Paris ; New York : Durand-Ruel éd., 1939. 2 volumes grand in-8 reliés (25,5 x 17 cm), reliure pleine toile vert-olive, titre doré sur pièces de titre en cuir marron, sous emboîtage orange. Couvertures conservées, 465-355 pages, illustrés de gravures, photographies, portraits, fac-similes. Intérieur très frais, très bel état. Bel envoi autographe signé de Paul Durand-Ruel.
2 volumes in-8 reliés (23,6 x 16,4 cm), reliure demi-basane bleu. Le Tome I regroupe : 1/ Lettre sur l'histoire ecclésiastique du Dauphiné : Lyon, A. Brun, 1869, 50 pages.- 2/ Essai historique sur la Chambre de l'édit de Grenoble : Valence, impr. de Chenevier et Chavet, 1873, 108 pages. 3/ Notice historique sur le monastère de Saint-Médard de Piégros, aujourd'hui Piégros-la-Clastre (Drôme) : Bar-le-Duc (36, rue de la Banque, 36) : Typographie des Célestins, 1874, 23 pages. 4/ Pouillé historique du diocèse de Die en 1449 et 1450 : Grenoble : Impr. de Maisonneuve, 1876, 48 pages. 5/ Annales de Michel Forest sur ce qui s'est passé de plus remarquable à Valence de 1736 à 1784 : 176 pages. 6/ Etat du Diocèse de saint-Paul-Trois-Châteaux au XVIIIe : 16 pp. 7/ Notes sur le Domaine de Valfanjouse, 11 pp. 8/ Le poète Roch Grivel et son oeuvre : Imp. de Jules Ceas, 1889, 16 pp.- Le Tome II regroupe : 1/ Censier de l'Evêché de Die, 1890, 71 pp.. 2/ Règlements de l'Académie protestante de Die (1604-1663) : 20 pp. 3/ Les amis de Jean Dragon, de Crest, étudiant à Genève, professeur à l'Académie de Die, pasteur à Crest et à Saint-Paul-Trois-Châteaux (1599-1615) : Valence Impr. de Jules Céas : XLIII-168 pp. 4/ Inventaire des biesn mobiliers et immobiliers d'un jurisconsulte de Valence (1348) : Paris Ernest Leroux 1896, 36 pp.- En deux volumes, intérieur très frais, très bon état.
Allende Isabel Durand Carmen Durand Claude Durand Carmen Durand Claude
Reference : 74935
(1988)
ISBN : 9782213021379
Fayard 1988 419 pages in8. 1988. Broché. 419 pages. Chaque maison cache un secret les murs ont des oreilles mais la bouche cousue. Il faut poser longtemps la joue contre leur sein comme un docteur fiévreux pour les entendre respirer. A Dun-le-Palestel dans la Creuse la maison de famille du narrateur en a si gros sur le c?ur et tant à dire qu'on va la confesser pièce après pièce l'écouter se raconter souvenirs dérangés vérités arrangées les choses et les gens tels qu'ils furent les échos et les ombres qu'il en reste. Elle finira bien par lâcher cequ'elle sait. Elle sait l'histoire d'un père qui lui avait choisi de se taire
french édition - quelques marques de lecture et/ou de stockage marque de stockage sur tranche de page mais du reste en bon état. Envoi rapide et soigné dans enveloppe à bulles depuis France
Fécamp, Durand et Fils, 1889. Grand in-8 de XXXVIII pages (faux-titre, titre, préface, liste des souscripteurs, commentaires analytique) et 292 pages. Précédé d'un Commentaire sur sa Vie et ses Oeuvres par Carolus D'Harrans (CH. Durand) et ornée d'un Portrait et de quatre grands dessins. A la fin de l'ouvrage on trouve les partitions de musique de "Notre-Dame des flots " paroles de Léopold Durand, musique de V.F. Verrimst , "Avant le concours" et "L'Assaut", paroles de Durand, musique de Laurent de Rillé. Excellent état intérieur. Rousseurs uniquement sur le premier feuillet blanc. Broché, couverture beige imprimée en rouge et noire. Rousseurs et marges endommagées.
Durand (Louis-Léopold), né le 16 juillet 1832 à Fécamp (Seine-Inférieure), décédé le 2 décembre 1886. Publiciste, auteur dramatique. Il fut imprimeur et rédacteur du " Journal de Fécamp " en 1865. Il reçut les médailles de bronze et d'argent aux Expositions du Havre (Seine-Inférieure), de Dieppe (Seine-Inférieure) et de Caen (Calvados) pour son procédé d'impression sur feuillages naturels. Il obtint une médaille d'argent en 1884 à l'Exposition régionale de Rouen (Seine-Inférieure), pour ses éditions en caractères elzéviriens et autres travaux typographiques.
Paris, Imprimerie Nationale, 1852. in-4, 39pp. et 4 lithographies hors-texte, gravées par Borromée. Demi-chagrin noir de l'époque.
Les auteurs étaient caennais. Reliés à la suite : Rapport sur un mémoire de MM. Durand et Manoury, de Caen, relatif à l'accroissement en diamètre des végétaux dicotylés... (8pp.). - Durand. Thèse de botanique et de zoologie appliquée à l'économie rurale, suivie de propositions sur la physiologie et l'histoire naturelle générale, présentées à la faculté des sciences de Paris le 4 août 1849. Caen, Poisson, 1849 ; 48pp. - Rapport sur un mémoire de M. Durand, intitulé : Recherche et fuite de la lumière par les racines. Acad. des Sciences, février 1846 ; 10pp. - Rapport sur deux mémoires intitulés, le premier : Mémoire sur la tendance des racines à s'enfoncer dans la terre, et sur leur force de pénétration, par M. Payer ; le second : Mémoire sur un fait singulier de la physiologie des racines, par M. Durand, pharmacien à Caen. Acad. des Sciences, avril 1845 ; 12pp. - Rousseurs.
, Brepols, 2013 Paperback, 525 pages , 156 x 234 mm, Languages: English. ISBN 9782503548791.
William Durand (c. 1230-Nov. 1, 1296), Bishop of Mende, France, was unquestionably the most renowned liturgical scholar of the later Middle Ages. His encyclopedic allegorical exposition of the rites and worship services of the Latin Church, the Rationale divinorum officiorum, or "Rationale for the divine offices," is the best known medieval work in its genre. Divided into eight books of varying length, the Rationale is exhaustive in its treatment of a wide variety of subjects: the church building and liturgical art; the ministers of the church and their functions; liturgical vestments; the Mass and the Divine Office; the Church's calendar and its feast days. Modern scholarship has clearly shown that Durand's Rationale superseded all previous liturgical commentaries within only a few years of its publication (c. 1292-1296). By the end of the fifteenth century, it had become one of the most widely disseminated treatises of its kind in western Europe. Book 4, Durand?s lengthy and detailed commentary on the Mass, has never been translated into English. The present volume makes this important text available for modern students of liturgy, musicology, theology, and art history for whom the original Latin text is not accessible. The present translation also provides extensive annotation and explanation of Durand?s sometimes cryptic etymologies, while bringing to light important source material embedded within his commentary. The source text of this volume appeared in Corpus Christianorum Continuatio Mediaeualis as Guillelmus Durantus - Rationale divinorum officiorum IV (CCCM 140). References to the corresponding pages of the Corpus Christianorum edition are provided in the margins of this translation. Corpus Christianorum in Translation (CCT 14)
Paris, Garnier Frères, Libraires-Editeurs, 1877, 1 volume in-12 de 180x110 mm environ, xvi-510 pages, demi-basane noire, titres dorés sur dos lisse orné de filets dorés, nombreuses figures dans le texte et un portrait en frontispice. Rousseurs, quelques notes au crayon à papier, tache dans la marge interne p. 288-291, frottements d'usage sur la couverture, mors interne fendu mais structure solide, sinon bon état.
Charles Durand, né en 1766 à Alès (Gard) et mort en 1854 à Nîmes, est un cuisinier et gastronome célèbre.En 1830, il fit paraître Le cuisinier Durand, ouvrage qui constitue un des premiers livres de cuisine régionale dans l'histoire de la cuisine française, plusieurs fois réédité et constamment plagié. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
[MESNIL-DURAND (François-Jean de Graindorge d'Orgeville, baron de)]
Reference : 156126
À Paris, De l'imprimerie d'Antoine Boudet, 1755 in-4, XXIX-1-446-[2] pp., 16 pl. depl., veau marbré, dos à nerfs orné de caissons fleuronnés dorés, roulette dorée sur les coupes, tranches mouchetées de rouge (rel. de l'époque). Mors fendillé en pied sur le plat sup., qqs petites épidermures. Très légères mouillures en coins, rousseurs rares.
Brillant tacticien, Charles Graindorge d'Orgeville, baron de Mesnil-Durand (1735-1799), fut colonel au régiment Navarre infanterie et resta au service du roi jusqu'à la Révolution en qualité de maréchal de camp commandant les régiments d'Ile-de-France et Lorraine.Le baron Mesnil-Durand avait à peine vingt ans lorsqu'il publia sous l'anonymat, son traité militaire ; divisé en 15 chapitres, son Projet d'un Ordre françois en tactique, a pour objet de substituer pour l'ordre de bataille, au système qui était en usage des bataillons minces composés de 685 hommes alignés directement, des colonnes de 768 hommes à 24 de front et 32 de hauteur. L'auteur accompagne chacune de ces colonnes (qu'il désigne sous le nom de Plésions) de deux peletons de grenadiers, formés chacun de 48 hommes à 3 de hauteur, et qui s'établiraient à quelques pas en arrière sur le flanc des Plésions. Il place ensuite deux petites troupes de cavalerie, chacune de 24 hommes sur deux rangs en arrière des grenadiers. L'auteur donna à ce Projet une Suite en 1758.Mesnil-Durand défend et explique ainsi fermement la théorie de l'ordre profond, qui avait été entrevue quelques années plus tôt par le chevallier Folard et par le Maréchal de Saxe dans ses Rêveries. Folard avait en effet cru voir dans la profondeur de l'ordonnance de bataille des Grecs, la principale cause de la supériorité stratégique qu'il leur attribuait sur les tacticiens modernes. La polémique entre partisans de l'ordre profond en colonne et partisans de l'ordre traditionnel mince, fut accrue dans les années 1770, suite aux objections du chevaliers Tronçon du Coudray et aux travaux du comte Guibert sur les progrès de l'artillerie. La discussion ayant acquis plus de vigueur et une telle ampleur dans les milieux militaires, le gouvernement décida alors de mettre à l'épreuve les deux systèmes stratégiques ; il les fit expérimenter au camps de manœuvre de Vaussieux, en réunissant 30000 hommes confiés au marchal de Broglie pour l'ordre profond, au général Luckner pour l'ordre mince. Mais le résultat fut défavorable à Mesnil-Durand. Si les résultats ne furent donc pas concluants pour le système en colonne, ils permirent de faire évoluer la pensée militaire au XVIIIe siècle. Guibert qui fut son adversaire, s'orientera vers un système mixte.Exemplaire de la bibliothèque de Shirburn Castle, des comtes de Macclesfield, avec vignettes ex-libris contrecollées sur les premières gardes, et timbres secs armoriés sur les premiers feuillets. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Phone number : 06 46 54 64 48
Paris, Denis Du Pré, 1586. Petit in-8 (115 x 170 mm) de 83-(1) ff. (sign. A-K8, L4), manchettes, maroquin rouge janséniste, dos à nerfs, double filet à froid d'encadrement sur les plats, dentelle intérieure, tranches dorées (reliure du XIXème siècle).
Deuxième édition très rare, revue et corrigée l'année de sa mort de la paraphrase en vers décasyllabiques de Guillaume Durand des six satires de Perse, avec la version latine commentée en regard. La version de Durand est le second essai de traduction en langue française du chef-d’œuvre de Perse. Poète parisien, Guillaume Durand était conseiller du roi au présidial de Senlis ; il a fait publier un recueil de vers – Enchiridion – par le même imprimeur en 1582.Belle impression de l'imprimeur-libraire Denis Du Pré (†1596), libraire juré de l'université de Paris. Natif de Beauvais, il succède en 1565 rue des Amandiers aux libraires Mathieu David et Pierre II Lebert ; il est écroué en 1567 pour vente de livres prohibés. Provenance : Gustave Mouravit (cachet ex-libris au titre répété p. 152) ; monogramme "TR" (mention ms.).Bel exemplaire dont la reliure est attribuée à Joseph-François Dubois d'Enghien (1841-1923), célèbre relieur bruxellois ; cet artisan ne signait que rarement son travail.Brunet, IV, 522 ; Catalogue de la bibliothèque de M. Gustave Mouravit (1938), n°704.
Strasbourg, Georg Husner, 1488. In-folio (199 x 294 mm), 2 ff. n. ch., 260 ff. (1 f. de garde). Peau de truie miel estampée à froid sur ais de bois, compositions à empreintes dans un double encadrement distinctes pour chacun des plats, dos à nerfs avec pièce de titre manuscrite du XVIIe siècle contrecollée en tête et trace d’étiquette en queue, fermoirs et attaches en cuivre du XIXe s. reproduisant les originaux, avec lanière de cuir XXe. Feuillet de titre manquant, large mouillure courant sur les 50 premiers folios, rares feuillets avec rousseurs, trace d’étiquette XIXe au premier contreplat, «œil» dans la peau et petit travail de ver au plat inférieur de reliure, ainsi qu’aux derniers folios (reliure de l’époque).
Belle édition incunable strasbourgeoise de Guillaume Durand. L’ouvrage liturgique de Durand (c. 1230-1296), originaire de Puimisson, près de Béziers, évêque de Mende, docteur en droit, élève d’Henri de Suse, s’inscrit dans la longue tradition de l’interprétation allégorique de la liturgie. Ce fut un livre très diffusé dont on recense plus de 200 manuscrits de l’époque médiévale; il fut l’un des premiers livres à avoir été reproduit à l’aide de caractères mobiles, à Mayence en 1457. L’ouvrage traite des églises, de la hiérarchie cléricale, des vêtements liturgiques, de la messe, de l’office divin, des offices du dimanche, des fêtes des saints et du comput ecclésiastique. L’impression en est attribuée à Georg Husner, l'imprimeur du Jordanus de Quedlinburg de 1483, actif à Strasbourg de 1473 à 1506.Impression en gothique, sur deux colonnes à 47 lignes. L’exemplaire est rubriqué, avec les initiales de sections gouachées en rouge, certaines se poursuivant en arabesques en marges (f. 171 v); les majuscules sont systématiquement en rouge sur les 4 premiers ff. Exemplaire dans une remarquable reliure monastique à empreintes à l’usage des frères Servites de Strasbourg. Le premier plat se compose d’un double encadrement de rosettes et de cœurs sacrés de Jésus transpercés d’une lance. Le second plat est décoré d’un double encadrement de rosettes et de phylactères Ave Maria. Le centre du plat est occupé par un espace compartimenté où sont disposés quatre fleurons en navettes et huit fleurons arrondis. La présence du phylactère Ave Maria et coeur sacré de Jésus rattache cette reliure à celles destinées à l’ordre des Servites de Marie. Le second plat a pour garde un feuillet issu d'une édition incunable des Facta et memorabilia de Valère Maxime (livre V), avec une marque de possession contemporained’un lecteur originaire d’Ingolstadt : «Iste autem spectat Sebastiano Neuckum Angelostadio». De la bibliothèque des Servites de Strasbourg. L’ouvrage a passé au monastère cistercien de femmes de Billigheim, en Bade-Wurtemberg. Au premier contreplat, note manuscritedu frère Knüttel qui y était chapelain: «Ad usum fratris Christopheri Knütellii cum fungebatur officio capellani in Billickhaim anno sesquimillesimo et 4 (=1504)». Il semble que les livres de Knüttel aient passé ensuite à l’abbaye cistercienne de Schönthal, également en Bade-Wurtemberg, certainement en 1584 quand le monastère ferma ses portes (note manuscrite au premier folio de table). Une Bible incunable (Speyer, 1489) avec son ex-libris, également passée à l’abbaye Schönthal ensuite, est conservée à Stuttgart (Würtembergishe Landesbibliothek, Inc. Fol. 3105 HB). Plusieurs provenances du XIXe sièclesont à signaler : note manuscrite de James Marleish indiquant la rareté de l’édition qu’il ne trouve pas dans Maittaire; ex-libris armorié du révérend George Becher Blomfield (1801-1855); ex-libris gravé de H. Legel, collectionneur allemand d’incunables, avec sa devise «Moriturus te salutat». Quelques notes manuscrites lexicales en marge de la main de Christoph Knüttel (ff. 134-135; 187): au f. 135r, note sur la formule de fin de la messe («Ite missa est»); au f. 149v, dans un passage où Durand explique l’origine étymologique de l’épiphanie l’annotateur note en effet qu’il y avait anciennement trois noms pour cette fête: Théophanie, Épiphanie et Bethphanie. Très peu d’exemplaires sont conservés en France dans les bibliothèques publiques: 2 à Strasbourg (BGS et BNU), 1 à Grenoble (BM), 1 à Colmar selon le CCfr et le GW. Bel exemplaire en condition d’époque. Hain, Repertorium bibliographicum, 6494. Gesamtkatalog der Wiegendrucke (GW), 9135. (P.-M. Gy (éd.), Guillaume Durand. Évêque de Mende (v. 1230-1296). Canoniste, liturgiste et homme politique. Paris, 1992)
Paris Technique et documentation 1987 xii , 338 p. index in-8 Broché Bon exemplaire,cachet bibliotheque
Paris, Germer Baillière, Libraire-Editeur, 1851, 1 volume in-8 de 215x140 mm environ, x-235 pages, demi reliure toile bleue roi, titres dorés sur dos lisse. Des rousseurs, frottements sur la couverture, mouillure sur les 4 dernières pages, sinon bon état.
Maxime Durand-Fardel, né Charles Louis Maxime Durand-Fardel à (Paris le 24 septembre 1815, et mort à Paris, 19 mars 1899) est un médecin et voyageur français. Médecin à Paris, il devient inspecteur des eaux de Vichy et décide, en 1875, de partir avec sa femme, Laure, pour un voyage d'étude en Extrême-Orient. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
1943 1943 paris J. Fournier 1943 in -8 Reliure dos lisse toile bleue 212[pp] Très belle reliure
Charles Alexis Oswald Durand, né au Cap-Haïtien le 17 septembre 1840 et mort à Port-au-Prince le 22 avril 1906, est un écrivain et poète haïtien d'expression française et créole, considéré comme le poète national d'Haïti. Oswald Durand est le parolier du chant national Quand nos Aïeux brisèrent leurs entraves qui fut l'hymne national haïtien de 1893 à 1904. Frais de port inclus vers France métropole au tarif normal, délai d'acheminement sous 72h, pour les commandes > à 80 euros et poids < 1kg. Disponibilité sous réserve de vente en Boutique. Frais de port inclus vers France métropole au tarif normal, délai d'acheminement sous 72h, pour les commandes > à 80 euros et poids < 1kg. Disponibilité sous réserve de vente en Boutique. Disponibilité sous réserve de vente en boutique, prix valable frais de port inclus pour commande > 90 € et poids < 1 Kg
[ L. DURAND] - DURAND (Henri) présenté Par Alexandre VINET.
Reference : AUB-6446
(1861)
Lausanne, éd. G. Bridel 1861. Bon exemplaire relié, reliure pleine toile ornée d'éd., in-8, 264 pages avec tables + planches.
Quelques poésies mises en musique par divers auteurs.
1818 3 parties en un volume, broché (dérelié) in-octavo (paperback in-octavo), sans couverture, toutes tranches lisses (all smooth edges), sans illustration (no illustration) Le portrait mentionné par le catalogue de la B.N.F. manque, 72 + 71 + 66 pages, 1818 Paris les marchands de nouveautés (Plancher) Editeurs, DURAND (Charles)].
Très rare complet des 3 parties (détail ignoré des bibliographes traditionnels). EDITION ORIGINALE.... «Charles Durand était procureur du roi, membre de lAcadémie royale de Nîmes. Récit des événements de Nîmes et de Marseille au moment des Cent-Jours et du début de la Restauration. Important témoignage sur le rôle de Masséna lors du retour de lîle dElbe, le massacre des mameluks, la mort du maréchal Brune, etc.» (Tulard 478)....rare...et en bon état (good condition)...à relier.
Cartonnage illustré de l'éditeur, 28X22 cm, 1956, 247 pages, illustrations en noir et en couleurs de Paul Durand, éditions Delagrave. Bon exemplaire.
2004 Editions Durand 2004 - In-8 broché - 304 pages
Bon état
Paris, Jeannin, et Londres, Anaglyphic Company, 1844. 370 x 492 mm.
Belle vue illustrant le combat naval qui eut lieu le 12 décembre 1808 aux abords de la Martinique, de la série Marine Française. Elle a été dessinée par Jean-Baptiste Henri Durand-Brager, lithographiée par lui-même et par Édouard Laplante, et coloriée à l'époque. Elle a été publiée en 1844 par Henri Jeannin à Paris, et par l'Anaglyphic Company à Londres. Le 10 novembre 1808, le Cygne, brick français de 16 canons sous les ordres du lieutenant de vaisseau Félicité-Louis-Urbain Menouvrier-Defresne, appareille de Cherbourg en direction de la Martinique pour une opération de ravitaillement. À l'approche des côtes de la Martinique, le brick est repéré et pris en chasse par la flottille anglaise qui assure le blocus de l'île. La frégate HMS Circe, la corvette Stork, les bricks Morne Fortunee, Amaranthe, Epervier et la goélette Express poursuivent le Cygne. Le 12 décembre, après avoir passé le cap nord de l'île, et voyant qu'il sera rattrapé par l'escadre britannique avant d'atteindre Saint-Pierre, Menouvrier-Defresne décide de jeter l'ancre sous une batterie côtière à l'Anse Céron. L'estampe de Durand-Brager représente ce moment du 12 décembre, lorsque des navires anglais lancent des canots pour tenter un abordage. Le Cygne, sur la gauche de l'estampe, en coule trois avant qu'ils ne l'atteignent. Le Circe s'approche avec son équipage prêt à l'abordage, mais est repoussé par des tirs de canon, tandis que les bateaux survivants atteignent la poupe du Cygne. Les Anglais sont repoussés et 17 hommes sont faits prisonniers. Le lendemain, le Cygne se retrouve encalminé (immobilisé en l'absence de vent). Menouvrier-Defresne tente alors de le déplacer en le faisant haler du rivage par des fantassins et en utilisant les rames, puis il progresse vers Saint-Pierre, sous le feu de l'Amaranthe. Cependant, en raison d'une erreur de navigation, le Cygne s'échoue et commence à prendre l'eau. Alors que les autres navires britanniques se rapprochent, Menouvrier-Defresne ordonne l'abandon du navire et son sabordage par le feu. La ville de Saint-Pierre offre à Menouvrier-Defresne une épée d'honneur pour sa défense. En signe d'estime, Brenton, capitaine de l'Amaranthe, lui offre une ceinture d'épée, et le lieutenant Hay, un poignard. Élève de Gudin et d'Isabey, Durand-Brager commence sa carrière par des campagnes au long cours. Il expose au Salon à partir de 1840. Cette année-là, il participe à l'expédition menée par le prince de Joinville pour ramener en France le cercueil de Napoléon qui arrive à Cherbourg, à bord de La Belle Poule, le 15 octobre 1840. Il participe à de nombreuses campagnes et parcourt l’Europe, l'Algérie, le Sénégal, la côte atlantique de l'Afrique, la Crimée, le Brésil. Pendant la guerre de Crimée (1853-1855), il est l'un des 15 photographes à avoir photographié le conflit. En 1857, il présente au Salon, les vingt-et-une toiles qui lui ont été commandées pour les galeries de Versailles sur le siège de Sébastopol, qu'il réalise d’après des croquis pris lors de la campagne de Crimée. Il reçoit également commande du tsar de Russie et de l’empereur d'Autriche qui lui demande un panorama représentant la bataille de Lissa. Peintre attitré des faits historiques qu'il restitue avec une grande rigueur documentaire, il a laissé aussi de nombreuses marines et vues de port rendant avec délicatesse et justesse les variations atmosphériques (Musée des Beaux-Arts de Rouen, Autour de Claude-Joseph Vernet, La marine à voile, de 1650 à 1890, 1999, p. 203). Peintre et lithographe français, Édouard Laplante s'installa à Cuba vers 1850, comme vendeur de machinerie sucrière pour le compte de la compagnie française Derosne et Cail à Paris. Son activité commerciale l'amena à collaborer en tant qu'illustrateur pour l'ouvrage du propriétaire foncier cubain Justo Germán Cantero, consacré à l'histoire et à la description des plus grands et meilleurs moulins à sucre de l'époque. Il se dédia fondamentalement à la lithographie et contribua à l'essor de cette expression artistique durant le XIXe siècle. Avec Miahle, peintre et graveur comme lui, il est considéré comme le plus remarquable des graveurs étrangers ayant travaillé à Cuba. Cachet à froid de l'éditeur Henri Jeannin dans la marge inférieure. Très bon exemplaire colorié à l'époque. Déchirure restaurée dans la partie basse de l'estampe, au niveau de la mer. Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 7 septembre 1844, 1844, p. 471, 908.
Gravure en couleurs. La chasse au tigre à Java. Croquis de M. Bonnet. Vers 1867.Très bon état. Format in-folio(35x25) pour la gravure. Format in-plano(51x35) pour le passe partout. Livré sans le passe partout pour des raisons techniques.
BONNET - ALIX - DURAND
Lugduni, Lyon Jacques Huguetan 1er 1520 In-4 gothique à 2 colonnes de 3 ff. liminaires, 188 feuillets chiffrés et 1 ff.n.ch., reliure d'époque veau brun, plats estampé à froid sur ais de bois, dos muet à gros nerfs. (Les fermoirs manquent, le dos a été restauré, le titre comporte des annotations du temps sur la marge extérieure).
D’abord enseignant à Modène, Guillaume Durand (v. 1230-1296) est nommé à Rome chapelain apostolique et auditeur général des causes de palais par le pape Clément IV. Il sera un des prélats chargés de rédiger les actes pour cesser de faire taire le schisme des Grecs. En 1287 il sera élu évêque de Mende et Boniface VIII lui offrira l’archevêché de Ravenne en 1295, qu’il refusera. L’année suivante il sera chargé d’une mission importante pour l’île de Chypre et mourra à son retour. Il sera enterré en l'église Sainte-Marie-de-la-Minerve à Rome. Son influence dans le Moyen-Âge sera extraordinaire, tant par la pensée que sur l’art. Son « Speculum judiciale » (Miroir du Droit), lui valut notamment son surnom de Spéculateur. L’oeuvre « Rationale Divinorum officiorum… » (Rational des Divins Offices) constitue une oeuvre majeure dans la littérature liturgique, genre lancé au IXe siècle et que Guillaume Durand vient clore. La traduction fut commandée par Charles V et c’est Jean Golein qui en 1371, traduisit les 7 premiers livres. Le succès en fut considérable et on compte plus de 110 éditions depuis sa première impression en 1459 par Fust, à Mayence. Impression lyonnaise de Jacques 1er Huguetan, qui permit de faire développer l’industrie du livre à Lyon. Belle marque de l’imprimeur sur la page de titre. Nombreuses lettres ornées en en-tête de paragraphes, quelques erreurs de foliotages sans manque. Baudrier XI-262. Michaud XII-69. Pascal Colomb « Guillaume Durand ». Silvestre N°93.
Paris, Marpon et Flammarion, s.d. (1887), 1 br., dos cassé. in-8, f.t., titre, VI- 297-(4) pp., quelques rousseurs ;
Tyball-Wachsam, pseudonyme de Joseph-Victor Durand-Reynaud, né à Montélimar, bibliophile, officier d'Académie de Montélimar. Il a fait dont de sa bibliothèque à la médiathèque de Montélimar (Fonds Durand-Reynaud).
Phone number : 06 80 15 77 01
Partitions sur la Saison,Partitions sur les Fleurs Durand et Cie 1900 approx.
Très bon état Grand format Piano
<meta charset="utf-8"><p>L’ouvrage rassemble l’intégralité des textes publiés par Jean-Louis Durand (1939-2016), à l’exception du livre<span></span><i>Sacrifice et labour,</i><span></span>paru en 1986. Il répond à un projet ancien, longtemps remis, visant moins à recueillir des publications anciennes qu’à donner à entendre une démarche et un cheminement, cette « altération profonde de soi par où s’initie le travail anthropologique ».</p><p>Jean-Louis Durand en a fixé le titre, la structure, les titres des différentes sections. La mort l’a empêché d’en préparer l’introduction et de réaliser la série d’entretiens qui l’eût complété, son enseignement – qui a profondément marqué plusieurs générations de chercheurs – étant resté très largement oral. Le livre n’en permet pas moins de prendre la mesure de l’œuvre, une des toute premières pour l’anthropologie francophone, la pratique comparatiste, la compréhension des sociétés à dieux multiples (celles de l’Antiquité grecque notamment) qu’il renouvelle à partir de la rupture épistémologique qu’ont induite son immersion dans une culture polythéiste et sacrifiante vivante (les Winyé du Burkina Faso) et sa familiarité avec des cultures liées à des formes rituelles de possession.</p><p>Proche de Jean-Pierre Vernant « qu’il n’a jamais cessé de reconnaître comme son maître malgré les distances théoriques induites par son propre parcours » ou de Marcel Detienne dont il a partagé toutes les aventures comparatistes, il est, avec Charles Malamoud, Michel Cartry ou John Scheid un des acteurs majeurs d’un tournant ritualiste en anthropologie. Ses réflexions sur le rite comme système de gestes (également dans l’image) et sur les dispositifs rituels l’ont conduit à formuler des propositions que tout anthropologue, historien des religions ou praticien des<span></span><i>Ritual Studies</i><span></span>se doit de considérer.</p><p>« L’anthropologie n’est pas à ses yeux un domaine comme un autre des activités intellectuelles, mais une véritable expérience intérieure, une autre façon de vivre et de penser, où le chercheur est investi de l’intérieur par l’objet même de sa recherche ».</p><p>Un livre fondamental qui retiendra tout lecteur soucieux de se construire sur le monde un regard libéré.</p> Grenoble, 2022 Millon 640 p., broché. 16 x 24
Neuf
( Bandes Dessinées - Tanguy et Laverdure ) - Jean-Michel Charlier - Matthieu Durand - Hubert Cunin - Patrice Buendia.
Reference : 23933
Editions Dargaud - Zéphyr / Collection Tanguy et Laverdure " Classic " n° 1 à 4 de 2016 à 2021. Quatre volumes in-4 cartonnages éditeurs de 48 pages chacun au format 32 x 24 cm. Couvertures et dessins en noir de Matthieu Durand sur scénarios de Jean-Michel Charlier puis de Patrice Buendia. Les 2 premiers tomes sont l'adaptation du roman de Jean-Michel Charlier, illustré par Jijé : L'Avion qui tuait ses pilotes. Chaque volume est un exemplaire du tirage de luxe, en noir et blanc, numérotés et signés, avec chacun un ex-libris, limité à 1200, 600 puis 450 exemplaires. Livres et ex-libris numérotés et signés par Matthieu Durand. Edition originale en état de neuf sous blister. Rare et bel ensemble de cette série, complète ( pour l'instant ) en 4 tomes.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs MoruesLivres
1818 Paris, et Londres, Colburn, 1818, in 8 de VIII-325 pp., rel. d'ép. à la Bradel de pleine percaline vieux rose, dos lisse (passé), bon ex.
Ed. orig. La publication a été faite à Londres par M. de Fauconpret ; une première partie donne des renseignements sur Marie-Louise fournis par Madame Durand qui était attachée à son service particulier ; la deuxième est plutôt un recueil d'anecdotes (Tulard, 479).