État : Bon état - Année : 1981 - Format : in 8° - Pages : 413pp - Editeur : Criterion - Lieu d'édition : Limoges - Type : Broché-cousu - Divers : Couv un peu frottée aux franges. Tranches légèrement salies et brunies. Ouvrage bien solide et intérieur bien propre. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/jean-dumont/9804-l-eglise-au-risque-de-l-histoire?lrb
L'histoire remise à l'endroit et la vérité sur les légendes malveillantes colportées de siècle en siècle sur l'Eglise (l'Eglise et l'Empire Romain; les inquisitions; les guerres de religion....). ˮVoici qu'un historien fait table rase des à priori, des mots d'ordre, des légendes pour ne s'attarder qu'aux faits avérés et nous faire découvrir une histoire de l'Eglise plus objectiveˮ ˮLe grand mérite de cette Histoire de l'Eglise est de nous montrer que malgré leur omniprésence les légendes reposent sur un bluff historique d'une grande fragilité et qu'elles ne résistent pas à un contrôle historique sérieux même sur les sujets les plus délicats ou sur les faits prétendus indéfendables.ˮ Un livre indsipensable dans une bonne bibliothèque.
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DUMONT D'URVILLE (Jules-Sébastien-César) & LE BRETON (Louis).
Reference : LBW-8317
(1853)
Paris et New-York, V.e Turgis, [1853]. 286 x 398 mm.
Très rare vue dessinée et lithographiée par Louis Le Breton, finement coloriée à l'époque, et publiée par la veuve de Louis Auguste Turgis en 1853. La vue représente l'arrivée, le 26 août 1838, des corvettes de l'expédition de Dumont d'Urville, l'Astrolabe et la Zélée, dans la baie Anna Maria sur l'île de Noukahiva ou Nuku Hiva, dans l'archipel des Marquises, en Polynésie française. Cette baie, située au sud de l'île, porte aujourd'hui le nom de baie de Taiohae. La vue a été dessinée sur les lieux par Louis Le Breton, nommé peintre de l'expédition à la mort du peintre officiel Ernest Goupil, lors du troisième et dernier voyage de Dumont d'Urville au pôle Sud et en Océanie. L'estampe nous montre des naturels de Nuku Hiva à bord de pirogues, allant à la rencontre des deux corvettes, l'Astrolabe étant au premier plan. L'expédition quittera Nuku Hiva pour Tahiti le 30 août. En 1842, le capitaine de vaisseau du Petit-Thouars, promu contre-amiral et commandant des forces navales d'Océanie, prendra possession de l'archipel des Marquises au nom de la France. Entre 1852 et 1854, il fera de l'île de Nuku-Hiva, la plus grande de l'archipel, un lieu d'accueil pour les prisonniers condamnés à la déportation pour crimes politiques. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, puis exploré les parties peu connues de la Polynésie et recherché les traces du naufrage de La Pérouse, Dumont d’Urville soumet au roi Louis-Philippe le projet d’un troisième voyage vers les mers australes. Les deux corvettes l’Astrolabe et la Zélée appareillent de Toulon le 7 septembre 1837. Dumont d'Urville est aux commandes de l'Astrolabe, son second lieutenant de vaisseau Charles Hector Jacquinot, à celles de la Zélée. Après une longue escale à Rio, et après avoir exploré le détroit de Magellan, alors peu fréquenté par les Français, Dumont d'Urville met le cap vers l’Antarctique, puis se retrouve bloqué par la banquise. Après quelques jours, les équipages réussissent enfin à s'extirper du piège, mais le scorbut n'épargne pas les matelots, et Dumont d'Urville décide alors de faire escale dans la baie de la Concepción au Chili. Après quelques semaines de repos, il repart pour l’Océanie, où il visite successivement les Marquises, Tahiti, les archipels Samoa et Viti, Vanikoro, les îles Salomon, les Carolines, la Nouvelle-Guinée et l’Australie. Le 1er janvier 1840, l’expédition quitte son mouillage d’Hobart Town (Tasmanie) pour une nouvelle tentative en Antarctique, qui s'avère fructueuse puisqu'ils découvrent une immense étendue, que Dumont d'Urville baptise Terre Adélie, en hommage à son épouse Adèle. Le 1er février, ayant déterminé le pôle magnétique, ils quittent définitivement cette région et mettent le cap sur l’Australie. Peu après, ils entament le chemin du retour vers la France non sans avoir reconnu les îles Auckland et avoir dressé la carte hydrographique des côtes orientales de la Nouvelle-Zélande. Les résultats scientifiques de l’expédition furent immenses. Outre la reconnaissance de 12 000 lieues de côtes, elle rapporta une multitude de renseignements minéralogiques, zoologiques et botaniques. À son retour, Dumont d’Urville est nommé contre-amiral en décembre 1840. En 1841, la Société de géographie lui décerne la grande médaille d’or. Un an plus tard, il périt avec sa femme et son fils dans la catastrophe ferroviaire de Meudon, l'une des premières grosses catastrophes ferroviaires françaises. Peintre de marines, aquarelliste et chirurgien de marine, Louis Le Breton fut l'un des artistes les plus prolifiques de son temps et le témoin de nombreuses scènes maritimes du XIXe siècle. En 1837, à l'âge de 19 ans, il embarque comme aide-chirurgien sur l'Astrolabe, lors du troisième et dernier voyage de Dumont d'Urville. Doué en dessin, il suit une formation de peintre pendant les premiers mois de l'expédition, auprès d'Ernest Goupil, le peintre officiel de l'expédition. Le 4 janvier 1840, Goupil succombe de dysenterie à Hobart Town (Tasmanie). Dumont d'Urville ayant apprécié les services et le talent de l'apprenti, le charge de prendre la place de dessinateur de l'expédition. C'est à Louis Le Breton que reviendra la tâche de rassembler l'iconographie du voyage qui sera publiée dans l'Atlas pittoresque du Voyage au Pôle Sud et dans l'Océanie, sur les corvettes l'Astrolabe et la Zélée, exécuté par ordre du Roi pendant les années 1837-1838-1839-1840 sous le commandement de M. J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le Breton a réalisé pour l'Atlas pittoresque une estampe similaire à celle que nous présentons, intitulée Les corvettes au mouillage de Nouka-Hiva (Baie Anna Maria), lithographiée en noir et blanc par Mayer. Il a également réalisé deux autres estampes sur le Pacifique, plus précisément sur Tahiti, lors de l'annexion française par le contre-amiral du Petit-Thouars en 1842. Très rare. Nous n'avons trouvé aucun exemplaire dans les collections publiques. Bel exemplaire aquarellé à l'époque. Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 1853, p. 513, 1308, 15.
[SCULPTURE]. [STATUAIRE]. - Ensemble de 7 photographies originales d'OEUVRES DE GASTON DUMONT. - DUMONT, Gaston. -
Reference : 192
Ensemble de 7 photos originales (dont 1 en couleurs)contrecollées et légendées sur 2 feuillets (25 x 19 cm), avec tampon de l’artiste : GASTON DUMONT « STATUAIRE » 7 impasse Nansouty Paris XIVe. - Provenance : « book » de l’artiste sculpteur. .. - Très bon état (voir photos). -
Gaston DUMONT Statuaire. Sculptures, bas-relief, monument. - « L’Ondine, fontaine. Propriété Ville d’Orange. Architecture Dumont » ;« Portraits Mad. D., Propriété Ville de Paris » ;« « Ile de France », « Maquette » exécution, propriété de l’Etat (Architecte Danis) » ;« Mt Carignan (Ardennes), Le Gisant, soutenu par la Renommée et la Gloire, Archit. Renard » (dont 1 avec intéressant photomontage d’un couple de cinéma pour en indiquer les dimensions ; « « Quiétude », Propriété particulière, Archit. Thouvenin » (de style Art Déco). ---- Gaston-André (ou Gaston Aimé) Dumont (Beaumont en Argonne (Ardennes) 1899-1984).Certaines de ses œuvres se trouvent dans les collections publiques : « L’Ondine », achat par commande à l’artiste en 1938, collection CNAM, en dépôt à la Mairie d’Orange ; Le « Portrait de Mme D. » aurait été acquis le 29.10.1952 par le Musée d’Art moderne de Paris (inventorié comme « Tête de jeune fille »).La photo du gisant soutenu par la Renommée et la Gloire serait l’ébauche grandeur nature du monument aux morts de Carignan dans les Ardennes (architecte Robert Renard) qui a été reproduit en cartes postales. Très bon état (voir photos). - - -
[Paris, 1833]. 343 x 240 mm.
Portrait en buste de Jules-Sébastien-César Dumont d'Urville à bord de l'Astrolabe, lithographié par Lemercier d'après un dessin d'Antoine Maurin, issu du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire.
Revue de Géographie - Ludovic Drapeyron ed. - H. Monin sur Aristide Dumont - J. Carlus - Ad. F. de Fontpertuis - R. Cortambert - P. Jourdan
Reference : 80834
(1880)
Editions Ch. Delagrave et Institut Géographique de Paris , Revue de Géographie Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1880 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur verte grand In-8 1 vol. - 80 pages
1 grande carte dépliante du canal d'irrigation du Rhône, des roches de Condrieu à Béziers, dressée par l'ingénieur Aristide Dumont 1ere édition, 1880 "Contents, Chapitres : Paginé 81 à 160 (80 pages) - H. Monin : Le canal d'irrigation du Rhône de Condrieu à Béziers, projet d'Aristide Dumont (pages 81 à 97, avec la grande carte dépliante) - J. Carlus : Les Sérères de Sénégambie (fin) - Ad. F. de Fontpertuis : La ville de Hérat et son territoire (Afghanistan) - R. Cortambert : Le mouvement géographique - P. Jourdan : L'enseignement de la topographie, son utilité, son avenir - Correspondances et comptes rendus critiques des Sociétés de géographie et des publications récentes - Nouvelles géographiques - Aristide Dumont, né le 2 juin 1819 à Crest (Drôme) et mort le 25 juillet 1902 à Moulins (Allier), est un ingénieur des ponts et chaussées. Sorti de l'École polytechnique en 1836, Aristide Dumont devient ingénieur des ponts et chaussées en 1841. Il est fait chevalier de la Légion d'honneur en 1848. Il réalise l'usine des eaux de Saint-Clair à Caluire-et-Cuire en 1854. (source : Wikipedia) - Selon le site Internet Nemausensis : ""Aristide Dumont, ingénieur en chef des ponts et chaussées conçut la première idée d'un canal dérivé du Rhône aux roches de Condrieu. Ce canal présentait déjà dans la pensée de son auteur, une utilité considérable. Mais depuis cette époque il s'est produit dans l'état agricole, commercial et industriel de plusieurs départements du midi des événements si graves et des changements si malheureux que ce canal soit devenu, comme nous croyons l'avoir suffisamment démontré, absolument nécessaire. Le but du projet qui fut présenté par M. Dumont était l'établissement d'un canal destiné à combattre par la submersion les ravages du phylloxéra dans les départements de l'Isère, de la Drome, de Vaucluse, de l'Ardèche, du Gard et de l'Hérault, et à servir à des distributions d'eau continues dans les localités traversées. """ couverture propre, avec d'infimes pliures sans gravité, legeres petites déchirures sans manques sur le bord du plat inférieur, le papier dépasse au niveau du plat supérieur (défaut sans doute d'édition, sans gravité), l'intérieur est sinon propre, le papier est à peine jauni, bien complet de la grande carte dépliante sur le canal d'irrigation, elle est à peine jaunie sinon propre, et doit mesurer près de 75 cms de longs
[Paris, 1833]. 581 x 429 mm.
Belle carte figurant l'île du Nord de la Nouvelle-Zélande, avec la partie nord de l'île du Sud, dressée entre janvier et mars 1827, et montrant en pointillés la route suivie par la corvette l'Astrolabe. Elle est issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire. Petite restauration à la pliure centrale.
[Paris, 1833]. 430 x 585 mm.
Belle carte figurant l'archipel des Îles Fidji, dont l'île de Viti Levu, la plus grande de l'archipel. La carte a été dressée par l'enseigne de vaisseau Gressien, entre mai et juin 1827, et est issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. En carton, carte des Îles de la Loyauté situées à l'est de la Nouvelle-Calédonie, levée et dressée par l'enseigne de vaisseau Guibert en juin 1827, et carte de l'archipel des Tonga. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Pliure centrale restaurée, sinon bel exemplaire.
[Paris, 1833]. 250 x 350 mm.
Estampe dessinée par Louis-Auguste de Sainson et lithographiée par Victor Adam, issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
[Paris, 1833]. 302 x 460 mm.
Belle carte figurant la partie nord de l'île du Nord de la Nouvelle-Zélande, où se trouvent la Baie des Îles ou Bay of Islands, et la rivière Hokianga, ici appelée Shouki-Anga. Elle est issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire.
[Paris, 1833]. 220 x 335 mm.
Estampe dessinée par Louis-Auguste de Sainson et lithographiée par Antoine Maurin, issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
[Paris, 1833]. 202 x 380 mm.
Estampe dessinée par Louis-Auguste de Sainson et lithographiée par Villain, issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
[Paris, 1833]. 427 x 580 mm.
Belle carte figurant l'île de Tongatapu, dans l'archipel des Tonga, dressée entre avril et mai 1827. Elle est issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire. Très légères rousseurs.
[Paris, 1833]. 250 x 330 mm.
Estampe dessinée par Louis-Auguste de Sainson et lithographiée par Victor Adam, issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
JEAN-PIERRE GEAY MARCEL DUMONT à la croisée des regards Sauveterre-du-Gard, Éditions La Balance, novembre 1987 225x145 mm - [48 pages] en feuilles - couverture imprimée à rabats Magnifique livre d'artiste comprenant un ensemble hétéroclite de textes (essais, poèmes) de Jean-Pierre Geay sur les artistes Zao Wou Ki, Jean Bazaine, Joan Miro, Hans Arp, Camille Bryen, Marcel Dumont, Yves Mairot, Émile Compard, Roger-Calixte Poupard, Robert Droulers, Jean le Moal, André Masson, Pierre-André Benoit (PAB), Jacques Hérold, Jacques Le Roux, Patrice Pouperon, Nathalie Dasseville, Henri Goetz ; et, ce qui est unique, une gravure de Marcel Dumont en regard du texte qui lui est consacré. Tirage : 150 exemplaires comprenant 100 exemplaires sur Arches Ingres MBM et 50 exemplaires de tête sur Vélin d'Arches avec une gravure de Marianne Dubois (absente des exemplaires sur Arches Ingres MBM). Exemplaire 82/100 unique enrichi d'une gravure de Marcel Dumont en regard du texte qui lui est consacré Superbe exemplaire de ce livre d'artiste tiré à petit nombre. Aucun défaut à signaler. Envoi soigné et sécurisé.
Chez l'auteur, Paris 1765, In-folio (25x34cm), relié.
Edition originale de ce recueil de 75 planches dont 4 titres gravés : Manière d'accoupler les colonnes et pilastres de l'ordre dorique (un titre et 11 planches - le catalogue in fine annonce 6 planches) ; Parallele de grands entablements et de charpentes à l'italienne (un titre et 8 planches - le catalogue in fine en annonce 9) ; Suite de croisée des plus beaux palais de Rome (un titre en 8 planches) ; Les Eglises des stations de Rome (un titre et 10 planches) ; Suite de ruines d'architecture (33 planches, le catalogue en annonce 24). Les différents exemplaires présents dans les collections publiques ou sur le marché sont tous différents et ne contiennent pas les mêmes parties, et parfois pas le même nombre de planches par parties. Dumont proposait à son domicile plusieurs recueils dont l'ensemble est proposé à la fin du volume, soit 230 planches contenues dans 14 collections. Les amateurs choisissaient donc certains titres et en écartaient d'autres et constituaient ainsi leur propre volume. En outre, certains titre de ce volume ne sont pas présents dans le catalogue. La suite de ruine d'architecture contient dans cet exemplaire 33 planches alors que la table en annonce 24. En fin de compte cette partie contient aussi Vases et fontaines de feu M. Challes avec 3 planches, cette caractéristique est partagée avec l'exemplaire de la bibliothèque nationale. Les planches en sus proviennent d'autres titres du catalogue, et si on considère plusieurs exemplaires différents on constate que les planches étaient vendus avec un certain désordre. Cet exemplaire contient une partie avec un frontispice et 10 planches dont le titre n'est pas présent dans le catalogue et dont l'auteur n'est plus Dumont lui-même mais Israel Henriet, intitulé : Les Eglises des stations de Rome. On ne peut savoir si ce recueil était vendu par Dumont ou si l'amateur le possédait déjà en l'intégrant aux titres de Dumont. Reliure en pleine basane brune d'époque. Dos à nerfs orné. Pièce de titre en maroquin rouge. Manques aux mors en tête. Mors inférieur ouvert en queue. Frottements. Estafilades sur les plats. Une large tache sombre sur chacun des plats. 2 coins émoussés. Timbre sec sur les 2 premières pages de titre : G. Lageat. Architecte à Lannion.Certains recueils, notamment les premiers ont les planches au format paysage, les autres au format classique. L'ensemble des planches est constitué d'eaux-fortes et de burins sur cuivre, gravées par Dumont, Charpentier et Germain, les planches des Eglises des stations de Rome par Israel Henriet. De nombreuses planches portent la date de 1765. Les eaux-forte de la partie Ruines d'architecture sont particulièrement belle et très proches dans l'esprit des planches de Piranese. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Mélanges Fernand Dumont – LANGLOIS (Simon) et Yves MARTIN (dir.).
Reference : 109441
(1995)
Les Presses de l'Université Laval, Québec, 1995, gr. in-8°, 556 pp, broché, couv. illustrée, bon état. 39 contributions érudites
Fernand Dumont est né à Montmorency le 24 juin 1927. Après ses études secondaires au Séminaire de Québec, il a obtenu la maîtrise en sociologie de la Faculté des sciences sociales de l'Université Laval. Durant les deux années suivantes, il a poursuivi à la Sorbonne, à Paris, des études de psychologie et a reçu le titre d'élève titulaire de l'École pratique des Hautes Etudes. Il est docteur en sociologie de la Sorbonne et docteur en théologie de l'Université Laval. Professeur au Département de sociologie de l'Université Laval de 1955 à 1994, Fernand Dumont a axé son enseignement sur la théorie sociologique générale, la théorie de la culture, la sociologie de la connaissance et l'épistémologie des sciences humaines. Il a été cofondateur, avec Jean-Charles Falardeau et Yves Martin, de la revue Recherches sociographiques et directeur-fondateur de l'Institut supérieur des sciences humaines. Il a par ailleurs été directeur d'études associé à l'École des Hautes Études en Sciences sociales de Paris en 1965 et professeur invité à la Faculté de philosophie de l'Université de Montréal, au Département d'histoire de l'Université du Québec à Montréal, à la Faculté de théologie de l'Université d'Ottawa et à l'Université du Québec à Trois-Rivières. Fernand Dumont a été le premier président de l'Institut québécois de recherche sur la culture et il en a assumé la direction de 1979 à 1991. "L'horizon de la culture" rend hommage au professeur, au savant, à l'écrivain, à l'homme, au moment où Fernand Dumont vient à peine de mettre un terme à sa carrière active d'enseignant à l'Université Laval, consacrant désormais tout son temps à la réalisation de nouveaux projets d'écriture.
Lyon : Deswarte, 1973 - in-8 broché oblong sous couverture à rabats illustrée en noir, 45 pages illustrées dans et hors texte en noir de dessins de Marcel Dumont - Edition originale tirée à 860 exemplaires : 1/630 exemplaire numérotés sur Ingres - Joint une lettre manuscrite et signée, pleine page de l'auteur - très bon état -
L'auteur, poète et essayiste, fait la connaissance du peintre Marcel Dumont en 1971. En 1974, une importante exposition de l'oeuvre de Dumont est présentée au Centre Culturel de Privas. C'est à cette occasion que Jean-Pierre Geay écrit ce livre illustré de dessins à la plume par le peintre.
Lyon : Deswarte, 1973 - in-8 broché oblong sous couverture à rabats illustrée en noir, 45 pages illustrées dans et hors texte en noir de dessins de Marcel Dumont - Edition originale tirée à 860 exemplaires : 1/630 exemplaires numérotés sur Ingres - Bon état.
L'auteur, poète et essayiste, fait la connaissance du peintre Marcel Dumont en 1971. En 1974, une importante exposition de l'oeuvre de Dumont est présentée au Centre Culturel de Privas. C'est à cette occasion que Jean-Pierre Geay écrit ce livre illustré de dessins à la plume par le peintre.
Les "Voyages pittoresques autour du Monde" sont une série d'ouvrages de voyage publiés au 19e siècle. L'un des auteurs les plus célèbres de cette série est Jules Dumont d'Urville, un explorateur français. Jules Dumont d'Urville a commandé plusieurs expéditions d'exploration en mer au cours de sa carrière, dont certaines ont été documentées dans les "Voyages pittoresques autour du Monde". L'une de ses expéditions les plus connues est celle menée à bord du navire La Astrolabe, qui a exploré les régions polaires et l'océan Pacifique entre 1826 et 1829. Les récits de voyage de Dumont d'Urville étaient populaires à l'époque car ils offraient aux lecteurs un aperçu détaillé des terres inconnues, des cultures étrangères et de la faune et la flore exotiques. Les ouvrages étaient souvent richement illustrés de gravures et de cartes, ce qui ajoutait à leur attrait visuel. Les "Voyages pittoresques autour du Monde" de Dumont d'Urville ont contribué à élargir les connaissances géographiques et scientifiques de l'époque, ainsi qu'à susciter l'intérêt du public pour les découvertes et les explorations. Ces récits de voyage continuent d'être étudiés et appréciés aujourd'hui, tant pour leur valeur historique que pour leur description des régions et des cultures lointaines. Résumé général des voyages de découvertes de Magellan, Tasman, Dampier, Anson, Byron, Wallis, Carteret, Bougainville, Cook, Lapérouse, G.Bligh, Vancouver, d' Entrecasteaux, Wilson, Baudin, Flinders, Krusenstern, Porter, Kotzebue, Freycinet, Bellinghausen, Basil Hall, Duperrey, Paulding, Beechey, Dumont d'Urville, Lutke, Dillon, Laplace, D. Morbell, etc. Les gravures en taille-douce sur acier, d'après les dessins de M. de Sainson, dessinateur du Voyage de l'Astrolabe. Portraits en frontispices en noir et blanc. Tome I : 2 ff., VIII-576 pp. avec frontispice et 140 planches hors texte et 3 cartes dépliantes ; Tome II : 2 ff., 584 pp. avec frontispice double et 136 planches hors texte et 3 cartes dépliantes exemplaires bien complets des 276 planches hors texte, de 2 frontispices (dont le double) et des 6 cartes dépliantes, texte dur deux colonnes. complet en deux vols in-quarto, 285x190, reliés demi basane époque, mors fendus en partie, accrocs, reliures à restaurer, les corps des ouvrages étant bien reliés, qq rehaut de cahiers. Paris chez Lentré, 1834/1835. Edition originale
1820 Paris, Pillet Ainé, 1820, in 8 de (4)-157-(3) pp., 1 portrait en pied de Dumont en esclave, 1 portrait de Dumont agé en médaillon, les 2 dessinés et gravés par Ambroise Tardieu, fac-similé d'écriture, exemplaire portant la signature manuscrite de Quesné, rel. d'ép. demi-veau fauve, dos orné de fers dorés, pièce de titre rouge, bon ex.
3e édition revue, corrigée et augmentée.
[Besançon, Besnans Haute-Saône] Arrêt de la chambre des vacations du parlement de Besançon qui condamne Guillaume Goguet aux galères perpétuelles ; Ignace Pepot au fouet, à la marque, & à neuf ans de bannissement ; Etienne Calame à neuf ans de galères ; Etiennette & Françoise Championnet à être enfermées pendant trois ans en la Maison de force, dite du Bon Pasteur, de Besançon ; renvoye deux inconnus à un plus amplement informé indéfini ; Simonne Bayet, femme d'Etienne Calame, à neuf ans ; Vincent Menetrey à cinq ans, & Nicolas Jannin à trois ans de bannissement ; Jeanne-Claude Championnet, veuve Dumont, à être pendue & étranglée ; le nommé Maurice, Hibernois, à trois ans de galères, &c pour vols & autres crimes. Du 7 octobre 1767.
Reference : 015625
[Besançon, Besnans Haute-Saône] Arrêt de la chambre des vacations du parlement de Besançon qui condamne Guillaume Goguet aux galères perpétuelles ; Ignace Pepot au fouet, à la marque, & à neuf ans de bannissement ; Etienne Calame à neuf ans de galères ; Etiennette & Françoise Championnet à être enfermées pendant trois ans en la Maison de force, dite du Bon Pasteur, de Besançon ; renvoye deux inconnus à un plus amplement informé indéfini ; Simonne Bayet, femme d'Etienne Calame, à neuf ans ; Vincent Menetrey à cinq ans, & Nicolas Jannin à trois ans de bannissement ; Jeanne-Claude Championnet, veuve Dumont, à être pendue & étranglée ; le nommé Maurice, Hibernois, à trois ans de galères, &c pour vols & autres crimes. Du 7 octobre 1767. [Besançon], Claude-Joseph Daclin, 1767. In-folio, 8p. Condamnation pour une étonnante affaire de moeurs à Besnans [Bennans dans le document]: Guillaume Goguet, dit le grand Guillaume, et Maurice sont deux contrebandiers et Etiennette, Françoise, Jeanne-Claude (la veuve Dumont) et Jeanne Championnet sont quatre soeurs. Le premier avait mis enceinte Françoise puis Jeanne-Claude et comptait faire pareil avec les deux autres. Le second avait payé les trois soeurs de la veuve pour coucher avec elles et avait été surpris au lit avec deux d'entr'elles. Jeanne-Claude, mis enceinte, accoucha d'une petite fille qu'elle assassina à la naissance et jeta dans la rivière Ognon. Elle sera donc pendue en place de Besnans. Beau document. [90]
Dumont ou au Chevalier de Holleber d'Ascow (attribué à).Amsterdam, sans mention d'éditeur, 1774, relié pleine basane, dos lisse, avec pièce de titre et tomaison noirs, 318 pp., 13 x 20 cm, E.O. Illustré de 35 armoiries gravées dans le texte et de nombr. culs-de-lampe. Dumont ou au Chevalier de Holleber d'Ascow (attribué à), Recueil généalogique de familles origiaires des Pays-Bas ou y établiesRotterdam, s.n. , 1775, relié demi-basane à patits coins, dos lisse, avec pièces de titre et tomaison noirs, 412 pp., 13 x 20 cm, E.O. Manques aux coiffes (vol. 1) avec réparations à l'adhésif. Ex-libris manuscrit caviardé sur la page de titre (vol.2). Intérieur en bon état. Rares recueils illustrés de beaux blasons gravés dans le texte, attribués par Barbier et Saffroy à Dumont, officiel des États de Brabant, avis partagé par de Ghellinck mais qui l'attribue aussi au chevalier de Holleber d'Ascow.
Paris, L. Tenré et Henri Dupuy, 1834. 2 volumes in-4 de [4]-VIII-576 et [4]-584 pages, demi-basane verte, dos lisses ornés de filets dorés, traces d'étiquette dans la partie supérieure des dos, petite fente à un mors, coiffes, coupes et coins frottés, premier cahier du tome second légèrement déboîté, avec une petite mouillure.
Illustré au tome premier d'un frontispice, de 140 planches et 3 cartes (des îles de Tahiti, d'Hawaï et la carte générale des Voyages pittoresques), et pour le second tome, un frontispice, 136 planches et 3 cartes (des îles Tonga, de la Nouvelle-Zélande et une carte générale de l'Océanie). Les 276 planches ont été dessinées par Louis de Sainson, dessinateur du voyage de l'Astrolabe, commandé par Dumont d'Urville en 1826-1829. Fabuleux travail entrepris par Dumont d'Urville, qui réunit ici tous les plus grands récits de voyages et d'explorations, en les débarrassant de leurs indications nautiques et autres relevés météorologiques (fastidieux à lire pour le commun des mortels), en évitant les redites (les navigateurs se trouvent souvent dans les pas de leur devanciers). Sous la forme d'une grande circum-navigation, le récit, à la première personne, passe par toutes les côtes et les îles de nos océans et de nos mers, avec tout de même une nette prédilection pour l'océan Pacifique et l'Océanie. Illustré XIXe
[Jannel J. ] - - Bénech Ferdinand Louis,Dumont - Bénech Ferdinand Louis,Dumont
Reference : 11031
(1930)
- Dumont Ernest,Bénech Ferdinand Louis - Bénech Ferdinand Louis,Dumont Ernest
Reference : 8510
(1930)
Dumont 1930
Etat moyen Petit format