Paris. E. Lachaud, libraire-éditeur. 1870. In-12 broché. 73 pages. 2e édition, augmentée d'une préface de Marcel Coussot. Propre.
En 1865, le Dr Dumont (de Monteux), ancien médecin pénitentiaire du Mont Saint-Michel, publia un mémoire sur sa névrose. Dans cette autobiographie, le médecin malade confiait sa mélancolie, son dégoût de la vie, ses idées de suicide, ses manies et obsessions, ses dérèglements sensitifs et nerveux. Le présent ouvrage témoigne du retentissement qu'eut cette publication. Il revient sur la longue genèse du livre, l'histoire de sa publication et donne l'opinion de médecins et écrivains, saluant la naissance d'un nouveau genre médico-littéraire. " Ce livre est à la fois l'histoire d'une âme et d'une maladie qui la bouleverse ; cette maladie nerveuse, étrange, qui n'effleure même pas la raison et lui laisse toute sa lucidité, se loge pourtant dans le cerveau : c'est une sur jumelle de l'imagination " (Anaïs Ségalas). Blavier, p. 721. Oberlé, 155.
Editions de l'Emmanuel 2008 2008. Hélène Dumont: à l'écoute du Christ miséricordieux/ Editions de l'Emmanuel 2008 . Hélène Dumont: à l'écoute du Christ miséricordieux/ Editions de l'Emmanuel 2008
Bon état
Editions Crémille 1970 1970. Jean Dumont - Les grandes énigmes de l'occupation Tome 1/ Éditions Crémille 1970
Très bon état
2000 2000. ouvrage broché 222 pages aux éditions Dumont 2000 en TRES BON ETAT complet et solide sans déchirures ni annotations ( à part une signature en page 5) intérieur propre et frais qusaiment pas de pliures sur la couverture
Très bon état
1970 1970. Jean Dumont: Les grandes enigmes de mai 1968. Tome 2/ 1970
Bon état
1970 1970. Jean Dumont: Les grandes enigmes de mai 1968. Tome 3/ 1970
Bon état
1970 1970. Jean Dumont: Les grandes enigmes de mai 1968. Tome 1/ 1970
Bon état
1970 1970. Jean Dumont: Les grandes enigmes de mai 1968. Tome 1/ 1970
Bon état
DUMONT D'URVILLE (Jules-Sébastien-César) & LE BRETON (Louis).
Reference : LBW-8317
(1853)
Paris et New-York, V.e Turgis, [1853]. 286 x 398 mm.
Très rare vue dessinée et lithographiée par Louis Le Breton, finement coloriée à l'époque, et publiée par la veuve de Louis Auguste Turgis en 1853. La vue représente l'arrivée, le 26 août 1838, des corvettes de l'expédition de Dumont d'Urville, l'Astrolabe et la Zélée, dans la baie Anna Maria sur l'île de Noukahiva ou Nuku Hiva, dans l'archipel des Marquises, en Polynésie française. Cette baie, située au sud de l'île, porte aujourd'hui le nom de baie de Taiohae. La vue a été dessinée sur les lieux par Louis Le Breton, nommé peintre de l'expédition à la mort du peintre officiel Ernest Goupil, lors du troisième et dernier voyage de Dumont d'Urville au pôle Sud et en Océanie. L'estampe nous montre des naturels de Nuku Hiva à bord de pirogues, allant à la rencontre des deux corvettes, l'Astrolabe étant au premier plan. L'expédition quittera Nuku Hiva pour Tahiti le 30 août. En 1842, le capitaine de vaisseau du Petit-Thouars, promu contre-amiral et commandant des forces navales d'Océanie, prendra possession de l'archipel des Marquises au nom de la France. Entre 1852 et 1854, il fera de l'île de Nuku-Hiva, la plus grande de l'archipel, un lieu d'accueil pour les prisonniers condamnés à la déportation pour crimes politiques. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, puis exploré les parties peu connues de la Polynésie et recherché les traces du naufrage de La Pérouse, Dumont d’Urville soumet au roi Louis-Philippe le projet d’un troisième voyage vers les mers australes. Les deux corvettes l’Astrolabe et la Zélée appareillent de Toulon le 7 septembre 1837. Dumont d'Urville est aux commandes de l'Astrolabe, son second lieutenant de vaisseau Charles Hector Jacquinot, à celles de la Zélée. Après une longue escale à Rio, et après avoir exploré le détroit de Magellan, alors peu fréquenté par les Français, Dumont d'Urville met le cap vers l’Antarctique, puis se retrouve bloqué par la banquise. Après quelques jours, les équipages réussissent enfin à s'extirper du piège, mais le scorbut n'épargne pas les matelots, et Dumont d'Urville décide alors de faire escale dans la baie de la Concepción au Chili. Après quelques semaines de repos, il repart pour l’Océanie, où il visite successivement les Marquises, Tahiti, les archipels Samoa et Viti, Vanikoro, les îles Salomon, les Carolines, la Nouvelle-Guinée et l’Australie. Le 1er janvier 1840, l’expédition quitte son mouillage d’Hobart Town (Tasmanie) pour une nouvelle tentative en Antarctique, qui s'avère fructueuse puisqu'ils découvrent une immense étendue, que Dumont d'Urville baptise Terre Adélie, en hommage à son épouse Adèle. Le 1er février, ayant déterminé le pôle magnétique, ils quittent définitivement cette région et mettent le cap sur l’Australie. Peu après, ils entament le chemin du retour vers la France non sans avoir reconnu les îles Auckland et avoir dressé la carte hydrographique des côtes orientales de la Nouvelle-Zélande. Les résultats scientifiques de l’expédition furent immenses. Outre la reconnaissance de 12 000 lieues de côtes, elle rapporta une multitude de renseignements minéralogiques, zoologiques et botaniques. À son retour, Dumont d’Urville est nommé contre-amiral en décembre 1840. En 1841, la Société de géographie lui décerne la grande médaille d’or. Un an plus tard, il périt avec sa femme et son fils dans la catastrophe ferroviaire de Meudon, l'une des premières grosses catastrophes ferroviaires françaises. Peintre de marines, aquarelliste et chirurgien de marine, Louis Le Breton fut l'un des artistes les plus prolifiques de son temps et le témoin de nombreuses scènes maritimes du XIXe siècle. En 1837, à l'âge de 19 ans, il embarque comme aide-chirurgien sur l'Astrolabe, lors du troisième et dernier voyage de Dumont d'Urville. Doué en dessin, il suit une formation de peintre pendant les premiers mois de l'expédition, auprès d'Ernest Goupil, le peintre officiel de l'expédition. Le 4 janvier 1840, Goupil succombe de dysenterie à Hobart Town (Tasmanie). Dumont d'Urville ayant apprécié les services et le talent de l'apprenti, le charge de prendre la place de dessinateur de l'expédition. C'est à Louis Le Breton que reviendra la tâche de rassembler l'iconographie du voyage qui sera publiée dans l'Atlas pittoresque du Voyage au Pôle Sud et dans l'Océanie, sur les corvettes l'Astrolabe et la Zélée, exécuté par ordre du Roi pendant les années 1837-1838-1839-1840 sous le commandement de M. J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le Breton a réalisé pour l'Atlas pittoresque une estampe similaire à celle que nous présentons, intitulée Les corvettes au mouillage de Nouka-Hiva (Baie Anna Maria), lithographiée en noir et blanc par Mayer. Il a également réalisé deux autres estampes sur le Pacifique, plus précisément sur Tahiti, lors de l'annexion française par le contre-amiral du Petit-Thouars en 1842. Très rare. Nous n'avons trouvé aucun exemplaire dans les collections publiques. Bel exemplaire aquarellé à l'époque. Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 1853, p. 513, 1308, 15.
Pen Duick 1988 15 6x0 6x22 4cm. 1988. Broché.
Très bon état
Vandewiele Agnès Dumont Jean-François
Reference : 500208757
(1993)
ISBN : 9782092204146
Laramée Ghislaine Dumont Jean-François
Reference : 500175867
(1992)
ISBN : 9782218045097
Dumont Virginie Brunelet Madeleine Baye Nathalie
Reference : 500156864
(1999)
ISBN : 9782742713332
Actes Sud junior 1999 47 pages in8. 1999. Broché. 47 pages.
Etat correct