paraître en 1860 le premier roman de Duranty, mais la carrière romanesque de ce réaliste magistral tourna court. La Cause du beau Guillaume (1862) ne se vendit point et les Combats de Françoise Duquesnoy fut publié à compte d’auteur. Grâce à l’appui de Zola Duranty publia encore deux recueils de nouvelles. Parallèlement il avait dirigé le théâtre de marionnettes des Tuileries dont il mit à jour le répertoire en 1872. Mais Duranty fut surtout un remarquable critique d’art. On lui doit dans Paris Journal (1869-1872), dans la Gazette des Beaux-Arts (1872) et dans Beaux-Arts illustrés (1876) de remarquables études sur l’impressionnisme naissant qu’il rattachait au réalisme.Les romans de Duranty ont paru au mauvais moment, trop tôt après les succès de Champfleury et trop tôt aussi avant les Rougon-Macquart de Zola. « Alors que Champfleury… représente le réalisme humoristique à la Dickens, dit Claude Pichois (Lettres à Baudelaire, p. 145), Duranty représente le réalisme dur ; sa technique – la restriction du champ notamment – annonce celle du nouveau roman ».Il faudra attendre 1942 pour lire Henriette Gérard dans une nouvelle édition (préfacée par Paulhan). Duranty mourut en 1880. En 1913 Pierre Martino lui consacra une notice chaleureuse dans Le Roman Réaliste sous le Second Empire, pp. 136 à 153. C’est en 1954 seulement que paraîtra la première étude biographique et critique sérieuse, par Louis Edouard Tabary, suivie en 1964 par le travail magistral de Marcel Crouzet.
in-16, 2 pp.Sans date, 36 rue Véron.Il remercie chaleureusement un confrère de l’intérêt qu’il a bien voulu manifester pour l’un de ses livres. En post-scriptum : “Pardonnez-moi le t; j’ai des sortes d’obsessions de mots qui me font estropier ainsi les noms de deux de mes amis assez intimes, noms que je sais très bien. 36 rue Véron. Nous sommes tous voisins”.DURANTY (Louis-Emmanuel-Edmond)Une légende – née d’un article de Ph. Burty – faisait de Duranty un bâtard de Mérimée. Mais le mystère de sa naissance est aujourd’hui éclairci. Fruit des amours secrètes d’une certaine Emilie Lacoste et d’un auditeur du Conseil d’Etat Louis Edmond Anthoine, il naquit à Paris en 1833. Duranty est un fleuron de la bohème, un pilier de la Brasserie Andler (rue Hautefeuille) où Courbet tenait ses assises depuis 1848. Après une brève carrière administrative, il prit la plume qu’il trempa dans l’encrier réaliste. Entré dans le groupe de Champfleury il fonda avec Jules Assézat et Thulié la revue Réalisme qui soutenait l’ « Ecole » de Courbet. Seuls six numéros furent publiés et la revue s’éteignit dès 1857. Malassis fit paraître en 1860 le premier roman de Duranty, mais la carrière romanesque de ce réaliste magistral tourna court. La Cause du beau Guillaume (1862) ne se vendit point et les Combats de Françoise Duquesnoy fut publié à compte d’auteur. Grâce à l’appui de Zola Duranty publia encore deux recueils de nouvelles. Parallèlement il avait dirigé le théâtre de marionnettes des Tuileries dont il mit à jour le répertoire en 1872. Mais Duranty fut surtout un remarquable critique d’art. On lui doit dans Paris Journal (1869-1872), dans la Gazette des Beaux-Arts (1872) et dans Beaux-Arts illustrés (1876) de remarquables études sur l’impressionnisme naissant qu’il rattachait au réalisme.Les romans de Duranty ont paru au mauvais moment, trop tôt après les succès de Champfleury et trop tôt aussi avant les Rougon-Macquart de Zola. « Alors que Champfleury… représente le réalisme humoristique à la Dickens, dit Claude Pichois (Lettres à Baudelaire, p. 145), Duranty représente le réalisme dur ; sa technique – la restriction du champ notamment – annonce celle du nouveau roman ».Il faudra attendre 1942 pour lire Henriette Gérard dans une nouvelle édition (préfacée par Paulhan). Duranty mourut en 1880. En 1913 Pierre Martino lui consacra une notice chaleureuse dans Le Roman Réaliste sous le Second Empire, pp. 136 à 153. C’est en 1954 seulement que paraîtra la première étude biographique et critique sérieuse, par Louis Edouard Tabary, suivie en 1964 par le travail magistral de Marcel Crouzet.
Paris Dubuisson et Cie 1862 in-8 demi-chagrin un volume, reliure demi-chagrin couleur chocolat grand in-octavo Editeur (binding half shagreen in-8 editor) (18,5 x 27,5 cm), reliure d'époque, dos 4 nerfs (spine with raised bands), décorations or et à froid, titre frappé or (gilt title) avec filet or de part et d'autre du titre, entre-nerfs à caissons à fleuron or central avec double filets or, filet large mate et filet or en encadrement, filet à froid de part et d'autre des nerfs, filet or en tête et en pied, plats décorés à froid, percale marron ornée d'un trifle filet à froid en encadrement (plaque éditeur à froid), toutes tranches lisses dorées, marque-page en tissu vert (bookmark in tissue), orné de 24 planches hors-texte lithographiées et coloriées au pochoir et au pinceau + 25 gravures in-texte réhaussées en couleurs, en tête de chapitre, d'aprés les dessins de Duranty par V. Coindre gravées par Gillot, 387 pages, sans date (1862) Paris : Dubuisson et Cie Imprimeurs-Editeurs,
En 1861, Duranty avait obtenu l'autorisation d'installer au Jardin des Tuileries un théâtre de marionnettes fixe, une boîte à Guignol fixe, Il joue des saynètes autour de Polichinelle, avec des marionnettes à gaines très soignées et des textes en alexandrins, dont le peintre Courbet créera les décors.......Théâtre des marionnettes du Jardin des Tuileries est un recueil de vingt-quatre pièces écrites par Louis Edmond Duranty, paru en 1862. C'est un recueil ayant pour héros Polichinelle, Pierrot et Arlequin, bien que ceux-ci soient parfois absents de certaines pièces........Réunit : Polichinelle précepteur, Les voisines, La tragédie d'Arlequin, La malle de Berlingue, Polichinelle et la mère Gigogne, L' homme au cabriolet, Pierrot et le pâtissier, Le mariage de raison, Le tonneau, Cassandre et ses domestiques, Boudins de Gripandouille, Le sac de charbon, La grand'main, La comète du roi Mirambole, Les plaideurs malgré eux, La fortune du ramoneur, Polichinelle retiré du monde, La poule noire, Le marchand de coups de bâton, L'exercice impossible, Le miroir de Colombine, Les deux amis, Les drogues de Cataclystérium, Le revenant...BEL EXEMPLAIRE.....RARE....en bon état (good condition). bon état
Paris, Dubuisson, s.d. (1863). Grand in-8 de (6)-II-387-(3) pp., 24 planches coloriées hors texte et 24 têtes de chapitre coloriées, demi-maroquin vert olive à coins, dos lisse orné d'un encadrement de polichinelles dorés, pièce de titre en maroquin vert empire surlignée de maroquin rouge, filets dorés sur les plats, tranches dorées, non rogné (reliure de l'époque).
Édition originale illustrée par l'auteur Louis-Émile-Edmond Duranty (1833-1880) de 24 compositions hors-texte et 25 larges en-têtes, entièrement coloriés à l'aquarelle.Cofondateur de la revue Réalisme publiée de juillet 1856 à mai 1857 avec Champfleury, en compagnie duquel il défendra le mouvement réaliste et l'impressionnisme, le romancier et critique d'art Louis-Émile-Edmond Duranty (1833-1880) obtint en 1861 l'autorisation d'installer au jardin des Tuileries un théâtre de marionnettes fixe dont le peintre Gustave Courbet créa les décors. Duranty en composa le répertoire de vingt-quatre saynètes ayant pour héros Polichinelle, Pierrot et Arlequin.En 1870, les marionnettes de Duranty seront saisies par des créanciers, précipitant ainsi la fin du Guignol des Tuileries.Bel exemplaire à grandes marges dans une reliure à l'effigie de Polichinelle. Petites traces de frottement (coupes et coins).Vicaire : III, 534 ; Catalogue Lacombe, 3043.
Paris Gallimard 1942 1 vol. Relié in-8, bradel pleine toile verte, pièce de titre de basane fauve au dos, tête dorée, couvertures et dos conservés, non rogné (Honnelaître), XV + 351 pp. Nouvelle édition, à l'initiative de Jean Paulhan qui donne une préface en originale. Exemplaire du service de presse (il n'a pas été tiré de grand papier) enrichi d'un envoi de Paulhan daté du 11 juillet 1942 et d'un billet autographe signé du même adressé à une dame (certainement Yanette Delétang-Tardif, 2 ff. in-24 sur papier mauve où Paulhan a collé un petit portrait photographique de Duranty en tirage moderne). Très bel exemplaire.
Paris, Dubuisson et Cie, 1864. In-4 de [4]-II-387-[3]p., demi-chagrin rouge, dos à nerfs orné de filets et fleurons dorés, tranches dorées (quelques rousseurs à la première et dernière page, premier cahier légèrement déboîté, coins à peine émoussés). Ex-libris moderne d'un collectionneur genevois.
Illustré par l'auteur de 24 compositions hors-texte et de 25 larges en-têtes, entièrement coloriés à l'aquarelle. "Un écrivain réaliste, M. Duranty, a obtenu l'autorisation d'établir un théâtre de Marionnettes dans le jardin des Tuileries. Les décors sont de M. Gustave Courbet, la pièce d'ouverture est de M. Champfleury et s'intitule Les Amours de Sainte-Périne, ou Catarrhe et Clystère. Inutile de préciser que la mise en scène sera pleine de pompe. La Revue Anecdotique crut bon de rajouter à ces commentaires que c'était bien la première fois que l'on tentait ainsi d'introduire sérieusement en France des Marionnettes, spectacle pourtant si populaire en Italie. " in Le Figaro du 29 juillet 1860. (Libr. St. Marie). Illustré XXe
Paris, imprimerie de Dubuisson, s.d. (1863) ; grand in-8, demi chagrin marron, dos à faux nerfs décorés à froid, titre et roulettes dorés (reliure de l'époque) ; (4), II, 387 pp. , (1) f. de table ; chacune des 24 pièces a une pagination propre (dans le coin des pages) ; la pagination générale du volume se trouve dans le haut, au milieu ; 25 têtes de chapitres (une dans l'introduction) et 24 planches lithographiées et coloriées au pochoir et au pinceau.
Edition originale (Vicaire III-534) ; absence du feuillet de dédicace à G. Sand. Exemplaire recousu, réinséré dans sa reliure d'origine avec changement des contregardes ; petit manque de papier blanc p. 17 et 49 ; petites traces de manipulation, malgré ces quelques défauts mineurs, l'exemplaire est en bon état général, bien relié et les couleurs d'une grande fraicheur.
Phone number : 06 60 22 21 35
P., Les Belles Lettres, 1954, in 8° broché, 225 pages ; portrait en frontispice ; quelques traits de stylos dans les marges.
Bon exemplaire de cette étude sur Duranty, romancier français , fils dune maîtresse de Mérimée, et qui fonda, avec Assézat, la revue Le Réalisme, où il attaquait les conceptions romantiques.PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Tusson Du Lérot 1985 1 vol. broché in-12, broché, 359 pp. Petites rousseurs à la couverture, sinon en bon état général.
in 4 pleine toile rouge d’éditeur titre et caissons dorés au dos titre et scène animée dorés sur le premier plat une scène de castelet mettant en scène trois personnages, Arlequin,Polichinelle et le gendarme.(oxydation par endroits)faux-titre,titre en rouge et noir,387 pages,1 page de table des matières tranches dorées;24 saynètes écrites pour le théâtre de marionnettes avec une vignette en tête de chaque chapitre et 24 planches hors-texte lithographiées en couleur.Au pochoir Charpentier libraire éditeur 1880 rousseurs en début et fin de volume sinon très bon exemplaire. Peu courant en cartonnage. Duranty est le pseudonyme,(choisi par sa mère)de l'enfant illégitime Edmond Anthoine (1833-1880).Le 29 juillet 1860, on pouvait lire dans la chronique du Figaro,Paris au jour le jour:"Un écrivain réaliste,M.Duranty,a obtenu l'autorisation d'établir un théâtre de Marionnettes dans le jardin des Tuileries.Les décors sont de M. Gustave Courbet,la pièce d'ouverture est de M.Champfleury et s'intitule Les Amours de Sainte-Périne,ou Catarrhe et Clystère. Inutile de préciser que la mise en scène sera pleine de pompe.La Revue Anecdotique crut bon de rajouter à ces commentaires que c'était bien la première fois que l'on tentait ainsi d'introduire sérieusement en France des Marionnettes spectacle pourtant si populaire en Italie. Vicaire:III,534
Basée sur l'analyse de 251 observations. Traduction de l'anglais et notes par le Dr Émile Nicolas-Duranty. Paris. Baillière. 1875. In-8 (150 x 234mm) broché, couverture grise imprimée, 35 pages. Hommage de l'auteur. Couverture piquée marginalement sinon bon état.
Le Dr Williams était médecin de l'hôpital pour les maladies de poitrine, à Brompton, Nicolas-Duranty, médecin-adjoint des hôpitaux de Marseille.
Paris.Dubuisson.1864.In-8 en percaline,dos à caissons dorés.Tranches dorées.Planches en couleurs.387 p.+ table des matières.Texte et composition des dessins par M.Duranty.BE.Quelques rousseurs.
Paris, Imprimerie de Dubuisson et Cie, 1863. In-8, 387 pp., demi-chagrin rouge, plats de percaline chagrinée rouge, filets à froid en encadrement sur les plats, dos à nerfs ornée de caissons dorés, tranches dorées (petites épidermures et frottements, plats décolorés, quelques petites taches et rousseurs éparses).
Édition parue l'année suivant l'originale. Il s'agit d'un recueil de 24 pièces de théâtre pour les marionnettes. Il est illustré de vignettes contrecollées en tête de pièce et de planches hors texte, tous rehaussés en couleurs. Duranty était le fondateur du théâtre de marionnettes du jardin des Tuileries dont les décors furent créés par Gustave Courbet. Complet de sa dédicace à George Sand. * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
Paris, Aux Editions de la Sirène, 1920, 12 X 19 cm., broché, 361 pp. Nouvelle édition de ce roman publié en 1862. Un des 20 rares exemplaires de tête sur papier de Corée. En frontispice, un portrait de l'auteur par Edgar Degas. Dos insolé, report sur deux pages de garde. Intérieur propre.
La note d'introduction non signée, est attribuée à Félix Fénéon. Critique d'art et journaliste, ami de Champfleury et Zola, Duranty fonda la revue "Le Réalisme" et contribua par ses écrits à la reconnaissance des peintres impressionnistes et réalistes parmi lesquels Manet et Fantin-Latour. Malgré son talent il mourut dans la misère en 1880.
P., La Sirène, 1920 ; in-12, broché. 361 pp.-1 f. Dos très légèrement frotté et bruni. Bon exemplaire.
Un des 20 exemplaires de tête sur papier de Corée, avec la reproduction d'un portrait de Duranty par Degas en frontispice. Introduction par Félix Fénéon. Cette édition fait suite à l'originale publiée en 1862 par Jung-Treuttel et J. Hetzel.
Zaragosza, E. Casanal, 1909. In-12 demi chagrin rouge, dos à nerfs, plats de percaline, couverture conservée. 40 pp.
Texte en français, contenu avec le texte en espagnol "Publicaciones del Congresso Historico Internacional de la guerra de la Independencia y su epoca (1807-1815)" (200 pp) ainsi que le texte en anglais de Charles Oman "Diary at Saragossa, Octobre 1808" (16 pp). Exemplaire du Marquis de Duranty avec son ex-libris.
Paris Editions Colbert s.d. Un volume in-8 broché, couverture grise, 315 pages. Papier d'édition bruni, bon état, exemplaire numéroté.
La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné.
Dubuisson, sd 1864 Grand in-8 demi-basane peignée, dos lisse ornée, 387 pp.50 compositions originales en couleurs, 24 hors-texte . Restauration à 1 ff. de texte mais très bon exemplaire.
Edmond Duranty ouvre son théâtre de marionnettes aux Tuileries en 1861. Pour lui ce genre dramatique représente le « Théâtre essentiel », primitif et vrai, tout à la fois réaliste et fantaisiste. Pionnier du naturalisme et critique d'art auprès de nombreuses revues, il contribua à la reconnaissance de Manet et d’autres peintres de la jeune génération. Bon état d’occasion
Paris, Aux Editions de la Sirène, 1920, 12 X 19 cm., broché, 361 pp. Troisième édition. En frontispice, un portrait de l'auteur par Edgar Degas. Quatre feuillets sur la thème de Duranty et Dégas, issus d'un autre ouvrage, sont joints. Quelques traces sur la couverture, sinon en bon état.
Paris CHARPENTIER 1880 1 Textes et compositions des dessins de l'auteur. Paris, Charpentier, 1880, in-4, demi-chagrin vert, 387 pages.
Introduction au monde fabuleux des marionnettes avec des histoires à jouer et des illustrations in et hors-texte en couleurs. Réedition du texte de 1862, dans lequel le théoricien du réalisme, l'ami et le défenseur de Courbet, s'attache à une forme d'art populaire, les marionnettes, mais en même temps à une forme artistique extrêmement stylisée et bien éloignée des principes de ce même courant. Petites usures, taches et infimes piqures.
Paris, Éditions de la Sirène, 1920. Broché, 12 cm x 19 cm, 361 pages. Texte de Duranty, portrait de l’auteur en frontispice par Degas. Bon état
Couverture souple. Broché. 60 pages. Quelques pages mal coupées. Papier légèrement bruni. Couverture légèrement défraîchie.
Livre. Nouvelle édition. Avant propos et notes par Marcel Guérin. Librairie Floury, 1946.