DUMONT D'URVILLE (Jules-Sébastien-César) & LE BRETON (Louis).
Reference : LBW-8317
(1853)
Paris et New-York, V.e Turgis, [1853]. 286 x 398 mm.
Très rare vue dessinée et lithographiée par Louis Le Breton, finement coloriée à l'époque, et publiée par la veuve de Louis Auguste Turgis en 1853. La vue représente l'arrivée, le 26 août 1838, des corvettes de l'expédition de Dumont d'Urville, l'Astrolabe et la Zélée, dans la baie Anna Maria sur l'île de Noukahiva ou Nuku Hiva, dans l'archipel des Marquises, en Polynésie française. Cette baie, située au sud de l'île, porte aujourd'hui le nom de baie de Taiohae. La vue a été dessinée sur les lieux par Louis Le Breton, nommé peintre de l'expédition à la mort du peintre officiel Ernest Goupil, lors du troisième et dernier voyage de Dumont d'Urville au pôle Sud et en Océanie. L'estampe nous montre des naturels de Nuku Hiva à bord de pirogues, allant à la rencontre des deux corvettes, l'Astrolabe étant au premier plan. L'expédition quittera Nuku Hiva pour Tahiti le 30 août. En 1842, le capitaine de vaisseau du Petit-Thouars, promu contre-amiral et commandant des forces navales d'Océanie, prendra possession de l'archipel des Marquises au nom de la France. Entre 1852 et 1854, il fera de l'île de Nuku-Hiva, la plus grande de l'archipel, un lieu d'accueil pour les prisonniers condamnés à la déportation pour crimes politiques. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, puis exploré les parties peu connues de la Polynésie et recherché les traces du naufrage de La Pérouse, Dumont d’Urville soumet au roi Louis-Philippe le projet d’un troisième voyage vers les mers australes. Les deux corvettes l’Astrolabe et la Zélée appareillent de Toulon le 7 septembre 1837. Dumont d'Urville est aux commandes de l'Astrolabe, son second lieutenant de vaisseau Charles Hector Jacquinot, à celles de la Zélée. Après une longue escale à Rio, et après avoir exploré le détroit de Magellan, alors peu fréquenté par les Français, Dumont d'Urville met le cap vers l’Antarctique, puis se retrouve bloqué par la banquise. Après quelques jours, les équipages réussissent enfin à s'extirper du piège, mais le scorbut n'épargne pas les matelots, et Dumont d'Urville décide alors de faire escale dans la baie de la Concepción au Chili. Après quelques semaines de repos, il repart pour l’Océanie, où il visite successivement les Marquises, Tahiti, les archipels Samoa et Viti, Vanikoro, les îles Salomon, les Carolines, la Nouvelle-Guinée et l’Australie. Le 1er janvier 1840, l’expédition quitte son mouillage d’Hobart Town (Tasmanie) pour une nouvelle tentative en Antarctique, qui s'avère fructueuse puisqu'ils découvrent une immense étendue, que Dumont d'Urville baptise Terre Adélie, en hommage à son épouse Adèle. Le 1er février, ayant déterminé le pôle magnétique, ils quittent définitivement cette région et mettent le cap sur l’Australie. Peu après, ils entament le chemin du retour vers la France non sans avoir reconnu les îles Auckland et avoir dressé la carte hydrographique des côtes orientales de la Nouvelle-Zélande. Les résultats scientifiques de l’expédition furent immenses. Outre la reconnaissance de 12 000 lieues de côtes, elle rapporta une multitude de renseignements minéralogiques, zoologiques et botaniques. À son retour, Dumont d’Urville est nommé contre-amiral en décembre 1840. En 1841, la Société de géographie lui décerne la grande médaille d’or. Un an plus tard, il périt avec sa femme et son fils dans la catastrophe ferroviaire de Meudon, l'une des premières grosses catastrophes ferroviaires françaises. Peintre de marines, aquarelliste et chirurgien de marine, Louis Le Breton fut l'un des artistes les plus prolifiques de son temps et le témoin de nombreuses scènes maritimes du XIXe siècle. En 1837, à l'âge de 19 ans, il embarque comme aide-chirurgien sur l'Astrolabe, lors du troisième et dernier voyage de Dumont d'Urville. Doué en dessin, il suit une formation de peintre pendant les premiers mois de l'expédition, auprès d'Ernest Goupil, le peintre officiel de l'expédition. Le 4 janvier 1840, Goupil succombe de dysenterie à Hobart Town (Tasmanie). Dumont d'Urville ayant apprécié les services et le talent de l'apprenti, le charge de prendre la place de dessinateur de l'expédition. C'est à Louis Le Breton que reviendra la tâche de rassembler l'iconographie du voyage qui sera publiée dans l'Atlas pittoresque du Voyage au Pôle Sud et dans l'Océanie, sur les corvettes l'Astrolabe et la Zélée, exécuté par ordre du Roi pendant les années 1837-1838-1839-1840 sous le commandement de M. J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le Breton a réalisé pour l'Atlas pittoresque une estampe similaire à celle que nous présentons, intitulée Les corvettes au mouillage de Nouka-Hiva (Baie Anna Maria), lithographiée en noir et blanc par Mayer. Il a également réalisé deux autres estampes sur le Pacifique, plus précisément sur Tahiti, lors de l'annexion française par le contre-amiral du Petit-Thouars en 1842. Très rare. Nous n'avons trouvé aucun exemplaire dans les collections publiques. Bel exemplaire aquarellé à l'époque. Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 1853, p. 513, 1308, 15.
[Paris, 1833]. 343 x 240 mm.
Portrait en buste de Jules-Sébastien-César Dumont d'Urville à bord de l'Astrolabe, lithographié par Lemercier d'après un dessin d'Antoine Maurin, issu du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire.
[Paris, 1833]. 581 x 429 mm.
Belle carte figurant l'île du Nord de la Nouvelle-Zélande, avec la partie nord de l'île du Sud, dressée entre janvier et mars 1827, et montrant en pointillés la route suivie par la corvette l'Astrolabe. Elle est issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire. Petite restauration à la pliure centrale.
[Paris, 1833]. 430 x 585 mm.
Belle carte figurant l'archipel des Îles Fidji, dont l'île de Viti Levu, la plus grande de l'archipel. La carte a été dressée par l'enseigne de vaisseau Gressien, entre mai et juin 1827, et est issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. En carton, carte des Îles de la Loyauté situées à l'est de la Nouvelle-Calédonie, levée et dressée par l'enseigne de vaisseau Guibert en juin 1827, et carte de l'archipel des Tonga. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Pliure centrale restaurée, sinon bel exemplaire.
[Paris, 1833]. 250 x 350 mm.
Estampe dessinée par Louis-Auguste de Sainson et lithographiée par Victor Adam, issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
[Paris, 1833]. 302 x 460 mm.
Belle carte figurant la partie nord de l'île du Nord de la Nouvelle-Zélande, où se trouvent la Baie des Îles ou Bay of Islands, et la rivière Hokianga, ici appelée Shouki-Anga. Elle est issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire.
[Paris, 1833]. 220 x 335 mm.
Estampe dessinée par Louis-Auguste de Sainson et lithographiée par Antoine Maurin, issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
[Paris, 1833]. 202 x 380 mm.
Estampe dessinée par Louis-Auguste de Sainson et lithographiée par Villain, issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
[Paris, 1833]. 427 x 580 mm.
Belle carte figurant l'île de Tongatapu, dans l'archipel des Tonga, dressée entre avril et mai 1827. Elle est issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire. Très légères rousseurs.
[Paris, 1833]. 250 x 330 mm.
Estampe dessinée par Louis-Auguste de Sainson et lithographiée par Victor Adam, issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
Les "Voyages pittoresques autour du Monde" sont une série d'ouvrages de voyage publiés au 19e siècle. L'un des auteurs les plus célèbres de cette série est Jules Dumont d'Urville, un explorateur français. Jules Dumont d'Urville a commandé plusieurs expéditions d'exploration en mer au cours de sa carrière, dont certaines ont été documentées dans les "Voyages pittoresques autour du Monde". L'une de ses expéditions les plus connues est celle menée à bord du navire La Astrolabe, qui a exploré les régions polaires et l'océan Pacifique entre 1826 et 1829. Les récits de voyage de Dumont d'Urville étaient populaires à l'époque car ils offraient aux lecteurs un aperçu détaillé des terres inconnues, des cultures étrangères et de la faune et la flore exotiques. Les ouvrages étaient souvent richement illustrés de gravures et de cartes, ce qui ajoutait à leur attrait visuel. Les "Voyages pittoresques autour du Monde" de Dumont d'Urville ont contribué à élargir les connaissances géographiques et scientifiques de l'époque, ainsi qu'à susciter l'intérêt du public pour les découvertes et les explorations. Ces récits de voyage continuent d'être étudiés et appréciés aujourd'hui, tant pour leur valeur historique que pour leur description des régions et des cultures lointaines. Résumé général des voyages de découvertes de Magellan, Tasman, Dampier, Anson, Byron, Wallis, Carteret, Bougainville, Cook, Lapérouse, G.Bligh, Vancouver, d' Entrecasteaux, Wilson, Baudin, Flinders, Krusenstern, Porter, Kotzebue, Freycinet, Bellinghausen, Basil Hall, Duperrey, Paulding, Beechey, Dumont d'Urville, Lutke, Dillon, Laplace, D. Morbell, etc. Les gravures en taille-douce sur acier, d'après les dessins de M. de Sainson, dessinateur du Voyage de l'Astrolabe. Portraits en frontispices en noir et blanc. Tome I : 2 ff., VIII-576 pp. avec frontispice et 140 planches hors texte et 3 cartes dépliantes ; Tome II : 2 ff., 584 pp. avec frontispice double et 136 planches hors texte et 3 cartes dépliantes exemplaires bien complets des 276 planches hors texte, de 2 frontispices (dont le double) et des 6 cartes dépliantes, texte dur deux colonnes. complet en deux vols in-quarto, 285x190, reliés demi basane époque, mors fendus en partie, accrocs, reliures à restaurer, les corps des ouvrages étant bien reliés, qq rehaut de cahiers. Paris chez Lentré, 1834/1835. Edition originale
Paris, Furne et Cie, 1859, 2 volumes, grand in-8, reliés, XI-550-[1] p. / 542-[1] p.. Frontispice à chaque tome, 43 gravures, 1 carte dépliante de Tahiti au tome 2, 1 grande carte dépliante en couleur en fin du tome 1. Reliure d'époque, demi chagrin rouge, dos à nerfs avec caissons dorés, titres et tomaisons dorés, infime accroc au dos du tome 2, la grande carte dépliante est froissée avec déchirure sans manque, rousseurs, surtout en fin du premier volume.
Très bon état. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).
Paris, Furne et Cie Editeurs, 1859, 2 volumes in-4 de 270x175 mm environ, tome I : xi-550 pages, 1f. (table), avec 1 frontispice et 21 planches hors-texte + 1 carte dépliante des Îles Taïti - Tome II : 542 pages, 1f. (table), avec 1 frontispice et 21 planches sur 22 + une carte dépliante du monde. Contient donc 44/45 planches mais bien complet des deux cartes. Demi maroquin chocolat, dos à nerfs portant titres et tomaisons dorés, ornés de filets, roulettes et petits fers dorés, tranches de tête dorées, gardes marbrées. Dos tachés, manque de papier marbré sur les plats, coins dénudés, mais intérieur très frais, bel exemplaire malgré les défauts annoncés.
Jules Sébastien César Dumont dUrville, né à Condé-sur-Noireau (Calvados) le 23 mai 1790 et mort accidentellement à Meudon le 8 mai 1842, est un officier de marine et explorateur français qui mena de nombreuses expéditions, notamment à bord de l'Astrolabe. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Paris, L. Tenré et Henri Dupuy, 1834. 2 volumes in-4 de [4]-VIII-576 et [4]-584 pages, demi-basane verte, dos lisses ornés de filets dorés, traces d'étiquette dans la partie supérieure des dos, petite fente à un mors, coiffes, coupes et coins frottés, premier cahier du tome second légèrement déboîté, avec une petite mouillure.
Illustré au tome premier d'un frontispice, de 140 planches et 3 cartes (des îles de Tahiti, d'Hawaï et la carte générale des Voyages pittoresques), et pour le second tome, un frontispice, 136 planches et 3 cartes (des îles Tonga, de la Nouvelle-Zélande et une carte générale de l'Océanie). Les 276 planches ont été dessinées par Louis de Sainson, dessinateur du voyage de l'Astrolabe, commandé par Dumont d'Urville en 1826-1829. Fabuleux travail entrepris par Dumont d'Urville, qui réunit ici tous les plus grands récits de voyages et d'explorations, en les débarrassant de leurs indications nautiques et autres relevés météorologiques (fastidieux à lire pour le commun des mortels), en évitant les redites (les navigateurs se trouvent souvent dans les pas de leur devanciers). Sous la forme d'une grande circum-navigation, le récit, à la première personne, passe par toutes les côtes et les îles de nos océans et de nos mers, avec tout de même une nette prédilection pour l'océan Pacifique et l'Océanie.
DUMONT d'URVILLE (Jules Sébastien César) - ORBIGNY (Alcide d') - EYRIES (MM.) - JACOBS (A.).
Reference : 22489
Paris, Furne, 1859. Quatre volumes in-8, 550 et 542 pages, 612 et 692 pages. L'illustration se compose d'un frontispice, de 44 planches hors texte et deux cartes dépliantes en couleurs (Itinéraire du voyage et Tahiti) pour le Voyage de Dumont d'Urville. Tome III: 612 pages avec 27 hors-texte et 2 cartes d'Amériques. Tome IV: 692 pages avec 25 hors-texte et2 cartes (Asie et Afrique). Rares rousseurs. Percaline chagrinée rouge, dos lisse (passé). Mors fendus à un tome.
Les deux premiers volumes contiennent le voyage complet autour du monde de Dumont d'Urville. Les deux derniers traitent du Voyage dans les deux Amérique d'Alcide d'Orbigny et du Voyage en Asie et en Afrique d'Eyriès et A. Jacobs. Jules-Sébastien Dumont d'Urville (1790-1842), assisté de Charles-Hector Jacquinot, part de Toulon en août 1837, à la tête d'une escadre composée de "L'Astrolabe" et de "La Zélée" pour réaliser en 2 ans le tour du monde à but d'observation ethnographique. Après s'être frayé un passage à travers les glaces, il accoste sur l'île de Weddell puis repart vers l'Australie et s'aventure alors dans les eaux Antarctiques. Il découvre en 1840 la terre Adélie, baptisée du nom de son épouse. Il a déjà accompli auparavant un tour du monde avec Duperrey de 1822 à 1825 et de 1826 à 1829 il est parti chercher et retrouver dans le Pacifique les restes de La Pérouse, disparu 40 ans plus tôt.
Bon exemplaire de ce très important voyage dans le Pacifique, conservé dans ses reliures uniformes de l’époque. Paris, J. Tastu, 1830-1834. 11 volumes grand in-8 et 3 parties en 1 volume in-4 pour le texte, 5 parties en 4 volumes in-folio pour les Atlas; des rousseurs à l'atlas historique. Demi-basane brune, dos lisses ornés, pièces de titre et de tomaison de maroquin vert. Reliure de l'époque. Dimensions des volumes de texte : 230 x 143 mm / 293 x 226 mm. Dimensions des atlas : 550 x 350 mm.
Edition originale du plus important voyage français entrepris dans le Pacifique au XIXe siècle. Bagnall, 1687 (partie); Davidson, pp. 115-6 (partie); Ferguson, 1341 (partie); Hill 2, 504 (partie); Hocken, p. 47 (partie); Sabin, 21210 (partie) ; Chadenat 60 ; Hill, p.88. Il s'agit de la première expédition de Dumont d'Urville, qui avait pour objet de préciser et de compléter les informations sur les îles du Pacifique déjà recueillies par Duperrey. Après avoir passé le Cap de Bonne Espérance, l'Astrolabe fit relâche à Port Jackson, avant de se diriger vers la Nouvelle Zélande et en particulier le détroit de Cook. Les navigateurs explorèrent ensuite les îles Tonga, une partie de l'archipel des Fiji, la Nouvelle Angleterre, la Nouvelle Guinée, Amboina, la Tasmanie, Vanikoro et Java. Grâce aux importantes collections et observations rapportées, l'expédition de Dumont d'Urville fut un grand succès scientifique. Les textes sont illustrés de 9 planches pour l'Histoire du voyage, 8 planches pour la Zoologie, 2 tableaux dépliants pour les Observations nautiques; les atlas contiennent un portrait, 8 cartes dont une en couleurs, et 239 planches (dont 57 coloriées) pour l'Histoire du voyage, 204 planches de zoologie, 80 planches de botanique. 1° Historique – 10 tomes en 5 vol. avec gravures, et 2 Atlas de 247 belles planches, noires et coloriées : vues, paysages, portraits, types d’indigènes, scènes de mœurs, etc. 2° Zoologie – 6 parties en 4 vol. in-8 avec 8 pl. et Atlas de 192 pl. coloriées. 3° Botanique – 2 tomes en 1 vol. et Atlas de 80 pl. noires et coloriées. 4° Entomologie – 2 tomes en 1 vol. et Atlas de 12 pl. coloriées. « The scientific voyage of the Astrolabe was arguably the most important and the most influential nineteenth-century French voyage to the Pacific. In addition to its comprehensive hydrographical work, especially in New Zealand, the Astrolabe scientists made extensive scientific observations and vast collections of natural history. The outstanding results of the expedition were published from 1830 to 1835. The atlases contain what are generally acknowledged to be some of the finest plates ever produced of the natural history, topography, and anthropology of the Australasian and South-west Pacific. Most of the fine topographical views are after Louis Auguste de Sainson. The official account of the voyage is rarely found complete ». Bon exemplaire de ce très important voyage dans le Pacifique, conservé dans ses reliures uniformes de l’époque. Il manque à cette collection les 2 tomes de texte de Philologie par Dumont d'Urville, et l'atlas d'hydrographie, d'un format supérieur aux autres atlas et qui manque souvent.
Paris : Furne et Cie, Libraires-Éditeurs, 1839. Deux volumes accompagnés de cartes et de nombreuses gravures en taille-douce sur acier, d'après les dessins de M. De Sainson, dessinateur du voyage de l'Astrolabe : 20,5 x 29 cm. I/ 1 f. bl., 1 f. de faux-titre, 1 f. de titre avec gravure, 1 f. avec portraits [Bougainville, Cook, Lapérouse, Baudin], VIII pp. [Introduction], 574 pp., 1 f. gravé, 1 f. n. ch. [Table des chapitres], 1 f. bl. II/ 1 f. bl., 1 f. de faux-titre, 1 f. de titre avec gravure, 1 f. avec portraits [Beechey, Duperrey, Krusenstern, Dumont D'Urville], 584 pp., 1 f. bl. Reliures en demi-chagrin, dos à quatre nerfs sriés, capitales dorées, tranches supérieures dorées, gardes cailloutées. Le haut f. bl. du second volume est un peu déchiré. Bon état. Jules Dumont D'urville (1790-1842) était un explorateur français ayant participé à plusieurs expéditons dont celle à bord de la Chevrette, résultant à la découverte de la célèbre Vénus de Milo.
Dumont D'Urville, [Sainson (M. de), d'après les dessins de, dessinateur du Voyage de l'Astrolabe]
Reference : 914
(1859)
1859 1859 Furne, Paris, 1839. Deux volumes in-4 demi veau glacé fauve, dos lisses ornés de filets et frises dorés et à froid, pièces de titre et de tomaison en maroquin brun, [1f.]bl., [1f.]faux-titre, [1f.]frontispice, [1f.]titre, viii+576pp., 140 planches, 3 cartes dépliantes, [1f.]bl., [1f.]faux-titre, [1f.]frontispice, [1f.]titre, 584 pages, 136 planches et 3 cartes dépliantes, texte sur deux colonnes. Tampon d'ex-libris en page de garde. Mors fendus aux derniers plats, pâle mouillure en marge inférieure, rares rousseurs. Bien complet de ses planches et cartes.
La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné. La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné.
Paris: J. Tastu, 1833. First edition. Hardcover. Very good overall. Atlas de 20 planches partie historique format 40 x 54 8 cartes - 6 planches noir et 6 planches couleur de costumes. volume only, the very rare atlas from the first edition of d'Urville's voyage in the Astrolabe. The first voyage of the Astrolabe
FURNE 1839 2 Publié sous la direction de M. Dumont d'Urville. Nouvelle édition revue et corrigée. Paris, Furne & Cie, 1839, 2 voumes in-8, demi chagrin rouge, 576 et 584 pages.
Jules-Sébastien Dumont d'Urville (1790-1842), assisté de Charles-Hector Jacquinot, part de Toulon en août 1837, à la tête d'une escadre composée de "L'Astrolabe" et de "La Zélée" pour réaliser en 2 ans le tour du monde à but d'observation ethnographique. Après s'être frayé un passage à travers les glaces, il accoste sur l'île de Weddell puis repart vers l'Australie et s'aventure alors dans les eaux Antarctiques. Il découvre en 1840 la terre Adélie, baptisée du nom de son épouse. Il a déjà accompli auparavant un tour du monde avec Duperrey de 1822 à 1825 et de 1826 à 1829 il est parti chercher et retrouver dans le Pacifique les restes de La Pérouse, disparu 40 ans plus tôt. De nombreuses gravures et cartes attestent de l'importance de ces découvertes. Griffures, usures, petits manques à la reliure, brunissures du papier et piqures internes.
Paris,1833, in-folio, demi-reliure basane rouge, dos lisse, muet (rel. mod.), illustré avec 1 portrait en frontispice, lithographié par Lemercier d'après A. Maurin, [1] f. (titre gravé avec vignette), 20 planches disparates (8 cartes gravées sur acier dont 6 doubles, 11 vues reliées (dont 5 coloriées) et 15 planches en feuilles, papier des plats gondolé, quelques rousseurs aux planches libres avec défauts en marges.Recueil réunissant : 1 carte générale ; 1 carte de Nouvelle-Zélande (côte partielle); 1 carte du Pacifique; 1 de Nouvelle-Guinée; 1 de l'Archipel des îles Viti; 1 de l'île Tonga-Tabou; 1 des îles Vanikoro; 1 de Nouvelle-Zélande (nord); des vues de paysages; de personnages locaux (dont 7 coloriées).
Recueil composite de l’atlas du premier voyage de Dumont d’Urville autour du monde, peu d’informations sur ce tirage réduit de l’atlas pittoresque. Jules Dumont d’Urville (1790-1842), capitaine de frégate, commanda l’Astrolabe, de 1826 à 1829 pour étudier les côtes de la Nouvelle-Guinée, la Nouvelle-Zélande et découvrir le lieu du naufrage de La Pérouse dans le Pacifique. Les résultats de cette longue expédition furent publiés en 17 volumes et 4 atlas dès 1830 sous le titre Voyage de la corvette L’Astrolabe. L'Astrolabe -- précédemment La Coquille, rebaptisée ainsi en souvenir de La Pérouse -- quitta Toulon le 25 avril 1826 et revint en France, près de trois ans plus tard, le 24 février 1829. Cette circumnavigation scientifique dans le Pacifique (Nouvelle-Guinée, Australie, Nouvelle-Zélande, etc.) avait également pour but de retrouver la trace de La Pérouse, disparu en mer depuis 1788. Elle fit cap sur l'Australie, via Tenerife et les îles du Cap-Vert pour se diriger ensuite vers la Nouvelle-Zélande, les îles des Amis, les îles Fidji, la Nouvelle-Irlande, la Nouvelle-Guinée et la Tasmanie. Disposant d’indices probants du naufrage de La Pérouse, Dumont d’Urville fit route vers Vera Cruz. C’est à Vanikoro, qu’il découvrit le lieu du drame et revint alors en France en passant par Batavia, l'île Maurice et Bourbon.
Paris, Furne et Cie, 1843. 4to. In two uniform contemporary half calf bindings with gilt lettering to spine. Extremities with wear. Title-pages with small library stamp. Light occassional brownspotting throughout. (2), VIII, 576 pp. (4), 584 pp + numerous plates, and folded maps.
Second edition of Dumont D'Urville's selection of important voyages of discovery from Magellan onwards.The six engraved maps are from Dumont D'Urville's famous voyage in the Astrolabe, 1826-1829, 1830-1834.
Furne 1854 Furne et Cie, Editeurs, 1854, IV-692 pp, demi-chagrin rouge et percaline gauffrée, dos à 4 nerfs portant titres dorés et caissons à riches motifs dorés, environ 27x18cm, tranches dorées. Contient 25 gravures hors-textes et 2 cartes dépliantes. Reliure usée par endroits et tachée, des rousseurs sur les pages.
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Paris Tenré 1834 - 1835 2 4° demi-basane (4), VIII, 576 pp et (4), 584 pages, 278 planches dont deux planches de portraits, 6 cartes dépliantes Tenré, Paris, 1834 - 1835. Deux volumes in 4° reliés demi-basane bleu-nuit à dos lisse orné de filets dorés, tranche marbrée, plats papier marbré, état général.correct malgré un coin renforcé au scotch, (4), VIII, 576 pp et (4), 584 pages, 278 planches dont deux planches de portraits, 6 cartes dépliantes, texte sur deux colonnes. Envoi colissimo recommandé R3, 20 .
Ouvrage essentiellement consacré à l'Océan Pacifique, Asie et Océanie. Etat correct, reliure en peu fatiguée Remises possibles sur les achats en lot, achetez plusieurs objets à la fois ! Reçoit sur rendez-vous pour consultation des ouvrages.
Paris, Furne, Jouvet et Cie., Éditeurs, MDCCCLXVIII (1868).Deux volumes reliés grand in-8 (18 x 26 cm) de XI et 550 pages et de 542 pages. Reliure demi chagrin vert à coins, dos à nerfs ornés, titrage doré. Reliure usée, de nombreuses épidermures, papier de couvrure usé, un feuillet s'est détaché. Déchirure sans manque à la planisphère dépliante. Reliure modeste mais très bel état des gravures.Nouvelle édition, illustrée d'un frontispice représentant les portraits de Bougainville, Cook, Lapeyrouse et Dumont d'Urville, de 44 hors-texte gravés sur acier d'après Ronargue, de 2 en-têtes et 2 lettres ornées, et de 2 cartes dépliantes. Cet ouvrage est une excellente synthèse des grandes découvertes maritimes au fil des siècles, des voyages initiatiques des grandes explorations entreprises par Magellan, Vancouver, Lapeyrouse, d'Entrecasteaux, Cook, Anson, Bligh, Freycinet et par une multitude d'autres, Espagnols, Portugais, Hollandais, Italiens, Russes, Danois, Suédois, etc.