A Valence, de l'imprimerie de Jean-Jacques Viret, 1792, 1 1 cahier, sans couverture. in-4 de 4 pp. ;
Antoine Duranthon, né à Mussidan (Dordogne). Ministre de la Justice pendant la Révolution, il sera guillotiné à Bordeaux pendant la Terreur.
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Bordeaux, A. Levieux, 1791 in-8, 15 pp., typographie en petit corps, broché sous couverture factice de papier orangé de la fin du XIXe siècle.
Très rare plaquette apologétique de la Constitution civile du clergé. Elle fait suite à la Lettre à un ecclésiastique qui a été son curé sur le serment prescrit par la loi du 26 décembre 1790, qui, elle, connut de nombreux tirages, et fut infiniment plus diffusée."Les droits, les devoirs de l'homme, & du citoyen, sont les premiers fondemens de la religion chrétienne, & qui n'est pas citoyen, blasphème l'Évangile, s'il se dit chrétien".Antoine (ou Jacques, selon les sources) Duranthon (1736-1793), avocat, fut procureur-syndic à Bordeaux. Il devint pendant quelques mois, ministre de la justice (1792) en remplacement de Duport du Tertre, et mena alors la répression contre Marat, faisant saisir les presses de son journalUn seul exemplaire au CCF (Bordeaux). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Bordeaux, Imprimerie de Levieux, 1791 in-8, 8 pp., broché sous couverture d'attente orange. Vignette, impression sur papier bleu.
Duranthon, avocat, fut procureur-syndic à Bordeaux. Il devint pendant quelques mois, ministre de la justice (1792) en remplacement de Duport du Tertre. Il mena la répression contre Marat et fit saisir les presses de son journal. Duranthon explique à son ancien curé que le serment qu'on exige de lui est le même que celui prêté lors de la fête de la Fédération. Quant à la Constitution civile du clergé, "l'Assemblée nationale ne règle rien relativement à la mission spirituelle, elle ne touche ni au dogme ni à la morale; au contraire, elle consacre toutes les anciennes formes, elle fait entrer dans la Constitution même de l'Etat, la religion catholique, honneur qu'elle n'a reçu encore d'aucun peuple connu."Martin & Walter, II, 12437 (pour une édition de 10 pages) - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Bordeaux, Séjourné, impr. libraire, (1790) in-8, 12 pp., broché sous couverture d'attente orange.
L'Abbé engage les ecclésiastiques du District à prononcer des voeux religieux. Ce qui d'après Duranthon va à l'encontre de la Constitution. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S. l., , S. l., 1750 ; in-8, veau fauve moucheté, dos orné, tranches rouges. (Reliure de l’époque). Titre, VI pp., 61 pp., 64 pp., 1 f., 74 pp., 86 pp., 1 f. blanc, 73 pp.ÉDITION ORIGINALE. Barbier 304 indique 3e édition en 1750. Celle-ci est la première. Il attribue ces lettres à l’abbé Duranthon d’après les notes de police d’Hémery, inspecteur de la librairie. Ce Duranthon était principal du collège de Me Gervais et docteur de Sorbonne. Le magistrat ayant eu connaissance de ces réponses en a permis l’impression en prenant beaucoup de précautions. Les lettres contre l’immunité des biens ecclésiastiques avaient paru la même année. Selon Barbier 1280 Daniel Barjeton en aurait fourni les matériaux. L’ouvrage fut supprimé le 1e juin 1750 et mis à l’index en 1751. C’est à l’occasion de cet écrit que Voltaire inventa l’”extrait du décret de la sacrée congrégation de Rome à l’encontre d’un libelle...”Relié à la suite : Réflexions sur un écrit intitulé Lettre d’un imprimeur de Londres. S. l. n. d., 90 pp. Puis : Lettres critiques sur l’Examen Impartial des Immunités Ecclésiastiques Adressées à l’Auteur de cet ouvrage. Seconde édition. En France, 1751 ; 70 pp., 1 f.De la bibliothèque de P. Guiraudi et de ses successeurs Reinaud, R. de Génas, puis Comte Balincourt (ex-libris).
Douai, Imprimerie de Derbaix, s.d. (1791) in-4, 16 pp., en feuilles, non coupé.
Une des nombreuses éditions locales de ce texte qui fut largement diffusé par les directoires départementaux comme instrument de propagande en faveur du serment.Duranthon (1736-1793), avocat, fut procureur-syndic à Bordeaux. Il devint pendant quelques mois, ministre de la justice (1792) en remplacement de Duport du Tertre, et mena alors la répression contre Marat, faisant saisir les presses de son journal. Ici, il explique à son ancien curé que le serment qu'on exige de lui est le même que celui prêté lors de la Fête de la Fédération. Quant à la Constitution civile du clergé, "l'Assemblée nationale ne règle rien relativement à la mission spirituelle, elle ne touche ni au dogme ni à la morale; au contraire, elle consacre toutes les anciennes formes, elle fait entrer dans la Constitution même de l'Etat, la religion catholique, honneur qu'elle n'a reçu encore d'aucun peuple connu."Martin & Walter, 12437 (pour une autre édition). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT