[MESNIL-DURAND (François-Jean de Graindorge d'Orgeville, baron de)]
Reference : 156126
À Paris, De l'imprimerie d'Antoine Boudet, 1755 in-4, XXIX-1-446-[2] pp., 16 pl. depl., veau marbré, dos à nerfs orné de caissons fleuronnés dorés, roulette dorée sur les coupes, tranches mouchetées de rouge (rel. de l'époque). Mors fendillé en pied sur le plat sup., qqs petites épidermures. Très légères mouillures en coins, rousseurs rares.
Brillant tacticien, Charles Graindorge d'Orgeville, baron de Mesnil-Durand (1735-1799), fut colonel au régiment Navarre infanterie et resta au service du roi jusqu'à la Révolution en qualité de maréchal de camp commandant les régiments d'Ile-de-France et Lorraine.Le baron Mesnil-Durand avait à peine vingt ans lorsqu'il publia sous l'anonymat, son traité militaire ; divisé en 15 chapitres, son Projet d'un Ordre françois en tactique, a pour objet de substituer pour l'ordre de bataille, au système qui était en usage des bataillons minces composés de 685 hommes alignés directement, des colonnes de 768 hommes à 24 de front et 32 de hauteur. L'auteur accompagne chacune de ces colonnes (qu'il désigne sous le nom de Plésions) de deux peletons de grenadiers, formés chacun de 48 hommes à 3 de hauteur, et qui s'établiraient à quelques pas en arrière sur le flanc des Plésions. Il place ensuite deux petites troupes de cavalerie, chacune de 24 hommes sur deux rangs en arrière des grenadiers. L'auteur donna à ce Projet une Suite en 1758.Mesnil-Durand défend et explique ainsi fermement la théorie de l'ordre profond, qui avait été entrevue quelques années plus tôt par le chevalier Folard et par le Maréchal de Saxe dans ses Rêveries. Folard avait en effet cru voir dans la profondeur de l'ordonnance de bataille des Grecs, la principale cause de la supériorité stratégique qu'il leur attribuait sur les tacticiens modernes. La polémique entre partisans de l'ordre profond en colonne et partisans de l'ordre traditionnel mince, fut accrue dans les années 1770, suite aux objections du chevalier Tronçon du Coudray et aux travaux du comte Guibert sur les progrès de l'artillerie. La discussion ayant acquis plus de vigueur et une telle ampleur dans les milieux militaires, le gouvernement décida alors de mettre à l'épreuve les deux systèmes stratégiques ; il les fit expérimenter au camp de manœuvre de Vaussieux, en réunissant 30000 hommes confiés au maréchal de Broglie pour l'ordre profond, au général Luckner pour l'ordre mince. Mais le résultat fut défavorable à Mesnil-Durand. Si les résultats ne furent donc pas concluants pour le système en colonne, ils permirent de faire évoluer la pensée militaire au XVIIIe siècle. Guibert qui fut son adversaire, s'orientera vers un système mixte.Exemplaire de la bibliothèque de Shirburn Castle, des comtes de Macclesfield, avec vignettes ex-libris contrecollées sur les premières gardes, et timbres secs armoriés sur les premiers feuillets. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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(Circa 1858) 50.5 x 80.5 cm - cadre : 88 x 58 cm , Huile sur toile - Cadre en bois verni. Huile sur toile rentoilée, quelques repeints au coin inférieur gauche.
Belle huile sur toile figurant une scène de marine durant le siège de Sébastopol durant la guerre de Crimée (1853-1856).On peut admirer pavillons français et anglais face aux fortifications de Sébastopol battant pavillons de la marine russe. Jean-Baptiste Henri Durand-Brager est un peintre et graveur français dont les thèmes de prédilection sont les marines et les paysages orientaux. Durand-Brager effectue de nombreux voyages en Europe, en Algérie, le long des côtes atlantiques de l'Afrique avant d'entrer dans l'atelier d'Eugène Isabey. En 1840, il fait partie de l'expédition chargée de ramener les cendres de Napoléon. Rentré en France, il peint de nombreux tableaux de batailles navales (Combat de la frégate Niemen contre les frégates Aréthusa et Amethyst 1843), dont certains lui sont commandés par le gouvernement français (Bombardement de Mogador, Prise de l'île de Mogador, Combat naval devant la côte marocaine, 1845). Pendant la guerre de Crimée (1853-1855), il assiste au siège de Sébastopol, puis il participe à une expédition en mer Noire et à l'issue du conflit, il peint une Bataille de Sinope à la demande du tsar de Russie. Si les batailles navales (Bombardement de Shimonoseki 1869) et les marines constituent toujours une part importante de son œuvre, il réalise également des peintures ayant pour sujet les paysages de l'orient (Le port de Trébizonde, Bateaux sur le Bosphore). L'artiste participa notamment au voyage de transfert des cendres de Napoléon sur la Belle-Poule en 1840. Parallèlement à son activité de peintre, il s'intéresse également à la gravure ainsi qu'à l'illustration de livres ou de périodiques. En 1863, il illustre l'ouvrage d'Arthur Mangin sur les Voyages et découvertes du XIXe siècle.Une suite de 21 tableaux sur le siège de Sébastopol par Jean-Baptiste Henri Durand-Branger sont aujourd'hui conservés au Château de Versailles suite à une commande de Napoléon III par arrêté du 22 mars 1858. Le port de Sébastopol, situé sur la côte sud-ouest de la Crimée, était la principale base navale de la flotte russe de la mer Noire. Pendant la guerre de Crimée (1853-1856), la prise ou la destruction de cette place forte est devenue le principal objectif militaire des armées alliées britannique, française et turque qui s'opposaient à la Russie. Sébastopol a subi un siège de 11 mois avant de capituler face à l'ennemi en septembre 1855. Le contre-amiral Sir Edmund Lyons Bt, battant pavillon à bord du HMS Agamemnon, commandait la flotte britannique de la Méditerranée qui soutenait les opérations militaires terrestres alliées en Crimée et participait au blocus et au bombardement de Sébastopol en 1854. Les principales opérations militaires de la guerre de Crimée se sont déroulées autour du port naval russe de Sébastopol, qui a connu de violents combats et un long siège avant d'être abandonné aux forces alliées de la Grande-Bretagne, de la France, de la Turquie et de la Sardaigne.Les hostilités ont fait suite au rejet par la Turquie des tentatives de la Russie d'obtenir des droits comparables à ceux de la France dans le cadre d'un différend portant sur la protection des sites et des sujets religieux chrétiens dans la Palestine tenue par les Ottomans. D'autres revendications russes sur d'autres territoires contrôlés par les Ottomans ont abouti à l'invasion et à l'occupation par la Russie de la Moldavie et de la Valachie dans les Balkans. La Russie a refusé les demandes des autres puissances européennes pour un retrait immédiat de la région, ce qui a incité la Turquie à déclarer la guerre (4 octobre 1853). La Turquie remporte une victoire terrestre à Oltenitza (4 novembre 1853), mais subit une défaite maritime lorsqu'une escadre navale russe détruit une flottille turque à Sinope (30 novembre 1853).L'invasion russe de la Bulgarie (20 mars 1854) a conduit la Grande-Bretagne et la France à déclarer la guerre (28 mars 1854). Les alliés envoient une flotte en mer Noire et une armée expéditionnaire anglo-française est basée à Varna, sous le commandement conjoint de Raglan et de Saint Arnaud. Débarquant sur la péninsule de Crimée (13 septembre 1854), les forces alliées avancent sur Sébastopol et battent les Russes à Alma (20 septembre 1854). Le commandant russe, Menshikov, se retire à Sébastopol, qui est garni et renforcé. En arrivant à Sébastopol, les bases alliées sont établies à Balaklava (britannique) et à Kamiesch (française), tandis que la flotte bloque l'entrée du port. Le siège et le bombardement du port par terre et par mer commencent (8 octobre 1854). Les Russes tentent à deux reprises de lever le siège et sont défaits à Balaklava (25 octobre 1854) et à Inkerman (5 novembre 1854).Le rude hiver de Crimée a profondément affecté les armées non préparées qui encerclaient Sébastopol, et de nombreuses troupes ont été victimes du choléra et de la dysenterie. En Grande-Bretagne, les rapports sur les conditions endurées par les forces armées indignent l'opinion publique, déjà critique à l'égard de la guerre, ce qui entraîne la chute du gouvernement et la prise de mesures pour remédier à la situation.En 1855, les alliés tentent à deux reprises de s'emparer des défenses extérieures de Sébastopol, après des bombardements prolongés de la ville. Un premier assaut sur les forts Malakoff et Redan est repoussé (17-18 juin 1855), mais les Français parviennent finalement à prendre d'assaut la redoute Malakoff (8 septembre 1855). À sa chute, les Russes décident de ne plus résister et, après avoir rasé les fortifications, ils évacuent Sébastopol, ce qui permet aux alliés d'entrer dans la forteresse et de l'occuper le lendemain (9 septembre 1855). La perte de Sébastopol contraint la Russie à concéder la paix (1856). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Saint-Louis-du-Sénégal, 16 février 1848 in-folio, [5] ff. n. ch., couverts d'une écriture régulière et très lisible (environ 35 lignes par page), en feuilles.
Notable métis de l'île de Gorée et de Saint-Louis du Sénégal, Barthélémy Durand Valantin (1806-1864) fut maire de Saint-Louis de 1848 à 1851 et aussi le premier député du Sénégal à l'Assemblée constituante, puis à l'assemblée législative.Le texte offre un exemple admirable de l'inertie administrative française, en usage même aux colonies : nommé maire de Saint-Louis par le directeur de l'administration des colonies, Durand Valantin se trouvait dans l'incapacité de prendre officiellement ses fonctions, en dépit de l'appui du gouverneur de la colonie, en raison de l'opposition d'un sieur Petiton, chef du service administratif par intérim (!), qui voyait dans cette nomination nombre d'irrégularités de procédure. En réalité, le point d'achoppement majeur était la subordination du maire au gouverneur et non au service administratif, comme il semble que c'était le cas ailleurs : "La dépendance du maire à l'autorité exclusive du chef de la colonie, qu'implique naturellement sa nomination par le ministre, au lieu de le placer, comme à Cayenne, sous les ordres du directeur de l'intérieur, qui n'est autre au Sénégal que le chef du service administratif ..." La lettre développe ensuite toutes les objections possibles à ces arguties juridiques, mais l'auteur, bien au fait de nos usages immuables, est peu optimiste ; il explique lumineusement d'ailleurs que ces vétilles "ne dénotent véritablement que ces déplorables tendances de l'administration locale à sacrifier toujours à de vaines questions de forme et de prérogative les idées les plus fécondes pour les convenances et la prospérité du pays".Le destinataire de cette longue missive était le Conseiller d'État Joseph-Henri Galos (1842-1873), gendre du général Foy et alors directeur de l'administration des colonies, depuis 1842 ; mais, en raison de la date de sa rédaction (seulement 6 jours avant le début de la Révolution de février) et des délais d'acheminement des courriers depuis l'Afrique, il est probable qu'elle fut remise à son successeur. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
[MESNIL-DURAND (François-Jean de Graindorge d'Orgeville, baron de)]
Reference : 141428
À Paris, De l'imprimerie d'Antoine Boudet, 1755 in-4, XX-446-[2] pp., 16 pl. depl., veau blond marbré, dos à nerfs orné aux petits fers dorés, tranches rouges (reliure de l'époque). Petit accroc à la coiffe supérieure, qqs épid. sur les plats.
Première édition.Brillant tacticien, Mesnil-Durand se signala dès 1747 par son courage et resta au service du roi jusqu'à la Révolution. Il conçut une nouvelle théorie de tactique militaire en voulant substituer l'ordre profond à l'ordre mince. Le gouvernement fit expérimenter les deux systèmes stratégiques par un camp de 30000 hommes mais le résultat fut défavorable à Mesnil-Durand.Suivi de :Suite du Projet d'un ordre françois en tactique, pour servir de Supplément à cet ouvrage, & préparer à en faire usage pour le service du Roi. Nouvelle édition revue par l'auteur. À Paris, Chez Charles-Antoine Jombert, 1758. VI-90 pp., 1 pl. dépl. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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[MESNIL-DURAND (François-Jean de Graindorge d'Orgeville, baron de)]
Reference : 146886
À Paris, de l'imp. d'Antoine Boudet, 1755; in-4, XX-446-[2] pp., 16 pl. dépl., veau blond marbré, dos à nerfs orné aux petits fers dorés, tranches rouges (reliure de l'époque). Infimes manques aux coiffes, coins usés. Bon exemplaire.
Première édition.Brillant tacticien, Mesnil-Durand se signala dès 1747 par son courage et resta au service du roi jusqu'à la Révolution. Il conçut une nouvelle théorie de tactique militaire en voulant substituer l'ordre profond à l'ordre mince. Le gouvernement fit expérimenter les deux systèmes stratégiques par un camp de 30000 hommes mais le résultat fut défavorable à Mesnil-Durand.Bien complet de la Suite du Projet relié à la suite (VIII-92 pp., 1 planche). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Paris, chez l'auteur, à l'Ecole polytechnique [Imprimerie de Roblot], an IX (1801) in-folio oblong (47 x 66 cm), [2] ff. n. ch. (titre gravé, table alphabétique), 90 planches gravées au trait chiffrées 1-86 (il y a des planches 52bis, 53bis, 56bis et 75bis), demi-toile modeste à coins, dos lisse, pièce de titre fauve, une couverture de livraison conservée (rel. de la fin du XIXe s.). Quelques planches un peu salies, mais bon exemplaire.
Unique édition de cette suite donnée en livraisons. Pierre-Nicolas-Louis Durand (1760-1834) enseigna l'architecture à l'Ecole polytechnique (ce fut le premier professeur de cette matière à l'Ecole), et son influence fut décisive pour la propagation d'un académisme puisé aux sources antiques, qui dominera pendant toute la période de l'Empire et de la Restauration, dans les commandes officielles, au moins jusqu'en 1840.Absent de Fowler (qui ne décrit pour notre auteur que le Précis des leçons d'architecture données à l'Ecole polytechnique). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Saint-Louis-du-Sénégal, 25 mai 1850 in-4, [3] ff. n. ch., couverts d'une écriture régulière et très lisible (environ 25 lignes par page), en feuilles.
Notable métis de l'île de Gorée et de Saint-Louis du Sénégal, Barthélémy Durand Valantin (1806-1864) fut maire de Saint-Louis de 1848 à 1851 et aussi le premier député du Sénégal à l'Assemblée constituante, puis à l'assemblée législative. Cette longue missive au gouverneur Auguste Baudin (1800-1877, en poste du 23 novembre 1848 à août 1850), vise à le justifier des critiques émises contre lui sur la base d'une analyse sommaire d'un précédent rapport adressé au gouverneur ; comme on n'en cite rien, il est un peu difficile de préciser l'objet du litige entre le maire et l'ordonnateur de la colonie qui en forme l'objet, mais il s'agit vraisemblablement de questions de secteurs de compétences administratives."Mon ambition ne va pas au-delà des fonctions que je remplis en ce moment. Il ne faut pas oublier que j'ai pris une part importante dans la nouvelle organisation municipale, et qu'ayant accepté de la diriger, je dois, au moins connaître l'intention qui y a présidé". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Lille, Imprimerie de L. Danel, s.d. (1848) placard in-folio (56 x 44 cm), en feuille.
Du 26 juin 1848, sept heures du matin. Donne aux Lillois des nouvelles rassurantes de l'insurrection parisienne.Durand Saint-Amand (1808-1864) fut préfet du Nord de 1848 à 1849. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, le 17 novembre, 1834 in-8,
Durand-Brager était situé rue Bailleul, n° 11. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Versailles, Bourdier, s.d. (1912) gr. in-8, XI-141 pp., 4 planches, broché.
Tulard, 477.Alexis Durand, de l'ex-garde impériale et menuisier à Fontainebleau, a "recueilli ce choix d'épisodes lorsqu'il venait à Fontainebleau. Enfant, je le suivais partout ... je ne manquais à aucun rendez-vous de ses chasses. J'eus l'honneur de lui parler plusieurs fois..." - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Grenoble, Librairie dauphinoise, 1900-1901 2 vol. gr. in-8, X-[2]-414 et [4]-471-[4] pp., texte sur deux colonnes, brochés sous couvertures rempliées.
Édition originale de cet incomparable instrument d'investigation régionale. Fils d'un négociant de Crest, Justin Brun-Durand (1836-1910) fut aussi un érudit local de valeur. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Grenoble, Librairie dauphinoise, 1900-1901 2 vol. gr. in-8, X-[2]-413 et [4]-471-[4] pp., texte sur deux colonnes, brochés sous couvertures rempliées. Dos fendu avec petit manque de papier au tome I.
Édition originale de cet incomparable instrument d'investigation régionale. Fils d'un négociant de Crest, Justin Brun-Durand (1836-1910) fut aussi un érudit local de valeur. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Blaise, 1822 in-8, XXXIX-199 pp., demi-veau fauve, dos lisse orné (reliure postérieure). Mors frottés, coiffe supérieure absente, manque la pièce de titre. Rousseurs. Ex-libris Etienne Cœsar Famin. Monogramme en pied.
Fierro, 489 bis : "Ces souvenirs sont attribués à Camille-Hilaire Durand par Barbier. L'auteur était de garde aux Tuileries au moment de l'attaque du palais. Il donne une relation détaillée de l'assaut en marquant nettement ses sympathies pour la monarchie." - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Nantes, Imprimerie Maurice Schwob, 1904 in-8, [2] ff. n. ch., VIII pp., 266 pp., broché, non coupé. Petits manques de papier au dos.
Unique édition de cette thèse. L'avocat nantais Abel Durand (1879-1975), lui-même fils d'un capitaine de commerce, s'engagea en politique aux côtés de son ami Maurice Schwob (1859-1928, directeur de l'Imprimerie du commerce, qui publia notre thèse) pour le développement du port de Nantes au sein de la Loire navigable. Il termina sa carrière comme sénateur de la Loire-inférieure et vice-président du Sénat. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris ; New York : Durand-Ruel éd., 1939. 2 volumes grand in-8 reliés (25,5 x 17 cm), reliure pleine toile vert-olive, titre doré sur pièces de titre en cuir marron, sous emboîtage orange. Couvertures conservées, 465-355 pages, illustrés de gravures, photographies, portraits, fac-similes. Intérieur très frais, très bel état. Bel envoi autographe signé de Paul Durand-Ruel.
2 volumes in-8 reliés (23,6 x 16,4 cm), reliure demi-basane bleu. Le Tome I regroupe : 1/ Lettre sur l'histoire ecclésiastique du Dauphiné : Lyon, A. Brun, 1869, 50 pages.- 2/ Essai historique sur la Chambre de l'édit de Grenoble : Valence, impr. de Chenevier et Chavet, 1873, 108 pages. 3/ Notice historique sur le monastère de Saint-Médard de Piégros, aujourd'hui Piégros-la-Clastre (Drôme) : Bar-le-Duc (36, rue de la Banque, 36) : Typographie des Célestins, 1874, 23 pages. 4/ Pouillé historique du diocèse de Die en 1449 et 1450 : Grenoble : Impr. de Maisonneuve, 1876, 48 pages. 5/ Annales de Michel Forest sur ce qui s'est passé de plus remarquable à Valence de 1736 à 1784 : 176 pages. 6/ Etat du Diocèse de saint-Paul-Trois-Châteaux au XVIIIe : 16 pp. 7/ Notes sur le Domaine de Valfanjouse, 11 pp. 8/ Le poète Roch Grivel et son oeuvre : Imp. de Jules Ceas, 1889, 16 pp.- Le Tome II regroupe : 1/ Censier de l'Evêché de Die, 1890, 71 pp.. 2/ Règlements de l'Académie protestante de Die (1604-1663) : 20 pp. 3/ Les amis de Jean Dragon, de Crest, étudiant à Genève, professeur à l'Académie de Die, pasteur à Crest et à Saint-Paul-Trois-Châteaux (1599-1615) : Valence Impr. de Jules Céas : XLIII-168 pp. 4/ Inventaire des biesn mobiliers et immobiliers d'un jurisconsulte de Valence (1348) : Paris Ernest Leroux 1896, 36 pp.- En deux volumes, intérieur très frais, très bon état.
Allende Isabel Durand Carmen Durand Claude Durand Carmen Durand Claude
Reference : 74935
(1988)
ISBN : 9782213021379
Fayard 1988 419 pages in8. 1988. Broché. 419 pages. Chaque maison cache un secret les murs ont des oreilles mais la bouche cousue. Il faut poser longtemps la joue contre leur sein comme un docteur fiévreux pour les entendre respirer. A Dun-le-Palestel dans la Creuse la maison de famille du narrateur en a si gros sur le c?ur et tant à dire qu'on va la confesser pièce après pièce l'écouter se raconter souvenirs dérangés vérités arrangées les choses et les gens tels qu'ils furent les échos et les ombres qu'il en reste. Elle finira bien par lâcher cequ'elle sait. Elle sait l'histoire d'un père qui lui avait choisi de se taire
french édition - quelques marques de lecture et/ou de stockage marque de stockage sur tranche de page mais du reste en bon état. Envoi rapide et soigné dans enveloppe à bulles depuis France
Fécamp, Durand et Fils, 1889. Grand in-8 de XXXVIII pages (faux-titre, titre, préface, liste des souscripteurs, commentaires analytique) et 292 pages. Précédé d'un Commentaire sur sa Vie et ses Oeuvres par Carolus D'Harrans (CH. Durand) et ornée d'un Portrait et de quatre grands dessins. A la fin de l'ouvrage on trouve les partitions de musique de "Notre-Dame des flots " paroles de Léopold Durand, musique de V.F. Verrimst , "Avant le concours" et "L'Assaut", paroles de Durand, musique de Laurent de Rillé. Excellent état intérieur. Rousseurs uniquement sur le premier feuillet blanc. Broché, couverture beige imprimée en rouge et noire. Rousseurs et marges endommagées.
Durand (Louis-Léopold), né le 16 juillet 1832 à Fécamp (Seine-Inférieure), décédé le 2 décembre 1886. Publiciste, auteur dramatique. Il fut imprimeur et rédacteur du " Journal de Fécamp " en 1865. Il reçut les médailles de bronze et d'argent aux Expositions du Havre (Seine-Inférieure), de Dieppe (Seine-Inférieure) et de Caen (Calvados) pour son procédé d'impression sur feuillages naturels. Il obtint une médaille d'argent en 1884 à l'Exposition régionale de Rouen (Seine-Inférieure), pour ses éditions en caractères elzéviriens et autres travaux typographiques.
Paris, Imprimerie Nationale, 1852. in-4, 39pp. et 4 lithographies hors-texte, gravées par Borromée. Demi-chagrin noir de l'époque.
Les auteurs étaient caennais. Reliés à la suite : Rapport sur un mémoire de MM. Durand et Manoury, de Caen, relatif à l'accroissement en diamètre des végétaux dicotylés... (8pp.). - Durand. Thèse de botanique et de zoologie appliquée à l'économie rurale, suivie de propositions sur la physiologie et l'histoire naturelle générale, présentées à la faculté des sciences de Paris le 4 août 1849. Caen, Poisson, 1849 ; 48pp. - Rapport sur un mémoire de M. Durand, intitulé : Recherche et fuite de la lumière par les racines. Acad. des Sciences, février 1846 ; 10pp. - Rapport sur deux mémoires intitulés, le premier : Mémoire sur la tendance des racines à s'enfoncer dans la terre, et sur leur force de pénétration, par M. Payer ; le second : Mémoire sur un fait singulier de la physiologie des racines, par M. Durand, pharmacien à Caen. Acad. des Sciences, avril 1845 ; 12pp. - Rousseurs.
, Brepols, 2013 Paperback, 525 pages , 156 x 234 mm, Languages: English. ISBN 9782503548791.
William Durand (c. 1230-Nov. 1, 1296), Bishop of Mende, France, was unquestionably the most renowned liturgical scholar of the later Middle Ages. His encyclopedic allegorical exposition of the rites and worship services of the Latin Church, the Rationale divinorum officiorum, or "Rationale for the divine offices," is the best known medieval work in its genre. Divided into eight books of varying length, the Rationale is exhaustive in its treatment of a wide variety of subjects: the church building and liturgical art; the ministers of the church and their functions; liturgical vestments; the Mass and the Divine Office; the Church's calendar and its feast days. Modern scholarship has clearly shown that Durand's Rationale superseded all previous liturgical commentaries within only a few years of its publication (c. 1292-1296). By the end of the fifteenth century, it had become one of the most widely disseminated treatises of its kind in western Europe. Book 4, Durand?s lengthy and detailed commentary on the Mass, has never been translated into English. The present volume makes this important text available for modern students of liturgy, musicology, theology, and art history for whom the original Latin text is not accessible. The present translation also provides extensive annotation and explanation of Durand?s sometimes cryptic etymologies, while bringing to light important source material embedded within his commentary. The source text of this volume appeared in Corpus Christianorum Continuatio Mediaeualis as Guillelmus Durantus - Rationale divinorum officiorum IV (CCCM 140). References to the corresponding pages of the Corpus Christianorum edition are provided in the margins of this translation. Corpus Christianorum in Translation (CCT 14)
Paris, Garnier Frères, Libraires-Editeurs, 1877, 1 volume in-12 de 180x110 mm environ, xvi-510 pages, demi-basane noire, titres dorés sur dos lisse orné de filets dorés, nombreuses figures dans le texte et un portrait en frontispice. Rousseurs, quelques notes au crayon à papier, tache dans la marge interne p. 288-291, frottements d'usage sur la couverture, mors interne fendu mais structure solide, sinon bon état.
Charles Durand, né en 1766 à Alès (Gard) et mort en 1854 à Nîmes, est un cuisinier et gastronome célèbre.En 1830, il fit paraître Le cuisinier Durand, ouvrage qui constitue un des premiers livres de cuisine régionale dans l'histoire de la cuisine française, plusieurs fois réédité et constamment plagié. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
5 vues tirées du Moniteur des Architectes : 2 vues de la façade principale, une coupe transversale du hall, un plan général, et une coupe transversale (double feuille) du hall, salle et scène.1 vue de la façade, imprimée par Desrosiers (Moulins), avec des variantes par rapport à l'état définitif.
Hippolyte Durand, Paris, 1801-1882.Élève de Vaudoyer et de Lebas à l'école des Beaux-Arts, il se spécialisa dans l'architecture médiévale et travailla à la restauration de Saint-Rémy de Reims, de Notre-Dame de l'Épine à côté de Châlons-sur-Marne et de l'église de Saint-Menoux dans le Bourbonnais (1841). En 1848, Durand était suffisamment réputé dans le milieu « néo-gothique archéologique » pour être choisi comme architecte diocésain de Bayonne, chargé de la cathédrale, de l'évêché et du séminaire. Il ambitionnait en fait les postes de Bourges (il rédigeait avec le baron de Girardot une monographie de la cathédrale de Bourges) et de Moulins (il avait conçu un projet d'achèvement de la cathédrale de Moulins). Mais il entretint de si mauvais rapports avec Mgr Lacroix, l'évêque de Bayonne, qui lui reprochait « son mauvais caractère et ses manières hautaines et insolentes » qu'il démissionna le 10 février 1852.En même temps, il était nommé à Auch en remplacement de Lodoyer et à Tarbes. Il résidait alors à Bayonne et à Biarritz en raison de la construction dont il était chargé de la villa de l'Impératrice à Biarritz : cette situation souleva des difficultés de la part des préfets des Hautes-Pyrénées et du Gers. Hippolyte Durand construisit le théâtre de Moulins en style néo-classique à partir de 1842 ; il commença la construction de la villa Eugénie à Biarritz qui fut continuée après sa révocation par Couvrechef et réalisa le séminaire de Tarbes. Dans le Gers, il bâtit le prieuré des Ursulines à Auch, le flèche de Plaisance et l'église du quartier Saint-Michel à Condom ; dans les Landes, les églises de Peyrehorade, Soustons et Tartas ; dans les Hautes-Pyrénées, Notre-Dame de Lourdes achevée en 1872 (exposée au salon de la même année) ; dans les Pyrénées-Atlantiques, Saint-André de Bayonne qu'il construisit en collaboration avec l'architecte basque Guichenné. Saint-André de Bayonne est typique des recherches d'Hippolyte Durand sur la construction d'édifices à bon marché.(Extrait de : "École des chartes", ELEC. Répertoire des architectes diocésains du XIXe siècle. Sous la direction Jean-Michel Leniaud)
Paris Librairie Henri Leclerc 1907 in 8 (28x18) 1 volume broché, couverture imprimée, plat supérieur titré et illustré des armoiries en couleurs de Marie de Fourcy marquise d'Effiat, LVI et 271 pages [3], frontispice gravé à l'eau-forte par H. Manesse, page de titre gravée avec les armoiries en couleurs de Marie de Fourcy. Belle édition documentaire. Vie d'Estienne Durand, par Guillaume Colletet, et notice par Frédéric Lachèvre. Bibliographie des oeuvres d'Estienne Durand; Notes justificatives; Généalogie de la famille de Fourcy; Table alphabétique des principaux noms cités; Table des poésies. Estienne Durand, 1586 - 1618, poète baroque français. Tirage à 301 exemplaires, celui-ci numéroté. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Bon Broché Ed. numérotée
Paris, Denis Du Pré, 1586. Petit in-8 (115 x 170 mm) de 83-(1) ff. (sign. A-K8, L4), manchettes, maroquin rouge janséniste, dos à nerfs, double filet à froid d'encadrement sur les plats, dentelle intérieure, tranches dorées (reliure du XIXème siècle).
Deuxième édition très rare, revue et corrigée l'année de sa mort de la paraphrase en vers décasyllabiques de Guillaume Durand des six satires de Perse, avec la version latine commentée en regard. La version de Durand est le second essai de traduction en langue française du chef-d’œuvre de Perse. Poète parisien, Guillaume Durand était conseiller du roi au présidial de Senlis ; il a fait publier un recueil de vers – Enchiridion – par le même imprimeur en 1582.Belle impression de l'imprimeur-libraire Denis Du Pré (†1596), libraire juré de l'université de Paris. Natif de Beauvais, il succède en 1565 rue des Amandiers aux libraires Mathieu David et Pierre II Lebert ; il est écroué en 1567 pour vente de livres prohibés. Provenance : Gustave Mouravit (cachet ex-libris au titre répété p. 152) ; monogramme "TR" (mention ms.).Bel exemplaire dont la reliure est attribuée à Joseph-François Dubois d'Enghien (1841-1923), célèbre relieur bruxellois ; cet artisan ne signait que rarement son travail.Brunet, IV, 522 ; Catalogue de la bibliothèque de M. Gustave Mouravit (1938), n°704.