[Paris, 1833]. 343 x 240 mm.
Portrait en buste de Jules-Sébastien-César Dumont d'Urville à bord de l'Astrolabe, lithographié par Lemercier d'après un dessin d'Antoine Maurin, issu du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire.
DUMONT D'URVILLE (Jules-Sébastien-César) & LE BRETON (Louis).
Reference : LBW-8317
(1853)
Paris et New-York, V.e Turgis, [1853]. 286 x 398 mm.
Très rare vue dessinée et lithographiée par Louis Le Breton, finement coloriée à l'époque, et publiée par la veuve de Louis Auguste Turgis en 1853. La vue représente l'arrivée, le 26 août 1838, des corvettes de l'expédition de Dumont d'Urville, l'Astrolabe et la Zélée, dans la baie Anna Maria sur l'île de Noukahiva ou Nuku Hiva, dans l'archipel des Marquises, en Polynésie française. Cette baie, située au sud de l'île, porte aujourd'hui le nom de baie de Taiohae. La vue a été dessinée sur les lieux par Louis Le Breton, nommé peintre de l'expédition à la mort du peintre officiel Ernest Goupil, lors du troisième et dernier voyage de Dumont d'Urville au pôle Sud et en Océanie. L'estampe nous montre des naturels de Nuku Hiva à bord de pirogues, allant à la rencontre des deux corvettes, l'Astrolabe étant au premier plan. L'expédition quittera Nuku Hiva pour Tahiti le 30 août. En 1842, le capitaine de vaisseau du Petit-Thouars, promu contre-amiral et commandant des forces navales d'Océanie, prendra possession de l'archipel des Marquises au nom de la France. Entre 1852 et 1854, il fera de l'île de Nuku-Hiva, la plus grande de l'archipel, un lieu d'accueil pour les prisonniers condamnés à la déportation pour crimes politiques. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, puis exploré les parties peu connues de la Polynésie et recherché les traces du naufrage de La Pérouse, Dumont d’Urville soumet au roi Louis-Philippe le projet d’un troisième voyage vers les mers australes. Les deux corvettes l’Astrolabe et la Zélée appareillent de Toulon le 7 septembre 1837. Dumont d'Urville est aux commandes de l'Astrolabe, son second lieutenant de vaisseau Charles Hector Jacquinot, à celles de la Zélée. Après une longue escale à Rio, et après avoir exploré le détroit de Magellan, alors peu fréquenté par les Français, Dumont d'Urville met le cap vers l’Antarctique, puis se retrouve bloqué par la banquise. Après quelques jours, les équipages réussissent enfin à s'extirper du piège, mais le scorbut n'épargne pas les matelots, et Dumont d'Urville décide alors de faire escale dans la baie de la Concepción au Chili. Après quelques semaines de repos, il repart pour l’Océanie, où il visite successivement les Marquises, Tahiti, les archipels Samoa et Viti, Vanikoro, les îles Salomon, les Carolines, la Nouvelle-Guinée et l’Australie. Le 1er janvier 1840, l’expédition quitte son mouillage d’Hobart Town (Tasmanie) pour une nouvelle tentative en Antarctique, qui s'avère fructueuse puisqu'ils découvrent une immense étendue, que Dumont d'Urville baptise Terre Adélie, en hommage à son épouse Adèle. Le 1er février, ayant déterminé le pôle magnétique, ils quittent définitivement cette région et mettent le cap sur l’Australie. Peu après, ils entament le chemin du retour vers la France non sans avoir reconnu les îles Auckland et avoir dressé la carte hydrographique des côtes orientales de la Nouvelle-Zélande. Les résultats scientifiques de l’expédition furent immenses. Outre la reconnaissance de 12 000 lieues de côtes, elle rapporta une multitude de renseignements minéralogiques, zoologiques et botaniques. À son retour, Dumont d’Urville est nommé contre-amiral en décembre 1840. En 1841, la Société de géographie lui décerne la grande médaille d’or. Un an plus tard, il périt avec sa femme et son fils dans la catastrophe ferroviaire de Meudon, l'une des premières grosses catastrophes ferroviaires françaises. Peintre de marines, aquarelliste et chirurgien de marine, Louis Le Breton fut l'un des artistes les plus prolifiques de son temps et le témoin de nombreuses scènes maritimes du XIXe siècle. En 1837, à l'âge de 19 ans, il embarque comme aide-chirurgien sur l'Astrolabe, lors du troisième et dernier voyage de Dumont d'Urville. Doué en dessin, il suit une formation de peintre pendant les premiers mois de l'expédition, auprès d'Ernest Goupil, le peintre officiel de l'expédition. Le 4 janvier 1840, Goupil succombe de dysenterie à Hobart Town (Tasmanie). Dumont d'Urville ayant apprécié les services et le talent de l'apprenti, le charge de prendre la place de dessinateur de l'expédition. C'est à Louis Le Breton que reviendra la tâche de rassembler l'iconographie du voyage qui sera publiée dans l'Atlas pittoresque du Voyage au Pôle Sud et dans l'Océanie, sur les corvettes l'Astrolabe et la Zélée, exécuté par ordre du Roi pendant les années 1837-1838-1839-1840 sous le commandement de M. J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le Breton a réalisé pour l'Atlas pittoresque une estampe similaire à celle que nous présentons, intitulée Les corvettes au mouillage de Nouka-Hiva (Baie Anna Maria), lithographiée en noir et blanc par Mayer. Il a également réalisé deux autres estampes sur le Pacifique, plus précisément sur Tahiti, lors de l'annexion française par le contre-amiral du Petit-Thouars en 1842. Très rare. Nous n'avons trouvé aucun exemplaire dans les collections publiques. Bel exemplaire aquarellé à l'époque. Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 1853, p. 513, 1308, 15.
[Paris, 1833]. 581 x 429 mm.
Belle carte figurant l'île du Nord de la Nouvelle-Zélande, avec la partie nord de l'île du Sud, dressée entre janvier et mars 1827, et montrant en pointillés la route suivie par la corvette l'Astrolabe. Elle est issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire. Petite restauration à la pliure centrale.
[Paris, 1833]. 430 x 585 mm.
Belle carte figurant l'archipel des Îles Fidji, dont l'île de Viti Levu, la plus grande de l'archipel. La carte a été dressée par l'enseigne de vaisseau Gressien, entre mai et juin 1827, et est issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. En carton, carte des Îles de la Loyauté situées à l'est de la Nouvelle-Calédonie, levée et dressée par l'enseigne de vaisseau Guibert en juin 1827, et carte de l'archipel des Tonga. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Pliure centrale restaurée, sinon bel exemplaire.
DUMONT d'URVILLE (Jules Sébastien César) - ORBIGNY (Alcide d') - EYRIES (MM.) - JACOBS (A.).
Reference : 22489
Paris, Furne, 1859. Quatre volumes in-8, 550 et 542 pages, 612 et 692 pages. L'illustration se compose d'un frontispice, de 44 planches hors texte et deux cartes dépliantes en couleurs (Itinéraire du voyage et Tahiti) pour le Voyage de Dumont d'Urville. Tome III: 612 pages avec 27 hors-texte et 2 cartes d'Amériques. Tome IV: 692 pages avec 25 hors-texte et2 cartes (Asie et Afrique). Rares rousseurs. Percaline chagrinée rouge, dos lisse (passé). Mors fendus à un tome.
Les deux premiers volumes contiennent le voyage complet autour du monde de Dumont d'Urville. Les deux derniers traitent du Voyage dans les deux Amérique d'Alcide d'Orbigny et du Voyage en Asie et en Afrique d'Eyriès et A. Jacobs. Jules-Sébastien Dumont d'Urville (1790-1842), assisté de Charles-Hector Jacquinot, part de Toulon en août 1837, à la tête d'une escadre composée de "L'Astrolabe" et de "La Zélée" pour réaliser en 2 ans le tour du monde à but d'observation ethnographique. Après s'être frayé un passage à travers les glaces, il accoste sur l'île de Weddell puis repart vers l'Australie et s'aventure alors dans les eaux Antarctiques. Il découvre en 1840 la terre Adélie, baptisée du nom de son épouse. Il a déjà accompli auparavant un tour du monde avec Duperrey de 1822 à 1825 et de 1826 à 1829 il est parti chercher et retrouver dans le Pacifique les restes de La Pérouse, disparu 40 ans plus tôt.
[Paris, 1833]. 250 x 350 mm.
Estampe dessinée par Louis-Auguste de Sainson et lithographiée par Victor Adam, issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
[Paris, 1833]. 302 x 460 mm.
Belle carte figurant la partie nord de l'île du Nord de la Nouvelle-Zélande, où se trouvent la Baie des Îles ou Bay of Islands, et la rivière Hokianga, ici appelée Shouki-Anga. Elle est issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire.
[Paris, 1833]. 220 x 335 mm.
Estampe dessinée par Louis-Auguste de Sainson et lithographiée par Antoine Maurin, issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
[Paris, 1833]. 202 x 380 mm.
Estampe dessinée par Louis-Auguste de Sainson et lithographiée par Villain, issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
[Paris, 1833]. 427 x 580 mm.
Belle carte figurant l'île de Tongatapu, dans l'archipel des Tonga, dressée entre avril et mai 1827. Elle est issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire. Très légères rousseurs.
[Paris, 1833]. 250 x 330 mm.
Estampe dessinée par Louis-Auguste de Sainson et lithographiée par Victor Adam, issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
Bon exemplaire de ce très important voyage dans le Pacifique, conservé dans ses reliures uniformes de l’époque. Paris, J. Tastu, 1830-1834. 11 volumes grand in-8 et 3 parties en 1 volume in-4 pour le texte, 5 parties en 4 volumes in-folio pour les Atlas; des rousseurs à l'atlas historique. Demi-basane brune, dos lisses ornés, pièces de titre et de tomaison de maroquin vert. Reliure de l'époque. Dimensions des volumes de texte : 230 x 143 mm / 293 x 226 mm. Dimensions des atlas : 550 x 350 mm.
Edition originale du plus important voyage français entrepris dans le Pacifique au XIXe siècle. Bagnall, 1687 (partie); Davidson, pp. 115-6 (partie); Ferguson, 1341 (partie); Hill 2, 504 (partie); Hocken, p. 47 (partie); Sabin, 21210 (partie) ; Chadenat 60 ; Hill, p.88. Il s'agit de la première expédition de Dumont d'Urville, qui avait pour objet de préciser et de compléter les informations sur les îles du Pacifique déjà recueillies par Duperrey. Après avoir passé le Cap de Bonne Espérance, l'Astrolabe fit relâche à Port Jackson, avant de se diriger vers la Nouvelle Zélande et en particulier le détroit de Cook. Les navigateurs explorèrent ensuite les îles Tonga, une partie de l'archipel des Fiji, la Nouvelle Angleterre, la Nouvelle Guinée, Amboina, la Tasmanie, Vanikoro et Java. Grâce aux importantes collections et observations rapportées, l'expédition de Dumont d'Urville fut un grand succès scientifique. Les textes sont illustrés de 9 planches pour l'Histoire du voyage, 8 planches pour la Zoologie, 2 tableaux dépliants pour les Observations nautiques; les atlas contiennent un portrait, 8 cartes dont une en couleurs, et 239 planches (dont 57 coloriées) pour l'Histoire du voyage, 204 planches de zoologie, 80 planches de botanique. 1° Historique – 10 tomes en 5 vol. avec gravures, et 2 Atlas de 247 belles planches, noires et coloriées : vues, paysages, portraits, types d’indigènes, scènes de mœurs, etc. 2° Zoologie – 6 parties en 4 vol. in-8 avec 8 pl. et Atlas de 192 pl. coloriées. 3° Botanique – 2 tomes en 1 vol. et Atlas de 80 pl. noires et coloriées. 4° Entomologie – 2 tomes en 1 vol. et Atlas de 12 pl. coloriées. « The scientific voyage of the Astrolabe was arguably the most important and the most influential nineteenth-century French voyage to the Pacific. In addition to its comprehensive hydrographical work, especially in New Zealand, the Astrolabe scientists made extensive scientific observations and vast collections of natural history. The outstanding results of the expedition were published from 1830 to 1835. The atlases contain what are generally acknowledged to be some of the finest plates ever produced of the natural history, topography, and anthropology of the Australasian and South-west Pacific. Most of the fine topographical views are after Louis Auguste de Sainson. The official account of the voyage is rarely found complete ». Bon exemplaire de ce très important voyage dans le Pacifique, conservé dans ses reliures uniformes de l’époque. Il manque à cette collection les 2 tomes de texte de Philologie par Dumont d'Urville, et l'atlas d'hydrographie, d'un format supérieur aux autres atlas et qui manque souvent.
DUMONT D'URVILLE (Jules-Sébastien-César) & RAFFET (Auguste).
Reference : LBW061b5
(1833)
[Paris, 1833]. 263 x 348 mm.
Planche lithographiée par Raffet d'après un dessin de de Sainson, issue du voyage effectué par Dumont d'Urville sur la corvette l'Astrolabe entre 1826 et 1829. Le voyage de Dumont d'Urville fut la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Elle fut de retour à Marseille le 24 février 1829. Timbre sec de l'éditeur. Petites rousseurs dans les marges.
DUMONT D'URVILLE (Jules-Sébastien-César) & SAINSON (Louis-Auguste de).
Reference : LBW061b7
(1833)
[Paris, 1833]. 243 x 342 mm.
Planche lithographiée par Saint-Aulaire d'après un dessin de de Sainson, issue du voyage effectué par Dumont d'Urville sur la corvette l'Astrolabe entre 1826 et 1829. Le voyage de Dumont d'Urville fut la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Elle fut de retour à Marseille le 24 février 1829. Timbre sec de l'éditeur. Petites rousseurs.
DUMONT D'URVILLE (Jules-Sébastien-César) & SAINSON (Louis-Auguste de).
Reference : LBW061b1
(1833)
[Paris, 1833]. 257 x 362 mm.
Planche lithographiée par Saint-Aulaire d'après un dessin de de Sainson, issue du voyage effectué par Dumont d'Urville sur la corvette l'Astrolabe entre 1826 et 1829. Le voyage de Dumont d'Urville fut la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Elle fut de retour à Marseille le 24 février 1829. Petites rousseurs marginales.
DUMONT D'URVILLE (Jules-Sébastien-César) & SAINSON (Louis-Auguste de).
Reference : LBW061b0
(1833)
[Paris, 1833]. 370 x 233 mm.
Planche figurant divers bijoux et armes utilisés par les naturels de Nouvelle-Hollande (Australie) et de Nouvelle-Zélande. Gravée par Coupé d'après un dessin de de Sainson, avec légendes. Issue du voyage effectué par Dumont d'Urville sur la corvette l'Astrolabe entre 1826 et 1829, la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Elle fut de retour à Marseille le 24 février 1829. Exemplaire finement aquarellé à l'époque. Petites rousseurs marginales.
DUMONT D'URVILLE (Jules-Sébastien-César) & SAINSON (Louis-Auguste de).
Reference : LBW061a5
(1833)
[Paris, 1833]. 383 x 230 mm.
Planche figurant des portraits de naturels de l'île de Tikopia, lithographiée par Cornu d'après un dessin de de Sainson. Issue du voyage effectué par Dumont d'Urville sur la corvette l'Astrolabe entre 1826 et 1829, la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Elle fut de retour à Marseille le 24 février 1829. Timbre sec de l'éditeur. Bon exemplaire.
DUMONT D'URVILLE (Jules-Sébastien-César) & GOUPIL (Ernest).
Reference : LBW-1312
(1841)
[Paris, 1841-1854]. 260 x 391 mm.
Vue de l'entrée du canal de Semarang, sur la côte occidentale de l'île de Java, dessinée par Ernest Goupil et lithographiée par Blanchard, issue du Voyage au Pôle Sud et dans l'Océanie. Au cours de cette troisième et dernière expédition, réalisée entre 1837 et 1840, et dont Ernest Goupil était le dessinateur officiel, Dumont d'Urville visita successivement les Marquises, Tahiti, les archipels Hamoa et Viti, Vanikoro, les îles Salomon, les Carolines, la Nouvelle-Guinée et l’Australie. Cachet froid de l'éditeur. Bel exemplaire.
DUMONT D'URVILLE (Jules-Sébastien-César);SAINSON (Louis-Auguste de);
Reference : LBW061aa
(1833)
Paris, [1833]. 352 x 262 mm.
Planche figurant des naturels de Nouvelle-Zélande : vieille femme et esclave de Wangari, Pako, chef du cap Reinga, tatouage de la cuisse de Pako, naturel de Reinga. Lithographiée par Maurin d'après un dessin de de Sainson. Issue du voyage effectué par Dumont d'Urville sur la corvette l'Astrolabe entre 1826 et 1829, la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Elle fut de retour à Marseille le 24 février 1829. Timbre sec de l'éditeur. Quelques rousseurs.
DUMONT D'URVILLE (Jules-Sébastien-César) & SAINSON (Louis-Auguste de).
Reference : LBW061ab
(1833)
Paris, [1833]. 332 x 275 mm.
Planche figurant 5 naturels de Nouvelle-Zélande, lithographiée par Maurin d'après un dessin de de Sainson. Issue du voyage effectué par Dumont d'Urville sur la corvette l'Astrolabe entre 1826 et 1829, la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Elle fut de retour à Marseille le 24 février 1829. Petites rousseurs.
DUMONT D'URVILLE (Jules-Sébastien-César) & LE BRETON (Louis).
Reference : LBW-1309
(1841)
Paris, [1841-1854]. 282 x 426 mm.
Belle estampe figurant la baie de Sarah's Bosom, située dans l'archipel néo-zélandais des Iles Auckland, au sud de l'île du Sud. Dessinée par Louis Le Breton et lithographiée par Sabatier, elle est issue du Voyage au Pôle Sud et dans l'Océanie. Au cours de cette troisième et dernière expédition réalisée entre 1837 et 1840, Dumont d'Urville visita successivement les Marquises, Tahiti, les archipels Hamoa et Viti, Vanikoro, les îles Salomon, les Carolines, la Nouvelle-Guinée et l’Australie. Cachet froid de l'éditeur. Petits trous dans les marges gauche et supérieure.
DUMONT D'URVILLE (Jules-Sébastien-César) & LE BRETON (Louis).
Reference : LBW-1308
(1841)
Paris, [1841-1854]. 290 x 400 mm.
Belle estampe figurant la baie de Matavai, au nord de Tahiti, dessinée par Louis Le Breton et lithographiée par Blanchard, issue du Voyage au Pôle Sud et dans l'Océanie. Au cours de cette troisième et dernière expédition réalisée entre 1837 et 1840, Dumont d'Urville visita successivement les Marquises, Tahiti, les archipels Hamoa et Viti, Vanikoro, les îles Salomon, les Carolines, la Nouvelle-Guinée et l’Australie. Cachet froid de l'éditeur. Deux petites déchirures marginales restaurées.
DUMONT D'URVILLE (Jules-Sébastien-César);LE BRETON (Louis);
Reference : LBW-1311
(1841)
Paris 1841-1854 262 x 358 mm.
Belle vue des rives du canal de Semarang, sur la côte occidentale de l'île de Java, dessinée par Louis Le Breton et lithographiée par Blanchard, issue du Voyage au Pôle Sud et dans l'Océanie. Au cours de cette troisième et dernière expédition, réalisée entre 1837 et 1840, Dumont d'Urville visita successivement les Marquises, Tahiti, les archipels Hamoa et Viti, Vanikoro, les îles Salomon, les Carolines, la Nouvelle-Guinée et l’Australie. Cachet froid de l'éditeur. Bel exemplaire.
Paris, J. Tastu, 1832, In-folio, demi-chagrin noir, dos orné de filets dorés à froid Atlas de botanique seul comprenant 76/80 pl. sur chine collé, liste des planches in fine, peu de défauts.
La première des deux parties est entièrement consacrée à une flore de Nouvelle-Zélande et dans le second volume se trouve le Sertum astrolabianum (Description des espèces nouvelles ou peu connues recueillies pendant la circumnavigation de l’Astrolabe), Pierre Lesson et Achille Richard réalisent les déterminations des flores rapportées. L'expédition quitta Toulon le 25 avril 1826 et revint en France, près de trois ans plus tard, le 24 février 1829. Elle fit d'abord cap sur l'Australie, via Tenerife et les îles du Cap-Vert. L'Astrolabe se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux îles des Amis, îles Fidji, en Nouvelle Irlande, Nouvelle Guinée, Tasmanie puis, disposant de renseignements sur une possible trace de La Pérouse, fit route vers Vera Cruz plutôt que de retourner en Nouvelle-Zélande. A Vanikoro, Dumont d'Urville découvrit le lieu du naufrage de La Pérouse et s'en retourna alors en France via Batavia et les îles Maurice et Bourbon. Les résultats scientifiques de l'expédition furent immenses. Botanic atlas of the travel on l’Astrolabe during the year 1826-1829, 76 plates (80) with the stamp on the paperThe first part is entirely devoted to the flora of New Zealand and in the second part have the Sertum astrolabianum (Description of new or little-known species collected during the circumnavigation of the Astrolabe). P1-Et0
Paris D'Hautel 1822 in-8 broché, couverture d'attente de l'époque, non coupé, dos fendillé, premier plat de la couverture détaché
2 ff.n.ch., pp. v-viij, 135 pp.Pritzel, 2480. Très rare monographie botanique, composée par le grand navigateur à la suite de l'expédition scientifique envoyée en Mer Noire et dans les îles grecques (navire la Chevrette), et dans laquelle il avait été chargé des observations d'histoire naturelle et d'archéologie (c'est au cours de cette mission que fut exhumée la Vénus de Milo)